10 janvier 2024 | Local, Aérospatial

RCAF aircrew assist in Arctic search and rescue - Skies Mag

Despite high winds and blowing snow, a 435 Squadron SAR crew parachuted at night to help injured passengers of an Air Tindi Twin Otter.

https://skiesmag.com/news/rcaf-aircrew-assist-in-arctic-search-and-rescue/

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  • Eye in the sky: Diamond Aircraft's DA62 MPP special mission platform - Skies Mag

    14 septembre 2022 | Local, Aérospatial

    Eye in the sky: Diamond Aircraft's DA62 MPP special mission platform - Skies Mag

    Diamond Aircraft’s special mission flagship, the DA62 MPP, is proving that a light fixed-wing aircraft is ideal for surveillance missions, thanks to the aircraft’s cost-effectiveness and increased capability.

  • Le ministère de la Défense nationale et les Forces armées canadiennes tiennent des consultations publiques ouvertes auprès de tous les Canadiens concernant la mise à jour de la politique de défense du Canada

    9 mars 2023 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité, Autre défense

    Le ministère de la Défense nationale et les Forces armées canadiennes tiennent des consultations publiques ouvertes auprès de tous les Canadiens concernant la mise à jour de la politique de défense du Canada

    Le 9 mars 2023 – Ottawa (Ontario) – Défense nationale/Forces armées canadiennes Aujourd’hui, le ministère de la Défense nationale (MDN) et les Forces armées canadiennes (FAC) ont annoncé le lancement de consultations publiques auprès de tous les Canadiens concernant la mise à jour de la politique de défense, annoncée dans le budget de 2022. Cette mise à jour s’appuiera sur la politique de défense actuelle du Canada, Protection, Sécurité, Engagement (PSE), et permettra aux FAC d’intervenir en cas de menaces dans le nouveau contexte de sécurité mondiale. La politique de défense du Canada PSE, lancée en 2017, est notre plan sur 20 ans visant à fournir aux FAC les capacités, l’équipement et la culture nécessaires pour anticiper les menaces, y répondre et protéger la population canadienne. Bien que la politique PSE ait correctement cerné les tendances qui façonnent le contexte de sécurité mondiale, le paysage géopolitique a considérablement changé depuis 2017 et une mise à jour est de toute évidence nécessaire. L’invasion de l’Ukraine par la Russie a changé le contexte de menace, tout comme les cybermenaces plus fréquentes, la modernisation militaire de la Russie et de la Chine, la présence croissante d’acteurs non traditionnels dans les conflits, l’accélération et l’intensification du changement climatique et le rôle accru des Forces armées canadiennes dans les interventions lors de crises nationales. Pour assurer l’efficacité des FAC face à ces menaces, nous devons continuer de mettre l’accent sur la mise en place d’un changement culturel durable et positif au sein de nos forces armées. Pour ces raisons, le ministère de la Défense nationale et les Forces armées canadiennes procèdent à un examen de la politique PSE pour veiller à ce que nous puissions continuer à être prêts, résilients et compétents pour réagir à toute menace dans ce nouveau contexte de sécurité mondiale. Compte tenu des défis auxquels nous sommes confrontés en matière de sécurité, nous cherchons à recruter et à maintenir en poste un plus grand nombre de membres des FAC, et à faire en sorte qu’ils se sentent protégés et respectés lorsqu’ils portent l’uniforme. Nous continuerons d’aller de l’avant avec la Directive pour la reconstitution des FAC, la Stratégie de maintien des effectifs et les autres nouvelles initiatives de recrutement annoncées au cours de la dernière année, ainsi qu’avec les recommandations novatrices de l’ancienne juge de la Cour suprême, madame Louise Arbour, que la ministre Anand a demandé au MDN et aux FAC de mettre en œuvre. Cet examen de la politique de défense du Canada est effectué alors que nous continuons à progresser vers les priorités de défense déjà annoncées et à nous en inspirer. Protéger les Canadiens sera toujours la plus importante mission des Forces armées canadiennes. En 2022, nous avons annoncé un investissement de 38,6 milliards de dollars au cours des vingt prochaines années pour moderniser le NORAD. Nous renforçons notre sécurité dans l’Arctique grâce à des exercices interarmées, à six nouveaux navires de patrouille extracôtiers et de l’Arctique, et à des capacités de surveillance et de renseignement améliorées que nous continuons d’acquérir dans le cadre de la politique PSE. Les Forces armées canadiennes participent aussi plus fréquemment à des missions nationales en réponse à la pandémie de COVID‑19, à des feux de forêt et à des inondations – soutenant les collectivités partout au pays lorsqu’elles sont appelées à le faire. Alors que les changements climatiques continuent de menacer le Canada et le monde entier, cette mise à jour permet d’examiner les capacités nécessaires pour protéger les Canadiens au cours des années à venir – et cela pendant que le MDN et les FAC prennent aussi des mesures pour réduire leur propre impact sur l’environnement. La mise à jour de la politique de défense s’appuiera également sur les importantes contributions du Canada en matière de défense à ses alliés et partenaires européens, notamment en offrant de la formation à plus de 35 000 membres des forces de sécurité de l’Ukraine dans le cadre de l’opération UNIFIER depuis 2015, en faisant des dons d’aide militaire à l’Ukraine évalués à plus d’un milliard de dollars, et en assurant des vols réguliers pour acheminer cette aide en Europe. Dans le cadre de l’opération REASSURANCE, le Canada a été actif sur terre, dans les airs et en mer pour renforcer la sécurité sur le flanc oriental de l’OTAN. Ce travail se poursuivra avec tout le sérieux qu’il mérite, notamment grâce au soutien des 8 milliards de dollars sur cinq ans en nouvelles dépenses en défense allouées dans le budget de 2022. La mise à jour de la politique de défense est également réalisée alors que le Canada accroît sa présence dans la région indopacifique en adoptant sa Stratégie pour l’Indo-Pacifique récemment annoncée, qui vise à renforcer la présence des FAC dans la région en organisant davantage de formations et d’exercices et en déployant une frégate supplémentaire. Les FAC continuent aussi de contribuer aux opérations de paix des Nations Unies partout dans le monde et se tiennent prêtes à intervenir lors d’urgences internationales avec des capacités comme l’Équipe d’intervention en cas de catastrophe (EICC). Au cours des derniers mois, les représentants du ministère de la Défense nationale, membres des FAC et la ministre de la Défense nationale ont collaboré avec leurs partenaires pour cerner les défis que la mise à jour de la politique de défense doit permettre de relever, ainsi que les moyens pour y parvenir. Nous sommes maintenant impatients d’accueillir les commentaires du public et des intervenants canadiens concernant nos prochaines étapes. Ces consultations comprennent : une nouvelle plateforme Web au moyen de laquelle tous les Canadiens peuvent fournir leurs commentaires et suggestions en réponse aux domaines d’intérêt de la mise à jour de la politique de défense; des tables rondes avec des dirigeants de l’industrie canadienne et des entreprises canadiennes de défense et de sécurité; des tables rondes avec des experts canadiens en défense et en sécurité, y compris des universitaires; des opinions de députés et de sénateurs; des discussions avec les collectivités et les dirigeants autochtones, ainsi qu’avec d’autres ordres de gouvernement; et la poursuite des discussions de haut niveau avec les Alliés de l’OTAN, les responsables du NORAD, les représentants du Groupe des cinq, et les partenaires internationaux, dont bon nombre d’entre eux procèdent également à des processus d’examen semblables. Les représentants de l’industrie, les experts, les gouvernements, les partenaires autochtones, les organisations civiles, les parlementaires et tous les Canadiens sont invités à faire part de leurs commentaires, notamment sur les cinq thèmes suivants : appuyer nos effectifs; bâtir la capacité organisationnelle; maintenir et adapter les capacités essentielles des FAC; mettre à niveau les défenses continentales et de l’Arctique; et acquérir les capacités pour les conflits modernes. Ces commentaires seront essentiels pour mettre à jour la politique de défense du Canada et veiller à ce que notre pays soit prêt à réagir à toute menace nouvelle et émergente dans le paysage géopolitique actuel, tout en créant des possibilités économiques et des emplois pour les Canadiens. Ces engagements viendront compléter les discussions en cours menées par la ministre de la Défense nationale et les hauts fonctionnaires du MDN et des FAC avec les partenaires de l’industrie, les experts en défense et en sécurité, les parlementaires, les communautés autochtones et les alliés et partenaires internationaux au sujet de la mise sur pied de forces armées modernes du 21e siècles capables de relever les défis actuels et futurs en matière de sécurité. Ils s’appuieront également sur les vastes consultations pluriannuelles que le MDN et les FAC ont menées pour élaborer la politique Protection, Sécurité, Engagement, sur les consultations d’un large éventail de partenaires qui ont précédé la publication du plan canadien de modernisation du NORAD, et sur les récents engagements ciblés avec les partenaires concernant la mise à jour de la politique de défense. Nos prochains engagements se tiendront avec les partenaires de l’industrie, les experts, les gouvernements, les alliés, les parlementaires, les partenaires autochtones et le public canadien dans le cadre de divers forums pour nous assurer de bien faire les choses.  Faits en bref En 2017, le Canada a publié sa politique de défense, Protection, Sécurité, Engagement (PSE) – un plan sur 20 ans visant à fournir aux Forces armées canadiennes (FAC) les capacités, l’équipement et la culture nécessaires pour anticiper les menaces et y répondre. La politique prévoit une augmentation des dépenses de défense de plus de 70 % au cours de la période de 2017 à 2026. En plus des augmentations prévues dans la politique PSE, le budget de 2022 a annoncé un investissement total de 8 milliards de dollars en nouveau financement de défense sur cinq ans. Au printemps 2022, la ministre Anand a annoncé le plan canadien de modernisation du NORAD. Ce plan prévoit un investissement de 38,6 milliards sur vingt ans afin de moderniser les capacités canadiennes du NORAD qui permettent de protéger les Canadiens. Au printemps 2022, la ministre Anand a accepté le rapport final de l’examen externe indépendant et complet. En décembre 2022, la ministre Anand a présenté son rapport au Parlement précisant les mesures prévues pour répondre à chacune des 48 recommandations formulées dans le rapport afin d’instaurer un changement culturel durable et significatif au sein du ministère de la Défense nationale et des Forces armées canadiennes. Le soutien à l’Ukraine est une priorité absolue pour le ministère de la Défense nationale et les Forces armées canadiennes. Depuis février 2022, le Canada s’est engagé à accorder à l’Ukraine une aide militaire d’une valeur de plus d’un milliard de dollars, en plus de ses efforts en cours déployés pour former les membres des forces armées de l’Ukraine et transporter l’aide militaire à destination de l’Ukraine à bord d’aéronefs de l’Aviation royale canadienne (ARC) en Europe. En novembre 2022, le Canada a publié sa Stratégie pour l’Indo-Pacifique, qui prévoit une présence militaire canadienne accrue dans cette région. Le budget de 2022 annonçait un examen de la politique Protection, Sécurité, Engagement pour permettre au Canada de mettre à jour sa politique de défense actuelle. Nous invitons tous les Canadiens et les intervenants de la Défense à visiter notre plateforme Web pour obtenir les plus récentes informations concernant le processus de mise à jour de la politique de défense et fournir des commentaires en ligne sur nos prochaines étapes. Les soumissions seront examinées et prises en considération du 9 mars au 30 avril 2023 afin d’orienter les prochaines étapes.   https://www.canada.ca/fr/ministere-defense-nationale/nouvelles/2023/03/le-ministere-de-la-defense-nationale-et-les-forces-armees-canadiennes-tiennent-des-consultations-publiques-ouvertes-aupres-de-tous-les-canadiens-co.html

  • Canada caught off guard by new security pact between U.S., Australia and Britain

    20 septembre 2021 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Canada caught off guard by new security pact between U.S., Australia and Britain

    ROBERT FIFEOTTAWA BUREAU CHIEF STEVEN CHASESENIOR PARLIAMENTARY REPORTER OTTAWA PUBLISHED SEPTEMBER 17, 2021 The Canadian government was surprised this week by the announcement of a new security pact between the United States, Britain and Australia, one that excluded Canada and is aimed at confronting China's growing military and political influence in the Indo-Pacific region, according to senior government officials. Three officials, representing Canada's foreign affairs, intelligence and defence departments, told The Globe and Mail that Ottawa was not consulted about the pact, and had no idea the trilateral security announcement was coming until it was made on Wednesday by U.S. President Joe Biden, British Prime Minister Boris Johnson and Australian Prime Minister Scott Morrison. The defence ministers from the U.K. and Australia reached out to Defence Minister Harjit Sajjan to inform him of the decision shortly before the late-afternoon announcement. Foreign Affairs Minister Marc Garneau received a call from his Australian counterpart. Daniel Minden, a spokesperson for Mr. Sajjan, said Ottawa had been kept in the loop on talks between the countries. One of the Canadian officials referred to the pact as the new “Three Eyes” and said it's clear that Canada's closest allies consider Ottawa to be a “weak sister” when it comes to standing up to China. The Globe and Mail is not identifying the officials because they were not authorized to discuss the matter publicly. Three Eyes is a reference to what is becoming a smaller club within the Five Eyes intelligence-sharing alliance, which includes the United States, the United Kingdom, Australia, Canada and New Zealand. The Five Eyes pact dates back about 75 years. Members share signals intelligence gleaned from intercepted communications, as well as military intelligence and intelligence gathered directly from human sources. The new trilateral alliance, dubbed AUKUS, after the initials of the three countries, will allow for greater sharing of information in areas such as artificial intelligence and cyber and underwater defence capabilities. The U.S. and U.K. have also agreed to help Australia acquire nuclear-powered submarines, which would allow it to conduct longer undersea patrols. Australia will become only the second country, after Britain in 1958, to be given access to U.S. nuclear propulsion technology. Prime Minister Justin Trudeau on Thursday played down Canada's exclusion from the Indo-Pacific security deal, saying it is merely a way for the U.S. to sell nuclear submarines to Australia. Speaking to reporters in Montreal, Mr. Trudeau said Canada will still have access to defence and intelligence sharing as a member of the Five Eyes alliance. “We continue to be strong members of the Five Eyes,” he said. “This is a deal for nuclear submarines, which Canada is not currently or any time soon in the market for. Australia is.” Retired Vice-Admiral Mark Norman, who once commanded the Royal Canadian Navy, said Canada should have been part of this defence pact, which he described as a “somewhat unprecedented” trilateral arrangement. He said he was surprised to hear Mr. Trudeau play down the pact as merely a submarine purchase deal. “I think it's misleading and concerning ... I would like to believe he was poorly briefed by his staff,” Mr. Norman said. The retired naval flag officer said that, if Mr. Trudeau was fully briefed, “he doesn't understand what is going on internationally and he doesn't understand what the significance of an arrangement like this is as it relates to international security.” He said the agreement goes far beyond access to U.S. submarine technology. “This is about accessing both current and emerging technologies, from cyber and artificial intelligence, to acoustics and underwater warfare – a whole range of very important strategic capabilities.” Mr. Norman said Canada has many national interests in the Indo-Pacific – including trade, promoting the rule of law and democracy, and countering China's aggressive behaviour and posturing – but he suspects close allies do not take Canadian defence commitments seriously. “I don't think our allies think we are serious when it comes to defence. I think they have concerns not just about our defence expenditures, but also the extent to which our [international] commitments are both lasting and meaningful,” he said. Stephanie Carvin, a former national security analyst and an associate professor of international relations at Carleton University, said the U.S.-U.K.-Australia defence pact is the latest evolution of military and intelligence co-operation between those three countries. “Three Eyes is very real,” Prof. Carvin said. “Australia is strategic in making its presence known in Washington, arguably much more than Canada despite it being geographically closer.” She said Canada not being a part of the new agreement is consistent with the country's low engagement in the Indo-Pacific. “We haven't been part of a military alliance in the Pacific since the Korean War. And the government has never addressed the question of if this is still the correct security posture.” The leaders of the Conservative and New Democratic parties criticized Mr. Trudeau for Canada's exclusion from the pact. AUKUS, they said, could put added pressure on China to respect international norms and rein in its expansionism. “This is another example that Mr. Trudeau is not taken seriously by our friends and allies around the world,” Conservative Leader Erin O'Toole told reporters at a campaign stop on Thursday. “Canada is becoming more irrelevant under Mr. Trudeau.” Mr. O'Toole said he would seek to join the new Indo-Pacific security arrangement if the Conservatives are elected on Monday. NDP Leader Jagmeet Singh, speaking to reporters on Thursday, questioned whether Mr. Trudeau had given serious thought to the importance of the new trilateral pact while preoccupied with campaigning. By joining this arrangement, Canada could have ratcheted up pressure on China to free Canadians Michael Spavor and Michael Kovrig, Mr. Singh said. “The pact seems like a potential avenue to add more pressure [on China]. Canada was absent. Another reason why this election should not have been called,” Mr. Singh told reporters. The U.S., U.K., Australia and Indo-Pacific countries have been growing alarmed about how Beijing is rapidly modernizing its armed forces and increasing its military presence in the disputed waters of the South China Sea and the East China Sea. China reacted harshly to the new partnership. The three countries are “severely damaging regional peace and stability,” said Chinese foreign ministry spokesperson Zhao Lijian. White House spokesperson Jen Psaki defended the U.S. decision, saying “we do not seek conflict with China.” Instead, she said, this is “about security in the Indo-Pacific.” The submarine deal also represented a blow for France, because Australia intends to tear up a $40-billion agreement to buy French conventional submarines. French Foreign Minister Jean-Yves Le Drian called the loss of the deal a “stab in the back.” Speaking at a news conference after meetings between the U.S. and Australian foreign and defence ministers in Washington, U.S. Secretary of State Antony Blinken said France remains a “vital partner” in the Indo-Pacific region. https://www.theglobeandmail.com/politics/article-canadian-government-surprised-by-new-indo-pacific-security-pact/

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