December 13, 2023 | International, Land, Security
Newest F-35s stalled by slow production of key parts
“The hardware is good,” Lt. Gen. Michael Schmidt said. “It’s the rate at which they’re producing them to meet our production and retrofit needs."
June 25, 2019 | International, Aerospace
Author: Mike Rees
The U.S. Army has announced that its Howler counter unmanned aerial system (UAS) capability has achieved Initial Operational Capability, putting critical protection against drones in the hands of soldiers.
Howler, a name coined by the U.S. Army, combines the capabilities of Raytheon's Ku band radio frequency system multi-mission simultaneous radar and Coyote unmanned aircraft system. The KuRFS advanced electronically scanned array acquires and tracks all size UAS threats. Coyote works with KuRFS using its advanced seeker and warhead to identify and eliminate UAS threats.
“We developed and fielded this system in just 17 months,” said Bryan Rosselli, vice president of Mission Systems and Sensors. “Detecting the drone threat is the first critical step in the counter-UAS kill chain. The combination of precise tracking and engagement of these two proven systems gives the U.S. Army a vital capability to defeat this constantly evolving threat.”
In addition to providing advanced situational awareness, precise discrimination and mobility to successfully counter UAS threats, Howler gives the Army singular flexibility to adapt to the quickly changing, multidimensional threat environment.
“Test after test proves that our Coyote is an integral solution for defeating the growing number of enemy drones in the skies above the battlefield,” said Sam Deneke, Raytheon Land Warfare Systems vice president. “Protecting soldiers on the ground is a top priority, and this new system truly delivers.”
Raytheon's portfolio of sensors, and kinetic and non-kinetic effectors networked into a command and control system covers the full counter-UAS kill chain.
December 13, 2023 | International, Land, Security
“The hardware is good,” Lt. Gen. Michael Schmidt said. “It’s the rate at which they’re producing them to meet our production and retrofit needs."
November 7, 2018 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security
(B2) Alors que le serpent de mer de l'armée européenne ressurgit par la gr'ce d'Emmanuel Macron (*), il n'est pas inutile de revenir sur terre. Ce qui existe aujourd'hui ... et ce qui n'existe pas en matière de défense au niveau européen. La réalité inscrite dans les Traités européens actuels est la politique (européenne) de sécurité et de défense commune (PeSDC). Ou en langage commun, l'Europe de la défense. Elle n'est cependant pas comparable à ce qui se définit au plan national comme une politique de défense. Que ce soit dans le langage des pro ou des anti-intégrations européennes, cet aspect est bien souvent gommé. Or, il est primordial d'avoir une vue ‘honnête' et ‘objective' de la situation actuelle. Une politique nationale de défense D'un point de vue national, une politique de défense se définit tout d'abord par une autorité qui imprime sa marque et un circuit décisionnel court (comme en France avec un président de la république acteur principal) ou plus long (comme en Allemagne avec une décision du gouvernement, une approbation du parlement). Elle répond à une stratégie de défense, qui est élaborée par strates successives, en répondant à des antécédents historiques et une logique politique. Elle se développe ensuite dans un budget d'investissement d'une armée, des équipements militaires, des troupes, une logique d'action et une légitimité dans l'opinion publique qui accepte, plus ou moins, un engagement militaire intérieur ou extérieur, à risque ou non. L'Europe de la défense : un projet politique L'Europe de la défense est tout d'abord un projet politique, qui vise à affirmer la place de l'Europe dans le monde, au service d'une politique étrangère. Elle ne consiste pas ainsi à assurer la défense du territoire ni la protection des citoyens (malgré les déclarations politiques en ce sens). Elle ne procède que d'une coordination des efforts des États membres. Son circuit décisionnel repose ainsi toujours, à toutes les étapes, de l'initiative à l'approbation puis au commandement et au contrôle, sur un accord de tous les États membres, de façon collégiale. Mettre tout le monde d'accord au même moment sur un enjeu commun est un véritable ‘challenge'. Elle a comme objectif unique d'avoir une capacité d'intervention, limitée, dans des missions ou opérations de paix ou de consolidation de l'état de droit. Elle n'est pas ainsi une force d'intervention tout azimut, n'a pas de commandement militaire direct (national) ou intégré (comme l'OTAN), ni de troupes ou de forces disponibles en permanence ni en propre. Elle ne peut intervenir qu'à l'extérieur des frontières, avec le consentement des États concernés (ou au moins de leurs gouvernements) et de la communauté internationale. On est ainsi très loin des ‘fondamentaux' d'une armée européenne. Quand on met face à face ainsi les principes d'une défense nationale et ceux de l'Europe de la défense, il est inévitable que la seconde soit moins efficace que la première. On peut considérer qu'il s'agit d'une faiblesse temporaire, due aux personnalités politiques du moment. Ce peut être le cas parfois. Mais il ne faut pas minorer les faiblesses structurelles dû à un fait principal : l'Europe n'est pas un État mais une structure juridique et économique de concertation et de coopération avant tout. Si on veut donner un aperçu plus mathématique, j'ai évalué, sous forme d'une note — sur une échelle de 0 à 3 — quels points remplit l'Union européenne, une fois mis en place tous les projets évoqués ces derniers temps. On va ainsi d'une note de 0 à 3 selon les thèmes : de 0 pour les équipements et les forces disponibles à 2 pour le budget de recherche, en passant par le mode de décision et le consensus politique que je cote à 1 sur 3. Article complet: https://www.bruxelles2.eu/2018/11/07/ce-quest-leurope-de-la-defense-ce-quelle-nest-pas/
May 6, 2022 | International, Aerospace