5 juin 2023 | Local, Terrestre

An 'embarrassing' gear shortage has Canadian troops in Latvia buying their own helmets | CBC News

Canadian troops in Latvia have been buying their own ballistic helmets with better ear protection and are looking at their allies with envy as Danish soldiers arrive with more modern Canadian-made weapons. It is a sign that the army’s problems with equipping its battle group in the Baltic go beyond the absence of modern anti-tank and anti-aircraft weapons.

https://www.cbc.ca/news/politics/canadian-soliders-latvia-equipment-helmets-1.6864290

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  • JOUER LES MÉCHANTS PROFITE À TOP ACES

    22 octobre 2019 | Local, Aérospatial

    JOUER LES MÉCHANTS PROFITE À TOP ACES

    JEAN-FRANÇOIS CODÈRE L'armée de l'air américaine a choisi vendredi sept entreprises, dont la montréalaise Top Aces, pour venir « jouer les méchants » lors de ses entraînements. Le contrat pourrait permettre à Top Aces de doubler sa taille et devrait confirmer qu'elle deviendra bientôt le premier opérateur privé au monde d'avions de chasse F-16. Fondée il y a 15 ans par trois anciens pilotes de chasse canadiens, Top Aces offre aujourd'hui aux armées canadienne et allemande des services d'entraînement pour leurs pilotes. Top Aces fournit ses propres pilotes, sélectionnés parmi les meilleurs de leur profession, et ses propres avions afin de servir d'adversaires. Le marché est prometteur. De 100 à 150 millions de dollars qu'il représentait jusqu'à tout récemment à l'échelle mondiale, il pourrait bientôt toucher les 3 milliards, gr'ce notamment à l'entrée en scène des Américains. Eux aussi ont découvert l'intérêt de sous-traiter le rôle de l'ennemi : coûts inférieurs et des heures d'entraînement plus productives pour les pilotes. « Un pilote qui joue à l'adversaire est limité et il n'utilise pas ses heures de vol à son plein potentiel », rappelle Didier Toussaint, cofondateur et chef des opérations de Top Aces. CONTRAT AMÉRICAIN Vendredi, l'armée américaine a retenu sept entreprises à l'occasion d'un appel d'offres pour un contrat-cadre d'une valeur maximale de 6,4 milliards US. Ces sept entreprises seront donc admissibles à participer aux appels d'offres à venir de 12 bases américaines. « Chacune de ces bases représente un contrat plus important que celui que nous avons pour l'ensemble du Canada. » — Didier Toussaint, cofondateur et chef des opérations de Top Aces Avec ses 29 appareils F-16 achetés de l'armée israélienne, Top Aces devrait être l'entreprise la mieux équipée du lot. Elle est déjà la plus importante en matière d'heures de vol effectuées. Elle devrait donc principalement se concentrer sur les bases aux besoins les plus évolués, celles qui abritent des F-35, par exemple. À elle seule, cette expansion américaine représente un investissement de 450 millions US pour Top Aces. En plus des appareils, il faudra embaucher des pilotes, des ingénieurs et des mécaniciens. Une cinquantaine de pilotes américains ont déjà reçu des promesses d'embauche. Un ancien officier américain de haut rang quittait le bureau de M. Toussaint au moment où La Presse y est entrée. Il venait de passer un entretien d'embauche. Top Aces s'apprête à accueillir de nouveaux investisseurs institutionnels, « dont certains québécois », qui lui permettront de franchir cette étape. Clairvest, de Toronto, et JPMorgan ont déjà une place dans son capital. D'autres bonnes nouvelles pourraient aussi survenir au cours de la prochaine année. Le Royaume-Uni est à la recherche de services du même genre, tout comme l'Australie, dont Top Aces a été le fournisseur pendant une période d'essai de deux ans. MOINS COÛTEUX Si les services de Top Aces représentent des économies pour les armées de l'air, ce n'est pas en raison du coût du personnel. Les pilotes sont rares et l'entreprise doit les payer à leur valeur, dit M. Toussaint. L'économie vient plutôt des appareils. En attendant ses F-16, Top Aces fournit ses services à l'armée canadienne avec 16 appareils Alpha Jet, des avions d'abord conçus pour l'entraînement et qui coûtent moins cher à manœuvrer que les F-18 de l'armée. Leurs performances moindres ne sont pas vraiment significatives dans la plupart des contextes, explique M. Toussaint. « On n'est pas à 50 % des F-18, on est plutôt autour de 90 %. C'est le dernier 10 % qui coûte cher. » — Didier Toussaint, cofondateur et chef des opérations de Top Aces Environ 2000 heures de vol sont encore effectuées par des F-18 qui servent d'adversaires dans les contextes où la performance de l'appareil est critique. Top Aces s'occupe du reste. Les jeunes pilotes, moins expérimentés, gagnent à affronter des avions inférieurs dirigés par des pilotes plus expérimentés, indique d'abord M. Toussaint. Les Alpha Jet sont aussi convenables dans des simulations impliquant de nombreux appareils, où la performance de chacun est moins importante. Finalement, l'entreprise fournit aussi des services à la marine, aux forces spéciales et à l'armée de terre. Les soldats s'entraînent à commander des frappes aériennes et la nature de l'appareil qui répond à leurs commandes importe peu. Quant à la marine, elle s'exerce à tirer sur des cibles en forme de missiles traînées par des avions d'affaires Learjet, au bout d'un c'ble. Si l'interminable saga du renouvellement de la flotte d'avions de chasse finit par aboutir, le Canada se retrouvera équipé d'avions encore plus performants que les F-16 que détiendra Top Aces. Encore là, pas de souci, selon M. Toussaint. « Ce qu'on réplique, ce sont des avions ennemis, essentiellement russes ou chinois pour être clair. Nos F-16, qui seront bien équipés, vont faire le travail. » http://plus.lapresse.ca/screens/b56ec892-2a8d-495c-8972-04df52fe2b08__7C___0.html

  • C2MI ET VARITRON INAUGURENT LE PREMIER CENTRE DE FABRICATION DE POINTE AU CANADA CONSACRÉ À L’ASSEMBLAGE DE CARTES ÉLECTRONIQUES ET À L’ÉLECTRONIQUE IMPRIMÉE

    22 mai 2019 | Local, Autre défense

    C2MI ET VARITRON INAUGURENT LE PREMIER CENTRE DE FABRICATION DE POINTE AU CANADA CONSACRÉ À L’ASSEMBLAGE DE CARTES ÉLECTRONIQUES ET À L’ÉLECTRONIQUE IMPRIMÉE

    C2MI et Varitron inaugurent le premier centre de fabrication de pointe au Canada consacré à l'assemblage de cartes électroniques et à l'électronique imprimée Bromont et Saint-Hubert (Québec), 17 mai 2019 – C2MI etVaritron sont fières d'annoncer officiellement l'ouverture du premier centre de fabrication de pointe au Canada consacré entièrement à l'assemblage de cartes électroniques et à l'électronique imprimée. Établi dans le centre de recherche de C2MI à Bromont, le centre de fabrication de pointe sera doté des équipements à la fine pointe utilisés dans les domaines de l'électronique imprimée, de l'assemblage de circuits, de la nanoprotection et des techniques de refroidissement avancées ainsi que d'une chaîne d'approvisionnement intégrée qui permettra une fabrication à grande échelle. Cette annonce a été faite dans le cadre du CPES2019, le plus important congrès canadien sur l'électronique imprimable, flexible et hybride, organisé par intelliFLEX à Bromont les 16 et 17 mai derniers. Des installations uniques pour accélérer le développement des technologies émergentes L'objectif de ces nouvelles installations est de veiller à ce que des entreprises de tous les segments de marché demeurent des fournisseurs de premier plan par leurs capacités à offrir de nouveaux produits, de nouvelles possibilités et de nouvelles applications, restant ainsi à l'avant-garde du processus de l'offre et de la demande. Des équipes hautement qualifiées composées d'experts et de scientifiques chevronnés provenant de l'industrie et du milieu universitaire aideront les entreprises dans leur développement de produits et leur processus de conception, tout en continuant de se concentrer sur des cibles de production à grande échelle pour les diverses solutions qu'elles proposent. Les entreprises pourront avoir accès à des services à la carte ou proposer des technologies qui n'ont pas encore été testées ou développées en utilisant un éventail de services allant de la conception à la commercialisation. La Politique des retombées industrielles et technologiques (RIT) est un incitatif significatif pour les entreprises étrangères qui choisiront d'utiliser les services du centre de fabrication de pointe puisque cette politique exige que les entreprises à qui l'on octroie des contrats dans le domaine de la défense exercent leurs activités au Canada. Le projet du centre de fabrication de pointe, qui représente un investissement total de 6,5 M$, a pu être réalisé gr'ce à la collaboration scientifique de l'Université de Sherbrooke et de Varitron, ainsi qu'au financement du Ministère de l'Économie et de l'Innovation du Québec de l'ordre de 3 M$, du C2MI pour 2,1 M$ ainsi qu'aux fournisseurs d'équipement qui ont contribué jusqu'à 1,4 M$ en capacités à valeur ajoutée. « Le centre de fabrication de pointe jouera un rôle déterminant pour que les entreprises canadiennes demeurent en tête de peloton de la concurrence en accélérant le développement de solutions et de produits novateurs afin que ces derniers soient commercialisés plus rapidement. En tant que centre de recherche et de développement, l'un de nos objectifs principaux est de veiller à ce que nos installations soient dotées d'équipements qui assureront la compétitivité de nos clients et de nos membres, peu importe le secteur industriel dans lequel ils évoluent », a indiqué Normand Bourbonnais, chef de la direction de C2MI. « Ce centre de fabrication de pointe est une étape importance pour s'assurer que l'écosystème d'innovations a accès à des installations et des équipements de pointe et à la plus récente expertise scientifique pour accélérer son développement technologique », a dit Michel Farley, président et chef de la direction de Varitron. « Après plus de quatre ans de planification et de peaufinage, Varitron est fière de voir ce projet se concrétiser. » http://www.c2mi.ca/communique-de-presse/c2mi-et-varitron-inaugurent-le-premier-centre-de-fabrication-de-pointe-au-canada-consacre-a-lassemblage-de-cartes-electroniques-et-a-lelectronique-imprimee/

  • Halifax Shipyard launches Canada’s second Arctic and Offshore Patrol Ship

    11 novembre 2019 | Local, Naval

    Halifax Shipyard launches Canada’s second Arctic and Offshore Patrol Ship

    HALIFAX, Nova Scotia, Nov. 10, 2019 (GLOBE NEWSWIRE) -- The Royal Canadian Navy's second Arctic and Offshore Patrol Ship (AOPS), the future HMCS Margaret Brooke, was launched today, Nov. 10, 2019, at Halifax Shipyard. The launch of the second of six AOPS for the Royal Canadian Navy, marks a significant milestone for Canada's National Shipbuilding Strategy (NSS) and the revitalization of the Royal Canadian Navy's combatant fleet. The 103-metre future HMCS Margaret Brooke transitioned from Halifax Shipyard's land level facility to a submersible barge on Nov. 8, 2019 and launched in the Bedford Basin today. The ship is now pier side at Halifax Shipyard where work continues to prepare the ship for sea trials and handover to the Royal Canadian Navy late next year. The future HMCS Margaret Brooke joins Canada's lead AOPS, the future HMCS Harry DeWolf, pier side at Halifax Shipyard. The future HMCS Harry DeWolf is in the final stages of construction and is preparing for initial builder sea trials at the end of November. Inside Halifax Shipyard's facilities, the Royal Canadian Navy's third and fourth AOPS, the future HMCS Max Bernay and the future HMCS William Hall, are under construction. The first two major sections of the future HMCS Max Bernay are scheduled to be moved outside in spring 2020. Canada's NSS was created to replace the current surface fleets of the Royal Canadian Navy and the Canadian Coast Guard. Over the next few decades, Halifax Shipyard will build six AOPS for the Royal Canadian Navy, two AOPS for the Canadian Coast Guard, and 15 Canadian Surface Combatants for the Royal Canadian Navy. As a result of the NSS, Irving Shipbuilding has become one of Atlantic Canada's largest regional employers, with thousands of Canadians now working in skilled, well-paying jobs. Halifax Shipyard, long at the centre of Canadian shipbuilding, is now home to the most modern, innovative shipbuilding facilities, equipment, and processes in North America. Halifax Shipyard is also continuing its legacy as the Halifax-class In-Service Support Centre of Excellence, with HMCS Charlottetown currently in the graving dock for an extensive docking work period. Quote Kevin McCoy, President, Irving Shipbuilding “Congratulations to our more than 2,000 shipbuilders on today's successful launch of the future HMCS Margaret Brooke. It is exciting to have two Arctic and Offshore Patrol Ships in the water and closer to being in use by the Royal Canadian Navy's sailors.” Media Contact: Sean Lewis Director of Communications Irving Shipbuilding Inc. T: 902-484-4595 E: Lewis.Sean@IrvingShipbuilding.com https://www.globenewswire.com/news-release/2019/11/10/1944417/0/en/Halifax-Shipyard-launches-Canada-s-second-Arctic-and-Offshore-Patrol-Ship.html

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