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  • Approvisionnement en matière de défense - Mer

    2 février 2018 | Information, Naval

    Approvisionnement en matière de défense - Mer

    Services publics et Approvisionnement Canada (SPAC) est responsable de la surveillance des grandes initiatives en matière d'approvisionnement maritime tel que : Stratégie nationale de construction navale Autres grands projets – Mer SPAC fournit des services d'approvisionnement intégrés principalement aux ministères du gouvernement fédéral. Ce service met l'accent sur la construction de navires pour applications militaires et civiles. La portée du service comprend : l'élaboration de stratégies d'approvisionnements l'examen et la préparation de spécifications l'appel d'offres la gestion de contrat la gestion de projet https://www.tpsgc-pwgsc.gc.ca/app-acq/amd-dp/mer-sea/index-fra.html

  • L’ASTERIX COMPLÈTE LES ESSAIS EN MER DE LA MARINE ROYALE CANADIENNE ET ATTEINT SA CAPACITÉ OPÉRATIONNELLE TOTALE (FOC)

    29 janvier 2018 | Local, Naval

    L’ASTERIX COMPLÈTE LES ESSAIS EN MER DE LA MARINE ROYALE CANADIENNE ET ATTEINT SA CAPACITÉ OPÉRATIONNELLE TOTALE (FOC)

    Halifax, N.-É. – Le lundi 29 janvier 2018 : Aujourd'hui, Chantier Davie et Federal Fleet Services ont annoncé qu'à la suite d'une période intensive d'essais en mer et de tests, l'Asterix a été officiellement accepté par le ministère de la Défense nationale et est maintenant en service opérationnel complet auprès de la Marine royale canadienne (MRC) et de l'Aviation royale canadienne (ARC). Comme prévu, l'Asterix a exécuté des ravitaillements en mer (REM) de façon quotidienne au sein de la MRC et a mené des opérations complètes avec des hélicoptères de type Cyclone CH-148 de l'ARC afin de démontrer les capacités de niveau mondial du navire de soutien de la classe Resolve. Ces exercices ont été exhaustifs; tout y était, des opérations de REM doubles aux décollages et atterrissages d'hélicoptères, en passant par les essais de ravitaillement verticaux. Spencer Fraser, chef de la direction de Federal Fleet Services, a commenté : « Le fait d'avoir livré le premier navire militaire canadien en plus de vingt ans, le premier navire de ravitaillement en presque cinquante ans et d'avoir atteint la capacité opérationnelle totale de manière si efficace et dans un si court délai est la preuve du travail acharné, du dévouement et du dynamisme des équipes de Davie et de FFS. Nous sommes tous très fiers de notre accomplissement et nous sommes reconnaissants de l'appui professionnel que nous avons reçu du MDN et des SPAC. » M. Fraser a ajouté : « Nous avons promis au gouvernement que nous comblerions une lacune stratégique de façon expéditive, que nous ferions économiser de l'argent aux contribuables canadiens à l'aide de notre solution, et, principalement, que nous fournirions aux hommes et aux femmes de la MRC et d'ARC une capacité de classe mondiale dont ils pourraient être fiers. Nous pouvons aujourd'hui affirmer que nos promesses ont été tenues. Nous demeurons de garde afin d'aider le gouvernement du Canada à en faire plus. » Alex Vicefield, président de Davie, a affirmé : « Nous aimerions remercier le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, de la confiance qu'il a portée envers le plus important chantier naval du Canada avec l'octroi de ce programme. Nous sommes fiers d'avoir livré, comme promis, cette capacité de défense essentielle qui servira le Canada pour les années à venir. » Plus de 900 entreprises canadiennes de partout au pays ont participé à la construction de l'Asterix et la classe Resolve a été saluée mondialement pour les solutions innovatrices canadiennes intégrées à bord du navire. Plusieurs sous-traitants de premier niveau de Davie ont fait des exportations gr'ce à la participation à ce projet, notamment : Hepburn de Toronto, qui a conçu et construit les équipements de ravitaillement en mer, L3 MAPPS de Montreal, qui a conçu et installé le système de gestion de plateforme intégrée, et OSI de Vancouver, qui a conçu et installé le système intégré de passerelle. Profitant de la participation au projet, les entreprises innovatrices canadiennes mentionnées ci-dessus, ainsi que d'autres, ont pu saisir des occasions d'exportation. L'Asterix est maintenant prêt à être déployé à l'international afin de soutenir les opérations de combat et d'aide humanitaire selon les instructions du gouvernement canadien. Les photos des essais effectués par la MRC et l'ARC sont disponibles à des fins de téléchargement en haute résolution ici : http://www.davielibrary.com/Project-Resolve-/First-Navy-Trials/i-XHjt2VJ http://www.davie.ca/fr/news/lasterix-complete-les-essais-en-mer-de-la-marine-royale-canadienne-et-atteint-sa-capacite-operationnelle-totale-foc/

  • Contrat de maintien des systèmes d’armes pour aider à protéger les matelots et les navires canadiens

    26 janvier 2018 | Local, Naval

    Contrat de maintien des systèmes d’armes pour aider à protéger les matelots et les navires canadiens

    Communiqué de presse De Défense nationale Le 26 janvier 2018 – Esquimalt (C.-B.) – Défense nationale/Forces armées canadiennes Le gouvernement du Canada s'est engagé de par sa politique de défense, Protection, Sécurité, Engagement (PSE), à fournir aux femmes et hommes des Forces armées canadiennes l'équipement dont ils ont besoin. Aujourd'hui, l'honorable Harjit S. Sajjan, ministre de la Défense nationale, a annoncé l'attribution d'un contrat de soutien des systèmes d'armes qui protègeront les matelots et les navires canadiens pour les deux prochaines décennies. D'une valeur de 704 millions de dollars, ce contrat profitera aussi à l'industrie canadienne puisqu'on s'attend à ce qu'il crée et maintienne plus de 450 emplois qualifiés et bien rémunérés à travers le pays. Dans le cadre de ce contrat, l'entreprise Raytheon Canada Limited mettra à niveau et soutiendra 21 systèmes d'armes de combat rapproché pour la Marine royale canadienne. Ces systèmes de canons à tir rapide et à guidage radar fournissent le système d'autodéfense naval le plus efficace disponible contre les menaces rapprochées comme les missiles, les petits navires et les aéronefs. Ces systèmes sont actuellement utilisés sur les frégates de la Marine de la classe Halifax, et seront installés sur les navires de soutien interarmées de la classe Protecteur après leur construction. Citations « L'annonce d'aujourd'hui s'aligne avec les objectifs que nous nous sommes fixés dans Protection, Sécurité, Engagement. Nous réalisons des investissements stratégiques dans la Marine royale canadienne qui aideront à protéger nos hommes et femmes matelots alors qu'ils mènent toute la gamme des opérations dans le contexte de sécurité actuel. » – Ministre de la Défense nationale, Harjit S. Sajjan « Gr'ce à la politique sur les retombées industrielles et technologiques du gouvernement, Raytheon Canada Limited réalisera d'importants investissements au Canada pour maintenir des emplois de la classe moyenne bien rémunérés, favoriser la croissance économique et aider à stimuler l'innovation partout au Canada chez les petites et moyennes entreprises. Voilà comment nous nous assurons que l'innovation bénéficie à toute la population canadienne. » – Ministre de l'Innovation, de la Science et du Développement économique Navdeep Bains Faits en bref Le contrat de soutien en service des systèmes de défense rapprochée (CIWS) continuera jusqu'à la fin de 2037, et comprend une période de service de dix ans avec trois options pour cinq, trois ou deux années supplémentaires, respectivement. Le CIWS est le système de défense rapprochée le plus largement déployé au monde et est utilisé actuellement par 24 nations. Ce niveau d'interopérabilité permettra à la Marine de tirer profit des améliorations qui seront réalisées par nos alliés à l'avenir. La politique sur les retombées industrielles et technologiques (RIT), y compris la proposition de valeur, s'applique à ce contrat et encouragera la croissance d'une défense canadienne et d'une industrie de la marine durables. De plus, Raytheon Canada Limited s'est engagé à investir dans des petites et moyennes entreprises canadiennes et en activités de recherche et développement. Personnes-ressources Byrne Furlong Attachée de presse Cabinet du ministre de la Défense nationale Téléphone : 613-996-3100 Relations avec les médias Ministère de la Défense nationale Téléphone : 613-996-2353 Sans-frais : 1-866-377-0811 Courriel : mlo-blm@forces.gc.ca https://www.canada.ca/fr/ministere-defense-nationale/nouvelles/2018/01/contrat_de_maintiendessystemesdarmespouraideraprotegerlesmatelot.html

  • Davie aura «probablement» des contrats de brise-glaces, dit Trudeau

    18 janvier 2018 | Local, Naval

    Davie aura «probablement» des contrats de brise-glaces, dit Trudeau

    Justin Trudeau a annoncé jeudi que le chantier naval Davie, à Lévis, obtiendra «probablement» des contrats pour construire des brise-glaces du gouvernement fédéral. «On sait très bien que le travail qui se fait à Davie est de grande qualité», a-t-il soutenu sur les ondes de Radio-Canada. Présent toute la journée à Québec, le premier ministre du Canada a soutenu que des négociations commenceront vendredi entre la Garde côtière et la Davie au sujet d'un achat de brise-glaces. Selon lui, le chantier Davie ne souffre pas de préjugés défavorables auprès de son gouvernement, comme plusieurs l'ont affirmé ces dernières semaines. M. Trudeau a également affirmé qu'il sera présent le 29 janvier pour la vigile visant à commémorer la tuerie de la Grande Mosquée. Sur les ondes du FM93, le premier ministre du Canada a soutenu qu'il était important de se souvenir de ce triste événement. «Il faut reconnaître qu'il y a encore des actes haineux, il y a encore des propos intolérants.» M. Trudeau dit toutefois être encore «en réflexion» sur la possibilité ou non de créer une Journée nationale contre l'islamophobie à cette date, tel que demandé par la communauté musulmane de tout le Canada. Sur la légalisation du cannabis, le premier ministre a tenté de convaincre les auditeurs des deux stations de radio qu'il posait un geste pour protéger les jeunes et non pour encourager la consommation de cette drogue. Selon lui, il faut que le pays reconnaisse qu'il a un problème d'accessibilité actuellement à cette drogue. «Le système actuel, ça ne fonctionne pas, ça ne protège pas nos jeunes.» M. Trudeau sera omniprésent à Québec jeudi. Après ses entrevues radio, il rencontrera le maire de Québec Régis Labeaume vers 11h15 à l'hôtel de ville. Le maire a déjà indiqué cette semaine qu'il souhaitait parler du pont de Québec, du tramway et des artéfacts de Parcs Canada avec M. Trudeau. En soirée, M. Trudeau tiendra une soirée de rencontre informelle avec les citoyens, qui aura lieu à l'école secondaire De Rochebelle, à Sainte-Foy. Cette façon de faire, qui s'inspire des États-Unis, vise à rendre M. Trudeau plus «accessible», explique Filip Novakovic, attaché de presse du député fédéral de Louis-Hébert, Joël Lightbound. «Je peux vous dire qu'il y a énormément d'engouement», lance M. Novakovic, qui soutient que des centaines de citoyens ont déjà effectué leur préinscription. La salle peut contenir un maximum de 1000 personnes et il est toujours possible de s'inscrire sur place, à partir de 16h30. M. Novakovic assure qu'il n'y aura un filtrage des questions. Les gens n'auront qu'à lever la main et c'est M. Trudeau lui-même qui donnera les tours de parole. Plus de détails à venir... https://www.lesoleil.com/actualite/politique/davie-aura-probablement-des-contrats-de-brise-glaces-dit-trudeau-66016c8dd2d1281f382381dd0efd39bd

  • Gestion de la propriété intellectuelle en approvisionnement maritime et de défense

    9 janvier 2018 | Information, Naval

    Gestion de la propriété intellectuelle en approvisionnement maritime et de défense

    L'industrie et le gouvernement collaborent sur les principes de gestion de la propriété intellectuelle en approvisionnement maritime et de défense En 2017, Services publics et Approvisionnement Canada, le ministère de la Défense nationale, Innovation, Sciences et Développement économique Canada et la Garde côtière canadienne ont travaillé avec des représentants de l'industrie canadienne de la défense comme l'Association des industries canadiennes de défense et de sécurité (AICDS) et l'Association des industries aérospatiales du Canada (AIAC), par l'intermédiaire du Groupe consultatif de l'industrie de la défense, afin d'élaborer les principes de gestion de la PI en approvisionnement maritime et de défense. Les Principes de gestion de la PI en approvisionnement maritime et de défense (Principes) fournissent une base stratégique générale pour la gestion de la PI en approvisionnement maritime et de défense par le gouvernement du Canada. Les Principes : reflètent les intérêts nationaux du gouvernement et les besoins stratégiques en matière de capacités maritimes et de défense reflètent les intérêts de l'industrie de la défense dans la protection de la PI établie à titre privé en tant qu'actifs commerciaux et économiques précieux et en tant que facteur de création et de maintien d'une industrie maritime et de défense canadienne innovatrice reconnaissent que l'élaboration, la protection et la commercialisation de la PI font partie des priorités liées à la mise en œuvre de l'ensemble du programme socioéconomique du Canada, comme la croissance économique et les emplois reconnaissent que la gestion de la PI entre le gouvernement et l'industrie de la défense intervient dans des secteurs stratégiques et dynamiques sujets à des avancées technologiques importantes, et soulevant des enjeux militaires émergents aux plans des capacités et des vulnérabilités servent de cadre à des approches adaptables, souples, fondées sur des principes et axées sur les résultats qui mettent en œuvre des stratégies de gestion de la PI qui aident le gouvernement à se procurer les capacités nécessaires et à optimiser les ressources tout en renforçant l'innovation et la durabilité servent d'encadrement à l'identification des exigences en matière de PI, à la rédaction des marchés ainsi qu'à la conception et l'évaluation des soumissions depuis les premiers stades d'approvisionnement, tout comme servent d'encadrement de gestion de la PI tout au long du cycle de vie des actifs maritimes et de défense Les Principes cadrent avec la Politique sur les marchés du gouvernement du Canada et la Politique sur le titre de propriété intellectuelle découlant des marchés d'acquisition de l'État, qui prescrivent des approches pangouvernementales de la gestion de la PI notamment pour qualifier la titularité de la PI issue des marchés publics. Principes de gestion de la propriété intellectuelle en approvisionnement maritime et de défense Les Principes reflètent les principaux points d'accord entre le gouvernement et l'industrie de la défense du Canada s'agissant de l'approche que devrait suivre en matière de gestion de la PI pendant la durée de cycle de vie des actifs maritimes et de défense. Les Principes définissent l'encadrement du gouvernement et de l'industrie dans l'élaboration des exigences, la conception des processus d'évaluation des offres et d'adjudication et dans la rédaction de contrats. Ils guident aussi la gestion de la PI pendant la durée de cycle de vie des actifs en réconciliant les intérêts nationaux du gouvernement et les intérêts de l'industrie à optimiser les bénéfices pour le Canada. Les Principes reconnaissent que l'élaboration, la protection et la commercialisation de la PI sont critiques parmi un ensemble de priorités qui encadrent de manière plus générale l'essor socio-économique du Canada, notamment la prospérité et les emplois. Les principes reconnaissent que la gestion de la PI entre le gouvernement et l'industrie intervient dans des secteurs stratégiques qui sont l'objet d'évolutions technologiques rapides mais également de capacités et de vulnérabilités émergentes. En conséquence, les gouvernements sont exposés à des cycles d'approvisionnement plus courts qui peuvent leur imposer de se retourner plus rapidement vers les marchés pour bénéficier des évolutions technologiques et pour optimiser les ressources. D'autre part, l'industrie propose des avancées technologiques et de nouveaux produits et services tout au long du cycle de vie des actifs qui peuvent modifier le rendement ou le coût des approvisionnements. Les principes reconnaissent que tirer parti d'un marché aussi dynamique requiert de discuter de la PI très tôt dans le processus d'approvisionnement mais également de considérer la PI en fonction du cycle de vie des actifs ou des services. Dans ce contexte, des stratégies de gestion de la PI adaptée, souple et fondée sur des principes et des objectifs peut contribuer au renforcement des capacités gouvernementales, à l'optimisation des ressources mais également à l'essor technologique et économique. http://www.tpsgc-pwgsc.gc.ca/app-acq/amd-dp/propriete-intellec-property-fra.html

  • Le gouvernement du Canada a recours à l’approvisionnement pour aider les petites entreprises à croître et à créer des emplois

    18 décembre 2017 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Le gouvernement du Canada a recours à l’approvisionnement pour aider les petites entreprises à croître et à créer des emplois

    Solutions innovatrices Canada, un programme de 100 millions de dollars, stimulera l'innovation et créera des emplois pour la classe moyenne Le 14 décembre 2017 — Ottawa En tant que principal acheteur de biens et de services canadiens, le gouvernement du Canada fera appel à l'approvisionnement pour aider les petites entreprises du pays à innover et à commercialiser leurs innovations. Le ministre de l'Innovation, des Sciences et du Développement économique, l'honorable Navdeep Bains, et la leader du gouvernement à la Chambre des communes et ministre de la Petite Entreprise et du Tourisme, l'honorable Bardish Chagger, ont annoncé aujourd'hui la mise sur pied de Solutions innovatrices Canada, un programme de 100 millions de dollars qui incite les petites entreprises canadiennes à mettre au point des solutions novatrices pour répondre aux défis proposés par les ministères et les organismes fédéraux. Que le défi soit de trouver un moyen d'augmenter la résistance du blindage aux produits chimiques ou encore d'améliorer la connexion sans fil des véhicules connectés, les ministères et les organismes fédéraux demanderont aux petites entreprises d'innover et de proposer une solution. Le gouvernement s'associera ensuite à l'entreprise retenue et agira comme son premier client, en l'aidant à commercialiser son idée et à promouvoir la génération suivante de solutions qui pourront devenir des produits commerciaux viables. Vingt ministères et organismes fédéraux participeront au nouveau programme en ciblant des problèmes d'ordre militaire, économique ou environnemental. Solutions innovatrices Canada est un élément clé du Plan pour l'innovation et les compétences du gouvernement du Canada, une stratégie pluriannuelle visant à créer des emplois bien rémunérés pour la classe moyenne. Citations « Le nouveau programme Solutions innovatrices Canada mis de l'avant par notre gouvernement aura des retombées à bien des niveaux. Nous agissons de façon proactive et transformons nos défis en possibilités : des possibilités d'innovation, de croissance économique et de réussite des petites entreprises qui mèneront à l'établissement d'une économie d'innovation dynamique et à la création d'encore plus d'emplois pour la classe moyenne canadienne. » — Le ministre de l'Innovation, des Sciences et du Développement économique, l'honorable Navdeep Bains « Nous croyons que les petites entreprises innovatrices canadiennes sont bien placées pour aider le gouvernement à relever certains défis particulièrement coriaces. Par l'entremise du programme Solutions innovatrices Canada, nous demanderons aux entrepreneurs de créer de nouveaux produits et services qui nous aideront à relever ces défis, et nous les aiderons à prendre de l'expansion dans de nouveaux marchés et à trouver de nouveaux clients à l'échelle internationale. Les avantages de ce programme sont clairs : le gouvernement du Canada pourra obtenir de nouveaux produits et services pour améliorer son travail, et des exploitants de petites entreprises qui redoublent d'efforts pour réussir pourront prendre de l'expansion et créer des emplois bien rémunérés pour la classe moyenne. » — La leader du gouvernement à la Chambre des communes et ministre de la Petite Entreprise et du Tourisme, l'honorable Bardish Chagger « Notre communauté d'investisseurs, d'incubateurs et d'accélérateurs offre de l'encadrement, ouvre des portes et fournit du capital aux entreprises canadiennes en démarrage qui cherchent à croître et à se développer. Dans bien des cas, le fait de décrocher un “premier client” constitue une validation essentielle qui permet à ces entreprises de s'implanter sur le marché local et le marché mondial. Le programme Solutions innovatrices Canada qui a été annoncé aujourd'hui aidera les entreprises canadiennes à b'tir leur clientèle plus tôt et permettra aux Canadiens de bénéficier de l'adoption de solutions innovatrices conçues ici au pays. » — La présidente du conseil d'administration de la National Angel Capital Organization (NACO Canada), Sandi Gilbert Faits en bref Le financement du programme sera fourni par les 20 ministères et organismes participant au programme Solutions innovatrices Canada. Chaque entité réservera 1 % de ses dépenses de recherche-développement à cette initiative. Solutions innovatrices Canada est modelé sur le programme américain Small Business Innovation Research. Il constitue une composante essentielle des efforts du gouvernement du Canada pour aider les petites entreprises. Solutions innovatrices Canada encouragera les entreprises détenues et dirigées par des femmes, des Autochtones, des jeunes et des groupes traditionnellement sous représentés à présenter des soumissions. https://www.canada.ca/fr/innovation-sciences-developpement-economique/nouvelles/2017/12/le_gouvernement_ducanadaarecoursalapprovisionnementpouraiderlesp.html

  • American exodus? 17,000 US defense suppliers may have left the defense sector

    14 décembre 2017 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    American exodus? 17,000 US defense suppliers may have left the defense sector

    WASHINGTON — A large number of American companies supplying the U.S. military may have left the defense market, according to a study announced Thursday, raising alarm over the health and future of the defense industrial base. The Center for Strategic and International Studies study said the number of first-tier prime vendors declined by roughly 17,000 companies, or roughly 20 percent, between 2011 and 2015. The full study, due to be released in January, was authored by CSIS Defense-Industrial Initiatives Group Director Andrew Hunter, Deputy Director Gregory Sanders and Research Associate Rhys McCormick. It was sponsored by the Naval Postgraduate School and co-produced by the Aerospace Industries Association, which released an executive summary on Dec. 14, the day of its annual aerospace and defense luncheon in Washington. The authors, who used publicly available contract data, write that it's unclear — due to the limitations in the subcontract database —whether the companies have exited the industrial base entirely or still perform work at the lower tiers. “There is no doubt that a huge portion of the recent turbulence in the defense industrial base has taken place among subcontractors, who are less equipped to tolerate the defense marketplace's funding uncertainly and often onerous regulatory regime — yet it remains extremely difficult to determine the real impact of these conditions on subcontractors,” the authors conclude. Further details may yet be revealed by the Trump administration's ongoing review of the resiliency of the defense-industrial base. Defense Secretary Jim Mattis' assessment is due to President Donald Trump by mid-April 2018. The CSIS summary links 2011 Budget Control Act caps, subsequent short-term budget agreements, and Congress' “unpredictable and inconsistent” appropriations process to the “lost suppliers, changes in competition and market structure, and other turmoil” it found. The years 2011-2015 are considered a period of defense drawdown and decline. The authors, rather than focus strictly on the total decline of defense contract obligations over the entire period, chose to chart the “whipsaw” effect that struck certain sectors of the industrial base amid the imposition of sequestration in 2013 and subsequent budget caps. Though the defense budget had been declining in the years leading up to the Budget Control Act, the implementation of an across-the-board sequestration budget cut in 2013 “marked a severe market shock that had a considerable impact on the defense industry,” the authors say. Compared to the pre-drawdown fiscal 2009-2010 period, the start of the drawdown in fiscal 2011-2012, average annual defense contract obligations dropped 5 percent. When sequestration was triggered in fiscal 2013, defense contract obligations dropped 15 percent from the previous year. Average annual defense contract obligations fell 23 percent during the so-called BCA decline period, fiscal 2013-2015. The Army, which has a checkered modernization history, bore the brunt of the decline. Average annual defense contracts dropped 18 percent at the start of the drawdown, then 35 percent during the BCA decline period. Missile defense contract obligations actually gained 7 percent at the start of the drawdown and then dropped only 3 percent under budget caps. During his presidency, Barack Obama reversed course from early cuts to missile defense to spur the development and deployment of missile defense systems in Europe, Asia and the Middle East. Lockheed Martin CEO Marillyn Hewson reacted to the internally circulated findings earlier this month, saying budget cuts are responsible for the industry being “more fragile and less flexible than I've seen it, and I've been in the industry many, many years.” “What we've seen in the industry, I'll give you an example at Lockheed Martin: At the outset of budget cuts we were about 126,000 employees; today we are at 97,000 employees,” Hewson said at the Reagan National Defense Forum in California. “Our footprint has shrunk dramatically. We see some of our small and medium-sized business, some of the components that we need, there's one, maybe two suppliers in that field where there were many, many more before.” Budget cuts have squeezed the Defense Department to unduly prioritize low-cost contracts over innovation and investment. Cost “shootouts,” she said, are endangering the military's plans to grow in size and lethality. AIA Vice President for National Security Policy John Luddy said companies have coped through a variety of “healthy efficiencies,” such as mergers and acquisitions, consolidating facilities, exploring shared services, and offloading certain contracting activities. “Our companies have done an amazing job of managing the downturn, they've pulled all kinds of levels to make it work, they've shown the ingenuity of the American free market system,” Luddy said. “Nonetheless, the uncertainty of the budgeting process has become a huge challenge for us.” Army Secretary Mark Esper, formerly of Raytheon, warned lawmakers at a Senate hearing Dec. 7 that uneven funding is driving small suppliers — “an engine of innovation” — out of the defense sector. “If you're a small mom and pop shop out there, and I'm referring to my industry experience, it's hard for them to survive in the uncertain budgetary environment,” Esper said. “And we risk losing those folks who may over time decide that they're going to get out of the defense business and go elsewhere. So that's a big threat to our supply chains.” But the CSIS study found that small vendors either increased their share of platform portfolio contract obligations or held steady, while large and medium vendors were most harmed by the market shock from sequestration and the defense drawdown. https://www.defensenews.com/breaking-news/2017/12/14/american-exodus-17000-us-defense-suppliers-may-have-left-the-defense-sector/

  • Bold move backfires as Canada declines Naval Group-Fincantieri frigate offering

    8 décembre 2017 | Local, Naval

    Bold move backfires as Canada declines Naval Group-Fincantieri frigate offering

    PARIS, ROME, and VICTORIA, British Columbia — Naval Group and Fincantieri are out of the running to compete in Canada's program to acquire a fleet of new surface combatants after they failed to submit a bid through the formal process and instead sent a proposal directly to the Canadian government. The companies had offered Canada a proposal to construct 15 ships at Irving Shipbuilding in Nova Scotia for a fixed cost. But the proposal circumvented the government's procurement procedure, which required formal bids to be submitted to Irving by Nov. 30. Naval Group and Fincantieri did not follow that requirement. The Canadian government announced Tuesday it had rejected the proposal from the two firms. “The submission of an unsolicited proposal at the final hour undermines the fair and competitive nature of this procurement suggesting a sole source contracting arrangement,” Public Services and Procurement Canada, or PSPC, which is overseeing the procurement, said in a statement. “Acceptance of such a proposal would break faith with the bidders who invested time and effort to participate in the competitive process, put at risk the Government's ability to properly equip the Royal Canadian Navy and would establish a harmful precedent for future competitive procurements.” Canada's decision effectively removes Naval Group and Fincantieri from taking part in the program since the companies never submitted a formal bid, government officials noted. Public Services and Procurement Canada declined to say how many bids were received for the Canadian Surface Combatant project. Besides a bid from the BAE-Lockheed Martin Canada consortium for the Type 26 frigate, only two other companies have acknowledged bidding. A team led by Alion Canada is offering the Dutch De Zeven Provinciën-class air-defense and command frigate. The Spanish shipyard, Navantia, has submitted a bid based on its F-105 frigate design. Canada expects to make a decision on the winning bid sometime in 2018. The program to build 15 new warships is estimated to be worth CAN$62 billion (U.S. $49 billion). The program was originally estimated to cost CAN$26 billion, but that figure has been revised a number of times and has been climbing steadily over the last several years. Fincantieri and Naval Group had hoped the proposal of a fixed price tag of about CAN$30 billion for a new fleet might sway the Liberal government, as it would eliminate much of the risk and would offer a proven warship design. The proposal had the backing of the French and Italian governments and was made directly to Canadian Defence Minister Harjit Sajjan. Naval Group and Fincantieri took note Canada had rejected their joint bid that filed outside the competition for a frigate fleet, but they were still ready to offer the design of their warship for local assembly, the companies said Wednesday. “We acknowledge the position expressed by the Public Services and Procurement Canada (PSPC) not to take into consideration the offers submitted outside the process of the Canadian Surface Combatant program (CSC) Request For Proposal (RFP),” Naval Group and Fincantieri said. “Nevertheless, Naval Group and Fincantieri remain at the disposal of Canada to contribute to the modernization of Canadian forces with a sea-proven warship, currently in service with the French and Italian Navies, that would minimize the scheduling gaps for design and construction of all the ships in Canada and maximize value for money,” the companies said. Asked on Wednesday how Fincantieri and Naval Group will react to Canada's rejection, Fincantieri CEO Giuseppe Bono declined to give a direct response but did suggest there might be room for compromise. “We don't want to take risks,” he said, adding: “we need to see what makes sense” and “the customer is always right.” In addition, he said the design of the ship offered to Canada would be more similar to the Italian version than the French. “We have made a joint offer of a FREMM, which is close to the Italian version if only because Italy has an anti-submarine warfare version,” he said. The terms of the Canadian competition posed a problem as the tender required bidders to hand over intellectual property and there was danger it might end up in the wrong hands, an analyst said. “The problem from the outset is how the Liberals have set the competition,” said Robbin Laird, of consultancy International Communications and Strategic Assessments, based in Paris and the Washington, D.C., area. “One would think that with ... the U.S. and Australia launching new frigates as well as the French and Italians working on a new frigate program, the approach would be to leverage the allied global recapitalization effort,” he added. “Yet what the Canadian government has focused upon is simply forcing competitors to provide intellectual property to their own Canadian shipyard without any real protection against leakage of that technology to China or to other competitors.” In their direct bid to the Canadian government, the European partners offered a speedy start of shipbuilding in 2019, which they said would help sustain local jobs. A frigate generally takes about four years to build. The Franco-Italian frigate was offered with the Thales Sea Fire radar, a multifunction digital system, an industry executive said. Naval Group offered its Senit combat management system, with Fincantieri delivering the ship design. Thales developed the flat-paneled Sea Fire for the FTI, an intermediate frigate ordered for the French Navy and aimed mainly for export markets. Anti-submarine systems included Thales Captas hull-mounted and towed array sonars, specialist website Mer et Marine reported. The weapons could include a 127mm gun and two vertical launchers for surface-to-air missiles, which would likely be Aster but would also be available for American weapons. https://www.defensenews.com/industry/2017/12/06/bold-move-backfires-as-canada-declines-naval-group-fincantieri-frigate-offering/

  • French and Italian governments endorse long-shot bid for 15 new ships for Canada's navy

    8 décembre 2017 | Local, Naval

    French and Italian governments endorse long-shot bid for 15 new ships for Canada's navy

    DANIEL LEBLANC OTTAWA PUBLISHED DECEMBER 8, 2017UPDATED 3 DAYS AGO The French and Italian governments are officially backing an unsolicited proposal to supply 15 military vessels to the Royal Canadian Navy outside of the ongoing competition for the $60-billion contract, documents show. The French and Italian ministers of defence submitted a letter last month to their Canadian counterpart, Harjit Sajjan, stating that they "fully support" the joint bid by Naval Group and Fincantieri to replace the RCN's existing frigates and retired destroyers. The support from the French and Italian governments could give additional weight to the long-shot proposal, which aims to bypass the official procurement process for new Canadian Surface Combatants. "Under the umbrella of an intergovernmental agreement, we will provide project management support so that the Royal Canadian Navy can operate the purchased warships, sustain their operational capabilities and manage their evolving capabilities throughout their entire lifecycle," said the letter from French Defence Minister Florence Parly and Italian Defence Minister Roberta Pinotti. The submission from Naval and Fincantieri has shaken up the process put in place by the federal government to acquire 15 new vessels. Halifax-based Irving Shipbuilding Inc. is the government's prime contractor, with a competition under way to select a warship design. Defence-industry sources said the leading contender in the process is a joint bid by U.S.-based Lockheed Martin and British-based BAE Systems. The same sources said only three of the 12 prequalified bidders submitted a formal proposal by the Nov. 30 deadline, a number the federal government will not confirm. Under Canada's defence policy unveiled earlier this year, the federal government is planning to get its first Canadian Surface Combatant in 2026, with the entire project costing between $56-billion and $60-billion. Under the Franco-Italian proposal, the 15 vessels would also be built at the Irving shipyard. Based on production costs in Europe, the two companies said they could provide the vessels to the Canadian government for $20.9-billion (€13.8-billion), with construction starting in late 2019. The bid from Naval and Fincantieri was unsolicited, essentially relying on the possibility that none of the bidders under the existing process will be deemed compliant. The defence-industry sources described the offer as a "Hail Mary" that could succeed if the ongoing process unravels, like many previous military procurements. "Everything depends with what happens with the process that is under way right now," said David Perry, senior analyst at the Canadian Global Affairs Institute. "If they can get two compliant bids or ideally all three ... I wouldn't see a need to go back and do a comparison with the [Naval/Fincantieri] bid." The federal government said this week that it will not even analyze the unsolicited bid. "To be clear, any proposals submitted outside of the established competitive process will not be considered," Public Services and Procurement Canada (PSPC) said in a statement. "The submission of an unsolicited proposal at the final hour undermines the fair and competitive nature of this procurement suggesting a sole-source contracting arrangement. Acceptance of such a proposal would break faith with the bidders who invested time and effort to participate in the competitive process, put at risk the government's ability to properly equip the Royal Canadian Navy and would establish a harmful precedent for future competitive procurements," the statement said. In addition, the government rejected the notion that the Franco-Italian bid could generate significant savings, stating that the acquisition of the ships accounts for only about half of the price tag. "It is important to note that a warship project budget must cover more than just delivering the ships. It must also include the costs associated with design and definition work, infrastructure, spare parts, training, ammunition, contingencies and project management," PSPC said. The Naval/Fincantieri proposal is based on the European multimission frigate program, under which the two firms are supplying 18 ships to the French and Italian navies. The two companies said their "off-the-shelf solution" is less risky than other projects still in development. https://www.theglobeandmail.com/news/politics/french-and-italian-governments-endorse-long-shot-bid-for-15-new-military-ships/article37275099/ CSC

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