11 juin 2021 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR

L’industrie s’engage pour la robotisation des armées

L'Usine Nouvelle consacre un article à la robotisation croissante des armées, soutenue par les industriels. Nexter, Safran, Thales, comptent notamment parmi les grands maîtres d'œuvre industriels fournisseurs majeurs de l'armée de Terre. Des instituts de recherche apportent également leurs connaissances comme l'ONERA, l'Institut Saint-Louis ou encore l'Institut Vedecom, dédié à la mobilité individuelle, décarbonée et durable. Ils développent principalement des logiciels permettant aux robots de se déplacer de manière autonome et d'agir en meute, voire en essaim. Le magazine rappelle que la France refuse les robots tueurs : la décision de tir ne peut être automatisée, elle appartient au soldat.

L'Usine Nouvelle du 11 juin

Sur le même sujet

  • Defense firm Leidos raises outlook on robust weapons demand | Reuters

    31 octobre 2023 | International, Terrestre

    Defense firm Leidos raises outlook on robust weapons demand | Reuters

    U.S. defense contractor Leidos Holdings on Tuesday raised its full-year profit and revenue forecasts on the back of strong weapons demand amid rising geopolitical tensions.

  • Raytheon-UTC merger wins approval, pending divestitures

    30 mars 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Raytheon-UTC merger wins approval, pending divestitures

    By: Jill Aitoro WASHINGTON — The merger between two defense giants got the green light from the U.S. Department of Justice, under the condition that divestitures already in the works move forward and another piece of business is shed. According to a March 26 announcement from the DOJ, United Technologies Corp. and Raytheon will need to divest Raytheon's military airborne radios business as well as UTC's military global positioning systems and large space-based optical systems businesses in order to proceed with the proposed merger. The divestitures would satisfy a proposed settlement from the department's Antitrust Division of a civil antitrust lawsuit to block the proposed Raytheon-UTC merger. BAE Systems agreed in January to buy Collins Aerospace's military global positioning system business — which is owned by parent firm UTC — for $1.93 billion and Raytheon's airborne tactical radios business for $275 million. “Today's settlement protects the American taxpayer by preserving competition that leads to lower costs and higher innovation in critical military and defense products,” said Assistant Attorney General Makan Delrahim of the Antitrust Division. “The merger, as originally proposed, would have eliminated competition in the supply of military airborne radios and military GPS systems, and would have positioned the merged firm to harm rivals capable of making key components for reconnaissance satellites. These horizontal and vertical concerns are resolved by the Division's structural remedy, which includes the divestiture of three separate business units.” Under the terms of the proposed settlement, the companies need to divest Raytheon's military airborne radios business, including facilities in Fort Wayne, Indiana, and Largo, Florida; as well as UTC's military GPS business to BAE Systems or another approved acquirer. The proposed settlement would also require the divestiture of UTC's optical systems business, including a facility in Danbury, Connecticut, to an approved acquirer. Raytheon and UTC announced in June 2019 plans to officially merge into a new entity called Raytheon Technologies Corporation, with the deal at the time expected to close during the first half of 2020. https://www.defensenews.com/industry/2020/03/27/raytheon-utc-look-to-shed-segments-to-win-merger-approval

  • Achat de Rafale par la Grèce, crise du secteur aérien : entretien avec Eric Trappier, président du GIFAS et PDG de Dassault Aviation

    16 septembre 2020 | International, Aérospatial

    Achat de Rafale par la Grèce, crise du secteur aérien : entretien avec Eric Trappier, président du GIFAS et PDG de Dassault Aviation

    Eric Trappier, président du GIFAS et PDG de Dassault Aviation, s'exprimait ce matin sur RTL. Le dirigeant a notamment évoqué la commande de 18 Rafale par la Grèce, annoncée samedi 12 septembre. Les Rafale commandés par la Grèce seront livrés «dans l'année à venir, soit en 2021», indique M. Trappier. La commande comprendra 12 avions d' «occasion», actuellement opérationnels au sein de l'armée de l'Air française, une mesure décidée afin de répondre à l'urgence du besoin exprimé par la Grèce. Ces prélèvements d'appareils au sein de l'armée de l'Air française seront « compensés par la fabrication d'avions neufs », insiste M. Trappier. La fabrication de 18 Rafale garantit « un an de travail pour les chaînes de production de Dassault Aviation et de ses sous-traitants », souligne-t-il. M. Trappier rappelle également qu'une discussion avec le gouvernement français est en cours concernant l'achat d'une «cinquième tranche de 30 avions». Le Rafale est «un avion qui n'arrête pas d'évoluer, par standards successifs», souligne le dirigeant : «on est en train de développer le quatrième standard». Interrogé sur la crise que traverse actuellement le secteur de l'aéronautique, M. Trappier souligne que l'Etat est «très mobilisé» ; mais il met en garde contre le «changement d'hypothèse» qui surviendrait si «les frontières restent fermées et si le trafic aérien ne reprend pas». Il rappelle que le secteur de l'aéronautique travaille, depuis plusieurs années, à la mise au point d'un «avion décarboné», dont le développement s'est récemment accéléré avec le soutien du gouvernement. RTL Matin du 16 septembre

Toutes les nouvelles