22 septembre 2021 | International, Naval

A 'persistent, proximate threat': Why the Navy is preparing for a fight under the sea

Navy leaders are concerned about increased Russian submarine activity in the North Atlantic and Chinese submarine activity in the Pacific. The U.S. homeland is no longer a sanctuary from such threats, they warn.

https://www.navytimes.com/news/your-navy/2021/09/10/a-persistent-proximate-threat-why-the-navy-is-preparing-for-a-fight-under-the-sea/

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    21 janvier 2021 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Le président Macron promet de maintenir l'effort budgétaire pour les armées

    Tout en confirmant l'ouverture d'un débat avec les parlementaires pour revoir à mi-parcours la loi de programmation militaire, le président a promis lors de ses voeux aux armées à maintenir l'effort budgétaire en faveur de la modernisation des armées. Par Anne Bauer Publié le 19 janv. 2021 à 19:31 « Les engagements que j'ai pris seront tenus », a déclaré Emmanuel Macron lors de ses voeux aux armées à la Préfecture Maritime de l'Atlantique à Brest, après avoir discuté avec des élèves du Centre d'Instruction Naval. Et de rappeler que depuis trois ans, la loi de programmation militaire (LPM) a été tenue « à l'euro près ». « Les équipements sont livrés, les hébergements sont construits, les programmes avancent, les innovations sont stimulées, nos capacités se modernisent [...], a-t-il souligné en estimant que malgré la pandémie et la période difficile qui s'annonce, il faut maintenir l'effort jusqu'en 2023 comme prévu par la LPM. Point d'étapes pour la LPM « Un point d'étape approfondi devra être effectué dans les prochains mois avec les parlementaires, pour que nos armées restent pleinement efficaces sur les thé'tres d'opérations, quels qu'ils soient », a-t-il aussi confirmé. De fait, lors du vote de la LPM , les parlementaires avaient fixé à 2021 une discussion sur la nécessité ou non de revoir la trajectoire budgétaire annoncée. Après trois ans de hausse budgétaire, ce qui a porté le budget défense de 35,8 milliards d'euros en 2019 à 39,2 milliards cette année, la LPM (qui couvre la période 2019-2025) suggère une nouvelle hausse à 41 milliards en 2022 et à 44 milliards en 2023, soit un effort de 198 milliards d'euros sur la période 2019-2023. Reste à réévaluer les capacités nécessaires, les réussites et les attentes, le président évoquant l'exigence toujours réaffirmée d'agilité et d'efficacité. Dans ses voeux, Emmanuel Macron a aussi répété son souhait de consolider la nouvelle politique en faveur de l'autonomie stratégique européenne. « Notre engagement au sein de l'Otan n'empêche pas une autonomie européenne. Nous avons besoin d'une Europe forte plus unie, plus conquérante et qui assume les choix faits depuis trois ans. Il faudra continuer avec les Etats-Unis qui se réengagent dans le multilatéralisme et il nous faudra convaincre de la pertinence de nos choix dans la durée ». Ajustement de l'opération Barkhane au Sahel A propos de l'opération Barkhane au Sahel , qui mobilise actuellement quelque 5.100 soldats français, le président n'a parlé ni de retrait, ni de renforcement, mais simplement d'un ajustement. « Les résultats obtenus par nos forces au Sahel, conjugués à l'intervention plus importante de nos partenaires européens, vont nous permettre d'ajuster notre effort militaire dans la région », a déclaré le chef de l'Etat, sans précision de volume ou de calendrier. Il y a un an, au sommet de Pau, le président français et ses homologues du G5 Sahel (Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Niger, Tchad) avaient décidé d'intensifier la lutte antidjihadiste pour enrayer une spirale de violences, notamment avec l'envoi de 600 hommes en renfort. « Les renforts temporaires que j'ai décidé de déployer ont permis à la force Barkhane de mettre en grande difficulté des groupes terroristes qui se retrouvent acculés, réduits à des procédés l'ches, qui ont atteint nos forces », endeuillées par la récente mort de 5 soldats français au Mali, « mais qui, je le rappelle, frappent d'abord et surtout les civils, sans discrimination », a commenté le président français. Garder le sens du temps long Nombre d'observateurs estiment que la France devrait annoncer qu'elle réduit la voilure lors du prochain sommet avec les pays du G5 Sahel, en février à N'Djamena. Pour le moment, le président parle d'un « cap qui reste inchangé ». Alors que l'opération Barkhane entre dans sa neuvième année et a coûté la vie à 50 militaires, le président a terminé son discours en rappelant la nécessité du temps long, avant de remercier les femmes et les hommes engagés. « La tendance est grande de ne s'occuper que du quotidien. La force de nos armées, c'est de savoir embrasser le temps long... Ne cédons pas au court terme et gardons la capacité à regarder le grand large, gardons le sens du temps long ». https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/le-president-macron-promet-de-maintenir-leffort-budgetaire-pour-les-armees-1282520

  • Concentration industrielle en Europe : une nécessité autant qu'une opportunité pour la Défense

    24 mai 2019 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité, Autre défense

    Concentration industrielle en Europe : une nécessité autant qu'une opportunité pour la Défense

    Par Frédéric Dubois Dans les airs, sur terre ou sur mer, l'industrie européenne de la Défense vit actuellement de profondes transformations. Français, Italiens, Allemands, Britanniques, Espagnols... tous ces acteurs cherchent de nouvelles alliances dans un secteur de plus en plus concurrentiel. Mariages de raison ou de passion, les rapprochements entre grands groupes industriels sont devenus, depuis quinze ans, un passage obligé pour les entreprises qui veulent survivre sur ce marché hyper concurrentiel. Et les cas sont nombreux. Dans les airs, l'exemple le plus connu est certainement l'Eurofighter Typhoon, avion de combat bi-réacteur mis en service en 2004 par l'entreprise européenne Eurofighter GmbH. Aux manettes, quatre pays : la Grande-Bretagne, l'Allemagne, l'Espagne et l'Italie. Ce projet d'avion européen était sur la table depuis les années 70. Finalement, ces quatre pays ont uni leurs savoir-faire, laissant les Français sur la touche, car ces derniers préféraient faire cavalier seul avec le Rafale de Dassault. Entre les deux camps, les résultats commerciaux sont sans appel. En quinze ans, Eurofighter GmbH a vendu 538 exemplaires de son chasseur ; en quelques années de plus, Dassault a écoulé – seulement – 176 avions, en dépit d'une carrière opérationnelle nettement plus prestigieuse. Cette situation a poussé les Européens à revoir leur copie. En 2014, Français et Britanniques se mettent à plancher sur un projet – baptisé FCAS pour Future Combat Air System – afin de produire un avion de 6e génération. Trois ans plus tard, ils sont rejoints par les Allemands. Finalement, en 2018, Dassault annonce officiellement son partenariat avec Airbus Defence and Space dans le cadre du projet FCAS : l'Europe va ainsi se doter d'un nouveau système de défense aérienne avec l'héritier du Rafale, de l'Eurofighter Typhoon européen et de l'Hornet espagnol. Son nom (provisoire) : New Generation Fighter. Dans les airs, les Européens ont enfin compris qu'il valait mieux parler une seule et même langue face au Sukhoi Su-57 russe, et autres F-35 américain ou J-20 chinois. Des concurrents aux dents longues Quel que soit le secteur en Europe, les industries nationales jouent aujourd'hui leur survie face à des concurrents aux moyens nettement plus importants qu'auparavant, gr'ce à des marchés domestiques en forte dynamique et au soutien politique et financier d'états puissants. Après les airs, prenons la direction des océans. Le secteur de l'industrie navale a pris quelques longueurs de retard. En 2017, le quotidien français Le Mondetitrait : « Naval : le serpent de mer de la consolidation européenne ». Dans ce secteur comme dans les autres, le principe de « consolidation » est sur toutes les lèvres, la concurrence étant très sévère entre pays exportateurs. Deux géants se dressent face aux Européens : les Russes et surtout les Chinois, devenus la première puissance mondiale en la matière. En seulement dix ans. « Les groupes européens se sont trop souvent livré une guerre fratricide sur les appels d'offres internationaux, remarque Bertrand Gueynard, directeur du pôle Défense et sécurité du cabinet de conseil en stratégie CEIS dans les colonnes du Monde. Ils sont confrontés à la montée en puissance des arsenaux chinois, russes et même aujourd'hui japonais. Pour rester dans la classe mondiale, les rapprochements sont indispensables. Dans cette industrie, la taille est déterminante car elle permet d'offrir une large gamme de produits et de financer les investissements en recherche et développement nécessaires pour maintenir une avance technologique. Il faut toujours avoir un coup d'avance. » Motivées par le risque de disparition de certaines industries (les exemples sont nombreux hors défense), certaines entreprises européennes de l'industrie navale ont décidé de réagir avant qu'il ne soit trop tard. Des fleurons high-tech en Europe C'est le cas du Français Naval Group et de l'Italien Fincantieri. En 2017, Fincantieri a décidé de se lier à la France à travers deux projets : le rachat des Chantiers de l'Atlantique de Saint-Nazaire (les Sud-Coréens ayant jeté l'éponge) et l'alliance avec son homologue Naval Group. Ces deux entreprises étaient à la fois concurrentes lors d'appels d'offre internationaux et partenaires sur différents projets depuis trente ans, comme avec les frégates Horizon, un projet impulsé en 1991 par Hervé Guillou... devenu PDG de l'entreprise française en 2014. Lors de l'annonce de son alliance avec le PDG de Fincantieri Giuseppe Bono, Guillou a expliqué leur vision commune : « C'est une double ambition – à la fois d'offrir à nos deux pays les meilleures technologies au meilleur prix avec les meilleurs programmes pour garantir la supériorité de nos marines, mais aussi d'être capables d'avoir une présence mondiale suffisante pour assurer notre compétitivité et notre présence sur le marché – qui justifie notre rapprochement. » Cette volonté de la France et de l'Italie part d'un constat sans ambiguïté : l'Europe, et ses divers budgets de défense nationaux, n'a plus les moyens de faire vivre ni de maintenir toutes les compétences de l'ensemble des industriels de la construction navale. Les marchés commencent à opérer une sélection naturelle douloureuse, certains acteurs historiques commençant à connaitre de graves difficultés, notamment en Allemagne, aux Pays-Bas ou encore en Espagne. C'est une course pour la survie qui s'engage désormais. Les Européens ont donc tout intérêt à faire vite, d'autant qu'ils jouissent d'un savoir-faire et de technologies que le reste de la planète leur envie, avec des fleurons high-tech comme Leonardo, Thalès ou Safran. Car si la concurrence est aujourd'hui féroce, les atouts des Européens sont évidents et constituent de réelles opportunités pour les acteurs du Vieux continent. Encore faut-il qu'ils arrêtent de se mettre – trop souvent – des b'tons dans les roues. https://www.econostrum.info/Concentration-industrielle-en-Europe-une-necessite-autant-qu-une-opportunite-pour-la-Defense_a25636.html

  • NATO Navies need more Airborne ISR

    2 décembre 2019 | International, C4ISR

    NATO Navies need more Airborne ISR

    In the face of unpredictable conflict environment, one of the key considerations of armed forces around the world is to improve their ability to rapidly identify and analyze potential threats, in order to transmit coordinates and information to whomever the appropriate response will come from. In this latest report we describe how in the modern threat environment, the average Airborne Intelligence, Surveillance, and Reconnaissance (ISR) aircraft must be able to find and detect new, evolving threats including unmanned aerial vehicles (UAVs), stealth aircraft, cruise missiles (both supersonic and hypersonic) and electronic warfare systems. As technology improves on combat air systems, Airborne ISR platforms are also needed to evolve to be able to detect and help defend or combat these systems. Airborne ISR continues to be an incredibly important capability for militaries. Effective ISR enables kinetic assets the resources they need to be successful on the battlefield. Perhaps more than this, ISR is an exceptionally capable deterrent in its own right and modern-day dissemination technology and techniques allows forces to deal with threats before they can cause harm. Currently the navies of NATO member nations do not have the required number of airborne intelligence, surveillance and reconnaissance (ISR) assets to provide the information naval fleet commanders need in today's oceanic battlefields. The Navies of NATO member states have three major sources of ISR: satellite photos, ISR drones and search operations performed by specialized, manned electronic warfare aircraft and AWACS aircraft. Most of these airborne assets, however, are land-based. This means ships far out at sea or aircraft stationed far away from friendly airfields will have less access to information from MQ-4C Triton drones or P-8 Poseidon aircraft. Meanwhile, China's threat to the US Navy's sea control abilities within the Indo-Pacific region is increasing. The PLA's Rocket Force (PLARF) has developed the ability for mass missile attacks on US ships that it can launch from standoff distance. The Russian Navy too, has developed similar capabilities to deter NATO ships from coming close to Russian coastal waters. Effective airborne ISR will allow the United States and NATO to gain insights along with tactics, techniques and procedures about the air defense systems of their adversaries. It would also provide a non-kinetic way to defeat those air defense systems and passing location data to shooters. As on this date both Russia and China can outpace NATO in a conflict's opening phases. It is hardly surprising then, that as per the latest study – “Global Airborne ISR Platforms & Payloads - Market and Technology Forecast to 2027” carried out by Amsterdam based Market Forecast, the global market for Airborne Intelligence, Surveillance, and Reconnaissance systems is projected to grow at a CAGR of 4.06% between 2019 and 2027. Airborne ISR represents the eyes and ears of modern defense forces, and major U.S. projects such as the Joint Surveillance Target Attack Radar System (JSTARS) have attracted attention from leading aerospace and defense companies all over the world. Now, the rest of the world is following suit. This market study also focusses on 20 of the most sought- after aerospace companies in the ISR industry. The report is valuable for anyone who wants to understand the dynamics of airborne ISR industry and the implementation and adoption of airborne ISR services. http://www.asdnews.com/news/defense/2019/11/28/nato-navies-need-more-airborne-isr

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