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April 14, 2020 | International, Aerospace

Leonardo: Kopter acquisition completed

Rome, April 8, 2020 - Leonardo announced today the closing of the acquisition of Kopter Group AG (Kopter) from Lynwood (Schweiz).

The purchase price, on a cash and debt free basis, consists of a $185 million fixed component plus an earn-out mechanism linked to certain milestones over the life of the programme, starting from 2022.

The acquisition of Kopter allows Leonardo to further strengthen its worldwide leadership and position in the rotorcraft sector, in line with the Industrial Plan's objectives for the reinforcement of the core businesses.

View source version on Leonardo : https://www.leonardocompany.com/en/press-release-detail/-/detail/08-04-2020-leonardo-kopter-acquisition-completed?f=%2Fhome

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  • Aérospatial : l'Onera, une pépite oubliée ?

    December 9, 2019 | International, Aerospace

    Aérospatial : l'Onera, une pépite oubliée ?

    L'organisme de recherche sur lequel repose en grande partie la dissuasion nucléaire, la surveillance spatiale ou le renseignement des armées, se débat avec un budget contraint et des injonctions contradictoires. Par Anne Bauer Publié le 9 déc. 2019 à 8h00 L'Office national d'études et de recherches aéronautiques (Onera) est-il négligé ? Après une audition de son président, Bruno Sainjon, le Sénat a appelé le ministère des Armées à doter les finances de ce spécialiste de la recherche aéronautique de moyens à la hauteur des ambitions. Les « appels répétés pour doter enfin l'Onera de moyens au niveau de son excellence scientifique et technologique n'ont toujours pas été entendus par le gouvernement », s'indigne la Commission des affaires étrangères et de la défense. La querelle n'est pas nouvelle mais elle prend un mauvais tour. Dans le monde aéronautique, spatial et de défense, l'Onera (1910 salariés dont 291 doctorants) est jugé comme un outil stratégique. Les pales du nouvel hélicoptère léger des armées (le Guépard d'Airbus) sont issues de sa recherche. La France lui doit aussi son système de surveillance de l'espace (Graves). Quant à la dissuasion nucléaire, elle ne serait pas crédible sans les recherches menées par l'Onera sur les statoréacteurs et désormais les superstatoréacteurs (vitesse supérieure à Mach 6). Dans le renseignement enfin, les armées exploitent les techniques radars de l'Onera pour voir par tous les temps et au-delà de la ligne d'horizon. Budget bloqué Pourtant malgré ce palmarès, la subvention (106 millions d'euros prévus en 2020) versée à l'établissement par le Ministère des Armées, n'a quasiment pas varié depuis 2015. En outre, l'établissement, qui a fêté ses 70 ans, voit ses effectifs et ses salaires plafonner à un niveau inférieur à 2015, ce qui le met en danger pour garder ses chercheurs de haut niveau. Alors que l'enveloppe budgétaire consacrée à la recherche est en nette hausse dans le projet de budget 2020, la mise à l'écart de l'Onera est surprenante. Sa recherche étant duale : militaire et civile, l'Office est mal défendu au sein de la Défense, qui souhaiterait que les industriels (Safran, Thales, Airbus, etc.) mettent davantage au pot. En 2019, l'Onera a décroché 120 millions d'euros de contrats en sus de sa subvention, portant ainsi son budget à 235 millions d'euros. Revoir le contrat d'objectifs « L'Onera est une pépite technologique de niveau mondial mais cela ne pourra durer si nous continuons à le sous-doter alors que nos partenaires et concurrents accélèrent leur effort », avertit Christian Cambon, président de la Commission Affaires étrangères et défense au Sénat. De fait, la multiplication des projets prévus par le ministère des Armées plaide pour une renégociation du contrat d'objectifs de l'Onera, qui remonte à 2016. Avant que le gouvernement ne décide de renforcer sa lutte anti drone , ne crée un commandement militaire de l'espace ou ne décide de réaliser en coopération avec l'Allemagne le système de combat aérien du futur (programme Scaf). C'était aussi avant que l'Agence spatiale européenne ne décide d'aider la réalisation de petits lanceurs, alors que l'Onera a fait voler cet été un démonstrateur de système de lancement aéroporté de petits satellites, le système Ataïr. Le projet est gelé alors qu'il est essentiel pour l'avenir. Enfin, l'Onera attend avec impatience de savoir quel rôle jouer pour le Scaf, sachant que son homologue, le DLR, a déjà contractualisé avec l'armée allemande ses recherches sur le sujet. https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/aerospatial-lonera-une-pepite-oubliee-1154727

  • US Army to bring new vehicle protection technologies to fleet as early as 2020

    August 30, 2018 | International, Land

    US Army to bring new vehicle protection technologies to fleet as early as 2020

    By: Jen Judson WASHINGTON — The U.S. Army is planning to bring new vehicle protection technologies to the fleet as early as 2020 to include reactive armor tiles, as well as laser warning and signature management capabilities, according to Col. Glenn Dean, the program manager for the service's Stryker combat vehicle. Dean is also in charge of bringing active protection system capabilities to the current fleet. The service has been rigorously testing APS for the Abrams tank, Stryker and Bradley Fighting Vehicle. Israeli company Rafael has already been chosen to provide an interim APS system for Abrams. Other systems are being evaluated for Stryker and Bradley. In addition to the service's plans to rapidly field interim systems for its combat fleet, it is preparing to evaluate other kinetic energy defeat capabilities, Dean told reporters in an Aug. 24 interview. The service recently put out a request for proposals to industry for state-of-the-art capabilities for defeating tank-fired, long-rod kinetic energy penetrators. Full article: https://www.defensenews.com/land/2018/08/29/army-to-bring-new-vehicle-protection-technologies-to-fleet-as-early-as-2020

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