12 décembre 2022 | International, Naval

US Navy secretary sees no need to rush next-gen destroyer program

The industrial base is behind on destroyer deliveries, but SECNAV wants to continue the line "for a long period of time" instead of rushing to start DDG(X)

https://www.defensenews.com/naval/2022/12/12/us-navy-secretary-sees-no-need-to-rush-next-gen-destroyer-program/

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    HASSAN MEDDAH DÉFENSE , HAUTS-DE-FRANCE , HAUTS-DE-SEINE , BOUCHES-DU-RHÔNE , GIRONDE PUBLIÉ LE 19/11/2020 À 06H00, MIS À JOUR LE 19/11/2020 À 11H27 La Marine nationale va recevoir 12 appareils Albatros pour lutter contre le trafic et la pêche illégale et détecter les pollutions. La commande passée auprès des acteurs de l'aéronautique s'élève à 1,3 milliard d'euros. Une commande de 12 avions pour un montant de 1,3 milliard d'euros... Par les temps qui courent, c'est toujours bon à prendre pour les acteurs de l'aéronautique qui subissent une crise sans précédent. A l'occasion de son déplacement à l'usine de Dassault Aviation à Seclin (Nord), la ministre des armées, Florence Parly, doit annoncer ce 19 novembre une commande de 12 appareils, des Falcon 2000, au profit de la Marine nationale pour ses missions de surveillance maritime. L'usine de Seclin, spécialisée dans la production des pièces primaires des Rafale et des jets d'affaires de Dassault Aviation, fabriquera les premières pièces de structure des Falcon 2000, aussi rebaptisés Albatros dans le cadre du programme AVSIMAR (avion de surveillance et d'intervention maritime). Des capteurs électroniques de dernière génération Depuis leurs bases navales en Outre-mer et à Lann-Bihoué près de Lorient (Morbihan), les Albatros auront pour mission de lutter contre les trafics de stupéfiants, la piraterie, la pêche illégale et de détecter les pollutions. Les avions de surveillance maritime de la Marine nationale ont détecté 54 pollutions en 2018 et 110 en 2019. Selon les chiffres avancés par le ministère des Armées, entre 10 et 25% de la pêche mondiale est réalisée de manière illégale. La commande pour les 12 appareils s'élève à environ 1,3 milliard d'euros. Elle comprend leurs équipements électroniques ainsi qu'un contrat de 10 ans de maintenance. La commande bénéficiera au maître d'œuvre industriel Dassault Aviation ainsi qu'à l'ensemble de ses partenaires. Naval Group fournit le système d'information de la mission, Thales le radar de surveillance maritime, Safran la boule optronique. Une partie des appareils fabriqués en Inde "Le Falcon 2000 Albatros est un avion à hautes performances doté d'un système de mission et de capteurs de dernière génération. (...) Plusieurs pays s'intéressent à ces avions qui constituent une réponse performante aux enjeux considérables de la protection et de la sécurité maritime du territoire et de l'action de l'Etat en mer", a précisé Eric Trappier, PDG de Dassault Aviation dans un communiqué de presse. Les coast-guards américains et les garde-côtes japonais s'appuient déjà sur des appareils de l'avionneur français pour assurer leurs missions de surveillance maritime. Le contrat signé avec le ministère des Armées devait générer une centaine d'emplois pendant la phase de développement qui concernera essentiellement les sites de l'avionneur à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), Mérignac (Gironde) et Istres (Bouches-du-Rhône). Une cinquantaine d'emplois supplémentaires seront mobilisés pendant la phase de fabrication et de soutien. Les trois premiers exemplaires sont produits et assemblés en France et les appareils suivants en Inde par l'avionneur et son partenaire local Reliance. Cela répond aux contreparties industrielles négociées à l'occasion de la vente de 36 Rafale en 2016 entre Paris et New-Delhi. Les premiers appareils livrés en 2025 Les nouveaux Albatros remplaceront la flotte vieillissante actuelle composés de Falcon 50 et Falcon 200 militarisés qui arrivent en bout de course avec déjà une quarantaine d'années de vol au compteur. Sur les 12 appareils, 7 seront en permanence en mission et les 5 autres serviront à la formation et l'entraînement des équipages ou seront indisponibles car en maintenance. Ils auront des performances accrues de l'ordre de 10% avec notamment 8 heures d'autonomie et une élongation de 2700 nautiques (soit environ 5000 km). Ils seront également équipés de meilleurs équipements électroniques (anti-brouilleurs GPS, communications militaires sécurisées, communications satellitaires, récepteur d'identification automatique AIS ...). Les livraisons des 12 appareils s'étendront jusqu'à 2030 avec les trois premiers exemplaires livrés en 2025. https://www.usinenouvelle.com/article/les-industriels-de-l-aero-qui-vont-beneficier-de-la-commande-d-appareils-de-surveillance-maritime-sont.N1030214

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    29 novembre 2019 | International, Aérospatial

    SCAF : Paris et Berlin ont trouvé un accord sur les moteurs du futur avion de combat européen

    Par Michel Cabirol La France et l'Allemagne ont trouvé un accord sur l'organisation industrielle des moteurs. Dans un premier temps, Safran sera bien le maître d'oeuvre et MTU sous-traitant. Par la suite, les industriels vont créer une société commune à parité pour porter les contrats puis la certification du moteur. Rencontré la semaine dernière au salon aéronautique de Dubaï, le patron d'Airbus Defence & Space, Dirk Hoke, avait assuré à La Tribune que les difficultés du Système de combat aérien du Futur (SCAF) allaient être surmontées, y compris sur le difficile volet concernant les motoristes (Safran, MTU). Et de préciser que l'Allemagne et la France allaient "trouver une solution" sur l'organisation industrielle des moteurs du futur avion de combat européen, le programme NGF (Next Generation Fighter). C'est désormais chose faite, selon plusieurs sources concordantes. Le SCAF est donc enfin sur la piste de décollage. Si aucun aléa ne vient perturber la "phase de roulage"', le programme européen (Allemagne, France et Espagne) devrait décoller fin janvier avec la notification des contrats de Recherche et Technologie (R&T) sur les cinq piliers du projet, dont le fameux démonstrateur technologique sous la maîtrise d'oeuvre de Dassault Aviation qui est très attendu. Mais le temps presse. Et chaque minute compte, y compris celles des week-ends, pour être à l'heure du calendrier politique, comprendre, celui d'Emmanuel Macron et d'Angela Merkel. Une organisation industrielle enfin figée Paris et Berlin ont trouvé un accord oral, qui doit être désormais décliné par écrit. Dans la phase 1A (Recherche et Technologie), la France a obtenu que Safran soit clairement le maître d'oeuvre tandis que MTU se cantonne à un rôle de sous-traitant principal (main partner). Cette organisation était jusqu'ici contestée par MTU, lui même soutenu par le parlement allemand. Mais la France n'a pas cédé. C'était d'ailleurs une volonté très ferme de la France que d'équilibrer les rapports entre les industriels français et allemands sur le SCAF (Airbus Allemagne est maître d'oeuvre de trois piliers tandis que Dassault Aviation et Safran le sont pour un pilier chacun). "Ce schéma-là a fini par être agréé", explique-t-on à La Tribune. La direction générale de l'armement (DGA) voulait que "les responsabilités soient clairement affichées, contrairement à ce qui avait été fait pour le moteur de l'Airbus A400M", avait confirmé début octobre le Délégué général pour l'armement, Joël Barre, au Sénat. "Nous tenons donc à avoir un responsable par poste et nous sommes en discussion avec Safran et MTU de façon à ce que Safran joue ce rôle en matière de moteur, pour des raisons d'équilibre de partage industriel entre les postes", avait-il précisé. Ce qui avait provoqué un coup d'arrêt du programme SCAF en raison de l'hostilité de MTU, soutenu par le parlement allemand. Une société commune créée entre Safran et MTU Après la phase de R&T, Safran et MTU se sont engagés à créer une société commune à parité (50/50), dont la date de création et les contours doivent encore être négociés. Cette société portera les contrats et s'appuiera sur les compétences des deux sociétés mères. Mais la répartition des t'ches entre les deux industriels devra être cohérente en fonction de leur compétence (intégration pour Safran, services pour MTU). In fine, cette société portera la certification du moteur du futur avion de combat européen. Tous les acteurs concernés par ce dossier sont "alignés" sur ce schéma industriel, assure-t-on à La Tribune. La DGA n'attend plus désormais sur son bureau que les propositions techniques et financières des industriels, qui devraient arriver de façon imminente. Date butoir, le 6 décembre. Par ailleurs, la place d'Indra, le groupe espagnol que Madrid a désigné pour être son champion au sein du SCAF au grand dam d'Airbus, a également été réglée. Le groupe espagnol, qui sera un sous-traitant majeur de Dassault Aviation, ne sera pas seulement sur la photo, il sera bien dans le programme et obtiendra des contrats de R&T, affirme-t-on à La tribune. Par la suite, Indra aura une part définie selon le montant de l'investissement, que Madrid consentira dans le programme SCAF. Le dossier Propriété intellectuelle traité A Dubaï, le patron des activités défense d'Airbus s'était également montré résolument optimiste pour trouver une solution en vue de régler le dossier sensible de la propriété intellectuelle. D'autant que l'Allemagne a surpris en faisant la démonstration de son savoir-faire dans le domaine des systèmes de systèmes à travers un programme jusqu'ici secret. En effet, Airbus Allemagne a récemment dévoilé l'existence d'un démonstrateur de drone de combat furtif, baptisé LOUT (Low Observable UAV Testbed). Là aussi, la France et l'Allemagne ont trouvé un accord cadre où chaque industriel pourra protéger la propriété intellectuelle de ses compétences. Ce qui veut dire que Safran par exemple n'est pas obligé de transférer à MTU ses compétences sur les parties chaudes du moteur. En revanche, toutes les compétences nécessaires à l'établissement des études en commun sont partagées dans un cadre de droit d'usage. Clairement, tout ce qui est créé par les industriels dans le cadre de la coopération (Airbus/Dassault Aviation ou Safran et MTU par exemple), appartient de manière conjointe aux entreprises. En outre, les Etats peuvent s'en servir pour leurs besoins de défense. En revanche, pas question pour les industriels de transférer vers le civil des savoir-faire s'ils n'en ont pas la propriété intellectuelle. https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/scaf-berlin-et-paris-ont-trouve-un-accord-sur-les-moteurs-du-futur-avion-de-combat-europeen-834088.html

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