8 mars 2023 | Local, C4ISR

Cyber attack hits engineering giant with contracts for military bases, power plants

OTTAWA ? A Canadian engineering giant whose work involves critical military, power and transportation infrastructure across the country has been hit with a ransomware attack.

https://kitchener.citynews.ca/national-news/cyber-attack-hits-engineering-giant-with-contracts-for-military-bases-power-plants-6667040

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  • DEUX ÉQUIPES DE VOLTIGE CANADIENNES DANS LE CIEL : LES SNOWBIRDS ET LES CF-18

    5 septembre 2019 | Local, Aérospatial

    DEUX ÉQUIPES DE VOLTIGE CANADIENNES DANS LE CIEL : LES SNOWBIRDS ET LES CF-18

    La démonstration du CF-18 Hornet et le spectacle au crépuscule du CF-18 Hornet Le colonel Chris Hadfield se joindra au CF-18 Hornet pour un vol héritage à AERO Gatineau-Ottawa 2019. Le premier astronaute canadien à marcher dans l'espace pilotera le Spitfire Mk IX de Vintage Wings of Canada pour se joindre au CF-18 pour un vol patrimonial. De retour pour sa 9e année à AERO Gatineau-Ottawa, l'équipe de démonstration des CF-18 offrira un spectacle exaltant et dynamique que vous n'oublierez pas! Cette année, l'équipe de démonstration des CF-18 de l'Aviation canadienne a choisi le thème « 70e anniversaire de l'OTAN ». Le CF-18 Hornet peut voler beaucoup plus vite que la vitesse du son – mais pas lorsqu'il se produit pour le public! La démonstration montrera également sa capacité à voler très lentement, le nez vers le ciel. Le CF-18 Hornet de l'ARC sera en spectacle le samedi et le dimanche avec une démonstration spéciale au crépuscule le vendredi soir. Les Snowbirds des Forces canadiennes Saviez-vous que les excitants vols de précision des 9 avions sont rendus possible par 80 membres des Forces armées canadiennes? Basés à Moosejaw, en Saskatchewan, 24 d'entre eux se rendent dans 40 endroits au Canada et aux États-Unis pour la saison 2019. Les Snowbirds volent le Tutor CT 114, conçu et construit au Canada par Canadair afin de servir comme principal avion d'entraînement des Forces armées canadiennes jusqu'à son remplacement par le Hawk CT155 et le Harvard II CT156 en 2000. Le monomoteur General Electric J-85 produit 2700 livres de poussée, laquelle propulse l'appareil relativement léger à des vitesses de plus de 400 noeuds. La voilure droite du CT114 Tutor crée une portance et les contrôles sont précisément réglés, faisant de l'appareil une voiture sport classique pour les airs. Malgré son 'ge avancé, et gr'ce à l'entretien exceptionnel dont il fait l'objet, le Tutor est la plateforme idéale en tant qu'avion à réaction de démonstration. Après le spectacle, les Snowbirds vous invitent à rencontrer leur équipe composée de pilotes de spectacle de voltige, d'un officier des affaires publiques et de techniciens hautement qualifiés en aviation, en avionique, en structure d'aéronefs et en soutien mobile. Si vous ne pouvez pas être au spectacle aéronautique, suivez les Snowbirds sur les médias sociaux! Le « TankCam » des Snowbirds, un réservoir de fumée modifié monté sur le ventre de Snowbird 1, contient trois caméras haute résolution capables de capturer des vidéos et des images étonnantes de la formation en vol. Les images seront publiées sur Twitter et Facebook. http://aerogatineauottawa.com/deux-equipes-de-voltige-canadiennes-dans-le-ciel-les-snowbirds-et-les-cf-18/?lang=fr

  • Canada ensures continued support for Halifax-class radar systems

    21 octobre 2020 | Local, Naval, C4ISR

    Canada ensures continued support for Halifax-class radar systems

    From: National Defence Canada's Halifax-class multi-role patrol frigates are the backbone of the Royal Canadian Navy (RCN). Making sure that these ships have and maintain modern equipment is key to ensuring our navy can continue its important work. Canada's Halifax-class multi-role patrol frigates are the backbone of the Royal Canadian Navy (RCN). Making sure that these ships have and maintain modern equipment is key to ensuring our navy can continue its important work. Today, Defence Minister Harjit S. Sajjan announced an in-service support contract with Thales Canada, of Ottawa, Ontario, to support the SMART-S MK2 radar system used on Canada's Halifax-class frigates, starting in fall 2020. Valued at $4.6 million (including taxes), this contract will provide critical engineering, in-service support, and repair and overhaul services to ensure the radar remains operationally capable of detecting the location and range of possible air and surface threats up to 250 km away. The SMART-S MK2 radar is the primary tactical radar used on the Halifax-class frigates, and was installed as part of the Halifax-class Modernization Project. It is a medium-to-long-range 3-D radar that provides air and surface surveillance capabilities to the RCN's Halifax-class frigates. Keeping our Halifax-class frigates operational and at the height of modern technology is critical for maintaining the combat readiness of the RCN until the arrival of the Canadian Surface Combatant ships. Quotes “The continued support of the Royal Canadian Navy's Halifax-class frigates is an important aspect of Canada's defence policy, Strong, Secure, Engaged. The Halifax-class frigates are considered to be the backbone of the RCN. As maritime threats continue to evolve, this investment in equipment will provide our people in uniform with the tools they need, to continue protecting Canadians and supporting peace and security missions at home and abroad.” “We are providing the members in uniform with the equipment they need to carry out their important work. This in-service support contract is another example of our commitment to provide the Royal Canadian Navy with the technology it needs to continue protecting and serving Canadians.” The Honourable Anita Anand, Minister of Public Services and Procurement “Investing in our local industry is now more important than ever with the COVID-19 pandemic. By supporting companies like Thales here in the National Capital Region, our government is continuing to grow local Ottawa-based industry, while also providing the women and men of the Canadian Armed Forces with the resources they need.” Anita Vandenbeld, Parliamentary Secretary to the Minister of National Defence Quick facts Halifax-class frigates monitor and control Canadian waters, defend Canada's sovereignty, facilitate large-scale search and rescue activities, and provide emergency assistance when needed. The frigates operate with and integrate into the United Nations, the North Atlantic Treaty Organization and coalitions of allied states in support of international peace and security operations. Introduced into service in the 1990s, the Canadian-built Halifax-class frigates were recently modernized to remain operationally effective and relevant until the Canadian Surface Combatants enter into service. This contract will provide in-service support and repair and will overhaul parts for the SMART-S MK2 radar for one year, beginning this fall. There is also an option for an additional four, one-year extensions, in order to maintain support during the transition to future in-service support contracts. Should all options be exercised, the entire contract has a potential value of up to $19 million (including taxes). This contract is fully compliant with the Government of Canada's Sustainment Initiative, which helps us ensure performance, value for money, flexibility, and economic benefits. This in-service support contract for the radar is an interim measure that will ensure services until a new contract for the Halifax-class Combat System has been awarded and a transition has been completed in 2021. This future in-service support contract will combine five current contracts for the frigate's combat systems under one long-term contract managed by a single prime contractor, helping to ensure continued service and best value. Through the Halifax-class Modernization Project, the Government of Canada successfully modernized the RCN's fleet of 12 frigates to ensure they continue to meet evolving operational needs. Valued at $4.3 billion, this project provided state-of-the-art upgrades, including a new combat management system, new radar capability, new electronic warfare systems, and upgraded communications and missile systems. Final delivery was on November 30, 2016, with full operational capability achieved by January 31, 2018. https://www.miragenews.com/canada-ensures-continued-support-for-halifax-class-radar-systems/

  • Airbus veut croître en Amérique du Nord en visant la défense

    4 février 2019 | Local, Aérospatial

    Airbus veut croître en Amérique du Nord en visant la défense

    DJALLAL MALTI Agence France-Presse Airbus veut profiter de son implantation industrielle croissante en Amérique du Nord pour accélérer dans la défense aux États-Unis et au Canada, avec comme argument clé d'être un acteur local qui investit et crée des emplois sur place. « Pour n'importe quel acteur du secteur aéronautique et défense, jouer aux États-Unis, c'est aujourd'hui pratiquement incontournable », relève Philippe Plouvier, directeur associé au cabinet de conseil Boston Consulting Group. « Parce que dans la défense, les États-Unis, c'est 50 % des budgets mondiaux. » Mais « jouer en Amérique du Nord, c'est avoir une base industrielle sur place. Il n'y a pas de grand acteur là-bas qui n'ait pas une base importante », souligne ce spécialiste de l'aéronautique et de la défense. Airbus a renforcé son empreinte industrielle outre-Atlantique ces dernières années. Déjà présent aux États-Unis depuis 2004 avec une usine d'hélicoptères à Columbus, il a inauguré en 2015 une ligne d'assemblage finale (FAL) destinée à l'A320 à Mobile. Mais avec la prise de contrôle du programme CSeries de Bombardier, il a encore accru cette présence. Au Canada, il a « hérité » de la ligne d'assemblage de l'A220 à Mirabel et aux États-Unis, il a décidé d'en implanter une seconde, à Mobile, ce qui fait du géant européen un acteur local. Airbus se targue d'avoir dépensé 48 milliards de dollars aux États-Unis ces trois dernières années, ce qui se traduit par 275 000 emplois américains soutenus par l'avionneur. « Lorsqu'un industriel de la défense veut vendre ses produits dans un autre pays que le sien, il y a généralement trois étapes à franchir », relève Stéphane Albernhe, du cabinet Archery Consulting. Les deux premières sont les compensations au transfert de technologies. « La troisième, qui est particulièrement importante aux États-Unis, c'est la capacité à être perçu comme un actual good US citizen, qui consiste à mettre les conditions pour que l'industriel soit considéré par les Américains comme pleinement américain. » « Pour réussir cela, beaucoup de leviers peuvent être activés », mais « ce qui compte pour remporter un contrat au-delà du respect des spécifications techniques et du prix, c'est véritablement de s'intégrer pleinement dans le paysage américain. » « Le meilleur avion pour l'armée la plus puissante » Huit ans après avoir perdu celui des avions ravitailleurs face à Boeing, Airbus s'est allié à Lockheed Martin pour répondre aux besoins de l'armée de l'air américaine en termes de ravitaillement en vol. Le géant européen propose son A330 MRTT, qu'il a déjà vendu à une douzaine de pays. « Je ne comprends toujours pas pourquoi l'armée de l'air la plus puissante du monde ne volerait pas avec le meilleur avion ravitailleur sur le marché ? Parce que c'est clairement ce qu'est le MRTT », a lancé le président exécutif d'Airbus, Tom Enders, récemment à Mobile. « Nous avons remporté toutes les compétitions à part les États-Unis », a-t-il poursuivi. « Alors tout ce que nous voulons faire est d'amener l'avion ravitailleur le plus performant à la plus grande armée de l'air du monde. Cela fait sens, non ? » Airbus vise également un appel d'offres de la marine américaine pour 130 hélicoptères, alors qu'il fournit déjà l'armée américaine avec des UH-72A Lakota. Au Canada, il est en lice avec l'Eurofighter Typhoon pour l'appel d'offres qu'Ottawa doit lancer en mai pour remplacer sa flotte d'avions de combats : 88 appareils à livrer en 2025, un contrat estimé à 19 milliards de dollars. Tom Enders a laissé entendre qu'une partie de l'assemblage pourrait se faire sur place. « Quatre-vingt huit appareils, c'est important pour le Canada, ce serait important pour nous aussi », a-t-il l'ché. À plus long terme, Airbus vise le remplacement des ravitailleurs de l'armée de l'air canadienne, à l'horizon 2021-2022. Restent les enquêtes qui le visent : Airbus, qui coopère avec les autorités judiciaires en France, au Royaume-Uni et aux États-Unis, espère vite tourner cette page qui ternit son image. « C'est généralement très long et dure plusieurs années », souligne Stéphane Albernhe. « Une fois que l'instruction a démarré, il y a deux objectifs pour l'industriel : faire en sorte de converger le plus rapidement possible pour réduire les impacts "réputationnels", et négocier afin que la sanction financière soit raisonnable. » https://www.lapresse.ca/affaires/economie/transports/201902/01/01-5213165-airbus-veut-croitre-en-amerique-du-nord-en-visant-la-defense.php

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