Filtrer les résultats :

Tous les secteurs

Toutes les catégories

    1884 nouvelles

    Vous pouvez affiner les résultats en utilisant les filtres ci-dessus.

  • CAE awarded contract by GA-ASI to develop synthetic training system

    28 janvier 2019 | Local, Aérospatial

    CAE awarded contract by GA-ASI to develop synthetic training system

    CAE announced on Jan. 24 that the company has been awarded a contract from General Atomics Aeronautical Systems, Inc. (GA-ASI) to develop a comprehensive synthetic training system for the United Kingdom's Protector RG Mk1 remotely piloted aircraft system (RPAS) program. The Protector will be operated by the Royal Air Force and is the U.K.-specific variant of GA-ASI's certifiable MQ-9B SkyGuardian RPAS, which can meet the most stringent certification requirements of aviation authorities. Under terms of the contract, CAE will design and develop a comprehensive synthetic training system that will include desktop and high-fidelity mission trainers specific to the Protector RPAS. The high-fidelity Protector mission trainers will be based on GA-ASI's certifiable ground control station (CGCS) and will be the first simulators developed for this advanced CGCS. CAE will also provide brief/debrief and scenario generation stations as part of the overall synthetic training system. “We are pleased to continue our global training partnership with GA-ASI to support the U.K. Protector program,” said Gene Colabatistto, CAE's group president, defence and security. “Protector will offer a new level of capability in an unmanned air system and will require well-trained aircrews. We will leverage developments we have made over the past several years creating the highest fidelity training devices for the Predator family of remotely piloted aircraft to produce a world-class synthetic training system for the Protector program.” Initial deliveries of the synthetic training system will be targeted for delivery in 2020 to RAF Waddington, the hub of U.K. Intelligence, Surveillance, Target Acquisition and Reconnaissance (ISTAR) that will be the main operating base for the Protector. “MQ-9B SkyGuardian, which Protector is based on, represents the next-generation of remotely piloted aircraft capabilities, including longer endurance and automatic take-off and landing,” said David R. Alexander, president, aircraft systems, GA-ASI. “The Protector synthetic training system will play a key role helping the Royal Air Force develop skilled aircrews, and we are pleased to collaborate with CAE as our training partner on this critical program.” https://www.skiesmag.com/press-releases/cae-awarded-contract-by-ga-asi-to-develop-synthetic-training-system

  • Plus question pour le Canada de se retirer du très coûteux programme des F-35 américains

    28 janvier 2019 | Local, Aérospatial

    Plus question pour le Canada de se retirer du très coûteux programme des F-35 américains

    Par Stéphane Parent | francais@rcinet.ca Le responsable de l'approvisionnement militaire au ministère de la Défense révèle que le Canada, l'un des neuf pays partenaires du programme de mise au point des F-35, n'a pas planifié de s'en retirer. Il semble qu'Ottawa ira de l'avant avec le versement de dizaines de millions de dollars pour le développement de cet avion de chasse F-35, même si le gouvernement fédéral continue d'étudier la pertinence ou non d'acheter ces appareils pour remplacer près d'une centaine de CF-18 qui ont plus de 40 ans d'usure. Le F-35 figure parmi les quatre modèles qui seront évalués à partir du printemps prochain dans un appel d'offres de 19 milliards, qui résultera dans l'acquisition de 88 nouveaux avions de combat. Le Canada a investi plus de 500 millions dans le programme des F-35 au cours des 20 dernières années, dont 54 millions l'an dernier. Son prochain paiement annuel doit être fait ce printemps, et il y en aura sans doute d'autres, étant donné que l'appel d'offres n'est pas censé se conclure avant 2021 ou 2022. Ce versement annuel permet au Canada de demeurer pendant encore un an membre du club des neuf partenaires dans le projet du futur avion de chasse F-35, dont la mise au point connaît des déboires majeurs. La stratégie de rester dans le camp du F-35 Le Canada demeure donc résolument dans le camp de l'aviation militaire américaine avec l'Australie, le Danemark, l'Italie, la Norvège, les Pays-Bas, le Royaume-Uni et la Turquie. Ces pays pourront soumettre des offres pour les contrats de milliards de dollars liés à la fabrication et à l'entretien des avions de chasse, mais aussi bénéficier de rabais s'ils décident d'en acheter. D'autres modèles de rechange proposés sont de conception européenne – le Gripen de Saab, le Typhoon du consortium Eurofighter et le Rafale de Dassault – et Ottawa privilégie une conception http://www.rcinet.ca/fr/2019/01/24/plus-question-pour-le-canada-de-se-retirer-du-tres-couteux-programme-des-f-35-americains/

  • Le gouvernement du Canada investit dans la modernisation de la flotte d’hélicoptères CH‑146 Griffon de l’Aviation royale canadienne

    28 janvier 2019 | Local, Aérospatial

    Le gouvernement du Canada investit dans la modernisation de la flotte d’hélicoptères CH‑146 Griffon de l’Aviation royale canadienne

    Le 26 janvier 2019 – Ottawa (Ontario) – Défense nationale/Forces armées canadiennes Comme l'indique la politique de défense du Canada Protection, Sécurité, Engagement, le gouvernement du Canada fait des investissements en vue de renouveler l'équipement et de prolonger sa durée de vie pour faire en sorte que les hommes et les femmes de l'Aviation royale canadienne (ARC) disposent de l'équipement nécessaire pour remplir les missions principales des Forces armées canadiennes (FAC). À cette fin, au nom du ministre de la Défense nationale Harjit S. Sajjan, M. Andy Fillmore, secrétaire parlementaire du ministre du Patrimoine canadien et du Multiculturalisme, a annoncé aujourd'hui que Bell Helicopter Textron Canada Limited allait entreprendre des travaux de conception en vue de prolonger la durée de vie utile de la flotte canadienne de 85 hélicoptères CH-146 Griffon jusqu'à au moins 2031. La première phase de cette prolongation de la durée de vie est la phase de définition, au cours de laquelle Bell Helicopter Textron Canada Limited, le fabricant d'équipement d'origine, élaborera des changements de conception en vue d'améliorer les systèmes d'avionique, les moteurs et les écrans d'habitacle des hélicoptères, et intégrera des systèmes de détection. Ces travaux de définition, d'une valeur pouvant atteindre 90 millions de dollars (taxes comprises), seront réalisés dans le cadre du contrat de soutien existant pour la flotte de CH‑146, qui a été attribué à Bell Helicopter Textron Canada Limited en 2011. La portée globale du projet de prolongation limitée de la durée de vie du Griffon est évaluée à environ 800 millions de dollars (taxes comprises). Le Griffon, l'hélicoptère utilitaire polyvalent du Canada, est essentiel aux opérations des FAC, tant au pays qu'à l'étranger. Il est utilisé pour remplir de nombreuses fonctions, notamment le transport tactique des troupes, les missions de surveillance, d'escorte et de reconnaissance, l'évacuation des blessés, les secours en cas de catastrophe, l'appui aérien des opérations spéciales et les opérations de recherche et sauvetage. La modernisation de la flotte d'hélicoptères CH-146 lui permettra de continuer de contribuer de manière importante au succès de toute la gamme de missions et d'opérations des FAC. Citations « Dans le cadre de notre politique de défense Protection, Sécurité, Engagement, nous fournissons aux hommes et aux femmes des Forces armées canadiennes l'équipement dont ils ont besoin pour accomplir les t'ches importantes que nous leur confions. Une capacité d'hélicoptères de transport tactiques est absolument essentielle au succès de toutes les opérations militaires. Gr'ce à ces améliorations, nous nous assurons que nos militaires pourront continuer de compter sur cet hélicoptère qui a fait ses preuves pendant les nombreuses années à venir. » Harjit S. Sajjan, ministre de la Défense nationale « Nous veillons à ce que les femmes et hommes qui servent fièrement notre pays au sein des Forces armées canadiennes aient l'équipement dont ils ont besoin pour accomplir leur important travail, tant au Canada qu'à l'étranger. En investissant dans l'entretien de l'équipement militaire, nous créons également de bons emplois pour la classe moyenne et nous assurons la croissance des entreprises canadiennes. » Carla Qualtrough, ministre des Services publics et de l'Approvisionnement et de l'Accessibilité « Je suis fier d'annoncer la modernisation des hélicoptères CH-146 Griffon. Ce projet profite à l'industrie canadienne et à nos hommes et nos femmes en uniforme en contribuant à créer des emplois de qualité tout en garantissant que le personnel de l'ARC dispose de l'équipement nécessaire pour mener à bien les opérations. » Andy Fillmore, secrétaire parlementaire du ministre du Patrimoine canadien et du Multiculturalisme « La prolongation de la durée de vie de la flotte de CH-146 Griffon assurera la longévité de la capacité d'hélicoptères tactiques de l'ARC. Ces hélicoptères se sont avérés extrêmement performants au fil des années, et gr'ce à ces améliorations, ils continueront d'être un atout précieux qui permettra à notre personnel de mener à bien des missions et des opérations à long terme. » Lieutenant‑général A.L. Meinzinger, commandant de l'Aviation royale canadienne Faits en bref Des hélicoptères CH-146 Griffon sont actuellement déployés dans le cadre de l'opération PRESENCE au Mali, servant d'escorte armée aux hélicoptères CH-147 Chinook pendant les opérations d'évacuation médicale et assurant le transport les troupes et des fournitures. Des hélicoptères Griffon sont également déployés dans le cadre de l'opération IMPACT en Irak, servant au transport des soldats canadiens, de l'équipement et des approvisionnements à l'appui de la mission d'instruction des FAC. Les hélicoptères CH-146 Griffon ont assuré un appui‑feu rapproché et le transport tactique pendant la participation des FAC en Afghanistan, ce qui a permis de réduire l'exposition du personnel des FAC aux menaces terrestres, comme les embuscades, les mines terrestres et les dispositifs explosifs de circonstances. L'hélicoptère CH-146 est inspiré de l'hélicoptère Bell 412 accessible sur le marché, et présente des caractéristiques uniques aux Forces armées canadiennes. Les hélicoptères canadiens CH-146 Griffon ont été mis en service de 1995 à 1997. Les hélicoptères Griffon sont exploités par les escadrons tactiques d'hélicoptères et les escadrons d'opérations spéciales d'aviation de l'ensemble du pays. L'hélicoptère CH-146 peut transporter jusqu'à 15 personnes (deux pilotes, un mécanicien de bord et 12 passagers). Il a une masse maximale totale de près de 5 400 kilogrammes, et peut atteindre une vitesse de 260 kilomètres à l'heure. Le projet de Prolongation limitée de la durée de vie du Griffon (PLVG) permettra de prolonger la durée de vie de la flotte jusqu'à 2031 au moins, jusqu'à ce que le projet d'acquisition de la nouvelle génération d'hélicoptères utilitaires polyvalents soit élaboré et mis en œuvre. Une fois la phase de définition achevée, un contrat distinct devrait être attribué de façon à permettre la mise en œuvre en 2022. Liens connexes CH-146 Griffon https://www.canada.ca/fr/ministere-defense-nationale/nouvelles/2019/01/le-gouvernement-du-canada-investit-dans-la-modernisation-de-la-flotte-dhelicopteres-ch146-griffon-de-laviation-royale-canadienne.html

  • U.S., Canadian fighter planes scramble to escort Russian jets near North American coastline

    28 janvier 2019 | Local, Aérospatial

    U.S., Canadian fighter planes scramble to escort Russian jets near North American coastline

    THE ASSOCIATED PRESS The North American Aerospace Defence Command says two F-22 and two CF-18 fighter jets identified two Russian Tu-160 Blackjack strategic bombers PETERSON AIR FORCE BASE, Colo. — Military authorities say U.S. Air Force and Canadian fighter jets were scrambled to escort two Russian bombers that were travelling near the North American coastline. The North American Aerospace Defence Command says two F-22 and two CF-18 fighter jets identified two Russian Tu-160 Blackjack strategic bombers. The Russian planes were said to be entering an area patrolled by the Royal Canadian Air Force on Saturday morning. There were no reports of conflict between the Russian and the U.S. and Canadian jets. NORAD says it uses radar, satellites and fighter aircraft to patrol the skies and monitor aircraft entering U.S. or Canadian airspace. General Terrence J. O'Shaughnessy, the NORAD commander, said in a statement that “NORAD's top priority is defending Canada and the United States. “Our ability to protect our nations starts with successfully detecting, tracking, and positively identifying aircraft of interest approaching U.S. and Canadian airspace,” O'Shaughnessy said. https://montrealgazette.com/news/us-canadian-fighter-planes-scramble-to-escort-russian-jets

  • Storied Coast Guard ship can’t be fixed, shipyard says, highlighting yet again, Canada’s shipbuilding problem

    28 janvier 2019 | Local, Naval

    Storied Coast Guard ship can’t be fixed, shipyard says, highlighting yet again, Canada’s shipbuilding problem

    By David Akin A Quebec shipyard hopeful of getting more federal work has condemned a storied Coast Guard ship as beyond repair, declining to bid on a lucrative contract to overhaul the 56-year-old CCGS Hudson on the grounds that it “presents a serious and real threat to the safety of life at sea.” In a letter delivered Tuesday to officials with Public Services and Procurement Canada, Davie CEO Jared Newcombe said his company, based in Lévis, Que., would not bid on the contract to upgrade the Hudson as Davie believes the vessel to be beyond repair. A copy of that letter was provided to Global News. The federal government was trying to squeeze another few years of service out of the Hudson which, having been commissioned in 1963, is the oldest ship in the Coast Guard's fleet. Bidding on the life-extension contract, expected to be worth about $20 million, ended this week. It is the latest headache to bedevil a federal shipbuilding process that has been rife with delays. Davie's remarkable letter — procurement experts cannot recall a bidder ever recommending scrapping a major vessel when offered a chance to upgrade it — underscores the difficulties successive federal governments have had in updating an aging Coast Guard and Royal Canadian Navy fleet. “The Coast Guard ships are in serious need of replacement now,” said David Perry, a defence procurement expert and senior analyst at the Ottawa-based think tank, the Canadian Global Affairs Institute. The average service of a Coast Guard ship is about 36 years. Canada's Maritime peers typically replace their Coast Guard vessels within 30 years of service. The Harper government announced in 2007 that the Hudson was to be replaced by 2012 and the contract to replace her was awarded to Vancouver's Seaspan shipyard. But that project is mired in delays and it is not clear when there will be a replacement. There is not yet a confirmed date for construction to start while the projected budget of $331 million to build the Hudson's replacement is under review. The Hudson did have a $4-million refit in Hamilton, Ont., in 2016, and has had more work done on it since it returned to its East Coast port in Dartmouth, N.S., in 2017. But Davie told the government that, in its view, the Hudson has now reached the end of the line. “The level of degradation to the hull, fuel tanks, onboard systems and other structural elements presents a serious and real threat to the safety of life at sea as well as the environment,” Newcombe wrote. Newcombe said his company had to consider its own liability should it have won the current life extension contract, “as well as ethical, repetitional and environmental considerations.” Full article: https://globalnews.ca/news/4884924/coast-guard-ship-cant-be-fixed-canada-shipbuilding-problem/

  • L3 MAS wins Flight Sciences Technical Investigation and Engineering Support contract

    24 janvier 2019 | Local, Aérospatial

    L3 MAS wins Flight Sciences Technical Investigation and Engineering Support contract

    L3 MAS announced on Jan. 24 that it was competitively awarded the Flight Sciences Technical Investigation and Engineering Support (FS TIES) contract from the Government of Canada for the provision of flight sciences engineering support to the Royal Canadian Air Force (RCAF) across all its fleets. The one-year contract includes four one-year option periods. “L3 MAS is honoured to be selected by the Royal Canadian Air Force to offer technically superior, innovative and cost-effective flight sciences solutions for its fleets of aircraft,” said Jacques Comtois, vice-president and general manager of L3 MAS. “For nearly 15 years, under this very specialized contract, L3 MAS has successfully provided the RCAF with FS TIES services that encompass numerous engineering disciplines.” L3 MAS has an exceptional range of engineering skills, strategic suppliers and experience managing complex projects that include FS TIES in a collaborative team environment. With over 200 engineers and technologists, L3 MAS provides innovative and cost-effective solutions for its customers. https://www.skiesmag.com/press-releases/l3-mas-wins-flight-sciences-technical-investigation-and-engineering-support-contract

  • Government will review towing vessel contract after procurement process questioned by trade tribunal

    24 janvier 2019 | Local, Naval

    Government will review towing vessel contract after procurement process questioned by trade tribunal

    DAVID PUGLIESE, OTTAWA CITIZEN The federal government will review a contract awarded last year for emergency towing vessels after the Canadian International Trade Tribunal raised questions about its procurement process. In early January, the Canadian International Trade Tribunal recommended the government review the key performance requirements used in the procurement of two emergency towing vessels for the west coast from an Irving firm. Heiltsuk Horizon, a partnership of majority partner Heiltsuk Nation of Bella Bella, British Columbia and Horizon Maritime Services Limited, a Canadian marine services company, complained to the CITT last August that the winning supplier did not meet important safety requirements of the tender process. “We're confident with the new, state of the art vessels we've submitted, and we want to ensure the right emergency response vessels are in place to protect the vital coastal economies and fragile ecosystems of British Columbia's coast,” Chief Councillor Marilyn Slett of the Heiltsuk Nation said Thursday about the decision to review the contract. At the time, the CITT recommended Public Services and Procurement Canada re-evaluate some of its mandatory requirements and that no further expenditure under the contact be undertaken. However, the tribunal also recommended that the contract remain with the winning bidder, Atlantic Services Limited/Atlantic Towing, until the evaluation can be completed. In August, the federal government announced the firm had been awarded a three-year contract worth $67 million for the lease of two emergency offshore towing vessels that would operate in the waters off the coast of British Columbia. The vessels were to be capable of towing large commercial ships in distress, such as tankers and container ships, before they get too close to shore, according to the federal government. As part of the contract, the firm, which is an Irving company, would also provide training in offshore emergency towing to Canadian Coast Guard personnel and partners, including Indigenous communities, involved in marine safety. But Heiltsuk Horizon challenged that award, pointing out that the contract was awarded without the required proof the vessels met the mandated towing power. The firm noted that the procurement process was flawed. In a letter to Heiltsuk Horizon, the CITT recommended Public Services and Procurement Canada reevaluate the “bollard pull” (towing power) of the vessels in all bids received. The CITT also awarded Heiltsuk Horizon costs incurred in submitting the complaint. Mary Keith, vice president of communications for Irving, issued a statement at the time from Atlantic Towing, pointing out that the tribunal did not declare the firm's bid non-compliant. “This is good news and reaffirms the integrity of the rigorous and transparent award process by PWGSC that also involved a third party fairness monitor,” the statement added. “The Tribunal has requested verification of one item and we are confident in our full compliance. The Bollard Pull on our vessels are verified and certified by one of the world's leading marine certification companies.” https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/government-will-review-towing-vessel-contract-after-procurement-process-question

  • Canada to keep paying for F-35 development as fighter-jet competition ramps up

    24 janvier 2019 | Local, Aérospatial

    Canada to keep paying for F-35 development as fighter-jet competition ramps up

    LEE BERTHIAUME, OTTAWA, THE CANADIAN PRESS Canada is poised to contribute tens of millions of dollars toward further development of the F-35 stealth fighter even as the federal government wrestles with whether to buy the plane or not. In an interview with The Canadian Press, the Department of National Defence's head of military procurement says there are no plans for Canada to quit as one of nine partner countries in the F-35 stealth fighter program until after the Trudeau government completes the competition to determine which fighter jet will replace Canada's aging fleet of CF-18s. “We're committed to staying there (in the program) until we understand where the competition will bring us,” said Patrick Finn, assistant deputy minister of material at National Defence. The competition is expected to be launched this spring. The F-35 is one of four planes currently slated to participate in the $19-billion competition, which will result in the purchase of 88 new fighter aircraft to serve as the air force's backbone for the coming decades. The Trudeau Liberals campaigned on a promise not to buy the F-35s in 2015, but have since backed away from that pledge. The Harper Conservatives first announced plans to buy 65 F-35s in 2010, but ran into controversy over cost. Staying on as a partner in the F-35 program comes with advantages, Finn says, including the ability for Canadian companies to compete for billions of dollars in contracts associated with building and maintaining the stealth fighter. Partners are also allowed to buy the F-35 at a lower price than non-partners, who must pay a variety of fees and other costs to purchase the plane. “We want to keep the F-35 as an option, as a contender in the competition,” Finn said. “We want to also make sure that while that's unfolding, that Canadian industry that have competitively won contracts get to continue to do that.” The Defence Department says Canadian companies have won more than $1.25-billion in F-35-related contracts over the years. Yet there are also costs to being a partner; Canada has so far invested more than $500-million into the program over the past 20 years, including $54-million last year. Its next annual payment is due this spring and there will likely be more as the competition isn't scheduled to select a winner until 2021 or 2022. The first new aircraft is expected in 2025 and the last in 2031. There are some technical issues that government officials are working through that could impact how it runs the competition to replace the CF-18s. One of those is how to ensure the various bids are all measured equally. In addition to Lockheed Martin's F-35, bids are expected from Boeing's Super Hornet, Eurofighter's Typhoon and Saab's Gripen. All four companies recently provided feedback on a draft process that the government has drawn up to run the competition, and another round of consultations is scheduled for mid-February. A big question facing Lockheed is how it can meet Ottawa's usual requirement that companies who are awarded large military contracts invest back into Canada on a dollar-for-dollar basis. The F-35 partnership agreement that Canada signed with the other countries bars such promised investments and instead stipulates that companies must compete for the work. Finn said all four jet companies have unique challenges and circumstances, and that officials in charge of the competition could inject some flexibility into how the requirement is handled. “There is absolutely flexibility and I would say my colleagues in (the federal industry department) demonstrate that on a weekly, monthly basis,” he said. “They would be the first to say, and they're very good at saying, is: ‘Well listen, the first intent is to get the right military capability. We want to have the offsets as well, and with a given market segment, what it is that we do and how do we do it.“' https://www.theglobeandmail.com/politics/article-canada-to-keep-paying-for-f-35-development-as-fighter-jet-competition

  • Davie souhaite une «grappe maritime»

    24 janvier 2019 | Local, Naval

    Davie souhaite une «grappe maritime»

    JEAN-MICHEL GENOIS GAGNON Le Soleil En prévision du passage du premier ministre du Canada dans la capitale vendredi, deux joueurs de l'industrie maritime du Québec dressent leurs demandes à Justin Trudeau en lien avec la Stratégie nationale de construction navale. Si rien n'est fait, de l'expertise et des emplois sont en danger. Chantier Davie souhaite que le Québec s'inspire de l'Europe pour faire évoluer sa stratégie navale. L'entreprise demande au gouvernement provincial de mettre sur pied une grappe maritime qui «permettrait de générer des milliards de dollars en retombées économiques», a appris Le Soleil. Dans un document présenté à l'occasion des consultations prébudgétaires, Davie dresse le portrait de sa situation ainsi que ses prévisions pour les années à venir. Si rien n'est fait, le chantier maritime de Lévis pourrait connaître de nouveau des jours sombres entre 2019 et 2020. Période où le carnet de commandes est presque à sec. De 1331 travailleurs en 2017, Davie sert de gagne-pain aujourd'hui à environ 200 personnes. Rappelons qu'au moment où le groupe Inocea, nouveau propriétaire, a pris les commandes en 2012, il n'y avait qu'une poignée de salariés, notamment des agents de sécurité et des employés d'entretien. Pour éviter d'autres problèmes de santé, Davie propose de faire du Québec un centre d'excellence pour l'Arctique spécialisé dans une niche de technologies et de classes de navires. Davie lance comme idée la création d'une grappe maritime, comme on retrouve en Finlande, en Norvège, aux Pays-Bas, en France et en Italie. «L'avantage concurrentiel d'une grappe maritime réside dans son intégralité et ses connexions, dans ses connaissances et compétences avancées ainsi que dans sa spécialisation régionale», notent des responsables du chantier maritime. «Les fournisseurs qui font affaire avec l'industrie maritime, même s'ils ne sont pas traditionnellement liés à celle-ci, augmentent considérablement leurs opportunités d'exportation», ajoutent-ils. Ces derniers estiment que le Québec possède actuellement tous les ingrédients pour créer une grappe maritime prospère. «Davie a construit le premier traversier au GNL en Amérique du Nord, Chantier Forillon a construit le premier traversier à piles en Amérique du Nord et Terragon de Montréal est le leader mondial des technologies de déchets marins écologiques». Stratégie maritime Pour y parvenir, Davie demande toutefois au gouvernement provincial de faire davantage pression sur Ottawa afin que le Québec obtienne sa juste part des 100 milliards $ investis dans la Stratégie nationale de construction navale. L'organisation réitère que ses rivaux n'ont toujours pas livré la marchandise. L'entreprise de Lévis juge que 23 % de la cagnotte de 100 milliards $ aiderait à faire de la province un leader à l'international. Un montant qui générerait «50 milliards $» en retombées économiques pour le Québec sur une période de 20 ans et qui assurerait le maintien de 8000 à 12 000 emplois directs et indirects. «Munie d'une telle base, la chaîne de valeur de la construction navale au Québec pourrait rivaliser avec les grands pays constructeurs navals européens», fait valoir Davie. «En 2016, la grappe maritime norvégienne a rapporté plus de 9,7 milliards $, a atteint une création de valeur de 2,7 milliards $ et a employé 18 000 personnes.» En décembre dernier, l'Assemblée nationale a adopté à l'unanimité une motion visant à appuyer la croisade du chantier maritime. Québec, qui reconnaît ainsi l'expertise de l'entreprise, réclame qu'Ottawa ajuste sa Stratégie nationale de construction navale et octroie, à court terme, à Davie un contrat pour un second navire ravitailleur de la classe Resolve. Cet accord qui vise la construction du navire Obelix pour la Marine royale canadienne — son jumeau l'Asterix avait coûté 650 millions $ — pourrait agir comme bouée de sauvetage et assurer du boulot à 1500 travailleurs. Sans le feu vert pour la construction de ce nouveau navire, Davie ne cache pas que certaines périodes pourraient être plus difficiles, et ce, même si des contrats ont récemment été signés. Contrat mal présenté Dans son document, la direction du chantier maritime affirme que le contrat de 610 millions $ lui étant octroyé par Ottawa pour la construction de trois brise-glaces pour la Garde côtière a été «faussement présenté». «En réalité, la vaste majorité de ce montant a servi à l'achat des navires déjà construits à l'étranger, et non pas pour les travaux ni pour des emplois au chantier». Quant aux travaux annoncés pour l'entretien des 12 frégates de la classe Halifax de la Marine royale canadienne, des contrats de 7 milliards $, Davie rappelle que ces chantiers ne commenceront que vers la fin 2020 et que le travail sera réparti entre les trois grands joueurs au pays, Davie, Irving Shipyards (Halifax) et Seaspan Shipyards (Victoria). «Les intervalles entre les travaux pour chacun de ces trois navires peuvent atteindre jusqu'à 9 mois. Cette charge de travail sporadique n'est pas suffisante pour maintenir le plus grand chantier naval canadien ni pour assurer des emplois stables et de valeur aux travailleurs de près de 900 entreprises locales», prévient Davie. https://www.latribune.ca/actualites/le-fil-groupe-capitales-medias/davie-souhaite-une-grappe-maritime-afc7b5ef4a1d96e31263d006e57e7b8a

Partagé par les membres

  • Partager une nouvelle avec la communauté

    C'est très simple, il suffit de copier/coller le lien dans le champ ci-dessous.

Abonnez-vous à l'infolettre

pour ne manquer aucune nouvelle de l'industrie

Vous pourrez personnaliser vos abonnements dans le courriel de confirmation.