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  • VISION 2025 : AU-DELÀ DE NOTRE IMAGINATION

    18 juin 2019 | Local, Aérospatial

    VISION 2025 : AU-DELÀ DE NOTRE IMAGINATION

    Vision 2025 : Au-delà de notre imagination est un plan de sensibilisation piloté par l'industrie pour amorcer un nouveau dialogue entre l'industrie, le gouvernement, le grand public et d'autres parties prenantes. L'objectif principal de Vision 2025 est de faire la lumière sur les contributions importantes des secteurs de l'aérospatiale, de l'espace et de la défense partout au Canada et sur l'importance de protéger l'industrie aérospatiale canadienne et d'investir dans ce secteur pour nous assurer de demeurer un chef de file mondial. Article complet :https://aiac.ca/fr/vision2025/

  • Le Canada prend le commandement du 2e Groupe maritime permanent OTAN

    17 juin 2019 | Local, Naval

    Le Canada prend le commandement du 2e Groupe maritime permanent OTAN

    De : Défense Communiqué de presse Ottawa, le 17 juin 2019. – Défense nationale/Forces armées canadiennes Le commodore Josée Kurtz, des Forces armées canadiennes (FAC), a pris officiellement le commandement du 2e Groupe maritime permanent OTAN (SNMG2) lors d'une cérémonie de passation de commandement tenue à Souda Bay de l'île de Crête, en Grèce, le samedi 15 juin. Le commodore Josée Kurtz a pris le commandement du commodore Boudewijn Boots, de la Marine royale néerlandaise. Ce déploiement fait partie de l'opération REASSURANCE, et la contribution du Canada aux opérations régionales de sécurité maritime menées à l'appui des mesures d'assurance de l'OTAN dans la région méditerranéenne et en mer Noire. Le Canada continue de répondre à l'appel et de contribuer de façon significative à la paix et à la sécurité internationales. En tant que membre fondateur de l'OTAN, le Canada a fait preuve d'un leadership actif et continuera de le faire dans le cadre de sa politique de défense Protection, Sécurité, Engagement. Citations « L'affectation du commodore Josée Kurtz pour diriger ce groupe maritime de l'OTAN témoigne du professionnalisme et du leadership des Forces armées canadiennes, et de leur ferme engagement envers l'OTAN et leurs alliés. Nos militaires sont un symbole visible de l'engagement du Canada envers la sécurité et la coopération internationales dans la région et dans le monde. » —Lieutenant-général Mike Rouleau, commandant, Commandement des opérations interarmées du Canada « C'est un honneur et un privilège de prendre le commandement du 2e Groupe maritime permanent OTAN. J'ai h'te de travailler avec les marins hautement qualifiés et professionnels des pays membres de l'OTAN au cours des six prochains mois, pour relever les défis de cette mission et renforcer la stabilité mondiale et régionale, tous ensemble. » —Commodore Josée Kurtz, commandant, 2e Groupe maritime permanent OTAN Faits en bref Le Navire canadien de Sa Majesté (NSCM) Toronto participe à un déploiement au sein de la Force opérationnelle maritime dans le cadre de l'opération REASSURANCE. Il est maintenant le navire amiral du 2e Groupe maritime permanent OTAN (SNMG2). Le SNMG2 est l'une des quatre forces maritimes multinationales à haut niveau de préparation et est composées de navires de pays alliés. Ces navires sont à la disposition de l'OTAN en permanence pour effectuer t'ches, allant des exercices à des missions opérationnelles. Ils fournissent à l'OTAN une capacité maritime continue et contribuent à établir la présence de l'Alliance, à faire preuve de solidarité, à effectuer des visites diplomatiques et à améliorer l'interopérabilité des forces navales alliées. Ils constituent également une force maritime toujours prête à soutenir la Force opérationnelle interarmées à très haut niveau de préparation de l'OTAN. Depuis l'affectation du commodore Kurtz, le Canada dirige maintenant trois activités de l'OTAN à l'échelle mondiale. Depuis juin 2017, les FAC dirigent en Lettonie un robuste groupement tactique multinational de l'OTAN soumis à des rotations, en tant que l'un des quatre pays-cadre assurant la présence avancée renforcée de l'Alliance dans les États baltes et en Pologne. Depuis novembre 2018, le Canada dirige également la mission de l'OTAN en Irak (NMI), qui vise à créer les conditions nécessaires à la mise en place d'institutions et de structures de sécurité efficaces et durables dans ce pays. Le commodore Josée Kurtz est une leader exceptionnelle et un excellent modèle à suivre et son affectation témoigne du leadership du Canada et de son engagement ferme envers l'Alliance. Cette affectation à un poste de commandement multinational fait suite au récent commandement de la Force opérationnelle multinationale 150 par le Canada, de décembre 2018 à avril 2019. La Marine royale du Canada (MRC) apporte d'importantes contributions à la sécurité et à la stabilité dans le monde, et est une force de combat agile qui peut être déployée rapidement et employée avec souplesse. Partenaires compétents et inébranlables, ses marins et ses navires ont une solide réputation et sont toujours prêts à aider, à diriger et à combattre. https://www.canada.ca/fr/ministere-defense-nationale/nouvelles/2019/06/le-canada-prend-le-commandement-du-2egroupe-maritime-permanent-otan.html

  • Cybersécurité dans l'espace : investissement du gouvernement du Canada dans la technologie quantique

    17 juin 2019 | Local, Aérospatial, Sécurité, Autre défense

    Cybersécurité dans l'espace : investissement du gouvernement du Canada dans la technologie quantique

    Agence spatiale canadienne LONGUEUIL, QC, le 14 juin 2019 /CNW Telbec/ - Pour protéger l'économie numérique du Canada, il faut empêcher les pirates informatiques d'avoir accès aux données. La cybersécurité est une priorité du gouvernement du Canada. La mission satellitaire canadienne QEYSSat (pour Quantum Encryption and Science Satellite) aura recours à la technologie quantique pour protéger les télécommunications dans l'espace. L'Agence spatiale canadienne accorde un contrat de 30 millions de dollars à l'entreprise Honeywell pour la conception et toutes les étapes de la réalisation de la mission QEYSSat. Les méthodes de chiffrement actuelles devraient être dépassées d'ici une dizaine d'années à cause de la puissance de traitement exceptionnelle des ordinateurs quantiques. QEYSSat, dont le lancement est prévu pour 2022, fera la démonstration de la technologie de distribution quantique de clés (DQC) par satellite. Cette technologie de chiffrement en émergence offrira au Canadaune méthode encore plus efficace de sécuriser la transmission d'informations. Dans le cadre du contrat, l'entreprise Honeywell sera chargée des activités suivantes liées à QEYSSat : construction, tests, livraison, formation des opérateurs et mise en service. Le satellite servira de lien dans l'espace pour transmettre des clés de chiffrement entre les stations terrestres. Le travail de l'entreprise devrait se poursuivre jusqu'à la fin de 2022. La mission QEYSSat est le point culminant d'une série d'activités de recherche et de développement technologique réalisées par l'Institut d'informatique quantique avec le soutien du gouvernement du Canada. Gr'ce à QEYSSat, le Canada sera de plus en plus près de disposer d'un service de télécommunications quantique opérationnel dans l'espace et d'une technologie de pointe pour l'aider à respecter ses priorités en matière de cybersécurité. Les leçons tirées de la mission QEYSSat serviront au développement de futurs systèmes opérationnels pour le gouvernement qui assureront aux Canadiens un accès très sûr aux services. La sécurité renforcée autour des activités en ligne et des transactions financières de tous les jours, comme au guichet automatique bancaire, figure parmi les applications commerciales visées. En plus de respecter le principe de la sécurité de la Charte canadienne du numérique, cette mission s'inscrit dans le Plan pour l'innovation et les compétences et la nouvelle Stratégie spatiale pour le Canada du gouvernement du Canada puisqu'elle permettra de sécuriser les futures télécommunications et de renforcer la sécurité et la souveraineté nationales. Citation « La mission QEYSSat constitue une autre étape du plan de notre gouvernement de veiller à ce qu'au Canada, les citoyens soient sûrs que leurs données et leurs renseignements personnels sont protégés. Le développement de ces nouvelles technologies offrira aussi un grand potentiel de transformation des marchés et permettra d'établir une économie solide qui profitera à tous. » L'honorable Navdeep Bains, ministre de l'Innovation, des Sciences et du Développement économique En bref Les ordinateurs quantiques seront plusieurs millions de fois plus rapides que les ordinateurs actuels. Ils pourront donc déchiffrer rapidement les mots de passe, les numéros d'identification personnels et les autres mesures de protection actuelles, ce qui accroit la vulnérabilité des renseignements confidentiels et personnels. La technologie actuelle de distribution quantique de clés (DQC) nécessite des c'bles à fibres optiques au sol, où une clé ne peut être distribuée plus loin que 200 kilomètres. QEYSSat vise à démontrer la DQC entre un satellite et un réseau de stations terrestres, ce qui permettrait de surmonter cette limite de distance. En testant et en faisant la démonstration de la DQC dans l'espace, l'Agence spatiale canadienne veut fournir une plateforme spatiale gouvernementale aux intervenants fédéraux et au milieu scientifique canadien. Le budget de 2017 prévoit 80,9 millions de dollars pour l'Agence spatiale canadienne afin de soutenir la réalisation de nouveaux projets et l'utilisation d'innovations canadiennes dans l'espace, comme la mission QEYSSat de chiffrement et de science quantiques. La mission appuiera les capacités émergentes du Canada dans le domaine de la distribution quantique de clés, qui pourrait assurer la sécurité des télécommunications à l'aide de codes de chiffrement impossibles à pirater. La valeur du contrat (30 millions de dollars) ne comprend pas les taxes. https://www.newswire.ca/fr/news-releases/cybersecurite-dans-l-espace-investissement-du-gouvernement-du-canada-dans-la-technologie-quantique-884578930.html

  • Le gouvernement du Canada annonce qu'il soutiendra la création d'un écosystème d'innovation dans le domaine de l'aérospatiale

    17 juin 2019 | Local, Aérospatial

    Le gouvernement du Canada annonce qu'il soutiendra la création d'un écosystème d'innovation dans le domaine de l'aérospatiale

    Innovation, Sciences et Développement économique Canada Gr'ce à l'écosystème, on pourra mener des recherches, accélérer la commercialisation de produits et créer des emplois hautement spécialisés OTTAWA, le 16 juin 2019 /CNW/ - Les multinationales investissent dans les industries canadiennes de l'aérospatiale et de l'espace de calibre mondial parce qu'elles sont reconnues à l'international, axées sur l'exportation et tournées vers l'innovation. La réussite de ces industries est le fruit du talent d'une main-d'œuvre hautement qualifiée et de l'engagement du gouvernement du Canada à continuer d'accroître leur compétitivité. Reconnaissant l'importance d'une étroite collaboration entre les divers acteurs du domaine pour le développement des technologies de demain, le ministre de l'Innovation, des Sciences et du Développement économique, l'honorable Navdeep Bains, a annoncé un investissement qui pourrait atteindre 49 millions de dollars dans l'Association des industries aérospatiales du Canada, au titre du Fonds stratégique pour l'innovation - Écosystèmes nationaux. L'objectif est de rassembler les meilleurs chercheurs, entreprises et ressources de l'industrie de l'aérospatiale pour créer un écosystème national d'innovation dans ce domaine. Cet écosystème permettra de trouver des solutions aux défis technologiques que doit relever l'industrie, d'accélérer la commercialisation de produits nouveaux et améliorés, et de créer davantage d'emplois hautement spécialisés pour les Canadiens. Cette annonce a été faite lors de la visite du ministre Bains au Salon international de l'aéronautique et de l'espace de Paris-Le Bourget 2019, où il dirige une délégation de 420 représentants de plus de 140 entreprises canadiennes de l'aérospatiale. Plusieurs entreprises d'importance seront présentes au Salon, dont Airbus Canada Limited Partnership (anglais), Bell(anglais), Bombardier, CAE, Esterline, Héroux-Devtek, IMP Aerospace (anglais), Mitsubishi Heavy Industries (anglais), Canada Aerospace, Pratt & Whitney Canada, Safran Landing Systems et Viking Air (anglais). Afin de promouvoir le Canada comme destination où investir pour les multinationales, le ministre Bains a rencontré des dirigeants d'entreprises nationales et étrangères de l'aérospatiale et de l'espace. Au cours de ces entretiens, il a pu souligner l'engagement pris par le gouvernement à l'égard de ces industries dans le Plan pour l'innovation et les compétences, une stratégie pluriannuelle visant à créer des emplois bien rémunérés pour la classe moyenne. Citations « Le gouvernement travaille en étroite collaboration avec nos entreprises de calibre mondial, y compris les petites et moyennes entreprises, pour renforcer la position enviable du Canada en tant que chef de file mondial de l'innovation dans les domaines de l'aérospatiale et de l'espace. Gr'ce à la collaboration entre les meilleurs chercheurs et les plus novatrices entreprises du pays visant la réalisation de percées dans le domaine de l'aérospatiale, il y aura davantage d'emplois de qualité pour les Canadiens qui veulent travailler au développement des technologies aérospatiales de l'avenir. - Le ministre de l'Innovation, des Sciences et du Développement économique, l'honorable Navdeep Bains Les faits en bref Le financement annoncé aujourd'hui pour l'Association des industries aérospatiales du Canada est issu du volet 5 du Fonds stratégique pour l'innovation. Ce volet vise à soutenir des initiatives d'envergure qui créeront une collaboration à forte incidence, au profit des Canadiens et des écosystèmes d'innovation canadiens. En 2018, l'industrie de l'aérospatiale a contribué pour plus de 25 milliards de dollars au produit intérieur brut, et a offert de l'emploi à environ 213 000 personnes au sein de l'économie canadienne. Le Canada se classe au premier rang mondial de la production de simulateurs de vols civils, de turbopropulseurs et de moteurs d'hélicoptère. Le Canada est le seul pays figurant au palmarès des cinq meilleurs pays pour tous les sous-segments des simulateurs de vols civils, des moteurs et des aéronefs. Les entreprises du secteur canadien de la fabrication aérospatiale utilisent près de 50 % plus de technologies de pointe et deux fois plus de technologies émergentes clés que la moyenne du secteur de la fabrication. Le 6 mars 2019, le gouvernement du Canada a publié Exploration, imagination, innovation : Une nouvelle stratégie spatiale pour le Canada, sa stratégie spatiale nationale qui met l'accent sur la valeur stratégique de l'espace et de l'exploration spatiale pour le Canada. Premier pays à s'engager à participer à la mission du « Gateway » lunaire dirigée par la NASA, le Canada réalise des investissements considérables pour mettre au point la technologie de satellite de communication en orbite basse, dans le but de brancher les Canadiens, peu importe où ils vivent au pays. https://www.newswire.ca/fr/news-releases/le-gouvernement-du-canada-annonce-qu-il-soutiendra-la-creation-d-un-ecosysteme-d-innovation-dans-le-domaine-de-l-aerospatiale-838896972.html

  • Enjeux de l’aéronautique et de la défense dans le monde: la vision d’Accenture

    17 juin 2019 | Local, Aérospatial

    Enjeux de l’aéronautique et de la défense dans le monde: la vision d’Accenture

    POSTED BY: AEROMORNING « Accelerating through digital turbulence », tel est le titre de l'étude menée par Accenture en 2017, et Jean-Louis Rassineux, directeur exécutif, nous fait partager la vision de sur les enjeux de l'aéronautique et de la défense dans le monde. « Le secteur aéronautique et spatial a connu une croissance extrêmement forte jusqu'en 2014, date où l'on annonçait des prises de commandes record dans les salons, et Accenture souligne une baisse de 50% qui se fait sentir depuis 3 ans au niveau mondial » affirme Jean-Louis Rassineux. L'un des défis majeurs de cette industrie consiste à accroître efficacité et croissance dans un secteur qui évolue lentement avec une baisse des commandes de nouveaux appareils en Europe et en Amérique du Nord, mais aussi avec des climats instables, des risques géopolitiques, et l'aggravation des conditions économiques dans certains pays. L'accroissement des cadences chez les avionneurs pèse aussi sur la production qui doit se réinventer pour être plus compétitive. Au niveau du marché de la défense, Accenture évoque de nouvelles perspectives de croissance avec un budget monde estimé à 400 Milliards de dollars, en augmentation faible sur 5 ans. Toutefois une forte croissance sur ce marché défense est liée aux risques, avec une part croissante sur les drones, une tendance de fond qui se confirme. Bien que le contexte d'évolution soit lent, la défense se porte bien et progresse. En croissance depuis deux ans gr'ce aux succès importants qui se sont succédés, et notamment en France avec le Rafale par exemple, l'enjeu aujourd'hui pour la défense est aussi de remplir les accords de contrepartie qui vont avec les ventes et d'arriver à avoir une chaîne de production qui permette de donner un équilibre à ces contrats, de gérer les questions de compétences dans le pays. L'avènement de la transformation numérique, la clé pour affronter tous les enjeux: Accenture analyse l'avènement de la transformation numérique du secteur aéronautique et spatial comme une tendance lourde pour faire face aux nouveaux enjeux. L'une des clés pour la croissance est d'utiliser des technologies d'analyse de données afin d'améliorer les opérations, la chaîne d'approvisionnement et l'intégration de systèmes afin de proposer des services plus attractifs pour leurs clients. Autre tendance lourde observée, le développement des services. L'aspect service digital est devenu un des leviers de croissance. Pour illustrer cette transformation numérique, dans son enquête menée en 2017, pour 68% des entreprises de l'aéronautique et du spatial des sommes considérables ont été investies dans les technologies du numérique, aussi bien pour l'externe que pour l'interne qu'il s'agisse de fabrication additive, de machine learning, d'applications intelligentes, de réalité augmentée. Déjà à la pointe du mumérique depuis la conception du B777 ou de l'Airbus A350 conçu à l'origine entièrement en CAO sur les logiciels de Dassault Systèmes, les entreprises du secteur Aérospatial et défense vont encore plus loin. Au-delà de cette première étape de transformation numérique l'enjeu majeur est d'appliquer cette transformation numérique déjà initiée sur toute la chaîne de valeur, à partir d'objets connectés. Pour citer un exemple, Accenture et Airbus ont collaboré en « mode start-up » pour développer une application « wearable » de pointe dédiée au secteur de l'aérospatial et de la défense : des lunettes intelligentes qui permettent d'améliorer la précision et de réduire la complexité des procédés d'aménagement des cabines, en réduisant notamment le temps nécessaire pour le marquage des sièges en moins d'un mois.. Opérant à partir d'Instructions contextuelles à propos du marquage, les lunettes connectées affichent toutes les informations nécessaires pour aider l'opérateur à marquer le sol plus rapidement et à éliminer tout risque d'erreur. Cette technologie implémentée par Accenture permet une grande interactivité en offrant un accès à diverses fonctions telles que la lecture de codes à barres, la récupération des données dans le cloud, la commande vocale et la réalité augmentée. Gr'ce à cette innovation technologique, les emplacements des sièges peuvent être marqués au millimètre près, permettant ainsi de vérifier leur précision et leur qualité dans tous les avions. De multiples applications digitales de réalité virtuelle sont ainsi portées sur l'industrialisation, sur le développement du produit. L'enjeu, et on assiste à énormément d'essais, c'est de passer du POC, du pilote, à l'industrialisation en série. C'est en ce sens qu'Accenture développe la stratégie digitale en interne à travers toutes ces opérations de production, de support (finance, RH, achats) et assiste ses clients dans la bonne utilisation du digital de la meilleure façon. Il y a eu beaucoup d'apports à l'industrie gr'ce à la réalité augmentée, avec d'heureux effets sur l'emploi, car elle aide l'aéronautique à avoir une meilleure image, moins ancienne et traditionnelle, apporte un facteur d'attractivité sur les aspects formation, en privilégiant l'interactivité plutôt que les « slides » froids et muets. En somme, selon Accenture, tout l'enjeu est d'arriver à trouver les bons leviers pour permettre en interne d'être compétitif, en externe, d'offrir les meilleurs produits et services. Et le big data dans tout ça ? Dans un avion, on a 1 teraoctet (mille milliard d'octets) de données sur un vol, ce qui équivaut à environ 200 vidéodisques numériques et le traitement des données peut devenir clé pour la maintenance prédictive aéronautique. Le grand enjeu est de savoir comment utiliser ces données en vol, et au sol sans s'y perdre et d'en sortir de la valeur ajoutée en matière de conception, de maintenance, de services et de coûts. Par exemple, imaginer des avions performants qui s'échangent les données de vol, ou tout un tas d'applications qui permettent en temps réel de saisir des trajectoires, d'utiliser des données, d'optimiser des routes, d'économiser du gazoil, etc.... Le data lake est né, pour stocker et restituer de façon intéressante et innovante les données en vue de plus de compétitivité. L'intelligence artificielle améliore les Fonctions du support, offre de nouvelles possibilités en matière financière ou en matière de ressources humaines Big data, et mise en place d'applis intelligentes (machine learning), permettent d'envisager l'intelligence artificielle dans l'industrie aéronautique et de doper la croissance. l'innovation, les universités et les startups : Les entreprises aéronautiques ont compris cette nécessité de se remettre en question. L'innovation est aujourd'hui un levier incontestable et c'est pourquoi en 2017 la connection avec les startups et les universités est devenue centrale dans les stratégies de ces dernières, qui de plus en plus nouent des partenariats pour être à la pointe de la meilleure bonne idée, pour créer les meilleurs produits et services, et puisqu'on est souvent en phase de proof en concept, pour réduire les coûts au cas où le POC ne dépasserait pas la phase pilote. Autant pour la recherche que pour le financement, les alliances réduisent les coûts, agrègent des compétences, et en s'allliant avec des petites startups, les grandes entreprises créent de cette façon un réseau d'intelligence. La solution est de se rapprocher de l'écosystème de l'innovation et de travailler collaborativement. Accenture, acteur du digital, apporte de nombreuses solutions gr'ce à son expertise, à sa philosophie, et non moins important son sens de la responsabilité sociétale, n' oubliant jamais l'humain au centre de ces évolutions. Elle remporte ainsi de nombreux succès, fait d'ailleurs partie des grands partenaires du Gifas depuis plus de 10 ans, est aussi partenaire des plus grands salons mondiaux tels Le Salon du Bourget ou celui de Farnborough. « On vit une période fabuleuse d'opportunités, et Accenture, au cœur de cette révolution est passé de consultant à acteur, partenaire industriel du marché de l'aéronautique et de la défense. Nadia Didelot pour AeroMorning http://www.aeromorning.com/blog/enjeux-de-laeronautique-de-defense-monde-vision-daccenture/

  • exactEarth and MarineTraffic Announce Channel Partner Agreement

    13 juin 2019 | Local, C4ISR

    exactEarth and MarineTraffic Announce Channel Partner Agreement

    CAMBRIDGE, ON and ATHENS, Greece, June 13, 2019 /CNW/ - exactEarth Ltd. ("exactEarth") (XCT:TSX), a leading provider of Satellite-AIS data services, and MarineTraffic, a leading global provider of ship tracking and maritime intelligence, announce that they have entered into a three-year channel partner agreement (the "Agreement"). Under terms of the Agreement, MarineTraffic will deploy exactEarth's exactView RT data into its online maritime services products to help bring real-time, business-critical and actionable vessel information to maritime industry participants. exactView RT consists of 58 operational payloads and seven orbital spares that were designed and built by Harris Corporation and that are hosted onboard the Iridium NEXT constellation of satellites, which is owned and operated by Iridium Communications Inc. exactView RT's advanced maritime payloads cover the entire maritime VHF radio band and leverage the unique cross-linked architecture of the Iridium NEXT satellite constellation to deliver AIS and other vessel-based VHF data services from more than 500,000 vessels, anywhere on the globe, relaying that data securely to customers in real-time. MarineTraffic owns the world's preeminent ship-tracking website, which attracts approximately six million unique visitors per month. The company operates 2,000 AIS stations in more than 165 countries around-the-world, delivering the most comprehensive AIS coastal tracking facility available today. For companies in the maritime sector, MarineTraffic is a preferred tool for fleet management, alert and notification systems, vessel particulars, port statistics and actionable intelligence through API. "MarineTraffic is a leading provider of vessel movement information services and we look forward to contributing to their ongoing efforts to enhance their customer experience," said Peter Mabson, President & CEO of exactEarth. "This Agreement opens-up another channel for our Satellite-AIS data services and is a further positive indication of the response we have received from customers, prospects and partners regarding the real-time functionality of exactView RT. With its superior vessel detection, rapid update rate and reliability, exactView RT is becoming a "must-have" data source on major data platforms throughout the maritime industry." Argyris Stasinakis, Partner Business Development, MarineTraffic said, "The addition of exactEarth's high resolution, real-time AIS data means that MarineTraffic is now the go-to source for any professional seeking the most comprehensive view of shipping movements. Users of our platform exploiting our ocean coverage services will see enhanced functionality thanks to the higher frequency, coverage and less than one-minute latency delivered by the exactView RT satellite constellation. This means that our popular predictive services will be more accurate than ever before, allowing our customers to monitor and plan more precisely." About MarineTraffic With headquarters in Athens and international offices in the UK and Singapore, MarineTraffic is the global ship tracking and maritime intelligence provider. Leveraging AIS technology, MarineTraffic is at the forefront of a movement taking shipping into a new digital era. The company's range of services deliver increased transparency to the shipping markets through the provision of high-quality data for analysis, which supports forecasting and informed decision making. MarineTraffic receives analyses and stores millions of vessel positions every day. This data is collected through the world's most extensive network of AIS stations before being enriched to deliver business-critical information. Current positions and vessel's tracks are displayed on a Live Map, with historical positions, vessel details, port conditions and statistics being made available throughout the website. www.marinetraffic.com About exactEarth Ltd. exactEarth is a leading provider of global maritime vessel data for ship tracking and maritime situational awareness solutions. Since its establishment in 2009, exactEarth has pioneered a powerful new method of maritime surveillance called Satellite-AIS and has delivered to its clients a view of maritime behaviours across all regions of the world's oceans unrestricted by terrestrial limitations. exactEarth has deployed an operational data processing supply chain involving a constellation of satellites, receiving ground stations, patented decoding algorithms and advanced "big data" processing and distribution facilities. This ground-breaking system provides a comprehensive picture of the location of AIS equipped maritime vessels throughout the world and allows exactEarth to deliver data and information services characterized by high performance, reliability, security and simplicity to large international markets. For more information, visit www.exactearth.com Forward-Looking Statements This news release contains statements that, to the extent they are not recitations of historical fact, may constitute "forward-looking statements" within the meaning of applicable Canadian securities laws. Forward-looking statements may include financial and other projections, as well as statements regarding exactEarth's future plans, our ability to continue as a going concern, objectives or economic performance, or the assumptions underlying any of the foregoing, including statements regarding, among other things, expectations of our exactView RT offering relative to competitors, timing of the achievement of real-time global vessel tracking via our second-generation constellation, timing expectations with respect to launch of satellites, expectations of the exactView RT capabilities driving growth, growth opportunities for the Company in the maritime information services market and the cost and revenue share in connection with the Harris Agreement. exactEarth uses words such as "may", "would", "could", "will", "likely", "expect", "anticipate", "believe", "intend", "plan", "forecast", "project", "estimate" and similar expressions to identify forward-looking statements. Any such forward-looking statements are based on assumptions and analyses made by exactEarth in light of its experience and its perception of historical trends, current conditions and expected future developments, as well as other factors exactEarth believes are appropriate under the relevant circumstances. However, whether actual results and developments will conform to exactEarth's expectations and predictions is subject to any number of risks, assumptions and uncertainties. Many factors could cause exactEarth's actual results, historical financial statements, or future events to differ materially from those expressed or implied by the forward-looking statements contained in this news release. These factors include, without limitation: uncertainty in the global economic environment; fluctuations in currency exchange rates; delays in the purchasing decisions of exactEarth's customers; the competition exactEarth faces in its industry and/or marketplace; the further delayed launch of satellites; the reduced scope of significant existing contracts; and the possibility of technical, logistical or planning issues in connection with the deployment of exactEarth's products or services. https://www.newswire.ca/news-releases/exactearth-and-marinetraffic-announce-channel-partner-agreement-865863568.html

  • Harris Corporation Awarded $51 Million Delivery Order to Provide Leading-Edge Tactical Communications Equipment to Central European Nation

    13 juin 2019 | Local, Autre défense

    Harris Corporation Awarded $51 Million Delivery Order to Provide Leading-Edge Tactical Communications Equipment to Central European Nation

    ROCHESTER, N.Y.--(BUSINESS WIRE)--Harris Corporation (NYSE:HRS) has been awarded a $51 million Foreign Military Sales delivery order to provide Falcon III® radios to a Central European nation – delivering advanced narrowband and wideband networking capabilities and offering greater interoperability with U.S. and NATO allies for coalition operations. Under the award, Harris will provide Falcon III® AN/PRC-158, AN/PRC-160, AN/PRC-152A and AN/PRC-117G manpack and handheld radios as part of the country's modernization program. Key radios features include: AN/PRC-158 multi-channel manpack: features a two-channel, software-defined architecture with integrated cross-banding between waveforms, providing new advanced capabilities while maintaining backward interoperability with legacy radios. AN/PRC-160 wideband HF/VHF manpack radio: the only stand-alone solution that, in the absence of satellite communications, provides long-range communications at data speeds up to 10 times greater than any existing high frequency radio. AN/PRC-152A multiband handheld: a wideband networking handheld radio that provides simultaneous voice, video and data in a small form-factor, with mobile ad-hoc networking capabilities. Harris has delivered more than 45,000 AN/PRC-152A radios worldwide. AN/PRC-117G manpack: a combat proven, software-defined radio that is easily upgradeable with new waveforms, such as MUOS; also is NINE Suite B encrypted, allowing users to securely and easily interoperate with U.S., NATO and regional partners. More than 50,000 AN/PRC-117G radios have been delivered to customers around the world. “Our customer requires advanced, highly secure communication networks that provide interoperability with their NATO partners,” said Christopher Aebli, vice president and general manager, International Tactical Communications. “These modern, software defined radios meet our customer's current requirements and are upgradeable to address future evolving needs.” About Harris Corporation Harris Corporation is a leading technology innovator, solving customers' toughest mission-critical challenges by providing solutions that connect, inform and protect. Harris supports government and commercial customers in more than 100 countries and has approximately $6 billion in annual revenue. The company is organized into three business segments: Communication Systems, Electronic Systems and Space and Intelligence Systems. Learn more at harris.com. Forward-Looking Statements This press release contains forward-looking statements that reflect management's current expectations, assumptions and estimates of future performance and economic conditions. Such statements are made in reliance upon the safe harbor provisions of Section 27A of the Securities Act of 1933 and Section 21E of the Securities Exchange Act of 1934. The company cautions investors that any forward-looking statements are subject to risks and uncertainties that may cause actual results and future trends to differ materially from those matters expressed in or implied by such forward-looking statements. Statements about the value or expected value of orders, contracts or programs and about technology capabilities are forward-looking and involve risks and uncertainties. Harris disclaims any intention or obligation to update or revise any forward-looking statements, whether as a result of new information, future events, or otherwise. https://www.businesswire.com/news/home/20190612005516/en/

  • Radarsat Constellation to track ships, provide surveillance over Arctic and other regions - satellites successfully launched

    13 juin 2019 | Local, Autre défense

    Radarsat Constellation to track ships, provide surveillance over Arctic and other regions - satellites successfully launched

    DAVID PUGLIESE Canada's RADARSAT Constellation Mission was launched successfully into space aboard a SpaceX Falcon 9 rocket this morning from Vandenberg Air Force Base in California. The constellation of three satellites will provide daily images of Canada's territory and maritime approaches, as well as images of the Arctic, up to four times a day, according to the Canadian Space Agency. It will have daily access to 90 per cent of the world's surface. The RCM is also equipped with an Automatic Identification System (AIS), allowing improved detection and tracking of ships, including those conducting illegal fishing, the CSA noted. The constellation will orbit Earth at an altitude of 600 km. Each of the satellites has a life expectancy of 7 years. The Canadian government owns and will operate the satellites. The three spacecraft were assembled in the Montreal area by the prime contractor MDA. https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/radarsat-constellation-to-track-ships-provide-surveillance-over-arctic-and-other-regions

  • Canada should think again about having the ability to use offensive cyber weapons: Expert

    13 juin 2019 | Local, Sécurité, Autre défense

    Canada should think again about having the ability to use offensive cyber weapons: Expert

    Howard Solomon Canada's electronic spy agency will soon get new authority to launch cyber attacks if the government approves legislation that is in the final stages of being debated. There's a good chance it will be proclaimed before the October federal election. But a discussion paper issued Wednesday by the Canadian Global Affairs Institute says Canadians need to debate the pros and cons of using this new power. “This direction not only opens up new possibilities for Canadian defence, it could also represent significant new risks,” says the report. “Without good answers to the difficult questions this new direction could raise, the country could be headed down a very precarious path.” Among the possible problems: Cyber retaliation. Another: While Canada might try to target a cyber attack, the impact might be bigger than expected — in fact, it might boomerang and smack us back. Third is the lack of international agreement on the use of cyber weapons (although this is a double-edged sword: Without an agreement there are no formal limits on what any country is forbidden from doing in cyberspace). “To move forward at this point to implement or even formally endorse a strategy of cyber attack would be risky and premature,” concludes the report's author, computer science professor Ken Barker, who also heads the University of Calgary's Institute for Security, Privacy and Information Assurance. “There are challenging technical controls that must be put in place as well as a critical international discussion on how cyber weaponry fits within the rules of war.” Barker's paper is in response to the 2017 strategy setting out Defence Department goals, where the possibility of Canada having a cyber attack capability first raised. It wasn't written with Bill C-59 in mind — now in its final stage before Parliament — which actually gives Canada's electronic spy agency, the Communications Security Establishment (CSE), the power to use what's called “active” as well as defensive cyber operations. In an interview Tuesday, Barker said “in the desire to push this thing they need to have more carefully thought about the questions I raise in this paper.” “Maybe it's late, but at least it's available.” He dismisses the argument that by announcing it has an offensive cyber capability Canada will cause other countries to think twice about attacking us with cyber weapons. “They would attempt to find out what Canada is doing to create cyber attack capabilities,” he argued. “One of the risks once we do endorse this,” he added, “is we open ourselves up to other countries to using Canada as a launching pad for cyber attacks to cover up their involvement, and [then] say ‘That was done by Canada.'” Nation states are already active in cyberspace. Ottawa has blamed China for the 2014 hack of the National Research Council, Washington suspects China was behind the massive hack of employee files at the Office of Personnel Management, and there is strong evidence that Russia mounted a sophisticated social media attack against the U.S. during the 2016 federal election. According to the Australian Strategic Policy Institute, The U.S. the U.K. and Australia say they have used offensive cyber operations against the Islamic State. The U.S.-based Council on Foreign Relations notes that Germany increased its offensive cyber capability after a 2016 attack on the country's legislature blamed on Russia. Last year the New York Times reported the U.S. Cyber Command has been empowered to be more offensive. Meanwhile in April the CSE warned it's “very likely” there will be some form of foreign cyber interference during the run-up to October's federal election here, The most commonly-cited interference in a country were two cyber attacks that knocked out electrical power in Ukraine — in December 2015 and again in December 2016 — largely believed to have been launched from Russia. All this is why some experts say Canada has to have an offensive cyber capability to at least keep up. In January, Ray Boisvert, former assistant director of the Canadian Security Intelligence Service (CSIS), told a parliamentary committee that “the best defence always begins with a good offense ... “When more than five dozen countries are rumoured to be developing active cyber capabilities, in my view that means we must develop capabilities to respond and in some cases that includes outside our borders.” Background In 2017 the Trudeau government announced a new defence strategy that included the promise of “conducting active cyber operations against potential adversaries in the context of government-authorized military missions.” The same year the government introduced Bill C-59, which in part would give the CSE, which is responsible for securing government networks, the ability to take action online to defend Canadian networks and proactively stop cyber threats before they reach systems here. This would be done as part of new legislation governing the CSE called the Communications Security Act. That act would give CSE the ability to conduct defensive and “active” cyber operations. Active operations are defined as anything that could “degrade, disrupt, influence, respond to or interfere with the capabilities, intentions or activities of a foreign individual, state, organization or terrorist group as they relate to international affairs, defence or security.” Both defensive and active cyber operations can't be used against any portion of the global information infrastructure within this country. And they have to be approved by the Minister of Defence. C-59 has been passed by the House of Commons and slightly amended by the Senate. It was scheduled back in the House last night to debate the Senate amendments. Despite all the cyber incidents blamed on nation states, Barker is reluctant to say we're in an era of low-level cyber war right now. Many incidents can be characterized as cyber espionage and not trying cause harm to another state, he argues. https://www.itworldcanada.com/article/canada-should-think-again-about-having-the-ability-to-use-offensive-cyber-weapons-expert/418912

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