24 août 2023 | International, C4ISR, Sécurité

US research interests closely tied to microelectronics industrial base

The Biden administration recently issued its research and development priorities for the fiscal 2025 budget.

https://www.c4isrnet.com/battlefield-tech/2023/08/24/us-research-interests-closely-tied-to-microelectronics-industrial-base/

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  • Leonardo DRS receives $62M contract for ship-based vertical launch system electronics

    12 août 2020 | International, Aérospatial

    Leonardo DRS receives $62M contract for ship-based vertical launch system electronics

    Arlington, VA, August 10, 2020 - Leonardo DRS, Inc. announced today that it was awarded a $62 million contract to provide critical electronics for missile launch capabilities for the Mark 41 Vertical Launching System (VLS) used by the United States Navy and international allies. Under the contract, the Leonardo DRS Airborne & Intelligence Systems business unit will produce and provide support for 118 motor control panels, a critical component on the VLS launch module. The panels control the opening and closing of the launch tube hatches, plenum drain valve and deluge while interfacing with the Launch Sequencer. “We have supplied motor control panels and other electronic control systems to the MK 41 VLS program for more than 30 years in support of this important mission,” said Dave Hammond, Senior Director of Mission Support for the Leonardo DRS's Airborne and Intelligence Systems line of business. “This contract exemplifies our commitment to supply quality electronics to support the US Navy and allied navies,” said Hammond. The MK 41 VLS is a flexible shipborne missile launching system designed to accept any missile into any cell while providing rapid-fire launch capability against hostile threats. There are 1,500 MK 41 VLSs deployed on surface ships in the United States Navy and more than 11 allied navies. The system requires minimal staffing and training compared to other ship-based missile launch systems, a revolutionary development in naval surface warfare. The MK 41 is capable of launching a variety of missiles in support of various warfighting missions, including, anti-air, anti-submarine, surface-to-surface and strike missions. Each cell in a launch module has options for different missiles to meet a variety of missions. The Motor Control Panel, Status Panel, Power Distribution Panels, Junction Boxes and Spares will be built at the company's Fort Walton Beach, Florida facility. About Leonardo DRS Leonardo DRS is a prime contractor, leading technology innovator and supplier of integrated products, services and support to military forces, intelligence agencies and defense contractors worldwide. Its Airborne & Intelligence Systems business unit is a global leader and strategic partner committed to delivering world-class, full life-cycle defense and intelligence products that protect the security of our nation and our allies. From air combat training to state-of-the-art electronic warfare systems, our technology is deployed by virtually all U.S. military and government agencies around the world. Headquartered in Arlington, Virginia, Leonardo DRS is a wholly owned subsidiary of Leonardo S.p.A. See the full range of capabilities at www.LeonardoDRS.com and on Twitter @LeonardoDRSnews. For additional information please contact: Michael Mount Vice President, Public Affairs +1 571 447 4624 mmount@drs.com View source version on Leonardo DRS: https://www.leonardodrs.com/news/press-releases/62m-contract-received-for-ship-based-vertical-launch-system-electronics/

  • US clears $3 billion Apache sale for Qatar

    10 mai 2019 | International, Aérospatial

    US clears $3 billion Apache sale for Qatar

    By: Aaron Mehta WASHINGTON — The U.S. State Department has cleared a potential foreign military sale deal of 24 AH-64E Apache attack helicopters, in a deal that could be worth up to $3 billion. The proposed sale would double Qatar's previous procurement of AH-64Es, which are used for “close air support, armed reconnaissance, and anti-tank warfare missions,” according to a notice posted on the Defense Security Cooperation Agency's website Thursday. “The helicopters will provide a long-term defensive and offensive capability to the Qatar peninsula as well as enhance the protection of key oil and gas infrastructure and platforms.” The notification is not a guarantee of a final sale. Congress can still weigh in, and once cleared by the Hill, negotiations between customer and supplier often lead to different prices or quantities. Included in the sale are the 24 helicopter bodies, 52 T700-GE-701D engines; 26 AN/ASQ-170 Modernized Target Acquisition and Designation Sight (MTADS); 26 AN/AAQ-11 Modernized Pilot Night Vision Sensors; 2,500 AGM-114R Hellfire missiles; 28 M230 30mm automatic chain guns, as well as other equipment and training. Primary work will be done at Boeing's Mesa, Ariz., facility, Lockheed Martin's Orlando, Fla,, location and General Electric's Cincinnati, OH facility, as well as other locations. There are no known industrial offsets in the deal. https://www.defensenews.com/global/mideast-africa/2019/05/09/us-clears-3-billion-apache-sale-for-qatar

  • Camille Grand : « Tous les alliés de l'Otan augmentent leurs dépenses de défense »

    11 juillet 2018 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR

    Camille Grand : « Tous les alliés de l'Otan augmentent leurs dépenses de défense »

    Camille Grand, secrétaire général adjoint de l'Otan, se veut rassurant sur les relations entre les Etats-Unis et l'Europe sur les questions de défense. JACQUES HUBERT-RODIER L'Organisation militaire qui unit les puissances occidentales n'est pas en danger, selon le secrétaire général adjoint de l'Otan. Les critiques répétées du président américain Donald Trump sur l'implication financière insuffisante des pays européens sont plutôt justifiées, selon lui, et ne devraient pas dégénérer en une confrontation ouverte. Le renforcement de l'Europe de la défense, complémentaire de l'Otan, serait également bien accepté outre-Atlantique, à condition qu'elle reste complémentaire dans ses développements. L'Otan peut-elle surmonter la tension entre les Etats-Unis, l'Europe et le Canada ? Ce n'est pas la première fois que l'Alliance atlantique connaît des tensions entre ses Etats membres. C'est arrivé avec le départ de la France des structures militaires intégrées dans les années 1960, puis au moment des décisions de déploiement des euromissiles dans les années 1980, et plus récemment lors de la guerre en Irak, en 2003. Mais les Alliés ont toujours su surmonter ces débats et il ne faut pas dramatiser ces tensions, d'autant plus que, sur les dossiers de fond, l'Otan avance et s'adapte. Certes, il y a aujourd'hui de vrais désaccords transatlantiques, mais sur des sujets extérieurs à l'Otan, comme sur le changement climatique,les questions de commerce international ou l'Iran. Ce ne sont pas des sujets sur l'agenda, quotidien ou régulier, de l'Otan. Le président Trump ne cesse de critiquer l'Otan... Malgré les critiques adressées aux Alliés par le président Trump, il y a aux Etats-Unis un consensus assez large sur le soutien à l'Otan et à la relation transatlantique. La forte critique sur le partage du fardeau financier de l'Alliance est un thème récurrent depuis des années de la part des Américains qui estiment, non sans raison, que les dépenses militaires sont trop déséquilibrées entre les Etats-Unis et les autres alliés. Les choses évoluent aujourd'hui. Européens et Canadiens font-ils assez pour leur défense ? Les Américains demandent aux Alliés de respecter l'objectif qu'ils se sont assignés eux-mêmes lors du sommet de 2014 à Newport, au pays de Galles , c'est-à-dire de parvenir à 2 % de leur PIB consacré à la défense en 2024 - dont 20 % pour l'investissement dans de nouveaux matériels et à la recherche et développement. Aujourd'hui, le tableau est contrasté : d'un côté, tous les Alliés ont augmenté leur effort de défense. Canadiens et Européens ont au total dépensé 87 milliards d'euros de plus. En 2018, huit alliés (1) consacreront au moins 2 % de leur PIB à la défense, contre trois il y a quatre ans. Dix-huit ont annoncé qu'ils atteindront cet objectif en 2024 ou peu après. La France s'y est, pour sa part, engagée pour 2025. De l'autre côté, il est vrai qu'un certain nombre de pays sont encore un peu en retrait et n'ont pas pris d'engagement clair pour parvenir aux 2 % en 2024, même s'ils augmentent leur effort. C'est un peu un débat sur le verre à moitié plein ou à moitié vide. Donald Trump accuse surtout l'Allemagne ? L'Allemagne s'est engagée fermement à parvenir à 1,5 % de son PIB en 2024. Ce qui constitue une augmentation déjà significative de ses dépenses pour une grosse économie. Parviendra-t-elle à 2 % dans un avenir rapproché ? Politiquement, c'est encore en discussion au sein de la coalition et du Bundestag. Techniquement, l'Allemagne, je pense, peut et doit y arriver car l'argument de dire « nous sommes un pays trop riche » n'est pas recevable alors que des pays plus pauvres font cet effort. Cela sera sans doute étalé dans le temps. Pourquoi 2 % ? Cet objectif existe depuis longtemps mais il est devenu politiquement très engageant depuis 2014 avec la promesse faite au sommet du pays de Galles. C'est un chiffre raisonnable si l'on compare à la période de la guerre froide où la plupart des pays de l'Otan étaient plutôt entre 3 % et 4 % du PIB, ou aux dépenses d'autres puissances majeures. Ce n'est pas une course frénétique aux armements mais une norme cohérente avec un environnement stratégique incertain et dégradé. L'Europe de la défense est-elle concurrente de l'Otan ? Ce débat est aujourd'hui largement dépassé. L'Europe de la défense et l'Alliance atlantique doivent être complémentaires. Si l'Otan plaide bien sûr pour éviter les duplications inutiles et assurer la meilleure coordination possible, les décisions récentes de l'Union européenne pour renforcer l'Europe de la défense sont bienvenues et utiles avec la mise en oeuvre de la coopération structurée permanente, et surtout avec des investissements dans le prochain cadre budgétaire européen 2021-2027 dans deux domaines importants vu de l'Otan : 6,5 milliards d'euros pour des infrastructures liées à la « mobilité militaire » et la création du Fonds européen de défense doté de 13 milliards d'euros. Certes, tout cela représente 1 % des dépenses de défense en Europe, mais cela aide à faire de l'Union européenne un acteur de la scène stratégique avec lequel l'Otan travaille dans un nombre croissant de domaines. Les relations entre les deux organisations sont denses et n'ont d'ailleurs sans doute jamais été aussi bonnes Comment voyez-vous les relations avec la Russie ? Depuis deux ans, l'Otan mène une double approche : d'une part, de dissuasion et de défense avec la consolidation du flanc oriental de l'Alliance gr'ce à une présence avancée, légère, de quatre bataillons dans les trois pays Baltes et en Pologne, et un renforcement de ses structures de commandement ; et, d'autre part, de dialogue. Depuis 2016, le conseil Otan-Russie (COR) s'est réuni sept fois. La rencontre du 16 juillet, à Helsinki, entre les présidents Poutine et Trump s'inscrit ainsi dans les échanges normaux et réguliers entre les leaders de l'Alliance et la Russie. La menace terroriste est-elle un autre sujet de préoccupation ? L'Otan est engagée dans la défense collective. C'est notre « coeur de métier ». Ce qui est nécessaire face à l'attitude russe des dernières années, comme en Ukraine avec l'annexion illégale de la Crimée. Mais elle l'est aussi dans la lutte contre le terrorisme. Plus de 16.000 soldats sous le drapeau Otan sont déployés en Afghanistan pour aider et soutenir l'armée afghane. L'organisation prépare, en outre, une mission d'entraînement en Irak. Ce qui est une contribution à la lutte contre Daech. La Turquie pose-t-elle un problème pour l'Alliance ? La Turquie est un allié majeur et toujours actif, depuis 1952, dans nos débats. Elle est confrontée à des défis de sécurité exceptionnels du fait de sa situation stratégique et de la menace terroriste. La situation dans le nord de la Syrie a pu donner lieu à quelques tensions. Actuellement, il y a cependant une feuille de route américano-turque sur la Syrie, et les tensions et les incompréhensions sont moins perceptibles. https://www.lesechos.fr/monde/enjeux-internationaux/0301937638238-camille-grand-tous-les-allies-de-lotan-augmentent-leurs-depenses-de-defense-2191399.php

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