18 juin 2024 | Local, Terrestre

Ombudsman flags inequities CAF members face when they have limited or no grievance rights

 The National Defence and Canadian Armed Forces Ombudsman, Gregory A. Lick, released a report today titled Getting Redress Right: An investigation into the inequities Canadian Armed Forces (CAF) members face when they have limited or no grievance rights. This is Mr. Lick’s final report before his mandate ends on July 2nd.

https://www.canada.ca/en/ombudsman-national-defence-forces/news/2024/06/ombudsman-flags-inequities-caf-members-face-when-they-have-limited-or-no-grievance-rights.html

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  • Comment le F-35 est réapparu sur le radar d’Ottawa

    3 juin 2019 | Local, Aérospatial

    Comment le F-35 est réapparu sur le radar d’Ottawa

    Marc Godbout Justin Trudeau s'était engagé à ne pas acheter le F-35, l'avion de chasse de Lockheed Martin. Pourtant, de récentes manoeuvres rendent de plus en plus probable l'acquisition de l'appareil américain. Une réelle compétition aura-t-elle vraiment lieu pour remplacer les vieux chasseurs des Forces armées canadiennes? Les jeux de coulisse se sont intensifiés toute la semaine à Ottawa. L'enjeu est énorme : un contrat de 19 milliards de dollars pour 88 avions de combat canadiens. En toile de fond, le salon canadien des équipements militaires. Non seulement les lobbyistes sont plus actifs que jamais, mais leurs clients ont mis le paquet pour séduire et chercher à influencer le futur acheteur. Airbus et SAAB ont même fait venir d'Europe, par navire, des répliques de leurs avions de chasse respectifs. Mais au-delà des apparences, l'inquiétude s'est installée. Après le F-35, le F-35 Après des années d'attente, de dérapages et d'interminables débats, un appel d'offres du gouvernement fédéral doit finalement être lancé d'ici la mi-juillet. Il le sera juste avant la campagne électorale, près de quatre ans après l'élection des libéraux qui avaient promis d'amorcer le processus immédiatement en arrivant au pouvoir. Résultat? Le choix du gagnant ne sera annoncé qu'en 2022, et les premiers avions, livrés en 2025, au plus tôt. Les concurrents potentiels pour la construction des avions de chasse canadiens : Boeing (Super Hornet) Airbus (Typhoon) Saab (Gripen) Lockheed Martin (F-35) Quatre joueurs souhaiteraient être de la course. Mais le seront-ils tous? Le portrait pourrait très bien changer. Les pressions exercées par Washington sur Ottawa y sont pour beaucoup. L'administration Trump a obtenu des assouplissements au processus d'évaluation des retombées économiques au Canada pour s'assurer que le F-35 soit de la course. La politique canadienne d'approvisionnement militaire exige depuis très longtemps que les entreprises dépensent au pays l'équivalent de la valeur d'un contrat afin de renforcer l'industrie canadienne. Or, le programme du F-35, dont le Canada est l'un des neuf pays partenaires, est structuré autrement. Les entreprises canadiennes ont le droit de soumissionner pour des contrats mondiaux liés à la chaîne d'approvisionnement. Les pays partenaires ne peuvent, par contre, exiger des avantages économiques comme condition préalable à l'achat de l'appareil. Voilà que la récente révision obtenue par Washington permet à Lockheed Martin et son avion de ne pas être écartés de la compétition quoiqu'ils seraient pénalisés s'ils choisissent un système différent. On est donc bien loin de la promesse électorale de 2015 de Justin Trudeau, qui s'engageait à ne pas acheter l'avion de Lockheed Martin. Les libéraux ont tout fait pour se distancer du F-35 dans la foulée du fiasco qui collait à la peau des conservateurs. Mais la réalité a fini par rattraper le gouvernement Trudeau. « Sélectionner un appareil autre que le F-35 pourrait créer des tensions avec les Américains », soutient Justin Massie, professeur de science politique à l'UQAM. « Le F-35 est important pour l'administration Trump, qui veut développer davantage l'industrie militaire américaine. » Ce revirement a eu l'effet d'une douche froide chez les concurrents. « Il ne serait pas étonnant de voir des joueurs se retirer dès le départ ou en cours de route. Ils sont furieux », a confié à Radio-Canada une source très proche du dossier. Tant l'américaine Boeing que l'européenne Airbus et la suédoise Saab disent maintenant attendre « l'ensemble des exigences » de l'appel d'offres avant d'annoncer leurs intentions finales. « Nous sommes sur nos gardes [....] et de plus en plus incertains de vouloir nous lancer », a même indiqué un dirigeant de l'une de ces compagnies, sous le couvert de l'anonymat. Retour vers le futur Le temps est-il en train de jouer en faveur du F-35? Possiblement. « Le volume de production du F-35 entraîne la diminution du coût à l'unité qui est inférieur à celui de ses concurrents qui sont moins avancés sur le plan technologique », expliquait récemment Richard Shimooka dans un rapport de l'Institut Macdonald-Laurier. Alors que le coût par avion dépassait les 200 millions de dollars américains au début de la production en 2007, il devrait passer sous la barre des 80 millions d'ici 2020, selon le Pentagone. Plus de 390 appareils ont été livrés dans le monde. Et pas plus tard que cette semaine, le président américain annonçait la vente de 105 avions supplémentaires à l'issue d'un sommet avec le premier ministre japonais. Les pays qui ont choisi le F-35 : États-Unis Royaume-Uni Italie Pays-Bas Norvège Danemark Belgique Turquie Japon Australie Israël Corée du Sud Il s'est déjà écoulé neuf ans depuis l'annonce par le gouvernement Harper de l'achat de 65 avions F-35. « La modernisation de nos vieux F-18 a coûté beaucoup d'argent. Et l'acquisition de chasseurs intérimaires australiens a coûté au bas mot un milliard de dollars de plus aux contribuables canadiens », déplore Justin Massie. Neuf ans plus tard, le Canada a commencé à recevoir ses premiers F-18 australiens usagés, toujours dans l'attente d'une solution permanente. Il est quand même plutôt ironique de constater que l'Australie voulait s'en débarrasser pour recevoir ses premiers F-35 tout neufs. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1173077/canada-avions-chasse-f-35-achat-armee

  • AU CANADA, LES POLICIERS VONT UTILISER LES RÉSEAUX SOCIAUX POUR PRÉDIRE LES DISPARITIONS AVANT QU’ELLES NE SE PRODUISENT

    25 avril 2019 | Local, Sécurité

    AU CANADA, LES POLICIERS VONT UTILISER LES RÉSEAUX SOCIAUX POUR PRÉDIRE LES DISPARITIONS AVANT QU’ELLES NE SE PRODUISENT

    Avec une base de données suffisante et une intelligence artificielle, il est parfois possible d'anticiper certains incidents. Certaines plateformes, comme Facebook, travaillent sur des algorithmes permettant de repérer les adolescents suicidaires et d'intervenir dans le cas où ils risquent de passer à l'acte. Au Canada, les forces de l'ordre vont utiliser des modèles prédictifs pour prédire les disparitions avant qu'elles n'aient lieu. Selon un rapport du gouvernement, les modèles prédictifs seront basés sur des publications sur les réseaux sociaux, les dossiers de la police et les services sociaux. Les algorithmes se référeront à une dizaine de facteurs de risques communs, comme des antécédents de fugue ou de violence à la maison, afin d'identifier les personnes susceptibles de disparition. L'initiative fait toutefois l'objet de nombre de critiques. Certains experts pensent que l'utilisation de modèles prédictifs à cette fin pourrait conduire à de faux positifs. Le type d'informations à utiliser n'a pas été dévoilé Le document a été publié le mois dernier par la RDDC (Defence Research and Development Canada), une agence rattachée au ministère de la Défense nationale. Selon le rapport, la conception des modèles prédictifs sera assurée par SPPAL (Saskatchewan Police Predictive Analytics Lab). Ce laboratoire est le fruit d'un partenariat entre la police, le ministère provincial de la Justice et l'Université de la Saskatchewan. La police canadienne utilise déjà les réseaux sociaux pour repérer des cas d'infraction, trouver des suspects et résoudre des enquêtes. Toutefois, le rapport n'indique pas les types d'informations qui seront recueillies sur les médias sociaux. Des risques de faux positifs Tamir Israel est avocat à CIPPIC (Canadian Internet Policy and Public Interest Clinic). Il a reconnu que les modèles prédictifs de SPPAL pourraient être utilisés pour trier les cas suspects selon leur ordre de priorité. Il est en effet nécessaire de distinguer, par exemple, une éventuelle victime d'enlèvement d'une fugueuse habituelle. « Les forces de l'ordre seront invitées à s'appuyer sur les résultats du modèle prédictif » pour décider de la sérieuse prise en charge d'un cas de personne disparue », a-t-il déclaré à Motherbord. Toutefois, il a souligné que ces modèles prédictifs sont souvent opaques dans leur fonctionnement, en s'appuyant sur des facteurs que les policiers eux-mêmes ne peuvent pas évaluer ou deviner. Il a noté que les informations sur les réseaux sociaux ne sont pas toujours fiables et augmentent les risques de faux positifs. Il a également noté que cette méthode pourrait conduire à des résultats faussés lorsque les modèles sont appliqués à des groupes minoritaires. Il craint qu'ils ne fassent pas de différences entre les cultures. « Nous savons que les modèles prédictifs sont loin d'être infaillibles dans des situations réelles et qu'il y aura des faux positifs », a-t-il rappelé. « Les conséquences d'une intervention basée sur un faux positif peuvent être très graves. » http://www.fredzone.org/au-canada-les-policiers-vont-utiliser-les-reseaux-sociaux-pour-predire-les-disparitions-avant-quelles-ne-se-produisent-998 http://cradpdf.drdc-rddc.gc.ca/PDFS/unc335/p809812_A1b.pdf

  • Saab partners for Canada’s FFCP bid

    3 mars 2020 | Local, Aérospatial

    Saab partners for Canada’s FFCP bid

    Saab today confirmed the four corporate partners that will be part of its bid for Canada's Future Fighter Capability Project (FFCP), which aims to replace the Royal Canadian Air Force's ageing fleet of CF-188 Hornet's with 88 new-generation fighters. Saab is leading one of three supplier teams currently involved in the procurement competition, which centres around the Saab Gripen E, Boeing F/A-18 Super Hornet and Lockheed Martin F-35 Lightning II fighter jets. Branded as Gripen for Canada Team, Saab's corporate team members for the bid include IMP Aerospace & Defence, CAE, Peraton Canada and GE Aviation. “We have assembled a dynamic roster of innovative leaders within Canada's aerospace industry, across multiple regions to offer the best solution for Canada's future fighter,” said Jonas Hjelm, senior VP and head of Business Area Aeronautics. “Saab is committed to securing long-term relationships in Canada that will create a significant number of highly skilled, sustainable jobs for Canadians within domestic and international supply chains.” Canada's evaluation criteria for its Future Fighter procurement is based on technical merit (60 per cent), cost (20 per cent) and economic benefits (20 per cent). In late-February 2020, the federal government announced it would extend the FFCP submission deadline from March 30 to June 30, but maintained its schedule to choose the winning bid in 2022 and have the first aircraft delivered by 2025. The 20 per cent weighting toward economic benefits is ultimately defined by dollar-for-dollar obligations – meaning, the fighter supplier provides Canadian companies with revenue opportunities equal to value of the purchased fighters. Defence Investment: Strong, Secure and Engaged Saab explains IMP Aerospace & Defence would contribute with in-country production and in-service support for the life of the Canadian Gripen fleet. CAE would provide training and mission systems solutions, while Peraton Canada would provide avionic and test equipment component maintenance, repair and overhaul, and material management. GE Aviation would provide and sustain the fighter's engines in Canada. https://www.wingsmagazine.com/saab-partners-for-canadas-ffcp-bid/

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