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August 15, 2018 | International, Aerospace

Need for New Tech Grows as Air Force's Bird Strike Mission Expands

By Oriana Pawlyk

If Dan Sullivan could use small drones to keep an eye in the sky over U.S. air bases, he would. But that may be a future strategy to survey wildlife lurking near military airfields, posing a risk to aircraft.

Drones would negate the need for airmen to suit up and wade through swampy areas around bases to look for animals. And "if your drone is equipped with a forward-looking infrared, at night it could pick up deer, hogs, coyotes ... and having that drone pick up heat flying around, that would be a great asset for a BASH program," Sullivan, the Air Force's wildlife biologist and the Bird/Wildlife Aircraft Strike Hazard chief, said in a recent interview with Military.com.

While drone use remains debatable in terms of safety and vulnerabilities, Sullivan said there is a growing need for them and other technologies as wildlife finds refuge near installations that house major aviation operations.

But for now, he said, he'll settle for having more airmen trained in spotting bothersome wildlife and how to safely confront it. "I'm looking to institute a more in-depth training [program] here at the [Air Force Safety Center], more for folks that are boots on the ground."

'A Little War'

Sullivan, who oversees the BASH program, which is headquartered at Kirtland Air Force Base, New Mexico, said he sees the "threat" of wildlife increasing because the U.S. has some of the best wildlife conservation programs in the world.

Full Article: https://www.military.com/defensetech/2018/08/14/need-new-tech-grows-air-forces-bird-strike-mission-expands.html

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    Lors du dîner entre les chefs d'État et de gouvernement de l'UE, réunis en Slovénie le 6 octobre pour un sommet informel consacré à l'élargissement aux six pays des Balkans occidentaux, le président français, Emmanuel Macron, a souhaité aborder la question de la défense européenne. Appelant de ses vœux une Europe de la défense plus forte et plus unie face aux États-Unis, il a appelé ses homologues à « tirer les leçons des récentes crises », soit le départ des troupes américaines d'Afghanistan et l'accord stratégique Aukus conclu entre les États-Unis, l'Australie et le Royaume-Uni dans la région Indo-Pacifique. Le débat « nous a permis de progresser vers une unité plus forte sur le plan international », s'est félicité le président du Conseil européen Charles Michel, tandis que Clément Beaune, le secrétaire d'État auprès des Affaires européennes, saluait « une large convergence » des Etats européens sur cette question, rappelant toutefois que « l'idée n'est pas d'opposer l'OTAN à la future défense européenne ». Le Figaro et RFI du 7 octobre

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    May 24, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security, Other Defence

    Europe de la défense: entre Paris et Berlin, des ambitions et de la méfiance

    Char, avion de combat du futur: Paris et Berlin travaillent sur d'ambitieux projets industriels communs dans la défense, mais les rapports restent teintés de méfiance et marqués par des divergences de vue autour de la question des exportations d'armement. Face au Brexit, au rel'chement des liens transatlantiques sous l'ère Trump, et malgré une mauvaise passe dans la relation franco-allemande, Emmanuel Macron a fait de l'Europe de la défense l'un de ses grands chevaux de bataille, qui figure en bonne place dans le programme des candidats de son camp aux élections européennes de dimanche. Réunis par un même besoin de renouveler leurs capacités militaires à horizon 2035-2040, Français et Allemands ont convenu à l'été 2017 de développer main dans la main deux programmes d'équipements majeurs: le système de combat aérien du futur (SCAF), sous leadership du français Dassault, pour remplacer les Rafale et les Typhoon, et le char de combat du futur ayant vocation à remplacer les Leclerc et les Lepoard, sous leadership allemand. Concernant le SCAF, dont le premier contrat d'architecture a été notifié à Dassault et Airbus en janvier, Paris et Berlin comptent annoncer "cet été" le lancement des études de recherche et développement destinées à jeter les bases des démonstrateurs, pour un montant de 150 millions d'euros sur deux ans, selon des sources concordantes. - pas d'annonce au Bourget? - Il n'est toutefois pas certain que l'annonce soit faite mi-juin au salon aéronautique du Bourget comme initialement prévu, admet Paris. Objectif: développer un démonstrateur d'ici 2026 -- pour un coût estimé entre 2 et 3 milliards d'euros -- avant une entrée en service en 2040 de ce système associant avion de combat, drones, futurs missiles de croisière et drones évoluant en essaim. Pour le char, "les industriels préparent une offre pour l'étude d'architecture à horizon de l'été", indique-t-on de source gouvernementale française. Pour continuer à avancer, reste à venir à bout des inquiétudes et grincements de dents de part et d'autre du Rhin. Parmi les motifs de friction figure le partage des compétences de pointe censées alimenter ces grands programmes communs d'armement. En France, où le groupe Dassault a conduit seul le programme-phare du Rafale, certains ne cachent pas leur méfiance. "Il ne faudrait pas que les Allemands profitent de cette coopération pour chiper notre savoir-faire stratégique", glisse-t-on de source proche du dossier. En Allemagne, des parlementaires de la coalition au pouvoir reprochent au gouvernement d'Angela Merkel d'avoir mal négocié la répartition industrielle du projet SCAF et critiquent les exigences françaises en matière de propriété intellectuelle, affirme jeudi le quotidien allemand Die Welt. "Au regard des enjeux industriels et économiques du projet, j'attends de Mme Merkel et de Mme von der Leyen (ministre allemande de la Défense) qu'elles prennent en main ce dossier et en fassent une priorité, comme l'a fait le président Macron", déclare au journal le responsable défense du parti social-démocrate allemand (SPD), Thomas Hitschler. - ventes d'armes aux Saoudiens - "Des débats sur le partage des technologies, les questions de propriété intellectuelle peuvent exister mais ils sont en train de se résoudre. C'est normal que ça tiraille, derrière il y a des enjeux financiers et de compétences industrielles", relativise-t-on à Paris, où l'on préfère vanter "la rapidité" avec laquelle un projet de cette ampleur s'est mis en route. Autre obstacle à franchir: la question des conditions d'exportation des armements, objet de frictions ouvertes entre Paris et Berlin. Depuis l'assassinat fin 2018 du journaliste saoudien Jamal Khashoggi à Istanbul, le gouvernement allemand a décidé de geler les exports d?armes à destination de l'Arabie Saoudite, client controversé de l'industrie française de défense. Une décision vertement critiquée par Emmanuel Macron, puis par l'ambassadrice de France en Allemagne, qui a déploré fin mars "la politisation croissante du débat allemand sur les exportations d'armements", susceptible selon elle de "faire peser un risque sur la coopération de défense européenne". "On ne peut pas se mettre d'accord sur des projets d'une telle envergure sans trouver une position commune sur les conditions d'exportation", renchérit un haut responsable français. Or le sujet est politiquement ultra-sensible en Allemagne. "L'opinion publique allemande est vent debout contre les exports d'armement. Quel est l'homme politique allemand qui se risquera à aller contre ça?", souligne Gaëlle Winter, chercheuse associée à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS). Paris accuse en outre Berlin de pratiquer un double jeu en feignant d'ignorer la livraison d'armement à Ryad par l'industriel allemand Rheinmetall, via ses filiales à l'étranger. "J'entends dans certaines capitales les protestations de vertus offusquées lorsqu'il s'agit d'exportations françaises, mais j'observe que les mêmes responsables ignorent volontiers ce que font les filiales ou les joint ventures de leurs champions nationaux de l'armement", s'est récemment agacée la ministre française des Armées Florence Parly. Sollicité par l'AFP, le ministère allemand de la Défense n'a pas donné suite. https://www.courrierinternational.com/depeche/europe-de-la-defense-entre-paris-et-berlin-des-ambitions-et-de-la-mefiance.afp.com.20190523.doc.1gt4y7.xml

  • How does the US Air Force plan to keep bombers affordable?

    September 21, 2018 | International, Aerospace

    How does the US Air Force plan to keep bombers affordable?

    By: Daniel Cebul WASHINGTON — The U.S. strategic bomber program plays a vital role in U.S. nuclear and conventional posture, providing both penetrating and standoff capabilities that allow the U.S. to hit targets almost anywhere in the world. But as the Air Force expands from 312 to 386 operational squadrons — planning to increase the bomber squadron from nine to 14 — how can the service keep costs within reason? A key to keeping down modernization costs will be the force's ability to field systems that can easily be updated as new technology develops, according to Gen. Timothy Ray, commander of Global Strike Command. “What I really want to drive home is that if we have a force, whatever the size of the force, it has to be affordable,” Ray said at the Air Force Association's annual Air, Space and Cyber Conference on Sept. 18. Ray believes prices will be affordable depending on the service's “ability to field a relevant force as part of our integrated capabilities, both nuclear and conventional, that has a rapid capability to be updated and modified.” Communications systems, weapons, sensors and defensive capabilities are very sensitive to technological change, which “is already going on much faster than what we can field right now using the old legacy processes,” Ray said. Ray pointed to the B-21 bomber as having "the right attributes that are going to set us up for success.” Others suggest that looking at the unit price for bombers is deceptive and does not allow the Air Force to address its critical modernization needs. “It is very easy to look at individual unit cost [per bomber], but that does not equate to value," Retired Lt. Gen David Deptula said. "People, particularly programmers, like to talk about cost, but they don't talk about the effectiveness piece.” This sentiment was echoed by retired Lt. Gen. Bob Elder Jr., who feels the public and some military members do not appreciate the active role bombers play in defending the U.S. As busy as these bombers are, Edler said, “it's a bargain” for how much the Air Force pays for them. Deptula also believes that if the Air Force is serious about modernization, it is past time that requirements for meeting U.S. strategic goals determine force structure, rather than depending on “arbitrary budget lines.” “For way too long our force structure has been solely driven by the budget and not the war-fighting demands of our nation's security strategy,” he said. “I dare say no one will argue with the preamble of the Constitution, which basically talks about how we form government to provide for the common defense, and then to promote the general welfare. It doesn't say the other way around.” “People will say the new enterprise is going to be too expensive, so don't keep it. I don't agree,” Ray said, adding that a more competitive approach will enable the Air Force to drive down procurement and modernization costs. “I have got to know our competitive nature of our approach will draw the talent from industry; or if I'm not quite certain with a technical capability or the capability is so far advanced I can't draw the talent from industry, now I find myself with an important issue,” Ray noted. In regard to ensuring the service can get the funding to grow its squadrons, Ray added: “Where you drop cost down and have a rapid modification capability or a relevant force for an extended period of time, then you begin to tell a more complete story,” which he explained should help dollars keep flowing into necessary programs. https://www.defensenews.com/digital-show-dailies/air-force-association/2018/09/20/how-does-the-us-air-force-plan-to-keep-bombers-affordable

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