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April 14, 2020 | International, Aerospace

Leonardo: Kopter acquisition completed

Rome, April 8, 2020 - Leonardo announced today the closing of the acquisition of Kopter Group AG (Kopter) from Lynwood (Schweiz).

The purchase price, on a cash and debt free basis, consists of a $185 million fixed component plus an earn-out mechanism linked to certain milestones over the life of the programme, starting from 2022.

The acquisition of Kopter allows Leonardo to further strengthen its worldwide leadership and position in the rotorcraft sector, in line with the Industrial Plan's objectives for the reinforcement of the core businesses.

View source version on Leonardo : https://www.leonardocompany.com/en/press-release-detail/-/detail/08-04-2020-leonardo-kopter-acquisition-completed?f=%2Fhome

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    October 18, 2018 | International, Aerospace

    AIR2030: A la rencontre de Dassault et du Rafale

    Alexis Pfefferlé Une industrie de la défense en Suisse ? Existe-t-il une industrie de la défense en Suisse ? Cette question, pertinente, fut posée par certains parlementaires à l'heure de décider si le programme AIR 2030 devait être conditionné à des affaires compensatoires. La réponse à cette question en Suisse n'est pas aussi claire que ce qu'elle pourrait être en France ou en l'Allemagne, pays qui possèdent des industries lourdes dévolues entièrement au secteur sécurité & défense. En Suisse, dont on rappelle que le tissu économique se compose à 90% de PME, l'industrie de la défense se compose d'une myriade de PME/PMI qui produisent principalement des machines ou des composants qui rentrent dans la chaine de production de groupes étrangers actifs dans le domaine. Par exemple, nos machines à haute précision sont aussi utiles et demandées dans le domaine civile que militaire. Selon SWISSMEM, l'association faîtière des PME et des grandes entreprises de l'industrie suisse des machines, des équipements électriques et des métaux (industrie MEM), l'industrie MEM concerne près de 320'000 emplois en Suisse et un chiffre d'affaire à l'export trois fois supérieur à celui de l'industrie horlogère. La part de l'industrie de défense est nettement plus faible mais permet de maintenir en Suisse des postes de travail à très haute valeur ajoutée. A la lecture de ces chiffres, les affaires compensatoires prévues dans le programme AIR2030 sont indiscutablement une opportunité exceptionnelle pour l'économie suisse. Dassault – Safran – Thalès, l'excellence industrielle française Retour à Lausanne le mercredi 16 octobre, 0800, pour la seconde journée BtoB entre les industriels suisses et les avionneurs retenus dans le cadre du programme AIR2030. Au menu de ce jour, le Rafale du consortium Dassault – Safran – Thalès. Le Rafale est un biréacteur de 4ème génération voire 4ème génération +, selon les classifications, en vertu d'une certaine furtivité active et tactique. C'est le fleuron de l'armée de l'air française et probablement le chasseur européen le plus avancé en matière technologique. La présentation est dirigée par Monsieur Florent SEYROL, responsable du Business Développement et Coopération Internationale pour Dassault Aviation et par Monsieur Pascal DIDIERJEAN pour le groupe Safran. Le programme Rafale étant un programme achevé en matière d'étude et bien rodé en matière de production, la présentation de Dassault est principalement axée sur la compensation indirecte. Les maîtres mots de la présentation sont l'innovation et la recherche. Poids lourd de l'industrie française et mondiale, Dassault c'est 4.8mia de chiffre d'affaire dont 20% sont alloués à la recherche et au développement. Hormis les pharmas, peu de sociétés suisses ont accès à un tel niveau de financement. Le fil conducteur semble tout trouvé et le consortium formé par Dassault, Safran et Thalès, au travers de leurs divisions combinées, offre de nombreuses possibilités pour les sociétés suisses et des perspectives intéressantes en matière de croissance dans des secteurs allant de l'aéronautique à l'optique en passant par la motorisation et l'électronique. Monsieur Florent SEYROL le souligne, Dassault a une taille internationale, l'expérience de la croissance et des grands contrats, et c'est également cette expérience que le groupe transmet à ses partenaires pour que ceux-ci puissent exploiter pleinement leur potentiel économique. Monsieur Pascal DIDIERJEAN, pour le groupe Safran, abonde dans ce sens, illustrant son propos avec l'exemple de la technologie VTOL (Vertical Take-off and Landing aircraft), où la Suisse, je l'apprends, à une carte à jouer, surtout aux cotés d'un motoriste comme Safran. Premier avionneur à le souligner, Dassault est également très sensible à l'innovation dans le milieu académique et les succès suisses des EPF ne sont pas passés inaperçus. A l'heure des difficultés rencontrées par ces institutions dans le cadre des projets européens, des financements indirectes de ce type dans le cadre des affaires compensatoires seraient pertinents et bienvenus. Pour Dassault, la force de la Suisse c'est l'innovation et investir dans notre pays et nos entreprises c'est investir dans les technologies du futur, un win win français. On notera enfin que plusieurs sociétés suisses présentes se sont félicitées du contact franc et direct qu'ils ont pu avoir avec les représentants du consortium Rafale, plus faciles d'accès et moins rigides que certains concurrents. RAFALE, points forts et points faibles Points forts Dassault-Safran-Thalès ont les moyens de leurs ambitions en matière de R&D et l'innovation suisse pourrait en profiter pleinement Des coûts à l'export réduits compte tenu de la proximité géographique Un calcul politique intéressant avec un allié influent à Bruxelles Points faibles Faible implantation en Suisse à l'heure actuelle Certains cantons où il faudra être très persuasif lors de la votation https://blogs.letemps.ch/alexis-pfefferle/2018/10/17/air2030-a-la-rencontre-de-dassault-et-du-rafale/

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    July 9, 2020 | International, Aerospace

    Diversification dans le secteur de la défense : focus sur des PME « duales »

    L'Usine Nouvelle consacre cette semaine un important dossier à l'aéronautique civile et militaire. Eric Trappier, président du GIFAS, y accorde une interview (voir synthèse de presse du 2 juillet). Un article détaillé est par ailleurs dédié aux PME françaises qui trouvent dans les activités défense un amortisseur dans le contexte de la crise du secteur aérien. « Notre dualité est un facteur de robustesse », souligne Bruno Berthet, président de Rafaut. Gauthier Connectique, PME exclusivement positionnée sur l'aéronautique civile il y a dix ans, a opéré avec succès sa diversification. « Entre la décision de se diversifier et les premières commandes, il faut compter environ trois ans. Le fait d'avoir déjà comme clients Dassault Aviation, Safran et Thales nous a beaucoup aidés », explique son président, Luc Sevestre. Le cluster Normandie AeroEspace (NAE), qui regroupe plus d'une centaine de PME de l'aéronautique, a également lancé des actions pour obtenir une habilitation et une accréditation défense, et monte des rencontres avec des représentants du ministère des Armées, de la DGA et des grands industriels de l'armement. L'Usine Nouvelle du 9 juillet

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    The government is buying AI technology experimentally with the focus on research-based deals as opposed to hardware or software contracts.

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