3 décembre 2023 | Local, Aérospatial

Canada Selects Boeings P-8A Poseidon as its Multi-Mission Aircraft

The P-8 is the only proven, in-service and in-production solution that meets all CMMA requirements, including range, speed, endurance and payload capacity

https://www.epicos.com/article/782388/canada-selects-boeings-p-8a-poseidon-its-multi-mission-aircraft

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  • Remplacement d’avions de surveillance | Un contrat de plusieurs milliards intéresse Bombardier et Boeing

    26 décembre 2022 | Local, Aérospatial

    Remplacement d’avions de surveillance | Un contrat de plusieurs milliards intéresse Bombardier et Boeing

    Un contrat multimilliardaire d’avions de surveillance pour les Forces armées canadiennes se profile et intéresse deux rivaux qui se connaissent bien : Bombardier et Boeing. Le premier tente d’accroître son exposition au secteur militaire et l’autre aimerait revenir dans les bonnes grâces d’Ottawa.

  • Nouveaux grades inclusifs en anglais pour les matelots de la Marine royale canadienne

    27 août 2020 | Local, Naval

    Nouveaux grades inclusifs en anglais pour les matelots de la Marine royale canadienne

    Le 27 août 2020 – Ottawa – Défense nationale / Forces armées canadiennes La Marine royale canadienne (MRC) ne cesse de s'efforcer de créer un milieu de travail inclusif, en mer comme au pays. En s'appuyant sur les résultats d'un sondage ayant récolté plus de 18 000 réponses, la MRC a choisi de nouveaux noms de grades ne portant pas la marque du genre en anglais pour les matelots, afin de s'éloigner des grades actuels (formés avec le terme « seaman »), qui ne reflètent pas la MRC d'aujourd'hui, une organisation moderne et tournée vers l'avenir. Les grades subalternes de la MRC en anglais seront désormais : sailor third class (anciennement ordinary seaman), sailor second class (anciennement able seaman), sailor first class (anciennement leading seaman) et master sailor (anciennement master seaman). Ces changements, tout en aidant à conserver l'histoire associée à ces rôles, viennent harmoniser les désignations de grades en anglais sur celles des grades en français. Ces nouveaux grades en anglais entreront en vigueur au moment de la diffusion d'un CANFORGEN au début du mois de septembre. À compter de cette date, les marins commenceront à utiliser les nouveaux grades en anglais pour s'adresser à leurs camarades de bord. En continuant d'être une organisation ouverte et inclusive, la MRC montre aux Canadiennes et aux Canadiens qu'elle respecte les valeurs qu'ils défendent, puisqu'elle ne cesse de protéger ces valeurs, tant au pays qu'à l'étranger. Médias sociaux @RoyalCanNavy @MarineRoyaleCan @CRCN.CMRC Citations « L'adoption de grades sans désignation de genre en anglais pour les matelots de la Marine royale canadienne montre à toute la population canadienne que les Forces armées canadiennes accueillent quiconque souhaite servir le pays et faire respecter les valeurs d'inclusion et de diversité. Nous continuerons de viser l'atteinte d'un effectif diversifié à l'image des Canadiennes et les Canadiens que nous protégeons. » – L'honorable Harjit S. Sajjan, ministre de la Défense nationale « La Marine royale canadienne, notre plus ancienne force, continue de s'adapter pour mieux représenter la société canadienne. L'annonce aujourd'hui des changements apportés aux grades de matelots en anglais représente un exemple des façons dont nous continuons à nous efforcer d'éliminer les obstacles à l'inclusion dans les Forces armées canadiennes. » – Le général Jonathan Vance, chef d'état-major de la défense « L'Équipe de la Défense se réjouit d'apprendre que la Marine royale canadienne (MRC) a changé les noms des grades des matelots en anglais pour adopter des noms de grades sans distinction de genre. Cette initiative marque une étape importante pour que tous les membres de notre famille de la Défense soient reconnus et puissent servir fièrement dans la MRC. » – Jody Thomas, sous-ministre de la Défense nationale « La Marine royale canadienne a largement profité des discussions au sujet de l'initiative de changement des grades de matelots en anglais cet été. Nous en ressortons avec une meilleure connaissance de notre identité, ainsi qu'avec une constatation de la réalité qui nous porte à réfléchir au fait que nous devons tous en faire plus – sur le plan individuel et collectif – pour être une organisation diversifiée, inclusive et accueillante. Sur une note positive, nous pouvons compter sur la satisfaction de savoir que gr'ce à cette initiative, nous avons franchi une autre étape importante et très concrète pour faire en sorte que la MRC continue d'être la force moderne que tous nos camarades de bord méritent, et même que notre pays mérite. » – Le vice-amiral Art McDonald, commandant de la Marine royale canadienne Faits en bref Dans un effort de faire correspondre les nouveaux grades de matelots en anglais aux pensées et aux idéaux de la Marine royale canadienne, ainsi qu'à ceux des Canadiens, un sondage interne et externe a été mené. Les résultats ont servi à éclairer la prise de décision pour les nouvelles désignations de grades de matelots en anglais. La décision des nouveaux noms de grades de matelots en anglais a été influencée par la nette préférence des matelots pour l'appellation « sailor » suivie des classes. Par ailleurs, cette nouvelle désignation s'harmonise avec la façon de désigner les grades de matelots en français. Ce changement de grades de matelots en anglais représente l'occasion de réitérer notre engagement à l'égard d'une organisation inclusive, diversifiée, sans discrimination de genre, accueillante et sûre. La diversité et l'inclusion sont considérées comme des sources de force et de souplesse, et elles jouent un rôle instrumental pour faire de la MRC une organisation moderne et tournée vers l'avenir. Pour atteindre cet objectif, la MRC s'est engagée à accroitre la diversité et à promouvoir l'inclusion dans ses rangs. Liens connexes Marine royale canadienne Personnes-ressources Relations avec les médias Ministère de la Défense nationale Téléphone : 613-904-3333 Courriel : mlo-blm@forces.gc.ca https://www.canada.ca/fr/ministere-defense-nationale/nouvelles/2020/08/nouveaux-grades-inclusifs-en-anglais-pour-les-matelots-de-la-marine-royale-canadienne.html

  • Saudis fall $1.8B behind in payments for arms deal with Canada

    20 décembre 2018 | Local, Terrestre

    Saudis fall $1.8B behind in payments for arms deal with Canada

    NORMAN DE BONO Saudi Arabia has fallen behind in making payments on its $15-billion arms deal with Canada, a contract that Prime Minister Justin Trudeau has said he's looking for ways to halt. The Saudi government was short $1.8 billion in payments to the end of September for light-armoured vehicles assembled at General Dynamics Land Systems Canada (GDLS) in London, according to financial statements from the Canadian Commercial Corp., the federal Crown corporation overseeing the controversial contract. “It is a problem. There is concern, absolutely,” a federal official with knowledge of the agreement told The London Free Press on Wednesday. The arrears on the deal can be traced to a new regime in Saudi Arabia since the agreement was signed in 2014, and there have been delays in payments since the change, said the official, who declined to be identified. “That changed the way everything worked, including payments,” he said of the desert kingdom's new leadership. However, since September the oil-rich country has been making payments and has reduced the amount owed, the official added. The deal, which the Liberals are under pressure to scuttle amid Saudi human rights abuses, including the slaying of dissident journalist Jamal Khashoggi at the country's consulate in Turkey, affects thousands of workers in the London area and in a supply chain that extends nationwide. Trudeau, whose government inherited the deal from former prime minister Stephen Harper's Conservatives, said publicly this week for the first time that the Liberals are trying to find a way to stop the sale involving hundreds of light-armoured military vehicles built by the Canadian division of American defence giant General Dynamics. The report by the Crown corporation handling the sale says “trade receivables” are short $1.86 billion as of quarterly statements ending Sept. 30, and that payments have been sparse over the course of about one year. “The significant increase in past due trade receivables, is mostly attributable to the ABP contract,” the report says, referring to the armoured brigades program. “Trade receivables are considered past due when the payor has failed to make the payment by the contractual due date.” The payment issue hasn't been helped by recent public musings by Trudeau, who on Sunday told CTV's Question Period the government is looking for a way to halt the sale. “We are engaged with the export permits to try and see if there is a way of no longer exporting these vehicles to Saudi Arabia,” he said, without being specific. Such a move would devastate GDLS Canada's 1,800-member workforce in London, as well as thousands of jobs with supplier companies, said David Perry, a senior analyst with the Canadian Global Affairs Institute think-tank. The Saudis may now feel even less inclined to write a cheque, he added. “It does not give the Saudis a reason to catch up on payments. The government of Canada is responsible for making sure GDLS gets paid for the work it has done,” said Perry. It also makes even less sense that Ottawa should want out of the deal now, he added. Not only would the federal government incur billions of dollars in penalties, according to GDLS Canada, but the Saudis aren't likely to pay the balance owed. “It does not make sense. It would leave the government out of pocket,” said Perry. A review of the quarterly reports suggest payments began slowing about a year ago, he added. “We are right back to dealing with an unreliable client, and that is a problem,” said London-Fanshawe NDP MP Irene Mathyssen. “Work has been done and they have not seen fit to pay their obligation.” She also slammed Trudeau for creating uncertainty around the issue. “It is a problem, it creates stress. The PM cannot make up his mind about what to do.” As for why payments aren't being made, Mathyssen cites reports of financial issues with the Saudi government. Media in May reported soaring debt in Saudi Arabia and economic woes as a result of low oil prices. “There have been reports they overspent, they do not have the cash they once did,” said Mathyssen. “Saudis are used to dictating to the world because they hold such significant oil reserves. They are used to calling the shots.” The Canadian Commercial Corp. (CCC) helps businesses sell overseas and works with foreign governments to buy here. It declined comment on the quarterly reports, saying financial matters between the Crown corporation and business are confidential. “CCC is bound by commercial confidentiality, and, as such, we are not able to disclose the details of our contracts or their management,” the company wrote in an email message. James Bezan, the Conservative critic for national defence, blamed Global Affairs Minister Chrystia Freeland for the slowing cash flow. Her tweets in May criticizing the Saudi human rights record coincide with fewer payments made, he said. “It is concerning. It occurred after irresponsible tweets from Freeland rather than working through proper diplomatic channels,” he said. “The Liberals are prepared to trade away good jobs in London and southern Ontario rather than deal with this at a diplomatic level.” Bezan encouraged the government to find other ways to pressure the Saudis, such as targeting oil imports here, instead of cancelling a contract that would result in massive job losses. “GDLS has been on time, and on budget,” and would be the ones punished. “The government has the responsibility to work through the payments in a timely fashion,” he said. TRUDEAU WEIGHS IN ON SAUDI DEAL Speaking to reporters at a year-end news conference, Prime Minister Justin Trudeau was asked about whether he'll cancel the Saudi arms deal serviced by a major London defence contractor. “Our priority since Day 1 has been thinking about the Canadian jobs, the workers in London, and in the supply chains that have fed into this contract. We know that there are a lot of hard-working families in London who rely on these jobs, and we're going to keep those jobs in mind.” Says the contract, signed by the previous Conservative government, includes a confidentiality clause that prevents him from discussing what's in it, or the nature of the penalties for breaking the contract. Says Canadians are increasingly questioning whether the country should do business with Saudi Arabia. Called it a “complex situation.” Says he's been answering questions about the deal since taking office Says he'll continue to reflect on the “best path forward for Canada and for Canadians.” https://lfpress.com/news/local-news/saudis-fall-1-8b-behind-in-under-fire-arms-deal-with-canada

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