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November 15, 2022 | International, Other Defence

Europe must steer more military spending to joint projects -EU defence agency

EU members are set to boost military budgets by up to 70 billion euros ($72.2 billion) by 2025 but a lack of project cooperation and purchases outside the bloc risk undermining efforts to create coherent forces, the European Defence Agency said.

https://www.reuters.com/world/europe/europe-must-steer-more-military-spending-joint-projects-eu-defence-agency-2022-11-15/

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  • Les défis militaires de l’intelligence artificielle

    October 21, 2018 | International, C4ISR

    Les défis militaires de l’intelligence artificielle

    Par Nathalie Guibert De nombreuses applications de l'IA deviennent possibles gr'ce aux gigantesques quantités de données accumulées par les armées modernes, analyse la journaliste du « Monde » Nathalie Guibert. Analyse. Pour les armées modernes, « l'intelligence artificielle (IA) se présente comme la voie principale de la supériorité tactique » et elle est devenue « un enjeu de défense prioritaire pour les puissances militaires du XXIe siècle ». Dans une étude que publie l'Institut français des relations internationales (IFRI) sur cette nouvelle révolution, un ancien pilote de l'armée de l'air, Jean-Christophe Noël, évoque un « humanisme militaire » menacé. Il n'est pas certain, selon lui, que les robots pourront toujours, en accord avec le « modèle de l'équipier fidèle », rester « étroitement associé(s) à un homme en charge d'un système d'armes comme un avion de chasse, un blindé ou un navire ». Les applications militaires de l'IA deviennent accessibles et semblent sans limites. Elles sont rendues possibles par les gigantesques quantités de données (images, sons, etc.) désormais accumulées – un Rafale produit plusieurs téraoctets de données par heure de vol, et chacun des trois satellites d'observation français successeurs d'Helios 2 permettra de produire, à partir de 2019, cent fois plus d'informations que l'ensemble de ceux utilisés aujourd'hui par les armées. De plus, les algorithmes acquièrent la capacité nouvelle d'apprendre seuls selon les situations qu'ils rencontrent. Préparation au combat par la simulation, renseignement, ciblage, optimisation du soldat... La course a démarré. « Hyperwar » Le département de la défense américain a lancé près de 600 projets intégrant l'IA, un domaine où il vient d'annoncer 2 milliards de dollars (1,7 milliard d'euros) d'investissement dans les cinq prochaines années. « Une IA surnommée ALPHA, qui fit ses classes en affrontant des programmes informatiques de combats aériens de l'Air Force Research Lab, a systématiquement triomphé d'un pilote de chasse chevronné en octobre 2015 »,rappelle l'expert de l'IFRI. Article complet: https://www.lemonde.fr/idees/article/2018/10/16/les-defis-militaires-de-l-intelligence-artificielle_5369924_3232.html

  • Army Seeks New JLTV Competition In 2022

    February 12, 2020 | International, Land

    Army Seeks New JLTV Competition In 2022

    The service is already slowing production of Oshkosh's Joint Light Tactical Vehicle and now wants to find an alternative manufacturer —which could create logistical or legal headaches. Other Oshkosh programs are also ramping down. By SYDNEY J. FREEDBERG JR. PENTAGON: As the Army moves billions into new high-tech weapons, truck-maker Oshkosh is feeling the pinch. The 2021 budget request not only decreases spending on three Oshkosh vehicles, the 10-wheel FHTV, the 6-wheel FMTV, and 4×4 JLTV: It also calls for a new competition the following fiscal year for JLTV, the Joint Light Tactical Vehicle originally meant to replace the Humvee. That's especially worrying for the Wisconsin company, because JLTV is the youngest program of the three and the most important for the company's long-term future. But then-Army Secretary Mark Esper — now Secretary of Defense — has publicly criticized JLTV as overly specialized for the kind of counterinsurgency conflicts the Pentagon is no longer focused on. While the Army insists it will still buy the planned total of 49,099 trucks, eventually, it keeps slowing down the annual rate and extended the deadline to complete production, which now won't end until 2042. (That leaves the Humvee in service, at least with some units, indefinitely). Why recompete? “We do that to drive the price down,” said Deputy Assistant Army Secretary John Daniels this morning, when my colleague Jen Judson asked about the proposal. But any new competition would be two fiscal years from now and Daniels declined to give any details. The only other information about the plan is buried on page 102 of the fifth volume of the Army's newly released procurement request for 2021, which also includes projections for 2022 and beyond. Under JLTV, the “justification book” says that: “Current contract options may be exercised through 30 November 2023 assuming contractual quantity headspace is still available. Current funding indicates headspace quantity of 16,901 may be achieved in FY 2021, with competitive follow on contract award anticipated in FY 2022. A split procurement will occur between the existing Oshkosh contract and the new competitively awarded contract based on the approved acquisition strategy. The Program Office continues to gather insight from industry partners to better understand their position to ensure strong competition for the follow on contract.” In plain English, this means Oshkosh's current contract to build Joint Light Tactical Vehicles runs though fall 2023. Since production will continue for decades, the Army will have to award a new contract to buy more JLTVs for itself, the other services and allies. But when it comes time to award that follow-on contract, the service doesn't want Oshkosh to be its only option: It wants at least one competitor to drive down costs. https://breakingdefense.com/2020/02/army-seeks-new-jltv-competition-in-2022

  • En Inde, le contrat Rafale tourne au scandale politique

    August 29, 2018 | International, Aerospace

    En Inde, le contrat Rafale tourne au scandale politique

    Par Julien Bouissou L'achat par l'Inde, en 2016, de trente-six exemplaire de l'avion de combat de Dassault suscite la colère de l'opposition. Le Parti du Congrès dénonce le rôle joué par un proche du premier ministre Narendra Modi. Deux ans après l'achat par New Delhi de trente-six avions de combat Rafale, le contrat signé avec Dassault Aviation se retrouve au cœur d'une tempête politique en Inde. Pas un jour ne passe sans que le Parti du Congrès, dans l'opposition, n'attaque le gouvernement de Narendra Modi sur son manque de transparence et sa connivence avec Anil Ambani, le partenaire indien de l'avionneur français. Rahul Gandhi, le président du Parti du Congrès, a qualifié le contrat d'« escroquerie ». Une polémique qui pourrait ternir l'image de Dassault Aviation alors que le groupe tricolore est en concurrence pour fournir à l'Inde 110 avions de combat supplémentaires. Six avionneurs ont répondu, le 6 juillet, à la demande d'information (« Request for Information ») déposée par New Delhi pour ce nouveau contrat. L'« affaire Rafale », comme on la surnomme désormais dans les médias indiens, était née de l'annonce surprise faite par M. Modi d'acheter trente-six avions de combat lors de sa visite à Paris en avril 2015. Premières livraisons prévues en 2019 L'appel d'offres remporté en 2012 par Dassault prévoyait la livraison de 126 appareils, dont 108 assemblés sur le sol indien. Mais en ce printemps 2015, les négociations piétinent depuis trois ans. Elles butent sur le prix final et le partage des responsabilités pour les avions assemblés en Inde. Or les escadrons de l'armée de l'air indienne se rapprochent dangereusement de l'obsolescence, au risque de compromettre la sécurité du pays. M. Modi, pourtant si attaché au « Make in India », enterre le « contrat du siècle » qui prévoyait la construction d'une chaîne d'assemblage Rafale en Inde. Les trente-six avions, dont les premières livraisons sont prévues en 2019, seront produits en France. Le nouveau contrat, signé quelques mois plus tard dans le cadre d'un accord intergouvernemental, est assorti d'une clause d'« offset », c'est-à-dire qu'une... Article complet: https://www.lemonde.fr/economie/article/2018/08/28/en-inde-le-contrat-rafale-tourne-au-scandale-politique_5347034_3234.html

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