11 octobre 2018 | Local, Aérospatial

Purchase of three spy planes from the U.S. could cost Canada $140 million more than planned

DAVID PUGLIESE, OTTAWA CITIZEN

Canadian companies had wanted to provide the aircraft, but the Canadian military decided it needed the planes quicker than they believed Canadian firms could deliver

The cost of three small surveillance aircraft Canada is buying from the U.S. could be $140 million more than the Canadian military had originally estimated.

The three Beechcraft King Air planes, to be based at CFB Trenton in Ontario, will be outfitted with sensors and equipment to intercept cell phone and other electronic transmissions. Canadian special forces and, potentially, other government departments will use them for missions overseas and in Canada.

On Oct. 1 the Canadian Forces told Postmedia the three outfitted planes and initial in-service support would cost between $100 million and $249 million, as outlined in the Liberal government's defence policy documents.

However, on Oct. 4 the U.S. Defense Security Cooperation Agency revealed the final tally, informing Congress that the deal was underway with an estimated cost of US $300 million — around $389 million.

Canadian companies had wanted to provide the aircraft and on-board equipment, and several have formed alliances with U.S. firms who supply the Pentagon with the same or similar aircraft.

But the Canadian military decided it needed the planes more quickly than they believed Canadian companies could deliver, and that U.S. security regulations governing the on-board sensor equipment might cause delays. As a result, it determined the U.S. government was the only supplier capable of providing the planes.

The Canadian Forces says it hopes to get a better deal. The cost the U.S. government agency presented to Congress is not the final tally and the “final cost is anticipated to be much lower,” the Canadian Forces claimed in an email. “Over the coming months, we will work to more clearly define our interests and requirements for the purchase, and negotiate an acceptable price with the U.S.,” the email said.

Department of National Defence spokeswoman Ashley Lemire said in an email to Postmedia that the delivery of the first plane would take place sometime between 2020 and 2021. The final delivery of the three aircraft would be wrapped up by 2022.

The main contractor is Beechcraft in Wichita, Kan.

The Canadian government will run a separate program to allow companies to compete to provide in-service support for the planes. The government expects to ask for bids for that 20-year contract sometime in the spring of 2019, said Lemire. DND declined to provide an estimate of what that long-term support would cost taxpayers.

Industry representatives have complained over the years that the Canadian Forces cut domestic firms out of the project and reduced the role they could play. Lemire rejected that claim, saying Canadian firms would have a role in servicing the planes.

https://calgaryherald.com/news/purchase-of-three-spy-planes-from-the-u-s-will-cost-canada-140-million-more-than-planned

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Cette collaboration mène à la création d'emplois hautement spécialisés qui jouent un rôle essentiel dans l'essor de l'économie numérique du Canada. » L'honorable Navdeep Bains, ministre de l'Innovation, des Sciences et du Développement économique « Les robots spatiaux dotés d'intelligence artificielle élargiront la portée de l'exploration spatiale habitée et aideront le Canada à se maintenir à l'avant-plan dans ce domaine technologique crucial. Les robots canadiens ont construit la Station spatiale internationale et sont utilisés à 400 km d'altitude. Quant aux robots de la station spatiale lunaire, à 400 000 km de distance, ils auront besoin d'intelligence artificielle pour fonctionner avec une certaine autonomie pendant de longues périodes. MDA est fière de collaborer avec Menya Solutions pour mettre au point et utiliser ces technologies essentielles. » Mike Greenley, président du groupe MDA « Menya Solutions est heureuse et fière de travailler avec l'Agence spatiale canadienne et MDA sur les robots autonomes intelligents de prochaine génération. Cette collaboration avec ces chefs de file mondiaux des domaines de l'espace et de la robotique créera pour notre entreprise des opportunités dans d'autres secteurs et contribuera à sa croissance. Elle s'inscrit aussi très bien dans nos efforts constants visant à aider diverses organisations à faire appel à des solutions qui aident les humains et les machines à prendre des décisions, à améliorer les conditions de vie et de travail, et à nous permettre d'économiser de l'argent, de gagner du temps et de sauver des vies. » Froduald Kabanza, PDG, Menya Solutions En bref D'ici 2020, le Canadarm2 pourra effectuer certaines t'ches sans intervention humaine, comme se déplacer autour de la Station spatiale internationale pour l'examiner et déceler tout problème. Le Canadarm2 et Dextre pourraient un jour être en mesure de s'occuper des charges utiles et de faire seuls des réparations. L'Agence spatiale canadienne et MDA développeraient aussi le savoir-faire pour qu'il soit possible d'attraper de manière autonome les vaisseaux-cargos acheminés à la Station. Selon les prévisions de PricewaterhouseCoopers, la contribution de l'intelligence artificielle à l'économie mondiale devrait s'élever jusqu'à 15,7 billions de dollars américains d'ici 2030. Le secteur spatial contribue pour 5,5 milliards de dollars et 10 000 emplois à l'économie canadienne chaque année. Quelque 92 % des entreprises du secteur spatial canadien sont des PME. Plus de 500 organisations canadiennes ont été des intervenants de la chaine d'approvisionnement liée à la construction et à la maintenance des robots canadiens à la Station spatiale internationale, des ateliers jusqu'aux entreprises de développement logiciel. Suivez-nous dans les médias sociaux! Site Web : http://asc-csa.gc.ca SOURCE Agence spatiale canadienne https://www.newswire.ca/news-releases/le-leadership-du-canada-dans-le-domaine-de-lintelligence-artificielle-setend-au-secteur-spatial-701072611.html

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