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  • Small-satellites and Downstream Digital Transformation Accelerate Space Industry Evolution

    15 août 2019 | International, Aérospatial

    Small-satellites and Downstream Digital Transformation Accelerate Space Industry Evolution

    Global launch demand and cumulative launch opportunities of $102.52 billion from 2019-2030 will augment growth prospects, finds Frost & Sullivan LONDON, Aug. 14, 2019 /CNW/ -- New market entrants, platforms, services and business models are disrupting the global space industry. To serve an evolving market, value chain players are developing flexible, affordable, dedicated, competitive and complementary solutions for end customers to sustain significant growth opportunities. Frost & Sullivan forecasts the total revenue opportunities for the global satellite manufacturing market to soar past $366.06 billion with global launch demand for 12,766 satellites and cumulative launch opportunities of $102.52 billion for the period 2019 to 2030. "The space industry is rapidly evolving. Not only are satellite platforms becoming more agile and robust with the execution of software-based satellites, electric propulsion systems and spot beam offerings, but competition in the launch services market is lowering prices and new entrants with mega-constellation-based business models are poised to disrupt the connectivity and earth observation market," said Arun Kumar Sampathkumar, Industry Manager, Space at Frost & Sullivan. Currently, there is a clear gap between satellite launch demand and the supply of launch services with an average launch wait period of six months to two years for satellite operators. However, more than 40 global new participants are developing launch vehicles to bridge this gap. "In the small-satellite launch segment, the major unmet needs include on-demand launch, independent mission from the primary launch payload, and launch cost," noted Sampathkumar. "Due to the existing gap between supply and launch, the launch service market is price inelastic. However, with the entry of new vehicles and reusable capabilities, launch supply is likely to increase and will lead the market towards price sensitivity." Downstream data pressures have meant that communication satellites represent the fastest growing market segment, increasing demand for the manufacture of high-throughput and constellation communication satellites. Sampathkumar sees multiple incumbents and new participants looking to install their high-capacity communication satellites in Geostationary Earth Orbit (GEO), Medium Earth Orbit (MEO), and Low Earth Orbit (LEO) orbits. This will result in both new installation and recurring replacement mission demand for manufacturing communication satellites. Growth opportunities participants should tap into for future successes include: The manufacturing sector utilising COTS technologies, additive manufacturing, Industrial IoT (IIoT), and serial production with systems and satellite platform standardisation. The launch services sector focussing on infrastructure-as-a-service for dedicated launch service providers and vehicle reusability to reduce launch costs. Ground station services players developing a global network of ground stations that utilise automated aggregator platforms as well as standarise mission control processes and systems. Earth observation participants developing affordable standard platforms for value-added service providers. Satellite communication players focussing on network standardisation and integration, including terrestrial and capacities in LEO, MEO, and GEO. 'Consumerisation' of Space has taken a leap forward with end users demanding seamless connectivity, actionable geospatial intelligence, and advanced sensing capabilities to drive new business propositions and solutions. Disruptions impacting the ecosystem are driven by technology, manufacturing processes and business models from traditional players like SES, SpaceX and Airbus, and new space participants like RocketLab, EarthNow, OneWeb and SpireGlobal. Frost & Sullivan latest analysis, Global Space Industry Outlook, 2019 and Beyond explores key questions such as what drives the market? What are the critical shifts to watch? Which best practices are important to note? Who are the emerging players? The space industry within the scope of this study is segmented into satellite manufacturing, launch services, ground stations and satellite networks, and downstream applications including satellite communication, earth observation, navigation, scientific missions, and technology demonstration. Global Space Industry Outlook, 2019 and Beyond is the latest addition to Frost & Sullivan's Space research and analysis available through the Frost & Sullivan Leadership Council, which helps organisations identify a continuous flow of growth opportunities to succeed in an unpredictable future. https://www.newswire.ca/news-releases/small-satellites-and-downstream-digital-transformation-accelerate-space-industry-evolution-802341560.html

  • "Nous visons les entreprises qui ont un potentiel dual, à la fois civil et militaire", annonce Emmanuel Chiva, le patron de l'Agence de l'innovation de Défense

    3 décembre 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    "Nous visons les entreprises qui ont un potentiel dual, à la fois civil et militaire", annonce Emmanuel Chiva, le patron de l'Agence de l'innovation de Défense

    Pour le directeur de l'Agence de l'innovation de défense, Emmanuel Chiva, il faut détecter plus vite les technologies capables d'arriver sur le champ de bataille pour imaginer les parades et les évaluer à des fins militaires. L'Usine Nouvelle. - Quel est l'objectif du ministère des Armées avec cette deuxième édition digitale du Forum innovation défense, du 2 au 4 décembre ? Emmanuel Chiva. - Nous souhaitons montrer à un large public la diversité de l'innovation de défense en termes de recherche, de projets et de préparation des futures capacités militaires. Nous voulons attirer des sociétés industrielles et des porteurs de projets innovants en les informant du soutien dont ils peuvent bénéficier. C'est également un moyen de susciter des vocations chez les ingénieurs et les chercheurs. Cet événement sera l'occasion de lancer notre fonds d'investissement dédié à l'innovation de défense et doté de 200 millions d'euros. Quel est le profil des entreprises ciblées ? Nous visons les entreprises qui ont un potentiel dual, à la fois civil et militaire dans des technologies qui sont importantes pour les armées : les technologies quantiques, l'intelligence artificielle, l'énergie, les matériaux... Ce qui nous intéresse, c'est de « capter » des technologies développées par des sociétés déjà établies sur leur marché primaire, mais qui présentent un intérêt pour la défense. Pourtant certaines sociétés innovantes nous disent qu'il n'est pas toujours simple de travailler avec le ministère. Comme le fabricant de drones Parrot... Je suis surpris. Des acteurs comme Parrot sont reçus à l'Agence et nous regardons comment nous pourrions intégrer leurs technologies... C'est typiquement le type d'innovation qui nous intéresse. De la même manière, nous travaillons avec Franky Zapata [l'inventeur du Flyboard, un engin à sustentation hydropropulsé, ndlr]. Nous réfléchissons à l'utilisation de sa technologie pour envisager un « robot-mule volant » à des fins d'évacuation sanitaire, de transport de munitions... Nous finançons ses travaux pour optimiser ses moteurs en termes d'autonomie et de discrétion acoustique, en partenariat avec l'Office national d'études et de recherches aérospatiales (Onera) et la société Poly-Shape, spécialiste de la fabrication additive à partir de métal. Auparavant, les grands programmes militaires dans le spatial, la dissuasion nucléaire, tiraient l'innovation civile... Aujourd'hui, l'inverse se produit. Pourquoi ? Ce qui a changé, c'est le rythme de l'innovation civile. On assiste à un raccourcissement des cycles entre l'idée, sa réalisation et son emploi sur un marché. La puissance des Gafam et de leurs équivalents chinois, les BATX, change aussi les équilibres. Ils investissent des sommes considérables dans les applications à base d'intelligence artificielle, d'où l'accélération et la démocratisation de l'accès à cette technologie. C'est une source d'opportunités pour les armées. Le secteur civil est mieux placé que nous pour développer certaines technologies car nous n'irons pas plus vite. C'est le cas des processeurs graphiques, tirés par l'industrie du jeu vidéo, ou de la propulsion électrique, tirée par l'industrie automobile. Néanmoins, ces technologies civiles vont nécessiter une adaptation. Une voiture électrique sur une autoroute européenne n'est pas soumise aux mêmes conditions d'emploi qu'un véhicule d'infanterie dans le nord du Mali, où les routes sont sommaires et les stations de recharge inexistantes ! Cette démocratisation des technologies ne représente-elle pas une menace ? Ce qui nous empêche de dormir, ce serait de rater les prochaines évolutions à très court cycle et que nos adversaires s'en emparent alors avant nous. Regardez les groupes terroristes : ils utilisent les drones, l'impression 3D pour fabriquer des armes... Plus vite nous détectons l'innovation, plus vite nous pouvons imaginer les parades pour nous en protéger et les évaluer pour un usage militaire. Nous sommes engagés dans une course. Comment l'agence s'organise-t-elle pour capter cette innovation tous azimuts ? La loi de programmation militaire 2019-2025 prévoit d'augmenter de 25 % les crédits annuels consacrés à l'innovation pour atteindre 1 milliard d'euros en 2022. Avec ses 100 salariés, l'Agence agit avant tout comme un chef d'orchestre de l'innovation. Et dans un orchestre, le chef ne joue pas tous les instruments ! Nous nous appuyons sur un réseau national qui comprend les laboratoires d'innovation des armées et les centres d'expertise technique et d'essais de la Direction générale de l'armement. Nous avons par ailleurs créé une cellule de détection et de captation, une petite équipe chargée de faire en quelque sorte « la chasse et la pêche » à l'innovation. Il s'agit de correspondants qui se rendent dans les incubateurs, les salons, les communautés d'innovations... Ces derniers ont permis à l'Agence de travailler avec la société SEAir, qui fabrique des foils rétractables pour les bateaux à coque semi-rigide. Demain, une embarcation des forces spéciales intégrera cette innovation. Nos équipes n'hésitent pas non plus à se rendre là où on ne les attend pas. Les salons de cosmétique par exemple ! Les géants du domaine réalisent des développements pour le traitement de la peau qui pourraient avoir un intérêt dans le soin aux grands brûlés. Dans certains domaines technologiques, par exemple les missiles hypervéloces, la France ne risque-t-elle pas de se faire déclasser ? Les États-Unis, la Russie et la Chine sont les plus actifs sur ce sujet. Si la France est plus discrète, elle n'a pas forcément de retard du fait des exigences technologiques dans le domaine des véhicules spatiaux liés au programme de dissuasion. Nous avons une expertise reconnue en matière de technologies spatiales, de propulsion, de guidage et de science des matériaux. Nous menons un programme structurant dans le domaine de l'hypervélocité qui s'incarne, par exemple, dans le développement par l'Agence d'un démonstrateur dédié à la montée en maturité des technologies d'un planeur hypersonique. Quelles sont vos priorités en matière de technologies quantiques ? À notre sens, l'ordinateur quantique n'est pas un sujet militaire en soi. La recherche d'un tel ordinateur est faite par l'industrie, au niveau mondial. En revanche, le ministère des Armées finance les travaux qui sont spécifiquement liés à une utilisation militaire possible des technologies quantiques. Les technologies de cryptographie post-quantique nous intéressent au premier plan. Nous suivons également de près l'évolution des capteurs quantiques. En particulier les travaux de l'Onera sur les gravimètres quantiques à atomes froids, qui peuvent avoir des applications dans la navigation sans GPS. Vous aviez en prévision la création d'une Red Team au sein du ministère des Armées, qui s'appuierait sur des auteurs de science-fiction. De quoi s'agit-il ? Nous profiterons du Digital forum innovation défense pour faire découvrir les auteurs qui ont intégré cette Red Team et pour rendre publics ses premiers travaux. Son but est d'identifier les menaces auxquelles nous pourrions être confrontés à l'horizon 2060 et la manière de les anticiper d'un point de vue technologique, organisationnel et sociétal... Pour illustrer la démarche, citons l'équipe de Los Alamos du programme nucléaire américain à la veille de la Seconde Guerre mondiale, qui a reconnu s'être inspirée des ouvrages de Robert Heinlein, un auteur de science-fiction, pour mettre au point le concept de la dissuasion nucléaire. Isaac Asimov, auteur de la série « Fondation », a également travaillé pour le gouvernement américain. Nous avons d'abord été surpris par le succès de notre appel à candidatures auprès des personnes travaillant dans le domaine de la science-fiction : auteurs, écrivains, dessinateurs... Plus de 600 candidatures ont été déposées alors que nous nous attentions à en recevoir une vingtaine ! https://www.usinenouvelle.com/editorial/nous-visons-les-entreprises-qui-ont-un-potentiel-dual-a-la-fois-civil-et-militaire-annonce-emmanuel-chiva-le-patron-de-l-agence-de-l-innovation-de-defense.N1034509

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    26 octobre 2023 | International, Aérospatial, C4ISR

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    Northrop Grumman officials cautioned that the B-21 Raider won't be profitable at first, though they see it driving future growth.

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