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  • GDMS-Canada & Laflamme Aero Showcase Unmanned Helicopter at CANSEC 2019

    31 mai 2019 | Local, Aérospatial

    GDMS-Canada & Laflamme Aero Showcase Unmanned Helicopter at CANSEC 2019

    General Dynamics Mission Systems–Canada will showcase Laflamme Aero's LX300 Customizable Unmanned Helicopter – a Canadian-built, multi-mission and multi-role unmanned helicopter that can perform missions over land and sea – at CANSEC 2019. General Dynamics recently signed a co-operation agreement with Laflamme Aero to promote the LX300 for defence and security opportunities in Canada and internationally. The agreement will also support advances in manned-unmanned operations, autonomy, network security and human-machine collaboration in common mission management systems. “Navies and Coast Guards around the globe are seeking alternate options to manned platforms for multi-mission roles such as maritime patrol and intelligence, surveillance, and reconnaissance,” said David Ibbetson, vice president and general manager of General Dynamics Mission Systems–International. “Through this co-operation agreement with Laflamme Aero, we are pleased to move the needle on defence innovation in the process.” The LX300 is designed and built to meet helicopter certifications and standards. Its advanced tandem-rotor technology and the ability to carry 90kgs of payload will allow for sustained operations in multiple mission types. It also features aeronautical grade composite materials for blades and airframe and eliminates vibration at its source using advanced rotor technology. “The strength of this agreement lies in the complementarity of our two companies,” said Enrick Laflamme, president of Laflamme Aero. “Our helicopter, designed with aerospace standards in mind and incorporating innovative technologies, integrates seamlessly with the advanced and integrated solutions of General Dynamics to provide the best solution for the security and defence industry." http://www.canadiandefencereview.com/news?news/2678

  • Boeing surprised Canada changed rules of jet competition to allow Lockheed Martin bid

    31 mai 2019 | Local, Aérospatial

    Boeing surprised Canada changed rules of jet competition to allow Lockheed Martin bid

    David Ljunggren OTTAWA (Reuters) - Boeing Co is surprised Canada softened the rules of a competition for new fighters to allow Lockheed Martin Corp to submit a bid, but is still confident it has a chance, a top executive said on Wednesday. Following a U.S. complaint, Ottawa this month said it planned to drop a clause stipulating that bidders in the multibillion dollar race to supply 88 jets must offer a legally binding guarantee to give Canadian businesses 100% of the value of the deal in economic benefits. The original clause would have excluded Lockheed Martin's F-35 fighter, the plane the Canadian air force wants. The contract is worth between C$15 billion and C$19 billion ($11.1 billion to $14.1 billion). “I was surprised by the recommended change ... why would you deviate from a policy that's been so successful to accommodate a competitor?” said Jim Barnes, the Boeing official in charge of trying to sell the company's F-18 Super Hornet jet to Canada. The change in the rules around economic benefits was the latest wrinkle in a decade-long troubled-plagued effort to replace Canada's CF-18 jets, some of which are 40 years old. The final list of requirements for the new fleet of jets is due to be issued in July. “Right now we feel like we can put a very compelling offer on the table even with this change,” Barnes told reporters on the margins of a defense and security conference in Ottawa. Innovation Minister Navdeep Bains - in overall charge of the benefits aspect of procurement - said in response to Barnes's comment that Ottawa would ensure the competition was fair. Compelling bidders to offer watertight guarantees of economic benefits contradicts rules of the consortium that developed the F-35, a group to which Canada belongs. Boeing is offering a binding commitment and Barnes said the firm would stress to Canadian officials the potential economic disadvantages of entertaining a non-binding bid. An official from Sweden's Saab AB, another contender, told reporters that Canadians could lose out by ignoring contenders that had made firm investment commitments. “I am concerned that the ability to respond to a non-binding environment may not necessarily give Canadians the best value at the end of the day,” said Patrick Palmer, head of sales and marketing for Saab Canada. Airbus SE, the fourth firm in the race, declined to comment. Reporting by David Ljunggren; Editing by Susan Thomas https://www.reuters.com/article/us-canada-fighterjets/boeing-surprised-canada-changed-rules-of-jet-competition-to-allow-lockheed-martin-bid-idUSKCN1SZ2AA

  • Renouveler la flotte de la Garde côtière canadienne et offrir d'importants services à la population canadienne

    23 mai 2019 | Local, Naval

    Renouveler la flotte de la Garde côtière canadienne et offrir d'importants services à la population canadienne

    QUÉBEC, le 22 mai 2019 /CNW/ - Toute la population du pays compte sur la Garde côtière canadienne pour protéger les équipages et notre environnement, et pour assurer le mouvement sécuritaire et efficace des navires qui contribuent grandement à la prospérité de notre économie. Après l'annonce faite par le premier ministre Justin Trudeau plus tôt aujourd'hui, l'honorable Jean-Yves Duclos, ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social et député de la circonscription de Québec, s'est rendu sur le quai de la Reine, à Québec, pour parler des futurs investissements du gouvernement du Canada en vue de renouveler la flotte de la Garde côtière canadienne, et de faire construire jusqu'à 18 nouveaux grands navires dans des chantiers navals canadiens. Gr'ce à ces nouveaux b'timents, la Garde côtière pourra continuer d'offrir aux Canadiens et aux Canadiennes des services de première importance. Les partenaires du Canada retenus dans le cadre de la Stratégie nationale de construction navale (SNCN), Irving Shipbuilding d'Halifax (Nouvelle-Écosse) et Vancouver Shipyards de Seaspan (Colombie-Britannique), construiront les nouveaux navires. Irving Shipbuilding d'Halifax construira deux nouveaux navires de patrouille extracôtiers et de l'Arctique, qui seront adaptés aux besoins de la Garde côtière pour accomplir une panoplie de missions essentielles, y compris les patrouilles de l'Organisation des pêches de l'Atlantique Nord-Ouest. Vancouver Shipyards de Seaspan construira jusqu'à concurrence de 16 navires polyvalents devant servir à diverses missions, dont les services de brise-glace léger, d'intervention environnementale et de recherche et sauvetage en haute mer. De plus, le gouvernement du Canada investira dans la prolongation de vie, le radoub et l'entretien de navires, des travaux qui seront confiés à des chantiers navals partout au Canada, y compris au Québec. Ainsi, la flotte de la Garde côtière actuelle pourra continuer d'assurer les services essentiels de recherche et sauvetage et d'intervention environnementale pendant que les nouveaux navires seront en construction. Malgré les sommes investies pour entretenir les navires de la Garde côtière, ceux-ci en arriveront néanmoins à la fin de leur vie utile, et il faudra d'autres navires pour renouveler comme il se doit la flotte de la Garde côtière. Afin de répondre aux futurs besoins en construction navale, d'attirer des personnes talentueuses et d'offrir de bons emplois dans diverses collectivités, le gouvernement du Canada ajoutera un troisième chantier naval canadien, à titre de partenaire dans le cadre de la SNCN. Le gouvernement du Canada mettra en œuvre un processus concurrentiel pour sélectionner ce troisième chantier dans les prochains mois. Citations « La Garde côtière canadienne sauve des vies en mer, assure la sécurité du transport maritime, soutient une économie autrement paralysée par les emb'cles, protège l'environnement marin et appuie la souveraineté et la sécurité du Canada. Étant donné la croissance du commerce maritime et les changements climatiques dont nous ressentons déjà les effets, la demande pour les services de la Garde côtière canadienne continuera de croître. Le renouvellement de la flotte de la Garde côtière garantit la confiance des Canadiens et des secteurs qui comptent sur les services de la Garde côtière pour demeurer concurrentiels. » L'honorable Jonathan Wilkinson Ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne « La Stratégie nationale de construction navale est la bonne approche à adopter pour garantir le soutien de la Garde côtière, de la Marine et des activités maritimes au moyen de navires modernes. En plus d'assurer une adaptation pour répondre aux besoins changeants du gouvernement fédéral en matière de construction navale, la Stratégie permet de créer des emplois, de générer des avantages et de la prospérité pour les collectivités de tout le Canada, ainsi que d'appuyer un secteur maritime durable. Nous demeurons fermement résolus à suivre la Stratégie et, pour en assurer le succès à l'avenir, nous poursuivrons notre étroite collaboration avec nos partenaires de construction navale. » L'honorable Carla Qualtrough Ministre des Services publics et de l'Approvisionnement et de l'Accessibilité « La Garde côtière canadienne offre des services essentiels en assurant la sécurité de la navigation dans nos cours d'eau, notamment le fleuve Saint-Laurent et le fjord du Saguenay. L'annonce d'aujourd'hui est particulièrement importante, car le gouvernement reconnait que nous devons ajouter un troisième chantier à la Stratégie nationale de construction navale. Il s'agit d'un changement majeur qui permettra au Chantier Davie de participer au processus pour sélectionner ce troisième chantier dans les prochains mois. De plus, l'annonce de 2 milliards de dollars pour la prolongation de vie, le radoub et l'entretien de navires est une excellente nouvelle pour les chantiers navals du Québec, qui pourront obtenir de nombreux contrats. » L'honorable Jean-Yves Duclos Ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social Les faits en bref La Garde côtière canadienne fournit des services essentiels de recherche et sauvetage, d'intervention environnementale et de déglaçage dans la région du Centre et de l'Arctique, avec plus de 1 400 employés et une flotte de 18 navires et 6 hélicoptères. Les centres de commandement en recherche et sauvetage dans la région du Centre et de l'Arctique (secteurs du Saint‑Laurent et des Grands Lacs) reçoivent plus de 5 600 appels par année. En 2018, le Programme d'intervention environnementale du Centre et de l'Arctique de la Garde côtière a reçu 1 370 rapports de pollution, principalement des cas de pollution par un navire. La Garde côtière canadienne supervise également les opérations de déglaçage en hiver le long du fleuve Saint‑Laurent et dans le golfe du Saint-Laurent. Au printemps, la Garde côtière aide à dégager les glaces sur la voie maritime entre Montréal et les Grands Lacs, une opération qui permet aux navires commerciaux d'entrer et de sortir des ports de façon sécuritaire et efficace. Son aéroglisseur aide au déglaçage printanier d'une quinzaine de rivières, principalement au Québec. Le coût total des 18 nouveaux grands navires est de 15,7 milliards de dollars, ce qui correspond à l'estimation préliminaire des budgets de projets, y compris les coûts de construction, de logistique et de soutien, des éventualités, de gestion de projet et d'infrastructure. Le coût de chacun des navires sera annoncé une fois que les contrats auront été négociés. De surcroît, le gouvernement procédera, par l'entremise d'un processus concurrentiel, à la conception d'une nouvelle classe de navires plus petits, le navire semi-hauturier polyvalent, qui sera un complément à la flotte de grands navires, car il servirait à des missions en eau peu profonde et à des activités scientifiques semi-hauturières. Des travaux de réparation, de radoub et de prolongation de la durée de vie des navires seront effectués sur la flotte existante jusqu'à ce que les nouveaux navires soient livrés, et plus de 2 milliards de dollars seront investis sur une base concurrentielle à cette fin. Outre le financement destiné à la construction de navires, le gouvernement du Canada consacre 351,3 millions de dollars pour renforcer, sur une base permanente, les capacités de la Garde côtière canadienne, notamment en améliorant la supervision de la gestion et en faisant la promotion de l'innovation écologique. À ce jour, le gouvernement du Canada a conclu des contrats de plus de 11 milliards de dollars dans le cadre de la SNCN dans l'ensemble du pays. De cette somme, environ 1,6 milliard de dollars, ou 16 %, ont été versés à des entreprises au Québec. https://www.newswire.ca/fr/news-releases/renouveler-la-flotte-de-la-garde-cotiere-canadienne-et-offrir-d-importants-services-a-la-population-canadienne-870410190.html

  • Federal government to buy two more Arctic ships from Irving to prevent layoffs

    22 mai 2019 | Local, Naval

    Federal government to buy two more Arctic ships from Irving to prevent layoffs

    By Lee Berthiaume, The Canadian Press OTTAWA — Prime Minister Justin Trudeau is expected to announce Wednesday that the federal government is buying two more Arctic patrol ships on the top of the six it has already ordered from Halifax-based Irving Shipbuilding. However, unlike the first six ships, which are being built for the navy at a total cost of $3.5 billion, a government source said the seventh and eighth will be built for the Canadian Coast Guard. The source, who was not authorized to comment publicly, said the move is intended to address the Canadian Coast Guard's desperate need for new ships. Documents obtained by The Canadian Press earlier this year warned that more than a third of the coast guard's 26 large vessels have exceeded their expected lifespans — and many won't survive until replacements arrive. And that advanced age is already affecting the coast guard's ability to do its job, including reduced search-and-rescue coverage, ferry-service disruptions and cancelled resupply runs to Arctic and coastal communities. The second problem is the threat of layoffs, which Irving has long warned will happen unless the government fills a gap between when the last Arctic patrol ship is finished and construction on the navy's new $60-billion warship fleet, the source said. The government sought to address that gap in November when it ordered the sixth Arctic patrol vessel for the navy from Irving and agreed to pay the shipyard to slow production for a total cost of $800 million. Government officials at the time defended the high cost of that move, saying a third-party assessment commissioned by the government, which has never been made public, indicated it would cost even more to allow a gap to persist. "Ultimately what happens is the workforce gets laid off, you rehire people, it's not the same people so you're retraining, and then you have this learning curve," Patrick Finn, the Defence Department's head of procurement, said in January. "From some of the data we've run, doing what we've done, if we don't do it, we're probably going to pay that much money anyways in inefficiencies and get nothing for it. So the analysis shows that this is really a prudent way forward." Even then, federal bureaucrats and Irving both warned more would need to be done as even with those measures, there was still the threat of an 18- to 24-month gap between construction of the two fleets. Lee Berthiaume, The Canadian Press https://www.nationalnewswatch.com/2019/05/21/federal-government-to-buy-two-more-arctic-ships-from-irving-to-prevent-layoffs-2/#.XOVcKshKiUm

  • Gentec pourra accroître sa productivité et poursuivre son expansion

    22 mai 2019 | Local, C4ISR

    Gentec pourra accroître sa productivité et poursuivre son expansion

    Gentec inc. est une PME technologique spécialisée dans le domaine de l'électronique de haute puissance et en gestion de l'énergie électrique. Pour mieux poursuivre ses activités, elle bénéficiera d'une contribution remboursable de 500 000 dollars de Développement économique Canada pour les régions du Québec. Gr'ce à cette aide financière, Gentec pourra réaliser un projet d'expansion pour augmenter sa productivité et moderniser ses opérations en faisant l'acquisition d'équipements à la fine pointe de la technologie. Ce financement a été annoncé aujourd'hui par Joël Lightbound député de Louis-Hébert et secrétaire parlementaire du ministre des Finances. L'aide du gouvernement du Canada permettra plus spécifiquement de soutenir la croissance de Gentec et de l'appuyer dans son projet d'acquisition et d'installation d'équipements requis pour l'assemblage de composants électroniques sur des circuits imprimés. Fondée en 1959, Gentec inc. est spécialisée dans la conception, la fabrication et la commercialisation de solutions et produits sur mesure. Une équipe d'environ 70 employés est dédiée à la fabrication et à l'assemblage de produits électroniques et électriques. Son service d'assemblage de circuits électroniques est également offert en sous-traitance à un grand nombre d'entreprises. Au total, Gentec emploie près de 130 personnes. Elle prévoit que le projet actuel entraînera la création de 5 emplois et des investissements totaux de plus de 1,3 million de dollars. Le gouvernement du Canada est résolu à soutenir les entreprises canadiennes innovantes. Véritable moteur économique, l'innovation est la clé du succès puisqu'elle génère la croissance dont profitent les entreprises et les collectivités. C'est pourquoi nous nous assurons que les entreprises puissent compter sur des ressources adéquates pour créer des produits novateurs et les commercialiser. https://www.canada.ca/fr/developpement-economique-regions-quebec/nouvelles/2019/05/gentec-pourra-accroitre-sa-productivite-et-poursuivre-son-expansion.html

  • C2MI ET VARITRON INAUGURENT LE PREMIER CENTRE DE FABRICATION DE POINTE AU CANADA CONSACRÉ À L’ASSEMBLAGE DE CARTES ÉLECTRONIQUES ET À L’ÉLECTRONIQUE IMPRIMÉE

    22 mai 2019 | Local, Autre défense

    C2MI ET VARITRON INAUGURENT LE PREMIER CENTRE DE FABRICATION DE POINTE AU CANADA CONSACRÉ À L’ASSEMBLAGE DE CARTES ÉLECTRONIQUES ET À L’ÉLECTRONIQUE IMPRIMÉE

    C2MI et Varitron inaugurent le premier centre de fabrication de pointe au Canada consacré à l'assemblage de cartes électroniques et à l'électronique imprimée Bromont et Saint-Hubert (Québec), 17 mai 2019 – C2MI etVaritron sont fières d'annoncer officiellement l'ouverture du premier centre de fabrication de pointe au Canada consacré entièrement à l'assemblage de cartes électroniques et à l'électronique imprimée. Établi dans le centre de recherche de C2MI à Bromont, le centre de fabrication de pointe sera doté des équipements à la fine pointe utilisés dans les domaines de l'électronique imprimée, de l'assemblage de circuits, de la nanoprotection et des techniques de refroidissement avancées ainsi que d'une chaîne d'approvisionnement intégrée qui permettra une fabrication à grande échelle. Cette annonce a été faite dans le cadre du CPES2019, le plus important congrès canadien sur l'électronique imprimable, flexible et hybride, organisé par intelliFLEX à Bromont les 16 et 17 mai derniers. Des installations uniques pour accélérer le développement des technologies émergentes L'objectif de ces nouvelles installations est de veiller à ce que des entreprises de tous les segments de marché demeurent des fournisseurs de premier plan par leurs capacités à offrir de nouveaux produits, de nouvelles possibilités et de nouvelles applications, restant ainsi à l'avant-garde du processus de l'offre et de la demande. Des équipes hautement qualifiées composées d'experts et de scientifiques chevronnés provenant de l'industrie et du milieu universitaire aideront les entreprises dans leur développement de produits et leur processus de conception, tout en continuant de se concentrer sur des cibles de production à grande échelle pour les diverses solutions qu'elles proposent. Les entreprises pourront avoir accès à des services à la carte ou proposer des technologies qui n'ont pas encore été testées ou développées en utilisant un éventail de services allant de la conception à la commercialisation. La Politique des retombées industrielles et technologiques (RIT) est un incitatif significatif pour les entreprises étrangères qui choisiront d'utiliser les services du centre de fabrication de pointe puisque cette politique exige que les entreprises à qui l'on octroie des contrats dans le domaine de la défense exercent leurs activités au Canada. Le projet du centre de fabrication de pointe, qui représente un investissement total de 6,5 M$, a pu être réalisé gr'ce à la collaboration scientifique de l'Université de Sherbrooke et de Varitron, ainsi qu'au financement du Ministère de l'Économie et de l'Innovation du Québec de l'ordre de 3 M$, du C2MI pour 2,1 M$ ainsi qu'aux fournisseurs d'équipement qui ont contribué jusqu'à 1,4 M$ en capacités à valeur ajoutée. « Le centre de fabrication de pointe jouera un rôle déterminant pour que les entreprises canadiennes demeurent en tête de peloton de la concurrence en accélérant le développement de solutions et de produits novateurs afin que ces derniers soient commercialisés plus rapidement. En tant que centre de recherche et de développement, l'un de nos objectifs principaux est de veiller à ce que nos installations soient dotées d'équipements qui assureront la compétitivité de nos clients et de nos membres, peu importe le secteur industriel dans lequel ils évoluent », a indiqué Normand Bourbonnais, chef de la direction de C2MI. « Ce centre de fabrication de pointe est une étape importance pour s'assurer que l'écosystème d'innovations a accès à des installations et des équipements de pointe et à la plus récente expertise scientifique pour accélérer son développement technologique », a dit Michel Farley, président et chef de la direction de Varitron. « Après plus de quatre ans de planification et de peaufinage, Varitron est fière de voir ce projet se concrétiser. » http://www.c2mi.ca/communique-de-presse/c2mi-et-varitron-inaugurent-le-premier-centre-de-fabrication-de-pointe-au-canada-consacre-a-lassemblage-de-cartes-electroniques-et-a-lelectronique-imprimee/

  • Mobilisation des idées nouvelles en maitère de défense et de sécurité

    22 mai 2019 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité, Autre défense

    Mobilisation des idées nouvelles en maitère de défense et de sécurité

    Orientation de la politique Protection, Sécurité, Engagement La politique de défense Protection, Sécurité, Engagement, tient compte du fait que la collaboration avec des représentants du milieu universitaire et d'autres experts renforce les fondements du processus décisionnel fondé sur des preuves. A cette fin, cette politique fournit une directive en vue d'augmenter l'investissement annuel pour financer un programme de coopération de la Défense remanié et élargi. Le programme Mobilisation des idées nouvelles en matière de défense et de sécurité (MINDS) répond à cet appel. S'inspirer de la réussite Le programme MINDS s'inspire de la réussite du Programme de coopération de la Défense (PCD), tout en élargissant judicieusement le programme de manière à obtenir non seulement des résultats plus importants, mais de meilleurs résultats. Les consultations sont au centre de ces efforts de renouvellement. Elles ont débuté dans le cadre de l'examen de la politique de défense et se poursuivent gr'ce à un dialogue continu avec des experts à l'échelle du pays. Le PCD a aidé de façon efficace l'Équipe de la Défense à obtenir des conseils externes par l'entremise de sa série de conférences d'experts et de son programme de subventions de coopération ciblées. Ces éléments du programme qui se sont avérés être un succès se poursuivront. Nouvelle méthode en matière de mobilisation externe Étant une version élargie du PCD, MINDS offre un programme qui : répond aux besoins en matière de conseils pertinents et opportuns de la part des experts de la défense et de la sécurité; favorise le développement de la prochaine génération d'experts et de savants; aide la population canadienne à mieux comprendre les enjeux en matière défense et de sécurité. Le programme MINDS offre toutefois de plus grandes possibilités de collaboration entre l'Équipe de la Défense et la communauté de spécialistes de la sécurité et de la défense. Ce programme comprend les cinq principales catégories suivantes : Série de conférence d'experts, Subventions de coopération ciblées, Réseaux de collaboration, Bourses d'études et Mécanisme d'intervention rapide. Chacune de ces catégories propose différentes façons pour le ministère de la Défense nationale et les Forces armées canadiennes d'accéder rapidement à de l'expertise pertinente qui intègre divers points de vue et fournit des conseils éclairés. Ce programme vise à refléter les principales priorités du gouvernement du Canada dans le travail qu'il accomplit, veillant à ce que l'analyse comparative entre les sexes plus (ACS+) soit intégrée et appuyant la réconciliation avec les Autochtones et les activités de mobilisation des jeunes. Collaboration de l'Équipe de la Défense Le programme MINDS est différent du programme Innovation pour la défense, l'excellence et la sécurité (IDEeS), mais complémentaire à celui ci, utilisant diverses approches pour relever les défis en matière de défense et de sécurité. Le programme IDEeS propose des solutions cruciales aux défis relatifs à la technologie et aux capacités appliquées, tandis que MINDS est axé sur une réflexion stratégique et sur la production de connaissances dans le domaine des politiques publiques. Ensemble, MINDS et IDEeS stimulent l'innovation et contribuent à relever les défis en matière de défense. La politique de défense Protection, Sécurité, Engagement, propose des mesures concrètes pour améliorer la capacité de l'Équipe de la Défense d'anticiper et de comprendre les menaces, les défis et les possibilités. Pour atteindre cet objectif, il est essentiel de faire appel à l'expertise de la communauté canadienne d'experts en matière de défense et de sécurité par l'intermédiaire du programme MINDS. https://www.canada.ca/fr/ministere-defense-nationale/programmes/minds.html

  • Defence Investment: Strong, Secure and Engaged

    22 mai 2019 | Local, Aérospatial

    Defence Investment: Strong, Secure and Engaged

    By Jon Robinson What the RCAF gains in Canada's 20-year Defence plan A few straightforward statistics – among mountains of convincing data available to be pulled – describe Canada's need for its historically aggressive Strong, Secure, Engaged policy first introduced in mid-2017 for the Canadian Armed Forces. This includes the pending, marque procurement of a new-generational fighter fleet, given the age of Canada's current CF-188 Hornets first procured in 1983. What's more, the Canadian Armed Forces (CAF) pegs its responsibility as covering an area greater than 15 million square kilometres. Statistics from the Department of National Defence (DND) indicate approximately 600,000 aircraft enter and exit Canadian air-space annually, among some 4.3 million total flights, including 90,000 transpolar flights. There are 800,000 ship movements annually within Canadian waters, according to DND, and more than 8,000 search-and-rescue call outs per year. At the Canadian Aerospace Summit held in Ottawa in mid-November 2018, Brigadier-General Michel Lalumière shared these statistics on the opening slide of his presentation to members of the Aerospace Industries Association of Canada, along with succinct words about the importance of the Royal Canadian Air Force (RCAF): Canada's defence and security depends on air power – Geography determines; history proves it. From search and rescue (SAR) missions and disaster response to NORAD cooperation and NATO commitments, the RCAF in terms of spending allocation will be the biggest benefactor of Strong, Secure, Engaged (SSE) among all branches of the CAF. SSE is built on a 20-year horizon to meet more than 200 CAF objectives, but it is being driven by a significant, initial 10-year increase in defence cash spending from $18.9 billion in 2016/17 to $32.7 billion in 2026/27 – an increase of more than 70 per cent. The government of Canada's total defence spending over the next 20 years is projected to reach $553 billion on a cash basis. By 2024/25, defence spending in Canada will grow to 1.4 per cent of GDP, while the expenditure on major equipment will also reach 32 per cent, exceeding the NATO target of 20 per cent. These near-term projections are largely based on the timeline of CAF's Future Fighter Capability Project, targetting a commitment to acquire 88 advanced fighter aircraft with first deliveries anticipated in 2025. SSE is now organized under the government's Defence Investment Plan, which was made public for the very first time in late May 2018 by Defence Minister Harjit Sajjan. For continued transparency, the Investment Plan will be refreshed annually and approved by the Treasury Board every three years. RCAF investments The 20-year plan for the RCAF with new investments alone will reach $46.5 billion, which accounts for 49.4 per cent of the CAF's total spend of $93.9 on capital projects. This will be focused on what is described as 52 critical equipment, infrastructure and information technology projects. There are some discrepancies in the numbers with SSE being introduced in 2017 and the Investment Plan launching in 2018. The latter document pegs total spending on capital projects at around $107.9 billion, when also including services and goods, with $47.2 billion earmarked for the RCAF. The increase in capital project spending outlined in SSE is attracting the attention of domestic and international suppliers from every facet of aviation and aerospace; largely because the policy moves well beyond the Future Fighter program to touch on 16 other large projects, including: Acquiring space capabilities to improve situational awareness and targeting; integrating new command and communications systems; replacing air-to-air tanker transport, utility transport and multi-mission aircraft fleets; investing in medium-altitude remotely piloted systems; modernizing air-to-air missile capabilities; upgrading air navigation, management and control systems; acquiring new aircrew training systems; recapitalizing existing capabilities until the arrival of next-generation platforms; sustaining domestic SAR capabilities; and operationalizing the CAF's new fixed-wing SAR fleet. The majority of SSE spending on capital projects, when categorized by asset class under the Investment Plan, is earmarked for equipment, accounting for approximately $76.9 billion, followed by what the government labels as “other” at $14.1 billion; IM/IT at $12.1 billion; and infrastructure at $4.9 billion. As BGen Lalumière explains, the scope of SSE has developed a need for expansive Request for Proposals, including the first draft sent out in October 2018 for the Future Fighter program, inviting Boeing, Dassault, Eurofighter Jagdflugzeug GmbH, Lockheed and Saab to participate in the process. The formal RFP for Canada's Future Fighter program is expected to be released this spring, with a contract then awarded in 2021/22. “You need to fully understand the size of the challenge... by and large our geography can be described as four and a half time zones, or six and a half time zones depending how far out to sea, including the economic exclusive zones we care deeply about. We are 45 degrees of latitude north to south,” explains Lalumière. “When you are in defence you do not wait for what is fast and easy to come at your border. Of course, we look much further than this and [therefore] we are quickly interested in a quarter of the planet at all times.” In February 2019, the RCAF took delivery of two Australian F/A-18A Hornets, at 4 Wing Cold Lake, Alberta, as part of an interim measure until Canada's new fighter fleet is secured and delivered. Canada initially planned to buy 18 new Boeing Super Hornets, but scrapped that plan in late-2017 in favour of 18 Australian F-18 Hornets – expected to be delivered at regular intervals until the end of 2021. This is part of SSE policy to ensure Canada has mission-ready aircraft to meet domestic and international obligations. The move was also linked to political motivations following Boeing protests with the World Trade Organization (WTO) around unfair subsidies provided by the Canadian government to Bombardier for its CSeries aircraft program, now under majority control of Airbus and renamed as the A220 Series. This same logic, however, would place the Saab Gripen E/F bid in the Future Fighter program at a disadvantage after Brazil in 2018 registered its own WTO complaint around Bombardier subsidies. With Brazil's 2014 commitment to the Saab Gripen platform, Embraer became a major partner to manufacture the aircraft and to also help develop the two-seat F variant of the Gripen – with the E variant being the single seater. With Dassault's self-removal from the Future Fighter RFP (confirmed on November 8 by Agence France-Presse), the idea of WTO disputes impacting procurement would leave just one viable Future Fighter candidate in the Eurofighter Typhoon, but even this multi-nation platform (Airbus, Leonardo, BAE) would create complications considering newly proposed U.S. tariffs targetting civil aircraft from the European Union, specifically what the Office of the U.S. Trade Representative labels as launch subsidies given to Airbus and impacting Boeing. Given today's range of WTO aviation disputes, it becomes difficult to predict how political pressures of the day might influence Canada's Future Fighter RFP, particularly when the fleet is projected to last into the 2060s. Canada, as an early industrial partner of the F-35 Joint Strike Fighter Program, has not been immune from domestic pressures concerning its Future Fighter decision. Despite its participation in the F-35 program since 1997, Justin Trudeau's Liberal government in November 2015, just days after being elected into office, cancelled an order for 65 Lockheed Martin F-35 aircraft. The order was made in 2010 by Stephen Harper's Conservative government, which in 2012 was then accused of lying to Canadians about the cost of the F-35s. The Conservatives, according to the National Post (April 2012), pegged the cost at around $16 billion, including $9 billion for the aircraft and another $7 billion for maintenance and training, even as the government knew the true cost would be around $25 billion. In October 2018, however, The Globe and Mail reported Canada paid another $54 million toward development of the F-35 stealth fighter, bringing its total investment in the joint program to approximately half a billion dollars over the last 20 years. Participating in the program provides countries with access to supplier contracts and price reductions on the purchase of F-35 aircraft, which will ultimately be a major factor in determining which supplier wins the Future Fighter bid. From fighters to strategic transport On April 17, 2019, Lockheed Martin announced it has moved some F-35 suppliers to what it calls longer-term Performance Based Logistics contracts and Master Repair Agreements – beyond what had been one-year contracts – to improve supply and reduce costs. The F-35 Joint Program Office (JPO) states the F-35's newer production aircraft are now averaging greater than 60 per cent mission-capable rates. Lockheed Martin has reduced its portion of operating costs per aircraft by 15 per cent since 2015. The F-35 JPO goal is to deliver 80 per cent mission capable rates in the near term, and achieve a $25,000 Cost per Flight Hour by 2025. In April 2019, Inside Defense reported the F-35 JPO has been working with the prime contractor Lockheed Martin and engine-maker Pratt & Whitney to reduce the cost of the F-35A to $80 million by 2020. Inside Defense also reported that Lockheed Martin expects to increase production rates by 40 per cent in 2019 with the delivery of 131 F-35 aircraft. These projections are significant in that it aligns the initially expensive F-35 platform with the other Future Fighter contenders on both cost per flight hour and cost per unit. A primary difference between the Future Fighter contenders is that the F-35 is classified as a true fifth-generation fighter relative to fourth-generation platforms, which are sometimes noted as 4.5 generation based on potential upgrades. Fourth-generation fighters are naturally less expensive based on per-unit costs, but also raise concerns around upgrades and effectiveness against potential threats out to 2060, as Russia prepares to introduce the Sukhoi Su-57 in 2019 and China continues developing the Chengdu J-20 – both being fifth-generation fighters. The new SSE vision for Canadian defence translates Strong as Home, Secure as North America, and Engaged as World. The Secure portion of the policy outlines Canada's intent to eliminate threats in North America primarily through its NORAD partnership with the United States. Dassault noted Canada's extensive interoperability requirements with U.S. forces as a primary reason for its RFP withdrawal. The opening of the Arctic – and clear intentions from Russia and Nordic countries to gain control in the polar region – places more emphasis on developing defence capabilities in tandem with the U.S. But this cooperation can also be found in SSE surveillance and communications projects. SSE does not expressly account for a North Warning System Replacement, but it is on the table as a NORAD project. The Defence Investment Plan also holds a range of measures for improved sensors and control. BGen Lalumière in October describes these as SSE highlights, including the acquisition of new Tactical Integrated Command, Control and Communications, radio cryptography, and other necessary systems (Tic3Air), as well as upgraded air navigation management and control systems (MFATM); space-based development projects like the RADARSAT constellation mission; medium earth orbit search and rescue (MEOSAR); defence enhanced surveillance from Space (DESS-P); and Surveillance of Space 2 (SofS 2). Lalumière also points to SSE highlights directly affecting the future of CAF aircraft (around 350 among all current Canadia military fleets). The new Strategic Tanker Transport Capability project to replace the CC-150 and CC-130T is to provide a first draft proposal in 2027, although the CAF has expressed a desire to accelerate that timeline. The fixed-wing SAR C295W project expects to see its first proposal in 2019. The Utility Transport Aircraft project to replace the CC-138 Twin Otter is expected to begin in 2025 and the Canadian multi-mission aircraft project, to replace the CP140 Aurora, is expected in 2033. The timeline for the Remotely Piloted Aircraft System project for medium-altitude ISR & Strike capabilities is still to be determined, but companies are already positioning themselves to be a part of the process. The Cormorant Mid-Life Upgrade modernization project is currently ongoing and noted by Lalumière as a key part of SSE. The Future Fighter program also relates to major investments in training, defined in part as the Fighter Lead-In Trainer project. Current training is provided under contract with CAE for what is defined as NFTC (NATO Flying Training in Canada). The CFTS portion for advanced flight training of both multi-engine and rotary-wing is currently under contract with KF Aerospace. A third component for Air Combat Systems Operators and Airborne Electronic Sensor Operators is currently provided by 402 Squadron, which will be rolled into an overall SSE training project called Future Aircrew Training (FAcT). The CAF is clearly putting an emphasis people as the ultimate SSE ingredient to achieve its objectives. This includes programs around health and wellness, civilian life transition, tax relief and diversity. SSE targets an increase to the CAF's regular force by 3,500 personnel, as well as an increase of 1,500 in the reserve force. Approximately 12,000 personnel are currently in RCAF's regular force, as well as 2,100 reserves and 1,500 civilians. “People will be the limitation in our ability to move at this pace,” explains Lalumière. “Twenty years, 10 years happens very quickly when it is all dependent on people.” https://www.wingsmagazine.com/defence-investment-strong-secure-and-engaged/

  • Réflex Photonique pourra poursuivre son expansion

    21 mai 2019 | Local, C4ISR

    Réflex Photonique pourra poursuivre son expansion

    Le gouvernement du Canada accorde une aide financière de 500 000 $ à cette entreprise hautement innovante du Grand Montréal Le 21 mai 2019 – Kirkland (Québec) – Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC) Réflex Photonique est un chef de file dans la conception, la fabrication et la commercialisation d'éléments d'optique électronique et de photonique dans les domaines de la défense, de l'aérospatiale, des télécommunications et des centres de données. Elle fournit des émetteurs-récepteurs intégrés robustes pour une interconnexion d'environnements difficiles. Cette entreprise hautement innovante a connu une croissance impressionnante dans les dernières années et a investi plus de deux millions de dollars en recherche et développement en 2018. Pour continuer sur sa lancée, elle bénéficiera d'une contribution remboursable de 500 000 dollars de Développement économique Canada pour les régions du Québec. Gr'ce à cette aide financière, l'entreprise pourra faire l'acquisition d'équipements spécialisés à la fine pointe de la technologie, tels un testeur du taux d'erreur et des logiciels d'analyses, ainsi que de l'équipement destiné à l'automatisation de procédés. Ce financement a été annoncé aujourd'hui par le député de Lac-Saint-Louis, Francis Scarpaleggia. L'aide du gouvernement du Canada permettra plus spécifiquement à Réflex Photonique inc. de répondre à la demande croissante des donneurs d'ordres, d'accroître sa production et d'assurer un meilleur contrôle de la qualité de ses produits. Avec des investissements de près de deux millions de dollars, ce projet permettra également de créer des emplois de grande valeur qui contribueront à améliorer les perspectives économiques pour la classe moyenne. Citations « L'appui à des entreprises de haute technologie contribue à renforcer l'économie canadienne, à maintenir notre compétitivité internationale et à générer de la richesse. Performante et axée sur l'avenir, l'entreprise Réflex Photonique contribue sans conteste à la croissance économique de Montréal et du Canada, et crée des emplois pour la classe moyenne. » Francis Scarpaleggia, député de Lac-Saint-Louis « Notre gouvernement donne les moyens aux Canadiens de devenir plus compétitifs et de prospérer au sein de l'économie mondiale. L'investissement dans Réflex Photonique annoncé aujourd'hui cadre avec les avantages concurrentiels du Canada gr'ce au projet d'expansion de l'entreprise et stimulera la croissance économique. » L'honorable Navdeep Bains, ministre responsable de DEC « Nous avons le privilège de compter sur des employés loyaux, passionnés et dévoués qui ont énormément contribué au succès de Réflex Photonique au cours des dernières années. Nos partenaires stratégiques, clients et fournisseurs, ont certainement également été une source de motivation constante pour développer de nouveaux produits et technologies à forte valeur ajoutée. Je suis également très honoré de diriger Réflex Photonique, qui est maintenant reconnue internationalement comme un leader dans son industrie. Les investissements de nos partenaires financiers, ainsi que l'agrandissement de notre siège social, permettent à la société de poursuivre sa croissance tout en s'adaptant aux besoins des marchés que nous desservons. » Noël Dubé, président et chef de la direction, Réflex Photonique https://www.canada.ca/fr/developpement-economique-regions-quebec/nouvelles/2019/05/reflex-photonique-pourra-poursuivre-son-expansion.html

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