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September 22, 2021 | International, Naval

A 'persistent, proximate threat': Why the Navy is preparing for a fight under the sea

Navy leaders are concerned about increased Russian submarine activity in the North Atlantic and Chinese submarine activity in the Pacific. The U.S. homeland is no longer a sanctuary from such threats, they warn.

https://www.navytimes.com/news/your-navy/2021/09/10/a-persistent-proximate-threat-why-the-navy-is-preparing-for-a-fight-under-the-sea/

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  • Earthcube, la start-up française qui veut marcher dans les pas de Palantir

    February 13, 2019 | International, C4ISR

    Earthcube, la start-up française qui veut marcher dans les pas de Palantir

    ANNE DRIF Fondé il y a deux ans par deux anciens d'Areva et Airbus, Earthcube travaille pour quatre « organisations » du ministère des Armées et un service britannique. L'un montait des joint-ventures en Chine, en Russie et en Corée chez Areva. L'autre élaborait de nouvelles technologies d'observation de la terre chez Airbus Defense & Space. A 37 et 34 ans, Arnaud Guérin et Renaud Allioux sont aujourd'hui à la tête d'Earthcube, la première start-up devenue, en l'espace de deux ans, le prestataire de quatre « organisations » au sein du ministère de la Défense, dont ses services de renseignement militaire. Et d'un service britannique. Identifier un pick-up dans le désert Faute d'écho à ses solutions de Big Data au sein de l'avionneur, et Space X ayant écarté sa candidature, les projets de Renaud Allioux, ont rencontré ceux d'Arnaud Guérin, qui s'intéressait lui aussi aux systèmes de surveillance stratégiques. Ensembles, ils ont lancé une solution d'intelligence artificielle qui permet d'identifier sur des images satellites prises à 600 kilomètres d'altitude, des objets de quelques dizaines de pixels en quelques secondes, comme un pick-up en plein désert, ou de suivre des dizaines de milliers de véhicules, dans de grands centres urbains, comme Deir Ezzor aux mains de l'EI. « Aujourd'hui, il faut plusieurs jours à un analyste de renseignement pour mener ce type de ciblage sur des images satellites. Avec l'arrivée des satellites espions européens CSO, qui fourniront un grand volume de données, les équipes d'analystes pourront, en l'état des outils actuels, traiter moins de 10 % des flux, explique Arnaud Guérin. Or, la rapidité d'intervention est clef dans ces missions ». Expansion américaine Rapidement identifiée par la Direction générale des Armées, Earthcube a scellé son alliance avec la Direction du renseignement militaire lors du premier défi de l' Intelligence Campus , son pôle dédié aux nouvelles technologies. Mais celle-ci n'est pas exclusive, puisque la start-up a pu se rapprocher d'autres services de renseignement. En 2017, la société a levé 3 millions d'euros. Au départ, pourtant, ils ambitionnaient de s'adresser seulement aux acteurs privés ayant de forts enjeux sécuritaires comme les groupes pétroliers ou nucléaires. « Chez Areva, je faisais mettre en place des systèmes de surveillance au sol pour des sites miniers ou chimiques, poursuit Arnaud Guérin. Mais, quand vous êtes le géant chinois Cnooc, vous devez sécuriser des dizaines de milliers de kilomètres de pipeline. Ces systèmes de surveillance sont vulnérables et onéreux ». Au lancement d'Earthcube en 2016, ajoute-t-il, « nous nous étions positionnés comme l'alternative non américaine d'analyses de données, mais c'est une illusion de croire que les services de renseignements américains ont une réelle longueur d'avance sur les Européens en la matière », poursuit le dirigeant. Earthcube est ainsi « en discussions avancées » avec des organisations américaines. Les deux fondateurs ont de sérieuses ambitions, quitte à prendre une référence qui fait polémique en France. « Pour nous, l'américain Palantir est un modèle. En très peu de temps, ils ont réussi à devenir l'égal de géants traditionnels de leur secteur ». Anne Drif https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/0600634357107-earthcube-la-start-up-francaise-qui-veut-marcher-dans-les-pas-de-palantir-2244076.php

  • Eurosatory 2020 : le COGES organisera des rendez-vous B2B en visio-conférences en septembre

    June 3, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Eurosatory 2020 : le COGES organisera des rendez-vous B2B en visio-conférences en septembre

    Pour compenser l'annulation d'Eurosatory 2020, la COGES, filiale du GICAT, va organiser des rendez-vous B2B sous forme de visio-conférences les 14 et 15 septembre prochains. Une première pour Eurosatory Contrainte d'annuler le salon Eurosatory 2020 pour cause de coronavirus, la Coges, filiale du Gicat, va organiser, les 14 et 15 septembre prochains, des rendez-vous B2B sous la forme de visio-conférences organisées par Proximum, un prestataire que Coges connaît déjà bien pour avoir organisé de tels rendez-vous dans ses propres salons, à Eurosatory notamment. A ce niveau, et dans l'armement, où la confidentialité incite à des rencontres directes plutôt qu'à des visios sans garantie totale d'interception, cette initiative est une première que forcément les organisateurs de salon vont regarder de près. Les PME et ETI, qui sont représentées dans les salons (qui représentent une énorme effort rapporté à leurs moyens) vont aussi devoir se positionner. Le Gicat à l'initiative Autre difficulté, des problèmes de compatibilité entre créneaux horaires risquent de se produire d'un continent à l'autre. Mais manifestement, le GICAT veut montrer à ses adhérents et à ses clients du salon qu'il est conscient de son rôle d'animation du secteur. D'ores et déjà, la campagne de remboursement d'Eurosatory 2020 est aussi engagée. L'annulation d'Eurosatory a forcément un gros impact pour les rentrées de la Coges, mais aussi pour un écosystème de fournisseurs qui travaillent autour (fabricants de stands, restauration, limousines, etc). Au cabinet de la ministre des Armées, Florence Parly, on mesure amplement l'impact sur les industriels de la filière terrestre. Au GICAT, on rappelle que 50 % du chiffre d'affaires des adhérents proviennent de l'exportation. Et qu'évidemment Eurosatory y concourt à son échelle. Des formules de salons à revoir ? Cette dématéralisation des salons professionnels est une tendance encore faible, mais réelle. Le coronavirus ou covid-19, et son caractère potentiellement récurrent oblige à se poser les bonnes questions pour les salons. D'autres organismes français vont forcément devoir se poser de telles questions, rassembler les rendez-vous, digitaliser. Ceci alors que les dépenses de communications connaissaient déjà de très fortes baisses tendancielles et/ou conjoncturelles avant-même le covid-19, comme chez Thales et Dassault Aviation. La multiplication des salons régionaux et thématiques fragilise aussi les gros salons, et assèche les trésoreries des exposants. Report de trois autres salons Le covid-19 impacte aussi clairement les trois autres salons professionnels détenus par la COGES : le salon Platinum à Monaco (sécurité privée et intérieure) prévu en mai et repoussé aux 2 et 3 février, Shield Africa à Abidjan est décalé de fin janvier aux 7-10 juin (également pour prendre en compte les élections). Enfin, ExpoDefensa à Bogota se tiendra du 29 novembre au 2 décembre. A ce stade, Euronaval 2020 est maintenu et le Sofins reste programmé pour 2021.

  • Air Force-Backed Startup Reveals Hypersonic Aircraft Prototype

    November 10, 2021 | International, Aerospace

    Air Force-Backed Startup Reveals Hypersonic Aircraft Prototype

    The company fired the drone’s afterburning engine during a ceremony in Atlanta.

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