Filtrer les résultats :

Tous les secteurs

Toutes les catégories

    1884 nouvelles

    Vous pouvez affiner les résultats en utilisant les filtres ci-dessus.

  • Military to spend $170,000 so leaders can see what it's like to be stoned on marijuana

    12 février 2018 | Local, Sécurité

    Military to spend $170,000 so leaders can see what it's like to be stoned on marijuana

    The Canadian Forces is buying kits that will let its leaders experience what it's like to be stoned on marijuana. The “marijuana simulation kits” will include “marijuana impairment goggles,” among other items. The Canadian Forces wants to acquire 26 of the kits by April 30 or sooner if possible. “The purpose of the Marijuana Simulation Kits is to raise awareness of marijuana impairment, reduce risk of marijuana impairment, and promote healthy lifestyles within the Canadian Armed Forces,” companies who want to bid on the contract were told. “The marijuana impairment goggles, which is one of the several items included in the Marijuana Simulation Kit, allows users to experience first-hand, the deficits marijuana creates on the body.” Department of National Defence spokesman Dan Le Bouthillier said Friday that the kits will be used in the Military Personnel Command's supervisor training course. “This will help ensure that CAF members in leadership positions will be able to identify signs of, assist in detecting and provide guidance regarding, prohibited drug use,” he said. The value of the contract will only be known once bids are received, evaluated and a contract is awarded, but it is estimated at up to $170,000 over five years. The Liberal government intends to make the use of recreational marijuana legal by the summer. CBC reported this week that a Statistics Canada survey found Canadians pay an average of less than $7 a gram for pot. The kits may also be used at National Defence health fairs, community events, kiosks or other events to educate other military members, families and the public about the impact of marijuana on cognitive functioning, Le Bouthillier said. A number of firms make such devices. In 2015, Innocorp Ltd. in the U.S. unveiled green-tinted goggles that simulate “the distorted processing of visual information, loss of motor co-ordination, and slowed decision-making and reaction time resulting from recreational marijuana use.” Some police departments in the U.S. already use marijuana impairment kits for training. Participants wearing the goggles will experience the simulated effects resulting from recreational marijuana use, such as distorted processing of visual information, slower decision-making and loss of motor coordination, Le Bouthillier said. The training could include exercises such as ball tossing, simulated driving and other means of demonstrating the effect on reaction time. Le Bouthiller said the military currently uses alcohol impairment goggles in similar courses for military leaders. http://nationalpost.com/news/canada/military-to-spend-170000-so-leaders-can-see-what-its-like-to-be-stoned-on-marijuana

  • La quadrature du cercle de Trudeau

    12 février 2018 | Local, Aérospatial

    La quadrature du cercle de Trudeau

    ÉDITORIAL / Gouverner, c'est choisir. Ça ne fait pas que des heureux. Ça commence à donner des soucis à Justin Trudeau. Il n'y a pas d'issue facile à certains des litiges auxquels son gouvernement est confronté. L'exercice du pouvoir nourrit les rangs des mécontents ; à un moment donné, ils deviennent assez nombreux pour vous battre aux élections. Les libéraux n'en sont pas encore là, mais le premier ministre doit faire attention à l'accumulation d'accusations contre son gouvernement. Hier, le Canada a vu un contrat de 233 millions $ lui filer entre les doigts ; les Philippines ont annulé l'achat de 16 hélicoptères de l'usine québécoise Bell Helicopter. Ottawa hésitait à les vendre au régime de Manille qui s'en servirait pour mater des mouvements terroristes. Quand le président Rodrigo Duterte, un adepte de la ligne dure, a senti les craintes du Canada, il a demandé à ses dirigeants militaires de rompre l'entente et de trouver un autre fournisseur. Ces questions de principe sont difficiles à arbitrer. D'un côté, cette vente aurait assuré du travail à 900 personnes à Mirabel. Les Canadiens ignorent l'importance du commerce des armes au pays. Il fournit de l'emploi à plus de 100 000 travailleurs au pays et discrètement, le Canada s'est faufilé parmi les 10 premiers exportateurs au monde. C'est que les statistiques officielles ne disent pas tout. Une part des ventes consiste en des équipements d'appoint ou technologique. Ainsi, le Canada a déjà vendu des hélicos à la Colombie pour sa lutte contre des groupes révolutionnaires, mais seulement après avoir été modifiés. Ainsi, la vente n'apparaissait pas publiquement comme une de type militaire, même si c'était un secret de Polichinelle. Une autre transaction du genre, avec l'Arabie saoudite, continue de faire couler l'encre. Sous les conservateurs de Stephen Harper, Ottawa a permis en 2014 la vente de tanks légers pour 15 milliards $ et assurent de l'emploi à 3000 personnes de General Dynamics à Newmarket. En campagne électorale, M. Trudeau a diminué la portée de l'affaire, arguant que le Canada vendait « des Jeeps ». Mais personne ne reconnaîtrait un Jeep devant une photo de ces tanks légers, mais lourdement armés. Des organisations comme Amnesty International font pression contre ce contrat parce que selon leurs prétentions, le régime de Riyad se servirait de ces véhicules pour réprimer sa minorité chiite. La ministre des Affaires globales, Chrystia Freeland, a soutenu hier que des preuves vidéo de 2016 n'étaient pas concluantes, sans rendre public le rapport à cet effet. Les « Jeeps » de Justin Trudeau, puis cette vente avortée d'hélicoptères aux Philippines : le Canada est-il trop vertueux ? Se met-il la tête dans le sable ? Différents sondages indiquent que la population est partagée. Ajoutons au dossier l'approbation du pipeline Kinder Morgan entre l'Alberta et la Colombie-Britannique. Difficile de réconcilier les prétentions vertes du gouvernement Trudeau et le feu vert qu'il offre aux oléoducs... Comment rétablir la quadrature du cercle ? En fait, c'est impossible. Ottawa doit arbitrer entre les intérêts des uns et des autres, d'une province contre l'autre, d'une question de principe contre des emplois et une économie florissante. Les conservateurs penchaient systématiquement pour l'économie. Ils pratiquaient une forme d'aveuglement volontaire. Quant aux libéraux..., au moins disent-ils avoir soupesé le tout ; croyons-les sur parole, jusqu'à preuve du contraire. Parfois, les circonstances peuvent faire pencher d'un côté ou de l'autre. C'est l'arbitrage difficile du pouvoir. https://www.ledroit.com/opinions/pierre-jury/la-quadrature-du-cercle-de-trudeau-feba1bdc2307d1b066a537683911da28

  • Les militaires du monde s’intéressent aux recherches sur le givre de l’UQAC

    12 février 2018 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR

    Les militaires du monde s’intéressent aux recherches sur le givre de l’UQAC

    Vingt-deux conseillers militaires de dix-neuf pays sont dans la région ces jours-ci pour visiter le Laboratoire international des matériaux antigivre (LIMA) de l'UQAC, le seul laboratoire au monde qui se spécialise sur la question. Car le givre est un ennemi contre lequel bombes, obus, balles et autres projectiles sont généralement inefficaces, alors que sa présence peut constituer une sérieuse menace. « On a beaucoup de conseillers militaires étrangers qui sont des pilotes, ou qui sont rattachés d'une façon comme d'une autre à l'aviation », précise le capitaine Christian Courtemanche, officier de liaison diplomatique au sein des Forces canadiennes. « Le dégivrage d'avion, et le dégivrage d'ailleurs de vaisseaux maritimes et tout, c'est quelque chose qui intéresse tous les pays, surtout avec les changements climatiques des dernières décennies. » Et contrairement à ce qu'on pourrait croire, le givre n'est pas un problème limité aux pays froids. « Le problème de givrage en aviation ce n'est pas seulement pour les pays nordiques parce que ça se passe à haute altitude », ajoute le lieutenant-colonel Marc Ferron, directeur de liaison avec l'étranger. « Donc ça affecte pas mal toutes les forces armées représentées ici. » L'intérêt que portent les militaires aux travaux du LIMA réjouit le directeur du laboratoire. "Ils voient ce qu'on est en mesure de faire ou de proposer. Donc je pense que ça peut dans le futur, amener à certaines collaborations." Christophe Volat, directeur du LIMA C'est ce que croit aussi le lieutenant-colonel Ferron. « Les attachés militaires sont très impressionnés par ce qu'ils ont vu », assure-t-il, soulignant que son rôle est justement de favoriser ce genre d'échanges. http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1083357/givre-uqac-armee

  • L3 WESCAM Launches Smarter, More Accurate Imaging and Processing Technologies

    6 février 2018 | Local, C4ISR

    L3 WESCAM Launches Smarter, More Accurate Imaging and Processing Technologies

    SINGAPORE, February 6, 2018 – L3 WESCAM announced today that it has created smarter, more technologically advanced electro-optical and infrared (EO/IR) systems by incorporating highperforming imaging and processing technologies into its MX™-Series product line. These new technologies will enable MX operators to conduct missions with enhanced image processing and greater visual capabilities than ever before. “Today's environments are more complex, and missions need to be executed with more assurance,” said Paul Jennison, Senior Vice President of Strategy and Business Development for L3 WESCAM. “L3's newly incorporated smart technologies provide a portfolio of capabilities that will help operators succeed though a combination of ease-of-use and robust performance.” Newly launched imaging technologies include the addition of higher-sensitivity cameras that offer advanced imaging capabilities across a much wider range of illumination conditions, thereby advancing operator capabilities in low-visibility and no-visibility environments. Advancements to L3's MX image processing technologies include WESCAM's embedded Advanced Video Engine (WAVE) and a newly embedded Graphics Processing Unit (GPU). L3 WESCAM's new Automated Video Tracker (AVT) and embedded Moving Target Indicator (MTI) technologies are supported by this new architecture and provide automatic target acquisition of multiple targets with significantly improved target lock performance in challenging mission scenarios. L3's significant investment in its image processing technologies has made the MX product line smarter, as the WAVE's architecture supports future growth and allows for the rapid deployment of future image processing techniques. L3 has more than 40 years of experience in the design and delivery of stabilized imaging and targeting solutions. Systems range in size from 8 to 25 inches in diameter, portray clear sighting capabilities across the visible and infrared spectrums, and operate with outstanding stabilization and leading range performance. https://www.wescam.com/wp-content/uploads/L3-WESCAM_Launches_Smarter_More_Accurate_Imaging_Processing_Technologies.pdf

  • L3 WESCAM wins defense contracts valued at more than US$250 million

    1 février 2018 | Local, C4ISR

    L3 WESCAM wins defense contracts valued at more than US$250 million

    L3 WESCAM announced on Feb. 1 that it ended the second half of 2017 with more than US$250 million in contracts from military and law enforcement customers for its MX-Series electro-optical/infrared (EO/IR) products and in-service support products and services. The orders will provide a range of MX imaging and targeting solutions to both experienced MX end users and military customers new to L3 WESCAM products and services. “For more than 40 years, L3 has been a key supplier of ISR technologies, including sensors and systems, to help military and law enforcement agencies stay on the leading edge as surveillance and reconnaissance missions evolve,” said Jeff Miller, L3's senior vice-president and president of its sensor systems business segment. “We have earned and maintained a very strong reputation for quality, performance, reliability and rapid delivery, having provided more than 4,100 MX surveillance and targeting systems worldwide.” New platforms, new end-user countries The demand for L3 WESCAM's ISR technologies continued to grow as systems were sold for the first time into four new countries across four separate continents, including Africa, Europe, Asia and North America. Additionally, MX-Series systems were purchased for the first time on six significant airborne platforms, including airframes developed in Europe, Japan, Saudi Arabia and Turkey. L3 WESCAM turrets are now operating in over 70 countries on more than 190 different types of platforms across the air, land and maritime domains. Continued growth for in-service support L3 continued to experience a growing demand for in-service support contracts from MX customers located across North America, Europe and Asia. To keep operators and maintainers of MX systems operating at maximum efficiency, L3 WESCAM held a series of highly interactive customer conferences in Italy, France, Australia and Canada. With over 230 MX operators and maintainers in attendance, L3 presented a series of technology sessions, gaining pivotal insight into each customer's direct experience with MX products and a better understanding of future surveillance and targeting requirements. Complementing these customer-centric user groups, L3's global in-service support infrastructure, composed of 13 service centres staffed by a team of dedicated field service support personnel, continued to provide unmatched maintenance and repair solutions to customers who rely on L3's airborne, land and maritime imaging capabilities 24/7. L3 WESCAM also conducted a series of new product demonstrations in the latter half of the year that were overwhelmingly successful, underscoring the company's commitment to anticipating customer needs and achieving the highest levels of performance possible. These trials will help to support future business opportunities moving into 2018 and beyond. L3 WESCAM is a world leader in the design and manufacture of stabilized, multi-spectral imaging systems. https://www.wescam.com/wp-content/uploads/Final_WESCAM_-second-half-2017-results.pdf

  • Canadian firms could be in the running to repair F-35 parts - but will they succeed in such a bid?

    30 janvier 2018 | Local, Aérospatial

    Canadian firms could be in the running to repair F-35 parts - but will they succeed in such a bid?

    DAVID PUGLIESE, OTTAWA CITIZEN More from David Pugliese, Ottawa Citizen The US government is looking for a company to conduct future depot level repair of F-35 components for the North American region. Since Canada is still part of the F-35 program, Public Services and Procurement Canada is providing details to Canadian industry. The US government wants information from the firms and whether they can do the job. Key criteria include: existing capability, ability to grow, and labour costs. “The Canadian Government, as for all F-35 Participant nations, has been asked to distribute this RFI (Request for Information), collect responses, ensure completeness, and forward to the United States Joint Program Office,” Public Services and Procurement Canada noted. “The Canadian Government is not involved in the selection process. Completed responses will be required by the Canadian Government no later than 16 March 2018.” There are approximately 400 different parts and components to repair. Work would continue until 2040. What are the chances of a Canadian firm being selected? Canada's aerospace industry has the skills to do the work. But the Canadian government hasn't committed to buying the F-35 so that could be a factor. It would be certainly controversial among F-35 users to select a Canadian firm for this role, considering the government's decision not to buy the F-35, at least at this point. However, if the US government wanted to solidify the purchase of F-35s by Canada, providing Canadian firms with this job would make it increasingly difficult to ignore the industrial benefits resulting from the F-35. http://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/canadian-firms-could-be-considered-to-repair-f-35-parts-but-will-they-succeed-in-such-a-bid

  • Auditor general to issue new fighter jet report in the fall

    30 janvier 2018 | Local, Aérospatial

    Auditor general to issue new fighter jet report in the fall

    Lee Berthiaume, The Canadian Press Published Monday, January 29, 2018 2:03PM EST Last Updated Monday, January 29, 2018 4:31PM EST OTTAWA -- Six years after his explosive report on the F-35 derailed the Harper government's plan to buy the controversial stealth aircraft, federal auditor general Michael Ferguson is diving back into the fighter-jet file. Ferguson's staff have been going over internal government records for several months, though the auditor general's office won't reveal exactly what aspects of the program are under the microscope. The final report is scheduled for release in the fall. Ferguson's last report on fighter jets in April 2012 was a bombshell which found senior defence officials twisted rules, downplayed problems and withheld information about the Harper government's plan to buy 65 F-35s. The report forced the government to suspend the project pending a complete review, which eventually pegged the full cost of buying and operating the F-35s at more than $45 billion. Six years later, Canada still has not chosen a new fighter jet to replace its aging CF-18s. It is unlikely the auditor general will find the kind of serious problems with the government's efforts to buy fighter jets as the last time, as the overall procurement system has been revamped with a variety of checks and balances. The new review could instead turn on the government's plan to buy interim fighter jets and its arguably slow progress in holding a competition to replace the CF-18s, said defence analyst David Perry of the Canadian Global Affairs Institute. "How much benefit and at what cost will Canada obtain fighter aircraft by virtue of going through an interim fighter purchase as well as doing a life extension?" Perry said. "For me, one of the biggest concerns is that the process from this point forward is not exactly lightning quick." The Liberals announced in November that they plan to buy used fighter jets from Australia -- rather than new Super Hornets from Boeing -- as a stop-gap until the entire CF-18 fleet can be replaced. The new planes were originally expected by 2025, but documents provided to industry last week show the new target is 2031, as the government plans to take its time with a competition. The delay is almost certain to mean another round of expensive and complicated life extensions to the CF-18s, which will be 50 years old by the time the last are retired. Previous reports have determined that any life extensions to the CF-18s beyond 2025 would be "a high-risk option in terms of cost, schedule and technical factors." Many defence analysts and retired military officials have questioned the need for interim fighters and urged an immediate competition, rather than waiting several years. https://www.ctvnews.ca/politics/auditor-general-to-issue-new-fighter-jet-report-in-the-fall-1.3780244

  • L’ASTERIX COMPLÈTE LES ESSAIS EN MER DE LA MARINE ROYALE CANADIENNE ET ATTEINT SA CAPACITÉ OPÉRATIONNELLE TOTALE (FOC)

    29 janvier 2018 | Local, Naval

    L’ASTERIX COMPLÈTE LES ESSAIS EN MER DE LA MARINE ROYALE CANADIENNE ET ATTEINT SA CAPACITÉ OPÉRATIONNELLE TOTALE (FOC)

    Halifax, N.-É. – Le lundi 29 janvier 2018 : Aujourd'hui, Chantier Davie et Federal Fleet Services ont annoncé qu'à la suite d'une période intensive d'essais en mer et de tests, l'Asterix a été officiellement accepté par le ministère de la Défense nationale et est maintenant en service opérationnel complet auprès de la Marine royale canadienne (MRC) et de l'Aviation royale canadienne (ARC). Comme prévu, l'Asterix a exécuté des ravitaillements en mer (REM) de façon quotidienne au sein de la MRC et a mené des opérations complètes avec des hélicoptères de type Cyclone CH-148 de l'ARC afin de démontrer les capacités de niveau mondial du navire de soutien de la classe Resolve. Ces exercices ont été exhaustifs; tout y était, des opérations de REM doubles aux décollages et atterrissages d'hélicoptères, en passant par les essais de ravitaillement verticaux. Spencer Fraser, chef de la direction de Federal Fleet Services, a commenté : « Le fait d'avoir livré le premier navire militaire canadien en plus de vingt ans, le premier navire de ravitaillement en presque cinquante ans et d'avoir atteint la capacité opérationnelle totale de manière si efficace et dans un si court délai est la preuve du travail acharné, du dévouement et du dynamisme des équipes de Davie et de FFS. Nous sommes tous très fiers de notre accomplissement et nous sommes reconnaissants de l'appui professionnel que nous avons reçu du MDN et des SPAC. » M. Fraser a ajouté : « Nous avons promis au gouvernement que nous comblerions une lacune stratégique de façon expéditive, que nous ferions économiser de l'argent aux contribuables canadiens à l'aide de notre solution, et, principalement, que nous fournirions aux hommes et aux femmes de la MRC et d'ARC une capacité de classe mondiale dont ils pourraient être fiers. Nous pouvons aujourd'hui affirmer que nos promesses ont été tenues. Nous demeurons de garde afin d'aider le gouvernement du Canada à en faire plus. » Alex Vicefield, président de Davie, a affirmé : « Nous aimerions remercier le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, de la confiance qu'il a portée envers le plus important chantier naval du Canada avec l'octroi de ce programme. Nous sommes fiers d'avoir livré, comme promis, cette capacité de défense essentielle qui servira le Canada pour les années à venir. » Plus de 900 entreprises canadiennes de partout au pays ont participé à la construction de l'Asterix et la classe Resolve a été saluée mondialement pour les solutions innovatrices canadiennes intégrées à bord du navire. Plusieurs sous-traitants de premier niveau de Davie ont fait des exportations gr'ce à la participation à ce projet, notamment : Hepburn de Toronto, qui a conçu et construit les équipements de ravitaillement en mer, L3 MAPPS de Montreal, qui a conçu et installé le système de gestion de plateforme intégrée, et OSI de Vancouver, qui a conçu et installé le système intégré de passerelle. Profitant de la participation au projet, les entreprises innovatrices canadiennes mentionnées ci-dessus, ainsi que d'autres, ont pu saisir des occasions d'exportation. L'Asterix est maintenant prêt à être déployé à l'international afin de soutenir les opérations de combat et d'aide humanitaire selon les instructions du gouvernement canadien. Les photos des essais effectués par la MRC et l'ARC sont disponibles à des fins de téléchargement en haute résolution ici : http://www.davielibrary.com/Project-Resolve-/First-Navy-Trials/i-XHjt2VJ http://www.davie.ca/fr/news/lasterix-complete-les-essais-en-mer-de-la-marine-royale-canadienne-et-atteint-sa-capacite-operationnelle-totale-foc/

  • Contrat de maintien des systèmes d’armes pour aider à protéger les matelots et les navires canadiens

    26 janvier 2018 | Local, Naval

    Contrat de maintien des systèmes d’armes pour aider à protéger les matelots et les navires canadiens

    Communiqué de presse De Défense nationale Le 26 janvier 2018 – Esquimalt (C.-B.) – Défense nationale/Forces armées canadiennes Le gouvernement du Canada s'est engagé de par sa politique de défense, Protection, Sécurité, Engagement (PSE), à fournir aux femmes et hommes des Forces armées canadiennes l'équipement dont ils ont besoin. Aujourd'hui, l'honorable Harjit S. Sajjan, ministre de la Défense nationale, a annoncé l'attribution d'un contrat de soutien des systèmes d'armes qui protègeront les matelots et les navires canadiens pour les deux prochaines décennies. D'une valeur de 704 millions de dollars, ce contrat profitera aussi à l'industrie canadienne puisqu'on s'attend à ce qu'il crée et maintienne plus de 450 emplois qualifiés et bien rémunérés à travers le pays. Dans le cadre de ce contrat, l'entreprise Raytheon Canada Limited mettra à niveau et soutiendra 21 systèmes d'armes de combat rapproché pour la Marine royale canadienne. Ces systèmes de canons à tir rapide et à guidage radar fournissent le système d'autodéfense naval le plus efficace disponible contre les menaces rapprochées comme les missiles, les petits navires et les aéronefs. Ces systèmes sont actuellement utilisés sur les frégates de la Marine de la classe Halifax, et seront installés sur les navires de soutien interarmées de la classe Protecteur après leur construction. Citations « L'annonce d'aujourd'hui s'aligne avec les objectifs que nous nous sommes fixés dans Protection, Sécurité, Engagement. Nous réalisons des investissements stratégiques dans la Marine royale canadienne qui aideront à protéger nos hommes et femmes matelots alors qu'ils mènent toute la gamme des opérations dans le contexte de sécurité actuel. » – Ministre de la Défense nationale, Harjit S. Sajjan « Gr'ce à la politique sur les retombées industrielles et technologiques du gouvernement, Raytheon Canada Limited réalisera d'importants investissements au Canada pour maintenir des emplois de la classe moyenne bien rémunérés, favoriser la croissance économique et aider à stimuler l'innovation partout au Canada chez les petites et moyennes entreprises. Voilà comment nous nous assurons que l'innovation bénéficie à toute la population canadienne. » – Ministre de l'Innovation, de la Science et du Développement économique Navdeep Bains Faits en bref Le contrat de soutien en service des systèmes de défense rapprochée (CIWS) continuera jusqu'à la fin de 2037, et comprend une période de service de dix ans avec trois options pour cinq, trois ou deux années supplémentaires, respectivement. Le CIWS est le système de défense rapprochée le plus largement déployé au monde et est utilisé actuellement par 24 nations. Ce niveau d'interopérabilité permettra à la Marine de tirer profit des améliorations qui seront réalisées par nos alliés à l'avenir. La politique sur les retombées industrielles et technologiques (RIT), y compris la proposition de valeur, s'applique à ce contrat et encouragera la croissance d'une défense canadienne et d'une industrie de la marine durables. De plus, Raytheon Canada Limited s'est engagé à investir dans des petites et moyennes entreprises canadiennes et en activités de recherche et développement. Personnes-ressources Byrne Furlong Attachée de presse Cabinet du ministre de la Défense nationale Téléphone : 613-996-3100 Relations avec les médias Ministère de la Défense nationale Téléphone : 613-996-2353 Sans-frais : 1-866-377-0811 Courriel : mlo-blm@forces.gc.ca https://www.canada.ca/fr/ministere-defense-nationale/nouvelles/2018/01/contrat_de_maintiendessystemesdarmespouraideraprotegerlesmatelot.html

Partagé par les membres

  • Partager une nouvelle avec la communauté

    C'est très simple, il suffit de copier/coller le lien dans le champ ci-dessous.

Abonnez-vous à l'infolettre

pour ne manquer aucune nouvelle de l'industrie

Vous pourrez personnaliser vos abonnements dans le courriel de confirmation.