9 octobre 2024 | International, Terrestre

American Rheinmetall Vehicles Wins Award for U.S. Army’s S-MET Inc II Program

American Rheinmetall Vehicles will manufacture and deliver eight proto­types to the Army in 2025 for testing, evaluation, and to compete against the platform delivered by the second awardee before the...

https://www.epicos.com/article/876533/american-rheinmetall-vehicles-wins-award-us-armys-s-met-inc-ii-program

Sur le même sujet

  • Mettre en place un Conseil de sécurité européen ? Une idée à travailler

    18 février 2019 | International, Sécurité

    Mettre en place un Conseil de sécurité européen ? Une idée à travailler

    (B2) Berlin insiste régulièrement sur un point souvent oublié dans la rhétorique sur l'armée européenne : la mise en place d'un « Conseil de sécurité de l'UE ». Un point qui mérite un peu d'attention Avec mes amis de ‘La faute à l'Europe‘ (J. Quatremer, Y. A. Noguès, K. Landaburu, H. Beaudoin), qui reçoivent ce week-end Michèle Alliot Marie, alias MAM, l'ancienne ministre de la Défense (sous Jacques Chirac) et ministre des Affaires étrangères (sous Nicolas Sarkozy), nous parlons ‘défense', ‘Europe puissance' et notamment de ce Conseil de sécurité européen (video). @bruxelles2 pèse le pour et le contre d'un Conseil de sécurité européen à l'image de @ONU_fr pic.twitter.com/JfbkGh4Kot Une proposition franco-allemande Cette proposition ne nait pas de nulle part. Elle figurait en dernier lieu dans la déclaration de Meseberg adoptée par les deux dirigeants Emmanuel Macron et Angela Merkel en juin 2018. L'objectif est d'avoir un « débat européen dans de nouveaux formats » et « d'accroitre la rapidité et l'efficacité de la prise de décision de l'Union européenne [en matière] de politique étrangère » (lire : Défense, Sécurité, Migrations, Développement, l'accord franco-allemand de Meseberg). Une explication merkelienne Au Parlement européen, en novembre 2018, la chancelière Angela Merkel souligne l'importance d'« une enceinte au sein de laquelle des décisions importantes pourront êtres prises », avec une « présidence tournante » (lire : « Une armée (européenne) montrerait au monde qu'entre (nous) il n'y aurait plus de guerre » (Angela Merkel). Le format serait limité précise-t-on du côté allemand : « un petit cercle d'États se relayant et représentant l'ensemble de l'UE [pour] travailler plus promptement et intensément au règlement des crises en cours. » (1) Une certaine réserve française Du côté français, on ne peut pas dire que le projet suscite une grande mobilisation. A l'Élysée, la prudence est de règle : « C'est une idée [de] la Chancelière. Ce pourrait être une proposition commune, mais cela mérite encore [d'être travaillé] » l'che en ‘off' un Élyséen, à quelques journalistes (dont B2) en novembre 2018. Et d'ajouter : « Nous n'avons pas de détails proposés par le gouvernement allemand : est-ce un forum pour discuter ou pour décider des questions de politique étrangère ? Ce n'est pas encore une position qui est mûrie. » (3) Une idée mal perçue dans les milieux européens Dans les couloirs européens, cette idée est à peine commentée. « Je suis un peu sceptique sur la création d'une nouvelle structure. Est-elle vraiment nécessaire. N'a-t-on pas déjà pas assez de structures » s'interroge un bon connaisseur des questions sécuritaires interrogé par B2, résumant assez bien le sentiment à Bruxelles, perplexe et qui a, à peine, réfléchi sur l'idée. Un vide béant de réflexion stratégique Cette proposition répond pourtant à un réel besoin. L'Union européenne souffre aujourd'hui d'un vide béant d'absence de direction politique au plus haut niveau, d'anticipation stratégique et de réactivité en cas de crise majeure. Parler d'autonomie stratégique ou de réflexion sans avoir une instance capable de décider est un leurre. Des leaders européens absents collectivement Certes, en théorie, le Conseil européen doit se pencher une fois par an au minimum sur les grandes questions de sécurité. Mais cette disposition du Traité de Lisbonne est restée plutôt lettre morte. Force est de constater que ces dernières années, sur toutes les crises majeures — Libye, Syrie, Irak, Ukraine, crise migratoire, coup d'état en Turquie, etc. — les Chefs d'État et de gouvernement européens, collectivement, ont été ‘à la ramasse'. Un manque d'anticipation certain Pour en attester, il suffit de reprendre la liste des crises récentes. Les 28 ont-ils à la veille de signer l'accord d'association avec l'Ukraine clairement évalué les conséquences de cet acte sur les relations avec la Russie, donné leur accord en bonne et due forme ? Ont-ils planifié un dispositif de gestion de crise soit diplomatique, soit militaire en cas d'intervention russe (largement prévisible) ? Lors de la déroute du printemps arabe en Syrie, ont-ils anticipé la crise des réfugiés et des migrants à venir ? Après l'intervention franco-britannique en Libye, qui laisse un pays déchiré et un État failli, ont-ils envisagé et débattu de la solution à apporter à la crise, en commençant par résoudre leurs différends ? Lors du coup d'Etat en Turquie, y-t-a-il eu une réunion de crise par rapport à un pays le plus proche ? Non, non ! Des questions posées trop vite abordées Au mieux, les ‘Leaders' ont discuté une ou deux heures pour s'accorder sur les traitements collatéraux de la crise (rupture des liens diplomatiques, aide humanitaire, sanctions...). La plus longue discussion au cours de ces dernières années a été consacrée à définir l'intensité des sanctions mises en place sur la Russie. Mais rarement pour tenter de résoudre leurs différends, trouver des solutions ou b'tir des feuilles de route. Au pire, ils ont préféré ne pas trop se pencher sur la question. Une réforme facile à mettre en place Si l'on met de côté certains aspects proposés par A. Merkel, avoir un Conseil de sécurité de l'Union européenne est possible dans le cadre existant. Pas de modification de traité Ce projet ne nécessite pas de modification des traités constitutifs. Il suffit juste de changer les usages. On peut décider (par exemple) de consacrer une demi-journée lors de chaque Conseil européen aux grandes questions internationales ou (autre exemple) dédier une de ses quatre réunions annuelles aux questions internationales. Il serait même possible de tenir une ou deux fois par an un Conseil européen informel dans un pays tournant (permettant à un chef de gouvernement de coprésider la réunion). Juste changer les usages Rien n'empêche d'ailleurs quelques pays plus proches en matière d'approche sécuritaire — France, Allemagne, Belgique, Espagne, Italie — de tenir régulièrement des conciliabules préparatoires à l'image des réunions G6 des ministres de l'Intérieur (un petit cercle conjoint). Rien n'empêche aussi de joindre à ces réunions des Chefs, une réunion parallèle des ministres de la Défense ou des Affaires étrangères, voire des ambassadeurs, pour mettre en musique immédiatement les mesures décidées par les Chefs. Toutes ces dispositions, tout à fait possibles dans les traités existants, permettraient de se rapprocher du modèle prôné par A. Merkel. Un dispositif diplomatique et technique prêt à répondre Au-dessous du niveau politique, le dispositif européen en cas de crise est plutôt complet et prêt à travailler. On a ainsi des ambassadeurs des 28 (le Comité politique et de sécurité), qui siègent en permanence à Bruxelles, avec au minimum deux réunions par semaine (sans compter les petits déjeuners, goûters et autres dîners informels) permettant d'échanger et affiner des positions communes. En cas d'urgence, une réunion du COPS peut être improvisée. Ces diplomates, discrets mais parfaits connaisseurs de leurs sujets, sont tenus d'être là, 24h/24 sur le pont. J'en ai été témoin à plusieurs reprises. Des réunions ont eu lieu le dimanche, au mois d'août, à 6 heures du matin ou à 22 heures le soir. Un dispositif de veille et d'analyse On a aussi un dispositif de veille du renseignement (l'IntCen) (dirigé aujourd'hui par un Allemand ancien des services de renseignement) qui produit régulièrement des notes d'analyses. Ces notes — environ 1400 par an — sont plutôt bien appréciées de leurs destinataires, selon mes informations. On peut ajouter à cela des dispositifs de réaction de crise — cellule de protection civile à la Commission européenne, état-major militaire de l'UE (EUMS), commandement des missions civiles (CPCC) etc. — qui existent et ne demandent qu'à produire des résultats. Tous ces dispositifs peuvent au besoin être renforcés et rendus plus performants. (Nicolas Gros-Verheyde) https://www.bruxelles2.eu/2019/02/16/mettre-en-place-un-conseil-de-securite-europeen-une-idee-du-futur/

  • MELLS guided missile for the German Infantry

    27 novembre 2019 | International, Terrestre

    MELLS guided missile for the German Infantry

    26 Nov 2019 Rheinmetall and its joint venture partners Diehl Defence and Rafael have won an order to supply the Bundeswehr with the advanced MELLS antitank guided missile. Rheinmetall is tasked with supplying key components to Eurospike, the company that manufactures the MELLS multirole lightweight guided missile system. For Rheinmetall, this represents an order intake of over €30 million without valued added tax. Delivery begins in 2020 and continues through to 2023. A framework agreement contains an option for the fabrication and delivery of around 100 additional weapon systems and a five-figure number of component sets for the MELLS guided missile during the 2024-2031 timeframe. This would mean incoming orders for Rheinmetall in the three-digit million-euro range. The MELLS missiles now ordered by the Bundeswehr are intended for infantry operations. Rheinmetall will be supplying over a hundred integrated command and launch units, including transport and storage containers, as well as 1,500 sets with components for the long-range Spike LR missile produced by Rafael. Produced by Eurospike – a joint venture of Rheinmetall, Diehl Defence and Rafael – the MELLS is a state-of-the-art effector capable of engaging armoured targets at ranges of up to 4,000 metres. Rheinmetall can point to abundant expertise and experience with the MELLS. The Düsseldorf, Germany-based company has already integrated this advanced missile system into the Marder infantry fighting vehicle, and is doing so again in the Puma IFV. In addition, another contractor is currently integrating the system into Rheinmetall's air-portable Wiesel/Wiesel weapons carrier. Looking ahead, more extensive networking of the command and launch units and guided missiles with Rheinmetall-made soldier systems like the Future Soldier – Expanded System (IdZ-ES) and the TacNet battle management system offers significant future potential, which will further optimize the sensor-to-shooter sequence. RHEINMETALL AG Corporate Sector Defence Press and Information Oliver Hoffmann Rheinmetall Platz 1 40476 Düsseldorf Germany Phone: +49 211 473-4748 Fax: +49 211 473-4157 View source version on Rheinmetall AG: https://www.rheinmetall-defence.com/en/rheinmetall_defence/public_relations/news/latest_news/index_22144.php

  • Dassault dévoile le remplaçant du Rafale

    25 octobre 2018 | International, Aérospatial

    Dassault dévoile le remplaçant du Rafale

    Le salon Euronaval (Le Bourget, 23 au 26 octobre 2018), est l'occasion pour l'avionneur de Saint-Cloud de lever un coin de voile sur son concept de « New Generation Fighter ». Ce NGF est destiné à occuper une place essentielle dans le projet franco-allemand SCAF (Système de Combat Aérien Futur) développé par Airbus et Dassault, et dont la France (comprendre Dassault) aura la maitrise d'oeuvre. La maquette présentée sur le stand Dassault à Euronaval montre un avion piloté, sans dérive, sans canard, avec des entrées d'air trapézoïdales à la mode du F-22. L'accent est mis sur la furtivité et l'appareil disposerait en bonne logique d'une soute pour emporter son armement. Les équations qui dictent la furtivité aux ondes électromagnétiques étant les mêmes pour tout le monde, il n'est pas étonnant que les avions existant ou en projet reprennent les mêmes solutions. La maquette de Dassault se distingue par l'absence de dérive : l'avionneur français maîtrise le sujet depuis qu'il fait voler le Neuron. Le démonstrateur de drone de combat lui a également mis le pied à l'étrier en matière de furtivité. Le NGF ayant vocation à succéder au Rafale, il devrait logiquement exister en deux versions : terrestre et embarquée. Ce qui explique sa présence au salon Euronaval... Frédéric Lert https://www.aerobuzz.fr/defense/dassault-devoile-le-remplacant-du-rafale/

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