9 février 2023 | International, Aérospatial

Dassault Aviation coordonne un projet visant à renforcer l'interopérabilité des forces aériennes européennes - Zone Militaire

Comme l'a souligné un ingénieur principal de l'armement dans "Esprit Défense", le magazine du ministère des Armées, le "combat collaboratif a toujours

https://www.opex360.com/2023/02/04/dassault-aviation-coordonne-un-projet-visant-a-renforcer-linteroperabilite-des-forces-aeriennes-europeennes/

Sur le même sujet

  • Torch.AI wins Pentagon 'insider threat' cybersecurity contract

    16 août 2022 | International, C4ISR

    Torch.AI wins Pentagon 'insider threat' cybersecurity contract

    The Pentagon will use the software as part of its System for Insider Threat Hindrance, or '€œSITH,'€ in another apparent military reference to Star Wars.

  • Rafaut acquiert Secapem

    13 janvier 2021 | International, C4ISR

    Rafaut acquiert Secapem

    DEFENSE Rafaut acquiert Secapem Rafaut vient d'acquérir Secapem, une PME innovante spécialisée dans les systèmes d'entraînement des forces armées. « Avec cette opération, le chiffre d'affaires de Rafaut, un peu au-dessus de 90 millions d'euros, va s'approcher des 100 millions d'euros », précise Nicolas Orance, directeur général du groupe, qui souligne que Rafaut entre, avec cette opération, dans « une phase plus active d'acquisitions, pour répondre aux enjeux de taille critique, en ayant toujours à l'esprit de maintenir la complémentarité entre le civil et la défense ». Le modèle dual du groupe, civil et militaire, est en effet gage de résilience. Le rachat de Secapem permet à Rafaut d'acquérir des activités liées aux systèmes d'entraînement au tir réel et des solutions de scoring hautes technologies pour les forces armées, précise L'Usine Nouvelle. L'opération concerne aussi Lun'tech, filiale de Secapem depuis 2013, qui propose des solutions complémentaires pour l'entraînement aux tirs guidés par radar. L'Usine Nouvelle du 13 janvier

  • Spatial militaire : «Nous avons les moyens de nos ambitions», selon le général Friedling (CDE)

    26 novembre 2020 | International, Aérospatial

    Spatial militaire : «Nous avons les moyens de nos ambitions», selon le général Friedling (CDE)

    DEFENSE Spatial militaire : «Nous avons les moyens de nos ambitions», selon le général Friedling (CDE) Dans le cadre du Paris Air Forum, le général Michel Friedling, Commandant du CDE (Commandement de l'Espace) au sein de l'armée de l'Air et de l'Espace, Emmanuel Chiva, directeur de l'Agence de l'innovation de défense, Franck Poirrier, PDG de Sodern, représentant des équipementiers au Cospace, et Philippe Gautier, président d'Hemeria, ont échangé au sujet de la stratégie spatiale de défense française. «L'espace joue un rôle essentiel et est au cœur d'une compétition sans précédent. C'est un thé'tre de confrontation avec ses enjeux propres», rappelle le général Michel Friedling. «Nous avons les moyens de nos ambitions, et nous avons déjà des résultats. Nous avons signé les premiers contrats de service pour la surveillance de l'espace. Nous avons formé nos premiers opérateurs spatiaux. Nous aurons nos premières infrastructures à Toulouse en 2023 et premier centre de commandement en 2025», relève-t-il. L'industrie travaille à mettre au point des démonstrateurs pour la capacité d'intervention en orbite, qui devraient voler dès 2023 et 2024. Sodern travaille ainsi sur des «capteurs d'intrus», qui détecteront les objets approchant des satellites Syracuse 4, basés sur sa technologie de viseurs d'étoiles, tandis que Hemeria étudie des petits satellites patrouilleurs Yoda, pour la protection rapprochée des grands satellites géostationnaires, à partir de son expérience sur le nanosatellite Angels. Franck Poirrier, PDG de Sodern, souligne : «l'industrie est là pour servir la souveraineté et c'est pour cela qu'il faut inclure la politique industrielle dans notre réflexion autour de la maîtrise de l'espace». Un «plan équipementier» a déjà été avalisé par Airbus Defence & Space, Thales Alenia Space et les trois ministères de tutelle : le ministère de l'Économie, des Finances et de la Relance, le ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche et le ministère des Armées. L'Agence de l'innovation de défense (AID) joue un rôle majeur : «Nous sommes une usine à accélérer les projets, avec un budget d'environ 1 milliard d'euros», explique Emmanuel Chiva. «Nous sommes là pour piloter et orienter l'innovation de défense, mais également pour capter dans le civil les innovations pertinentes, car le monde spatial est éminemment dual». La Tribune du 26 novembre

Toutes les nouvelles