1 mai 2020 | International, C4ISR

Leonardo DRS awarded up to $462 million contract to provide U.S. Navy Advanced Combat Networking Hardware

Arlington, VA, April 28, 2020 - Leonardo DRS, Inc. announced today that it has received a contract from the U.S. Navy to produce advanced consoles and display systems to support the Navy's future surface ship combat system. The awarded contract is worth more than $62 million with options that could be worth up to $462 million.

The Leonardo DRS Naval Electronics business unit will provide a suite of Common Display System (CDS) consoles, thin client displays, multi-mission displays, and support equipment. The CDS consoles are a set of open-architecture watch station display consoles comprised of two different console variants: water-cooled and air-cooled. The common display hardware provides the interface between the sailor and the ship's combat systems.

“Building these advanced systems gives U.S. Navy sailors the latest in combat networking hardware and provides mission-critical fleet modernization and readiness requirements today and into the future,” said Tracy Howard, senior vice president and general manager of the Leonardo DRS Naval Electronics business. “We are proud to be a trusted partner with the Navy and this contract builds on our long relationship supplying reliable products, from computing hardware infrastructure for combat systems to tactical networks and common shipboard processors,” he said.

The Common Display System consoles are the next-generation of hardware infrastructure representing the latest technology available on the market. Leonardo DRS has a long history of producing reliable advanced hardware for all Navy surface and subsurface platforms for uses in combat systems, tactical networks, processing and machinery control.

Work will be performed at the Leonardo DRS Naval Electronics facility in Johnstown, PA.

About Leonardo DRS

Leonardo DRS is a prime contractor, leading technology innovator and supplier of integrated products, services and support to military forces, intelligence agencies and defense contractors worldwide. Its Naval Electronics business unit provides leading naval computing infrastructure, network and data distribution and middleware enterprise services, as well as world-class manufacturing and support capabilities. Headquartered in Arlington, Virginia, Leonardo DRS is a wholly owned subsidiary of Leonardo S.p.A. See the full range of capabilities at www.LeonardoDRS.com and on Twitter @LeonardoDRSnews.

For additional information please contact:

Michael Mount
Senior Director, Public Affairs
+1 571 447 4624
mmount@drs.com

View source version on Leonardo DRS: https://www.leonardodrs.com/news/press-releases/leonardo-drs-awarded-up-to-462-million-contract-to-provide-us-navy-advanced-combat-networking-hardware/

Sur le même sujet

  • From the Spider to the Griffo, Leonardo launches radar and comms systems

    17 juillet 2018 | International, Aérospatial, C4ISR

    From the Spider to the Griffo, Leonardo launches radar and comms systems

    By: Andrew C. Jarocki WASHINGTON--Leonardo announced a host of new defense systems, including a communications intelligence system and a radar array. The Italian contractor unveiled the new offerings at the 2018 Farnborough Air Show in the U.K. The ‘Spider' communications intelligence system promises to “detect, intercept, identify and geo-locate complex target communcations” in real time, according to the company. The array, designed to fit on drones or manned aircraft, weighs less than 20kg (44 lbs) and fits in a 1.5 x 0.5 x 0.5m pod. The Griffo E-Scan system, the latest model of electronically-scanning radars, uses a matrix of hundreds of tiny radar modules to ‘steer' an electronic beam, rather than the radar physically moving to point a beam at a target. This allows the beam to move quickly and for “the radar to perform multiple tasks simultaneously" according to a company announcement. https://www.defensenews.com/digital-show-dailies/farnborough/2018/07/16/from-the-spider-to-the-griffo-leonardo-launches-radar-and-comms-systems/

  • Mettre en place un Conseil de sécurité européen ? Une idée à travailler

    18 février 2019 | International, Sécurité

    Mettre en place un Conseil de sécurité européen ? Une idée à travailler

    (B2) Berlin insiste régulièrement sur un point souvent oublié dans la rhétorique sur l'armée européenne : la mise en place d'un « Conseil de sécurité de l'UE ». Un point qui mérite un peu d'attention Avec mes amis de ‘La faute à l'Europe‘ (J. Quatremer, Y. A. Noguès, K. Landaburu, H. Beaudoin), qui reçoivent ce week-end Michèle Alliot Marie, alias MAM, l'ancienne ministre de la Défense (sous Jacques Chirac) et ministre des Affaires étrangères (sous Nicolas Sarkozy), nous parlons ‘défense', ‘Europe puissance' et notamment de ce Conseil de sécurité européen (video). @bruxelles2 pèse le pour et le contre d'un Conseil de sécurité européen à l'image de @ONU_fr pic.twitter.com/JfbkGh4Kot Une proposition franco-allemande Cette proposition ne nait pas de nulle part. Elle figurait en dernier lieu dans la déclaration de Meseberg adoptée par les deux dirigeants Emmanuel Macron et Angela Merkel en juin 2018. L'objectif est d'avoir un « débat européen dans de nouveaux formats » et « d'accroitre la rapidité et l'efficacité de la prise de décision de l'Union européenne [en matière] de politique étrangère » (lire : Défense, Sécurité, Migrations, Développement, l'accord franco-allemand de Meseberg). Une explication merkelienne Au Parlement européen, en novembre 2018, la chancelière Angela Merkel souligne l'importance d'« une enceinte au sein de laquelle des décisions importantes pourront êtres prises », avec une « présidence tournante » (lire : « Une armée (européenne) montrerait au monde qu'entre (nous) il n'y aurait plus de guerre » (Angela Merkel). Le format serait limité précise-t-on du côté allemand : « un petit cercle d'États se relayant et représentant l'ensemble de l'UE [pour] travailler plus promptement et intensément au règlement des crises en cours. » (1) Une certaine réserve française Du côté français, on ne peut pas dire que le projet suscite une grande mobilisation. A l'Élysée, la prudence est de règle : « C'est une idée [de] la Chancelière. Ce pourrait être une proposition commune, mais cela mérite encore [d'être travaillé] » l'che en ‘off' un Élyséen, à quelques journalistes (dont B2) en novembre 2018. Et d'ajouter : « Nous n'avons pas de détails proposés par le gouvernement allemand : est-ce un forum pour discuter ou pour décider des questions de politique étrangère ? Ce n'est pas encore une position qui est mûrie. » (3) Une idée mal perçue dans les milieux européens Dans les couloirs européens, cette idée est à peine commentée. « Je suis un peu sceptique sur la création d'une nouvelle structure. Est-elle vraiment nécessaire. N'a-t-on pas déjà pas assez de structures » s'interroge un bon connaisseur des questions sécuritaires interrogé par B2, résumant assez bien le sentiment à Bruxelles, perplexe et qui a, à peine, réfléchi sur l'idée. Un vide béant de réflexion stratégique Cette proposition répond pourtant à un réel besoin. L'Union européenne souffre aujourd'hui d'un vide béant d'absence de direction politique au plus haut niveau, d'anticipation stratégique et de réactivité en cas de crise majeure. Parler d'autonomie stratégique ou de réflexion sans avoir une instance capable de décider est un leurre. Des leaders européens absents collectivement Certes, en théorie, le Conseil européen doit se pencher une fois par an au minimum sur les grandes questions de sécurité. Mais cette disposition du Traité de Lisbonne est restée plutôt lettre morte. Force est de constater que ces dernières années, sur toutes les crises majeures — Libye, Syrie, Irak, Ukraine, crise migratoire, coup d'état en Turquie, etc. — les Chefs d'État et de gouvernement européens, collectivement, ont été ‘à la ramasse'. Un manque d'anticipation certain Pour en attester, il suffit de reprendre la liste des crises récentes. Les 28 ont-ils à la veille de signer l'accord d'association avec l'Ukraine clairement évalué les conséquences de cet acte sur les relations avec la Russie, donné leur accord en bonne et due forme ? Ont-ils planifié un dispositif de gestion de crise soit diplomatique, soit militaire en cas d'intervention russe (largement prévisible) ? Lors de la déroute du printemps arabe en Syrie, ont-ils anticipé la crise des réfugiés et des migrants à venir ? Après l'intervention franco-britannique en Libye, qui laisse un pays déchiré et un État failli, ont-ils envisagé et débattu de la solution à apporter à la crise, en commençant par résoudre leurs différends ? Lors du coup d'Etat en Turquie, y-t-a-il eu une réunion de crise par rapport à un pays le plus proche ? Non, non ! Des questions posées trop vite abordées Au mieux, les ‘Leaders' ont discuté une ou deux heures pour s'accorder sur les traitements collatéraux de la crise (rupture des liens diplomatiques, aide humanitaire, sanctions...). La plus longue discussion au cours de ces dernières années a été consacrée à définir l'intensité des sanctions mises en place sur la Russie. Mais rarement pour tenter de résoudre leurs différends, trouver des solutions ou b'tir des feuilles de route. Au pire, ils ont préféré ne pas trop se pencher sur la question. Une réforme facile à mettre en place Si l'on met de côté certains aspects proposés par A. Merkel, avoir un Conseil de sécurité de l'Union européenne est possible dans le cadre existant. Pas de modification de traité Ce projet ne nécessite pas de modification des traités constitutifs. Il suffit juste de changer les usages. On peut décider (par exemple) de consacrer une demi-journée lors de chaque Conseil européen aux grandes questions internationales ou (autre exemple) dédier une de ses quatre réunions annuelles aux questions internationales. Il serait même possible de tenir une ou deux fois par an un Conseil européen informel dans un pays tournant (permettant à un chef de gouvernement de coprésider la réunion). Juste changer les usages Rien n'empêche d'ailleurs quelques pays plus proches en matière d'approche sécuritaire — France, Allemagne, Belgique, Espagne, Italie — de tenir régulièrement des conciliabules préparatoires à l'image des réunions G6 des ministres de l'Intérieur (un petit cercle conjoint). Rien n'empêche aussi de joindre à ces réunions des Chefs, une réunion parallèle des ministres de la Défense ou des Affaires étrangères, voire des ambassadeurs, pour mettre en musique immédiatement les mesures décidées par les Chefs. Toutes ces dispositions, tout à fait possibles dans les traités existants, permettraient de se rapprocher du modèle prôné par A. Merkel. Un dispositif diplomatique et technique prêt à répondre Au-dessous du niveau politique, le dispositif européen en cas de crise est plutôt complet et prêt à travailler. On a ainsi des ambassadeurs des 28 (le Comité politique et de sécurité), qui siègent en permanence à Bruxelles, avec au minimum deux réunions par semaine (sans compter les petits déjeuners, goûters et autres dîners informels) permettant d'échanger et affiner des positions communes. En cas d'urgence, une réunion du COPS peut être improvisée. Ces diplomates, discrets mais parfaits connaisseurs de leurs sujets, sont tenus d'être là, 24h/24 sur le pont. J'en ai été témoin à plusieurs reprises. Des réunions ont eu lieu le dimanche, au mois d'août, à 6 heures du matin ou à 22 heures le soir. Un dispositif de veille et d'analyse On a aussi un dispositif de veille du renseignement (l'IntCen) (dirigé aujourd'hui par un Allemand ancien des services de renseignement) qui produit régulièrement des notes d'analyses. Ces notes — environ 1400 par an — sont plutôt bien appréciées de leurs destinataires, selon mes informations. On peut ajouter à cela des dispositifs de réaction de crise — cellule de protection civile à la Commission européenne, état-major militaire de l'UE (EUMS), commandement des missions civiles (CPCC) etc. — qui existent et ne demandent qu'à produire des résultats. Tous ces dispositifs peuvent au besoin être renforcés et rendus plus performants. (Nicolas Gros-Verheyde) https://www.bruxelles2.eu/2019/02/16/mettre-en-place-un-conseil-de-securite-europeen-une-idee-du-futur/

  • Teledyne FLIR Delivering Airborne Surveillance Systems to Japan Maritime Self-Defense Force Worth Up to $21 Million

    11 septembre 2024 | International, Aérospatial

    Teledyne FLIR Delivering Airborne Surveillance Systems to Japan Maritime Self-Defense Force Worth Up to $21 Million

    The program calls for Teledyne FLIR Defense to deliver ten Star SAFIRE 380-HLD systems over the next three years.

Toutes les nouvelles