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December 13, 2023 | International, Land, Security

Newest F-35s stalled by slow production of key parts

“The hardware is good,” Lt. Gen. Michael Schmidt said. “It’s the rate at which they’re producing them to meet our production and retrofit needs."

https://www.defensenews.com/air/2023/12/13/newest-f-35s-stalled-by-slow-production-of-key-parts/

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    August 30, 2018 | International, C4ISR

    Northrop Grumman gets a start on next-gen missile warning satellites

    By: Daniel Cebul WASHINGTON — The Air Force awarded Northrop Grumman a contract worth as much as $47 million for an analysis of system and payload requirements for a new missile warning satellite system in polar orbit. Specifically, the contract will be used for the Next Generation Overhead Persistent Infrared Polar (OPIR) space vehicles 1 and 2. Work will be performed in Redondo Beach, California, and is expected to be completed by June 25, 2020, according to a contract announcement. The OPIR polar space vehicles will be part of a five-satellite constellation that will augment the legacy Space-based Infrared Satellite (SBIRS), which operates as the U.S. military's early warning missile system. During the fiscal year 2019 budget release, the Air Force announced its plans to cancel the 7th and 8th SBIRS satellites in favor or reallocating funds towards OPIR systems. In May 2018, the Air Force released a notice of intent to sole-source contracts to Lockheed Martin and Northrop for the new program. Lockheed Martin will produce three geosynchronous orbiting satellites and Northrop Grumman is responsible for two polar orbiting satellites. The first geosynchronous OPIR satellite is scheduled to be launched in 2023, and the first polar satellite is scheduled to launch in 2027. The Air Force wants the entire “block O” architecture to be operational by FY 2029. Lockheed Martin is the prime contractor on the SBIRS satellites. Northrop Grumman provides the sensors, a scanner and a starer, on those satellites. Full article: https://www.c4isrnet.com/c2-comms/satellites/2018/08/29/northrop-grumman-gets-a-start-next-gen-missile-warning-satellites

  • Spanish-British shipyard team wins bid for UK naval logistics fleet

    November 16, 2022 | International, Naval

    Spanish-British shipyard team wins bid for UK naval logistics fleet

    The government vows to keep most of the work in Britain, following unions' fears that key skills could be outsourced to other countries.

  • L'observation spatiale nouvelle génération parée au lancement

    December 19, 2018 | International, Aerospace, C4ISR

    L'observation spatiale nouvelle génération parée au lancement

    Helen Chachaty Mise à jour 13h (heure française) : Le lancement est reporté de 24 heures en raison de conditions météorologiques défavorables. L'observation spatiale prend une nouvelle dimension. Le premier satellite CSO (Composante spatiale optique) doit en théorie être mis sur orbite ce 18 décembre par un lanceur Soyouz, depuis le Centre spatial guyanais (CSG) de Kourou. La constellation CSO - composée de trois satellites - remplacera à terme le système Hélios II et reprendra les missions d'observation spatiale pour les forces armées françaises, mais aussi pour les pays partenaires du programme MUSIS (Multinational space-based imaging system). D'une masse de 3,5 tonnes, CSO-1 sera placé sur une orbite héliosynchrone à 800 kilomètres d'altitude et déployé pour des missions de reconnaissance, avec la capacité de produire des images très haute résolution. CSO-3 aura les mêmes fonctions, alors que CSO-2 sera quant à lui placé sur une orbite polaire à une altitude différente, soit 480 kilomètres d'altitude, afin de remplir la mission d'identification. Le deuxième satellite bénéficiera donc d'une résolution augmentée par rapport à CSO-1 et -3 et sera capable de produire des images d'extrêmement haute résolution - une donnée non-dévoilée. CSO-2 sera théoriquement lancé en mai 2020, toujours par Soyouz, CSO-3 devrait quant à lui être tiré par Ariane 6 en octobre 2021. Ces satellites de nouvelle génération représentent un « saut qualitatif en termes de résolution d'image, de précision de localisation et de nombre de prises de vue », explique un aviateur. Les satellites CSO sont destinés à effectuer des prises de vue en fonction des besoins militaires de la France et des pays partenaires (Allemagne, Belgique, Espagne, Italie, Suède). Dotés de capacités multispectrales et infrarouges, les satellites CSO permettront de disposer d'images mono- et stéréoscopiques. La participation de la Suède, qui met à disposition une antenne à Kiruna, permettra par ailleurs au satellite de « décharger » les données toutes les 90 minutes, contre environ deux fois par jour pour l'antenne de la base aérienne de Creil. La capacité journalière maximale est estimée à environ 800 images. La composante spatiale optique est articulée autour des trois satellites, d'un segment sol de mission pour le contrôle des satellites et d'un segment sol utilisateur. CSO-1, -2 et -3 ont été réalisés sous maîtrise d'oeuvre d'Airbus Defence & Space, l'instrumentation optique a été fournie par Thales Alenia Space France. Le segment sol mission est opéré par le CNES depuis Toulouse. Il est composé d'un centre de programmation (Capgemini) et de commande-contrôle (Airbus Defence & Space) et d'un centre d'expertise qualité image (Thales Service et Capgemini). Quant au segment sol utilisateur, situé à Creil, il a été conçu et réalisé par Airbus Defence & Space. La Direction générale de l'armement est responsable de la conduite du programme et assure la maîtrise d'ouvrage du segment sol utilisateur. Elle a délégué au CNES la maîtrise d'ouvrage pour la réalisation des satellites et du segment sol de mission, ainsi que le lancement des satellites - qui sera effectué par Arianespace. Le lancement de CSO-1 intervient alors que la ministre des Armées Florence Parly doit prochainement rendre au président de la République Emmanuel Macron un rapport sur la stratégie spatiale militaire française. « Il faut avoir en tête que l'espace devient le thé'tre de confrontations », avait-elle déclaré à l'occasion d'une rencontre avec des journalistes début septembre, mettant en avant la nécessité de disposer de capacités spatiales efficientes. Florence Parly avait également rappelé que « protéger l'espace, c'est protéger nos opérations. C'est aussi garantir notre souveraineté et trouver l'opportunité de partenariats avec nos alliés européens, et c'est surtout protéger nos modes de vie et notre quotidien ». La Loi de programmation militaire 2019-2025 inclut, outre la mise en oeuvre du programme CSO-MUSIS, la mise en service du programme CERES (Capacité d'écoute et de renseignement électromagnétique spatiale), des deux premiers satellites du système Syracuse IV et le lancement du programme OMEGA (Opération de modernisation des équipements GNSS des armées). Les premières images produites par CSO-1 sont attendues « dans quelques mois », explique-t-on au CMOS (Centre militaire d'observation spatiale). Après le lancement du satellite suivra une période de calibrage des instruments de bord et de calage du télescope et de la structure. https://www.journal-aviation.com/actualites/41584-l-observation-spatiale-nouvelle-generation-paree-au-lancement

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