3 février 2022 | International, Aérospatial, Terrestre

Data and rockets: US military eyes new tech to supply far-flung forces

TRANSCOM hopes a rocket cargo program could one day fly a C-17's worth of cargo to any spot in the world in an hour.

https://www.defensenews.com/air/2022/02/02/data-and-rockets-us-military-eyes-new-tech-to-supply-far-flung-forces/

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    3 avril 2020 | International, Aérospatial

    A la recherche de l'IA hybride

    Vice-président recherche, technologie, innovation du groupe Thales, David Sadek intervenait jeudi 24 octobre à Toulouse au Forum Innovation IA, un événement organisé par Sciences et Avenir pour le groupe Challenges. Explicabilité, validité, intégrité... " Pour une IA de confiance " : c'était l'intitulé de l'intervention de David Sadek, le vice-président recherche, technologie, innovation du groupe Thales. "Nous aimerions tous pouvoir toujours faire confiance à tous nos outils technologiques. Mais en réalité tout dépend du contexte. Dans le cas des outils reposant sur l'IA, si Netflix me recommande un film que je trouve détestable, ce n'est pas bien grave, on s'en remettra. Mais dans le cas des systèmes critiques tels que l'on en conçoit régulièrement chez Thales pour des applications défense, espace et aéronautique, la question de la confiance est primordiale". David Sadek énonce trois impératifs, qui sont autant d'axes stratégiques de la feuille de route IA chez Thales, pour aller vers cette " IA de confiance ". Pour qu'une application de l'IA soi digne de confiance, il faut d'abord qu'elle soit capable d'expliquer. Si elle se contente de proposer ou décider sans être capable de dire pourquoi et comment elle est arrivée à cette proposition ou décision, la défiance s'installera. Elle doit donc être capable de répondre à la question : " Pourquoi ? ". "Si par exemple un copilote IA recommande au pilote humain de virer à 45°, et que ce dernier demande " pourquoi ", le copilote doit pouvoir répondre par exemple : " parce qu'il y a un problème météo (ou une menace ...) droit devant ". Il ne s'agit pas de simplement tracer la décision, de pouvoir indiquer à ses concepteurs quels neurones, quelles couches de neurones, ont fait pencher la balance dans un sens ou un autre, mais bien d'expliquer dans une langue compréhensible immédiatement par le pilote". Ce qui indique qu'à l'aspect intelligence artificielle s'ajoute celui de " l'interaction homme-machine ". IA connexionniste et IA symbolique Cela implique, en restant sur cet exemple, une capacité de compréhension et de génération du langage naturel. Mieux, le pilote appréciera de pouvoir dialoguer dans un langage mixte, reposant sur l'oral et le geste (pour désigner un point sur une carte, etc.). Deuxième impératif selon David Sadek : il faut pouvoir démontrer la validité d'une application de l'IA. C'est-à-dire sa conformité aux spécifications. "Le système développé doit faire tout ce l'on attend de lui et rien que ce que l'on attend de lui. Ce qui suppose que l'on sache spécifier très proprement". On connait l'exemple d'un jeu de bataille navale, un " serious game " destiné à former des officiers de la marine, qui gagnait à tous les coups, parce qu'il sacrifiait systématiquement chaque vaisseau touché, pour ne pas ralentir la flotte. Aucune règle ne prévoyait, n'interdisait ce cas de figure, passablement inacceptable. Troisième impératif pour une " IA de confiance ", selon David Sadek, la responsabilité des systèmes reposant sur l'IA. C'est-à-dire leur conformité aux cadres légaux, réglementaires et moraux. On connait le tendon d'Achille des réseaux de neurones : ce sont des boîtes noires, on voit ce qui entre et ce qui sort, mais on ne sait pas (trop) ce qu'il se passe à l'intérieur. C'est pourquoi David Sadek insiste sur le fait qu'il faut s'intéresser aussi à " l'autre IA ", l'IA symbolique, celle qui repose sur des règles et des raisonnements et qui s'oppose à l'IA connexionniste des réseaux de neurones. Cette IA symbolique, qui fait moins les gros titres, qui n'a pas connu les progrès fulgurants de l'IA des réseaux de neurones, est plus à même de répondre à ces trois exigences : expliquer, valider, responsabilité. C'est pourquoi la réponse à cette triple exigence passe sans doute, entre autres, par " l'IA hybride ", une IA tirant parti de ces deux branches de l'intelligence artificielle. Par Pierre Vandeginste https://www.sciencesetavenir.fr/high-tech/intelligence-artificielle/ia-pvdg_138526

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    2 mai 2022 | International, Aérospatial

    Kiev tire la sonnette d’alarme sur les drones chinois et ouvre son ciel aux startups américaines

    Les autorités de Kiev ont appelé à limiter l'utilisation des drones DJI, affirmant que les problèmes techniques de ces appareils pourraient avoir été intentionnellement provoqués par le fabricant chinois pour saboter les défenses du pays. Si la société chinoise, DJI Technology, le plus grand fabricant de drone au monde, nie les accusations selon lesquelles elle a joué un rôle dans l'invasion russe, le gouvernement ukrainien appelle à ne plus utiliser ces drones à la suite de nombreux dysfonctionnements, alors que les forces russes se serviraient de ces technologies sur le front. La controverse autour de DJI a renforcé les préoccupations de longue date de certains décideurs et régulateurs américains en matière de sécurité nationale, à savoir que la Chine contrôle une technologie commerciale qui a aussi clairement des applications militaires. Les adversaires de DJI à Washington font pression pour l'adoption d'un projet de loi proposé par des parlementaires républicains qui ouvrirait la voie à l'interdiction, pour les appareils du fabricant chinois, d'utiliser l'infrastructure de communication américaine. A l'opposé, plus d'une demi-douzaine de startups américaines ont vu en Ukraine une opportunité à ne pas rater et ont déclaré avoir donné ou vendu leurs drones et leurs systèmes de défense anti-drones à l'Ukraine. Depuis le mois dernier, BRINC Drones, établi à Seattle, a fait don de 10 drones à l'Ukraine et en a vendu environ 50 autres pour aider le pays à se défendre, et Skydio, de la Silicon Valley, a offert plusieurs dizaines de drones au ministère ukrainien de la Défense, et des centaines d'autres ont été vendus à des organisations non gouvernementales et à des gouvernements soutenant l'Ukraine. Ces startups, dont la clientèle se compose essentiellement de l'armée et des agences de sécurité publique, affirment que leurs produits offrent une sécurité supérieure, en comparaison avec les drones DJI. L'Opinion et le Wall Street Journal du 26 avril

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