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June 17, 2020 | International, Naval

With the future of the US Navy’s carrier air wing murky, Congress demands a plan

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WASHINGTON – The US Navy will need to develop a roadmap for developing future fighter aircraft years after it became apparent that the Navy's mainstay F/A-18 Super Hornet would struggle to keep the carrier outside of range to be effective against Chinese anti-ship missiles.

A provision in the Senate Armed Services Committee's mark of the National Defense Authorization Act told the Navy to come up with a concrete plan for fielding next generation fighter aircraft, a move that comes months after congressional appropriators gutted 2020 funding for the Navy's next-generation air dominance program, taking the requested $20.7 million and slashing it to $7.1 million.

By way of comparison, the Air Force requested $1 billion in funding for its Next Generation Air Dominance program, but saw a relatively minor 10 percent cut from appropriators that was cited as a “classified adjustment.”

The SASC mark “requires the Navy to create a fighter aircraft force structure acquisition strategy and report on aircraft carrier air wing composition and carrier-based strike fighter squadrons to better prepare for potential conflicts envisioned by the National Defense Strategy,” according to a summary posted on the Committee's website.

The Navy likely upset the congressional apple cart by zeroing out a planned buy of at least 36 Super Hornets that would have spanned FY22 through FY24. That move that should save $4.5 billion that the service plans to redirect to its sixth-generation fighter program, known as Next Generation Air Dominance or F/A-XX.

So, what's F/A-XX?

The Navy has tried to address the range issue with fielding an unmanned tanker, the MQ-25 Stingray, but that program could face delays if the Navy's operational schedule doesn't align to allow testing.

But what exactly the F/A-XX will be is anyone's guess. The Navy finished an Analysis of Alternatives in June of last year and the spokesman for the Navy's assistant secretary for research, development and acquisition told Defense News earlier this month that the program was in the concept development phase.

But some experts believe that given the Navy's budgetary constraints for the foreseeable future, the F/A-XX should be a derivative of a current aircraft.

Bryan Clark, a senior fellow at the Hudson Institute and a retired submarine officer, said in recent testimony before the House Armed Services Committee that it would make sense to keep buying the F/A-18s to keep the line hot for a potential F/A-XX.

“I think the F/A-XX is going to need to be probably a derivative of an existing airplane rather than some complete new clean sheet design given the fiscal constraints we're under,” Clark said. “Therefore, keeping production lines going for both of our existing strike fighters is a good idea to allow both to be an option for this future F/A-XX.”

In 2019, formed Deputy Secretary of Defense Bob Work told Defense News that the next fighter should really be unmanned, and that going that route would help save some money.

“The focus should be on the F/A-XX. If you really want range, that has to be the platform you are shooting for,” Work said. “Because with the Navy buying the F-35Cs, and the Marine [Corps] buying the F-35Bs and the Navy buying the Block III Super Hornet, you are not going to be able to afford two or three programs. So, the F/A-XX is the one you need to focus on. And if the analysis shows you need range, that points to unmanned.”

But naval aviation has shown very little appetite for fielding an unmanned long-range fighter, and the Navy more generally has been tepid on unmanned technologies, according to former Chief of Naval Operations retired Adm. Garry Roughead, who testified at HASC alongside Clark.

“I reflect that we flew an unmanned aircraft off of an aircraft carrier in 2012,” Roughead said. “2012! That has not happened again. Eight years, in my mind, of a hiatus in trying to advance this new technology is not aggressive by any stretch of the imagination.”

Valerie Insinna contributed to this report from Washington.

https://www.defensenews.com/2020/06/15/with-the-future-us-navys-carrier-air-wing-murky-congress-demands-a-plan/

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  • La Belgique joue la montre avec le F-35

    October 9, 2018 | International, Aerospace

    La Belgique joue la montre avec le F-35

    Non, la Belgique ne demande pas aux Américains de prolonger leur offre, dans le cadre de la procédure de remplacement de ses avions de combat. Simplement, elle leur demande jusqu'à quand les conditions remises pour le F-35 resteront valables. Autrement dit, s'ils tiennent tant que cela à l'échéance du 14 octobre. Nuance. Difficile de savoir si la partie qui se joue actuellement est à classer au rayon "diplomatie de haut vol", ou mérite plutôt l'étiquette "négociation de marchands de tapis". L'acte I s'est joué le mois dernier: l'ambassadeur américain en Belgique a fait mine de mettre un petit coup de pression sur le gouvernement fédéral. En septembre, donc, Ronald Gidwitz rappelait que l'offre déposée par le groupe américain Lockheed Martin pour le remplacement des chasseurs-bombardiers belges F-16 expirait le 14 octobre, soit précisément le jour du scrutin communal. Pareille offre ne pourrait être indéfiniment prolongée, avertissait l'ambassadeur, empruntant les manières d'un représentant de commerce. Ou du moins pas en l'état; en cas de prolongation, il ne faudrait pas s'étonner de voir les conditions – prix, délais ou termes en matière d'entraînement – être modifiées. Pas dans le bon sens, fallait-il comprendre. Une sortie pour la galerie, en quelque sorte. Puisqu'elle ne semble avoir infléchi en rien la ligne de Michel. À qui l'on doit la composition de cet acte II: Un comité ministériel restreint avait déjà t'té le terrain, et un autre, réuni ce jeudi matin, a validé l'option. La Belgique va, en quelque sorte, demander la prorogation de l'offre déposée par le constructeur du F-35, postposant dans la foulée sa décision dans cet épineux dossier.Une fois de plus, puisque, outre ce 14 octobre, le sommet de l'Otan de juillet dernier avait déjà été présenté comme date limite pour trancher. Enfin, c'est un tantinet plus subtil que cela. Alors précisons. Non, la Belgique ne demande pas officiellement d'allongement du délai. Michel a mandaté son ministre de la Défense, le N-VA Steven Vandeput, qui est chargé de demander aux Américains la date de péremption de leur dossier. Autrement dit, à quel point tiennent-ils à l'échéance du 14 octobre, jusqu'ici brandie? Nuance, nuance. Le "chouchou" F-35 La Belgique joue donc la montre dans ce dossier complexe. Qui mérite une piqûre de rappel. Les 54 F-16 dont dispose la Belgique approchent tout doucement de l''ge de la retraite. Les premiers ont été livrés en 1982 et la limite des 8.000 heures de vol mène à un déclassement débutant en 2023. Voilà pourquoi le Fédéral a lancé en mars 2017 un appel d'offres portant sur l'acquisition de 34 nouveaux avions de combat, qui devraient être livrés à partir de 2023 et être tous opérationnels pour 2030. L'affaire est délicate. Parce que, assez rapidement, le F-35 américain a été désigné par l'amicale des bruits de couloir comme étant le "chouchou" – autrement dit, les jeux seraient déjà faits. Est venue s'ajouter en avril dernier une vraie-fausse polémique sur la possibilité d'allonger la durée de vie de nos vaillants, quoique vieillissants, F-16. Bref, pourquoi aller dépenser la modique somme de 3,6 milliards d'euros – et encore, il ne s'agit ici que de la mise initiale, les estimations de la facture totale tournant autour des 15 ou 18 milliards répartis sur une quarantaine d'années – alors que l'on pourrait "doper" la flotte existante pour un coût nettement plus doux? Ajoutez à cela la France et son Rafale, qui ont décidé de jouer les trouble-fêtes, en proposant, en septembre 2017, à la Belgique un "partenariat approfondi et structurant", et ce en dehors du cadre du marché lancé par Michel. La rumeur voudrait d'ailleurs que la Belgique n'ait jamais réellement inspecté en détail la proposition française. Résultat, le 14 février dernier, seuls deux avions étaient officiellement encore en lice: le F-35 Lightning II de l'américain Lockheed Martin – le plusonéreux des programmes d'armement de l'histoire militaire américaine – et l'Eurofighter Typhoon, porté par un consortium mêlant Royaume-Uni, Allemagne, Espagne et Italie. Et, faisant bande à part, le Rafale de Dassault. Comme si le remplacement des F-16 n'était pas suffisamment compliqué comme cela, d'autres marchés relatifs à la Défense sont ouverts – et non des moindres. De quoi créer des interférences ou pousser la Belgique à établir une sorte de balance générale, par le miracle d'une diplomatie de haut vol? Drones, navires et véhicules de combat Il est question de drones, puisque la Défense a prévu l'acquisition, pour 226 millions d'euros, de quatre drones susceptibles d'être armés. Alors que les militaires s'intéressaient à un engin "made in USA", le géant européen de l'aéronautique Airbus s'est invité et a proposé ses services. Il est question de navires, puisque la Belgique et les Pays-Bas ont entamé ensemble une procédure d'achat de seize navires militaires – deux frégates et six bateaux de lutte contre les mines chacun – pour une facture dépassant les 4 milliards. Aux Néerlandais de superviser le programme des frégates, aux Belges de présider celui des navires anti-mines. Mentionnons encore l'achat de 477 véhicules de combat pour les forces terrestres belges, pour lequel un préaccord à 1,1 milliard est établi avec la France. Benoît Mathieu, Journaliste Source: L'Echo https://www.lecho.be/economie-politique/belgique/flandre/la-belgique-joue-la-montre-avec-le-f-35/10056153.html

  • Croissance rapide du marché Les Avions De Combat avec des entreprises leaders, période de prévision 2020-2028

    June 5, 2020 | International, Aerospace

    Croissance rapide du marché Les Avions De Combat avec des entreprises leaders, période de prévision 2020-2028

    Une donnée informative intitulée as, Les Avions De Combat market a été publiée par Report Consultant. Il examine de plus près les différents aspects des entreprises, qui alimentent la croissance des entreprises. En outre, il offre des facteurs importants, qui freinent le progrès des industries. Les analystes ont utilisé des techniques de recherche primaires et secondaires pour analyser efficacement les données. Le marché mondial Les Avions De Combat devrait croître dans un proche avenir. Il se concentre sur les scénarios actuels avec les documents historiques pour comprendre l'existant et futuriste portée. Les Avions De Combat le marché comprend les acteurs clés sont: Boeing, Lockheed Martin, BAE Systems, Airbus, Embraer, Dassault Aviation, Avions russes, Sukhoi, Pilatus Aircraft, Alenia Aermachhi, Saab AB, Eurofighter Typhoon Obtenir Un Exemple De Lien: https://www.reportconsultant.com/request_sample.php?id=10214 En outre, les principaux outils utilisés pour améliorer les résultats des entreprises sont Les Avions De Combat market. Pour les perspectives d'affaires solides et stables, différents paramètres ont été analysés dans les régions mondiales telles que L'Amérique du Nord, l'Amérique latine, L'Asie-Pacifique, L'Europe et L'Inde. L'augmentation rapide de Les Avions De Combat provoque également le développement des industries. Une compréhension claire du sujet a été examinée en fournissant une analyse approfondie des divers attributs des entreprises. Demander Le Lien De Remise: https://www.reportconsultant.com/ask_for_discount.php?id=10214 L'objectif principal de ce rapport de recherche est de fournir une analyse complète qui explique clairement comment les tendances récentes pourraient avoir un impact sur l'avenir du marché Les Avions De Combat. L'étude estime les facteurs pour stimuler la performance des entreprises. Différents facteurs internes et externes tels que sont examinés qui contribue à alimenter la croissance du marché Les Avions De Combat. Cette analyse complète offre les facteurs de retenue, ce qui permet de s'attaquer aux obstacles devant les entreprises. Le but de ce rapport informatif est de permettre aux lecteurs de comprendre les moyens de découvrir les opportunités mondiales dans l'espace du marché. Les Avions De Combat Marché fournit une connaissance détaillée du scénario de marché de la taille de l'industrie, part, croissance, tendances, développement régional, aperçu des principaux fabricants et 2028 prévisions. Le rapport offre une analyse complète et les perspectives de marché à venir sur la base des données passées et présentes recueillies, triées et analysées par année passée et présente. Pour plus D'informations, Cliquez ici: https://www.reportconsultant.com/checkout?id=10214 Les Avions De Combat rapport D'étude de marché TOC (table des matières): 1. à propos du marché Les Avions De Combat 2. Paysage De La Concurrence Sur Le Marché Mondial 3. La Part De Marché Mondial 4. Analyse De La Chaîne D'Approvisionnement 5. Les Profils D'Entreprise 6. Mondialisation et commerce Les Avions De Combat marché 7. Distributeurs et clients 8. Importation, exportation, consommation et valeur de consommation par grands pays http://pechealliance.com/les-avions-de-combat/

  • Boeing and Mitsubishi sign agreement to support Japan F-15 upgrades

    July 30, 2020 | International, Aerospace

    Boeing and Mitsubishi sign agreement to support Japan F-15 upgrades

    By: Mike Yeo   1 day ago MELBOURNE, Australia — American firm Boeing has signed an agreement with Japanese company Mitsubishi Heavy Industries to support upgrades to Japan's fleet of F-15 fighter jets. The agreement, made through the U.S. Direct Commercial Sales process, is part of a larger $4.5 billion modernization program for 98 of Japan's F-15J/DJ Eagle interceptors ordered through the U.S. Foreign Military Sales process and approved by the U.S. State Department in 2019. Boeing will provide MHI with retrofit drawings, ground support equipment and technical publications for the upgrade of the first two F-15J aircraft to the Japan Super Interceptor configuration, also known as F-15JSI. The full suite of upgrades will introduce a new radar, electronic warfare capabilities and weapons. Also included is a new advanced cockpit system running on an advanced mission computer for meant to improve pilot situational awareness. The new active electronically scanned array radar will be the Raytheon AN/APG-82(v)1 multimode set, which is also being fit on the U.S. Air Force's F-15E Strike Eagles. Japan had requested 103 radars, including six spare sets, along with 116 Honeywell Advanced Display Core Processor II mission computers and 101 BAE Systems AN/ALQ-239 digital electronic warfare systems. The upgrade package will also include anti-spoofing GPS gear for more precise navigation, as well as new radios. Japan's also requested “aircraft and munition integration and test support.” The U.S. Defense Security Cooperation Agency notification about Japan's request did not provide more details, but Boeing's announcement of the contract included artwork of an F-15 in Japanese markings with a Lockheed Martin AGM-158 Joint Air-to-Surface Standoff Missile on its centerline weapon station. Japan had confirmed in its Mid-Term Defense Plan in late 2018 that it intended to procure the JASSM for long-range land-attack missions and integrate it onto F-15s. However, it's not clear whether Japan will take up Boeing's proposal to increase the number of AIM-120 medium-range air-to-air missiles that can be carried by the F-15 to 18, which the company had previously displayed on model at an aerospace exhibition in Japan. The Japan Air Self-Defense Force operates a fleet of about 200 single-seat F-15J and two-seat F-15DJ Eagle aircraft. These are all configured for an air defense role with virtually no air-to-ground capability, and they serve with seven different operational squadrons throughout Japan, a training squadron and another unit in the dedicated aggressor role, acting as the adversary during training exercises. The fleet, particularly the two squadrons based on Japan's southern island of Okinawa, have been heavily engaged in monitoring foreign military aircraft entering Japan's air defense identification zone in the international airspace around Japan. The Defense Ministry says these foreign aircraft are predominantly Chinese, with Russian aircraft coming in at a distant second. The Japan Times newspaper recently reported on China's increased use of an air base in its Fujian province to fly fighter jets near the disputed Senkaku islands. In response, the Japan Air Self-Defense Force scrambles interceptors from Okinawa once the Chinese jets take off from the Fujian base. The newspaper also reported that the Japan Air Self-Defense Force is scrambling four instead of two aircraft on each occasion, noting that the Chinese base is closer to the disputed islands than the Japanese air bases in Okinawa. https://www.defensenews.com/industry/2020/07/29/boeing-and-mitsubishi-ink-deal-to-support-japan-f-15-upgrades/

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