8 mars 2023 | Local, C4ISR

Cyber attack hits engineering giant with contracts for military bases, power plants

OTTAWA ? A Canadian engineering giant whose work involves critical military, power and transportation infrastructure across the country has been hit with a ransomware attack.

https://kitchener.citynews.ca/national-news/cyber-attack-hits-engineering-giant-with-contracts-for-military-bases-power-plants-6667040

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  • Le stratagème du ministre Harjit Sajjan pour dégoter des respirateurs

    23 avril 2020 | Local, Sécurité, Autre défense

    Le stratagème du ministre Harjit Sajjan pour dégoter des respirateurs

    (Ottawa) Le ministre de la Défense Harjit Sajjan a pu déjouer les velléités protectionnistes de l'administration Trump et obtenir 200 respirateurs destinés au Canada qui étaient retenus à Boston gr'ce aux liens qu'il a pu établir avec le Pentagone au cours des cinq dernières années. Publié le 21 avril 2020 à 4h00 Selon des informations obtenues par La Presse, les respirateurs en question sur lesquels les autorités canadiennes voulaient mettre la main ne devaient plus quitter le territoire américain à la suite de la décision du président des États-Unis Donald Trump d'invoquer le Defence Production Act (DPA), une loi qui remonte à la guerre de Corée et qui permet à l'administration d'imposer des conditions aux manufacturiers américains, par exemple le type de produits qu'ils fabriquent en priorité, et d'en limiter les exportations. Le président Trump a récemment invoqué cette loi pour empêcher la société américaine 3M d'exporter des masques N95 vers le Canada et des pays d'Amérique latine. Cette décision, qui a soulevé l'ire des autorités canadiennes, et en particulier du premier ministre de l'Ontario Doug Ford, a toutefois été partiellement infirmée une semaine plus tard, et l'entreprise a pu reprendre ses exportations vers le Canada. En coulisses, le ministre Sajjan et ses conseillers ont pu contourner les obstacles érigés par le président américain afin d'obtenir les 200 respirateurs flambants neufs en demandant aux Forces armées canadiennes de procéder à leur achat. « Le ministre et son équipe ont persuadé le Pentagone de les envoyer au Canada. On leur a dit qu'il fallait que la commande soit faite par les Forces armées canadiennes et le Pentagone, en raison des alliances militaires existantes, avait l'autorisation de procéder à l'envoi des respirateurs », a expliqué une source gouvernementale. La Presse a accordé l'anonymat à cette source parce qu'elle n'avait pas l'autorisation de discuter publiquement de ce dossier. « C'est tout de même remarquable ce qui a été fait dans ce dossier. [...] C'est d'autant plus vrai que les relations canado-américaines représentent tout un défi en raison de la crise et que les choses risquent d'empirer encore au sud de la frontière », a ajouté cette source digne de foi. D'un commun accord, le Canada et les États-Unis ont annoncé en fin de semaine que la frontière entre les deux pays allait demeurer fermée pour les voyages non essentiels pour une autre période de 30 jours, soit jusqu'au 21 mai. Ces 200 respirateurs font partie des quelque 400 appareils obtenus par le gouvernement fédéral qui ont été distribués aux provinces au cours des dernières semaines, selon nos informations. Il a été impossible d'obtenir le nombre de respirateurs qui a été remis à chacune des provinces par Ottawa. Au bureau du ministre Sajjan, un proche collaborateur n'a pas voulu commenter l'intervention en coulisses du ministre, préférant braquer les projecteurs sur l'ensemble du gouvernement fédéral durant la crise de la pandémie de COVID-19. « Le ministre a d'excellentes relations avec son homologue de la Défense aux États-Unis. Il s'agit d'un travail d'Équipe Canada », a notamment affirmé ce proche collaborateur, qui a requis l'anonymat. Récemment, le premier ministre Justin Trudeau a annoncé que le gouvernement fédéral avait conclu des ententes avec des entreprises canadiennes comme Thornhill Medical et CAE, entre autres, afin d'acheter 30 000 respirateurs fabriqués au Canada. À la reprise des travaux de la Chambre des communes, lundi, M. Trudeau a indiqué que l'on s'attend à ce qu'une première commande de respirateurs soit livrée en mai. M. Trudeau a d'ailleurs dû expliquer aux Communes pourquoi une agence fédérale avait jeté aux ordures quelque 2 millions de masques N95 et 440 000 gants qui se trouvaient dans un entrepôt de la Réserve nationale stratégique d'urgence (RNSU), qui a pignon sur rue à Regina, au printemps dernier, comme l'a révélé la semaine dernière une enquête de la CBC. La RNSU, qui relève du gouvernement fédéral, permet aux provinces et aux territoires d'obtenir des équipements médicaux qui s'y trouvent en cas de crise sanitaire comme une pandémie. Le premier ministre a indiqué que ces équipements étaient périmés depuis au moins cinq ans, mais il a affirmé que l'on doit revoir les protocoles d'utilisation afin de remettre ces équipements aux provinces pour les utiliser avant qu'ils atteignent la date limite d'utilisation de cinq ans. Cela devrait permettre à l'agence de renouveler son stock en quantité suffisante pour affronter les crises comme celle que l'on vit en ce moment. https://www.lapresse.ca/covid-19/202004/20/01-5270187-le-stratageme-du-ministre-harjit-sajjan-pour-degoter-des-respirateurs.php

  • SOLUTION DÉTECTION DE DRONE de la compagnie Drone Vision International

    4 mars 2020 | Local, Aérospatial

    SOLUTION DÉTECTION DE DRONE de la compagnie Drone Vision International

    Lévis, Qc, Février 2020 : Drone Vision International de Lévis, Qc, est heureuse d'annoncer à la communauté aéronautique des drones qu'elle a été sélectionnée par le Service Correctionnel du Canada afin de présenter sa technologie de détection de drone en preuve de concept possible et adaptable à un système de prévention de livraison d'objets interdits par voie aérienne et terrestre. À cet effet, à l'aide de ses partenaires canadiens et français, dont entre autres le leader de la détection par radiofréquences, la société CerbAir, Drone Vision International a obtenu le mandat de présenter un rapport qui constitue la première phase d'un programme multi-étapes en recherche de solutions à un défi technologique formulé par un organisme fédéral canadien. Le Service Correctionnel du Canada (SCC) est à la recherche d'une solution technologique majoritairement canadienne, novatrice et économique visant à détecter, à surveiller et à empêcher l'introduction d'objets interdits dans le périmètre au moyen d'un véhicule aérien non habité (appelé communément drone) ou d'un lancer au-dessus d'une clôture. Drone Vision International, une entreprise émergente canadienne, présentera une preuve de concept démontrant la faisabilité technologique et commerciale de sa solution novatrice. Pour donner suite à cette étape, l'équipe de Drone Vision International pourrait recevoir un autre contrat afin d'élaborer et livrer un prototype répondant aux attentes du Service Correctionnel du Canada. Gr'ce à l'expertise et aux compétences de l'équipe de Drone Vision International, un organisme fédéral pourrait résoudre une problématique qui inquiète bien des citoyens. C'est avec enthousiasme que l'équipe de l'entreprise de Lévis, Qc, envisage ce défi ! Pour plus d'informations, contacter la société Drone Vision International jac@dronevisioninternational.com www.dronevision.ca . Source et référence : https://buyandsell.gc.ca/procurement-data/contract-history/21120-200233-001-SI

  • What AIAC’s Vision 2025 could mean for smaller sized enterprises

    6 janvier 2020 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    What AIAC’s Vision 2025 could mean for smaller sized enterprises

    by Chris Thatcher; Skies Magazine Posted on December 24, 2019 When the Aerospace Industries Association of Canada in June released its blueprint for the next five years, Vision 2025: Charting a New Course, support for small- and medium-sized enterprises (SMEs) was one of its core themes. Small companies make up over 90 per cent of the sector and the report argued for greater government support to help them scale up, generate more jobs, and enhance their global competitiveness. That could include new funding to pursue digital business transformation, a reduction in the complexity of government contracting, and greater priority in the value propositions of prime contractors chasing defence procurements. “If our small- and mid-sized companies are left at risk, the negative impacts will be felt across Canada's aerospace industry as a whole,” according to the report, prepared by Jean Charest, a former premier of Quebec and deputy prime minister of Canada. Small companies are viewed as the prime creators of aerospace jobs and, in a sector buffeted by changing technology and new players, many may be more agile and better able to adapt than larger counterparts that must answer to corporate headquarters outside of Canada. But support from original equipment manufacturers (OEMs) and governments is essential to their survival, according to a panel of SMEs at the Canadian Aerospace Summit in November. There is no one-size-fits-all to helping SMEs scale up. Companies at different stages of growth require different types of support, they noted. But help with skilled labour shortages and easier access to government programs are common challenges for all. A solid position on a major platform is critical to initial success, but long-term growth requires diversification, observed Barney Bangs, chief executive officer of Tulmar Safety Systems. Located between Ottawa and Montreal in the small community of Hawkesbury, Ont., the company manufactures protective and safety equipment, associated components and in-flight training products. Traditionally, its focus has been 80 per cent defence — Tulmar has been a supplier to a military platform for over 25 years and benefitted from a strong aftermarket. In recent years, though, the company has sought a better balance between military and commercial customers. “As of last year, we were 65 per cent defence and 35 per cent (civilian) aerospace,” he said. Tulmar has also become more of what he called “a solution provider,” integrating components from other suppliers to provide an OEM with a final, certified piece of equipment such as an aircraft seat rather than just the safety harness or seatbelt. “We are doing more in-house and saving customer-costs for the OEM,” said Bangs. Diversification has also been a priority for Apex Industries, a machining, components, subassembly and structures manufacturer in Moncton, N.B. Twelve years ago, its aerospace business was five per cent defence and 95 per cent civil, much of it geared to Bell Helicopter and Bombardier. “We made a conscious effort to diversify into the military side a lot more,” said vice-president Keith Donaldson. “We are very conscious of not allowing our sales to go too high on one platform or with one customer.” Challenged by cost-savings pressures in commercial aviation contracts, military platforms offer a company like APEX “good visibility,” he said. However, militaries have long been trading quantity for technological superiority, meaning fewer platforms and a relatively short production cycle. And ramping up quickly with people and equipment to meet tight delivery schedules is a challenge for small businesses that need other options to justify and sustain the investment when the contract ends. “It is very tough for a SME like ourselves to invest.” However, defence procurement and government programs can go a long way to supporting the scale-up of SMEs, said Patrick Mann, president of Patlon Aircraft & Industries, a technical sales force for global manufacturers of custom components and systems. The scale-up program must be run by single entity within government committed to the Canadian SME community that would be “funded, independent and have the authority to make decisions.” Mann suggested coping what has worked well in other jurisdictions, noting the success of the United States Small Business Administration's set-aside program. “Within that, there is a small business innovation research program which has been highly successful in scaling up SMEs,” he said. The Vision 2025 report called for a federal scale-up program to “provide advice, coaching, networking, value proposition development and consortium-building support to incentivize growth and build capacity–helping firms expand their global footprints and giving them the means and maturity to support OEMs effectively.” The report recommended the Office of Small and Medium Enterprises (OSME) within Public Services and Procurement Canada shoulder that responsibility. “Having OSME at the table as a contributor to the development of government procurement strategies and as a champion of small and medium-sized business interests will help ensure government policies and programs recognize the unique characteristics of small firms,” it stated. “We are a pretty good example of a scale-up of an SME using competitive bid government procurement as a mechanism,” said Mann. However, developments over the past 10 years such as single point of accountability and bundling, where multiple small contracts are combined in one larger procurement that is awarded to one contractor, have been “devasting” to smaller suppliers. “It has been a real issue for us. Again, it is an issue where (OSME) can play a role.” OEMs can bolster government programs by mentoring small companies within their supplier base on management and production processes, especially around digitization, added Donaldson. “OEMs have a lot of that knowledge ... [but] I don't think [they] do enough of that.” He and Bangs both cautioned that the ability to scale up will be contingent on resolving talent shortages. Developing and attracting skilled labour is a chronic problem affecting the entire sector, but it is particularly acute for SMEs in more remote locations that don't have the resources to recruit as widely or navigate the immigration system. “Before we launch a scale-up program with support for financing and working capital, we have to make sure we have our skills done first,” said Donaldson. However the Liberal government opts to respond to the Vision 2025 report, the value of investing in SMEs should be clear. Viking Air, KF Aerospace or IMP Aerospace & Defence were once small companies and are “now thriving global participants,” said Mann. “That is the reason why todays SMEs are an important part of our industry.”

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