16 janvier 2024 | International, Aérospatial

US Navy looks for cost-saving ideas in Running Fix efficiency effort

Leaders want feedback on where the service can spend more efficiently and repurpose its funds.

https://www.defensenews.com/naval/2024/01/16/us-navy-looks-for-cost-saving-ideas-in-running-fix-efficiency-effort/

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  • Concentration industrielle en Europe : une nécessité autant qu'une opportunité pour la Défense

    24 mai 2019 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité, Autre défense

    Concentration industrielle en Europe : une nécessité autant qu'une opportunité pour la Défense

    Par Frédéric Dubois Dans les airs, sur terre ou sur mer, l'industrie européenne de la Défense vit actuellement de profondes transformations. Français, Italiens, Allemands, Britanniques, Espagnols... tous ces acteurs cherchent de nouvelles alliances dans un secteur de plus en plus concurrentiel. Mariages de raison ou de passion, les rapprochements entre grands groupes industriels sont devenus, depuis quinze ans, un passage obligé pour les entreprises qui veulent survivre sur ce marché hyper concurrentiel. Et les cas sont nombreux. Dans les airs, l'exemple le plus connu est certainement l'Eurofighter Typhoon, avion de combat bi-réacteur mis en service en 2004 par l'entreprise européenne Eurofighter GmbH. Aux manettes, quatre pays : la Grande-Bretagne, l'Allemagne, l'Espagne et l'Italie. Ce projet d'avion européen était sur la table depuis les années 70. Finalement, ces quatre pays ont uni leurs savoir-faire, laissant les Français sur la touche, car ces derniers préféraient faire cavalier seul avec le Rafale de Dassault. Entre les deux camps, les résultats commerciaux sont sans appel. En quinze ans, Eurofighter GmbH a vendu 538 exemplaires de son chasseur ; en quelques années de plus, Dassault a écoulé – seulement – 176 avions, en dépit d'une carrière opérationnelle nettement plus prestigieuse. Cette situation a poussé les Européens à revoir leur copie. En 2014, Français et Britanniques se mettent à plancher sur un projet – baptisé FCAS pour Future Combat Air System – afin de produire un avion de 6e génération. Trois ans plus tard, ils sont rejoints par les Allemands. Finalement, en 2018, Dassault annonce officiellement son partenariat avec Airbus Defence and Space dans le cadre du projet FCAS : l'Europe va ainsi se doter d'un nouveau système de défense aérienne avec l'héritier du Rafale, de l'Eurofighter Typhoon européen et de l'Hornet espagnol. Son nom (provisoire) : New Generation Fighter. Dans les airs, les Européens ont enfin compris qu'il valait mieux parler une seule et même langue face au Sukhoi Su-57 russe, et autres F-35 américain ou J-20 chinois. Des concurrents aux dents longues Quel que soit le secteur en Europe, les industries nationales jouent aujourd'hui leur survie face à des concurrents aux moyens nettement plus importants qu'auparavant, gr'ce à des marchés domestiques en forte dynamique et au soutien politique et financier d'états puissants. Après les airs, prenons la direction des océans. Le secteur de l'industrie navale a pris quelques longueurs de retard. En 2017, le quotidien français Le Mondetitrait : « Naval : le serpent de mer de la consolidation européenne ». Dans ce secteur comme dans les autres, le principe de « consolidation » est sur toutes les lèvres, la concurrence étant très sévère entre pays exportateurs. Deux géants se dressent face aux Européens : les Russes et surtout les Chinois, devenus la première puissance mondiale en la matière. En seulement dix ans. « Les groupes européens se sont trop souvent livré une guerre fratricide sur les appels d'offres internationaux, remarque Bertrand Gueynard, directeur du pôle Défense et sécurité du cabinet de conseil en stratégie CEIS dans les colonnes du Monde. Ils sont confrontés à la montée en puissance des arsenaux chinois, russes et même aujourd'hui japonais. Pour rester dans la classe mondiale, les rapprochements sont indispensables. Dans cette industrie, la taille est déterminante car elle permet d'offrir une large gamme de produits et de financer les investissements en recherche et développement nécessaires pour maintenir une avance technologique. Il faut toujours avoir un coup d'avance. » Motivées par le risque de disparition de certaines industries (les exemples sont nombreux hors défense), certaines entreprises européennes de l'industrie navale ont décidé de réagir avant qu'il ne soit trop tard. Des fleurons high-tech en Europe C'est le cas du Français Naval Group et de l'Italien Fincantieri. En 2017, Fincantieri a décidé de se lier à la France à travers deux projets : le rachat des Chantiers de l'Atlantique de Saint-Nazaire (les Sud-Coréens ayant jeté l'éponge) et l'alliance avec son homologue Naval Group. Ces deux entreprises étaient à la fois concurrentes lors d'appels d'offre internationaux et partenaires sur différents projets depuis trente ans, comme avec les frégates Horizon, un projet impulsé en 1991 par Hervé Guillou... devenu PDG de l'entreprise française en 2014. Lors de l'annonce de son alliance avec le PDG de Fincantieri Giuseppe Bono, Guillou a expliqué leur vision commune : « C'est une double ambition – à la fois d'offrir à nos deux pays les meilleures technologies au meilleur prix avec les meilleurs programmes pour garantir la supériorité de nos marines, mais aussi d'être capables d'avoir une présence mondiale suffisante pour assurer notre compétitivité et notre présence sur le marché – qui justifie notre rapprochement. » Cette volonté de la France et de l'Italie part d'un constat sans ambiguïté : l'Europe, et ses divers budgets de défense nationaux, n'a plus les moyens de faire vivre ni de maintenir toutes les compétences de l'ensemble des industriels de la construction navale. Les marchés commencent à opérer une sélection naturelle douloureuse, certains acteurs historiques commençant à connaitre de graves difficultés, notamment en Allemagne, aux Pays-Bas ou encore en Espagne. C'est une course pour la survie qui s'engage désormais. Les Européens ont donc tout intérêt à faire vite, d'autant qu'ils jouissent d'un savoir-faire et de technologies que le reste de la planète leur envie, avec des fleurons high-tech comme Leonardo, Thalès ou Safran. Car si la concurrence est aujourd'hui féroce, les atouts des Européens sont évidents et constituent de réelles opportunités pour les acteurs du Vieux continent. Encore faut-il qu'ils arrêtent de se mettre – trop souvent – des b'tons dans les roues. https://www.econostrum.info/Concentration-industrielle-en-Europe-une-necessite-autant-qu-une-opportunite-pour-la-Defense_a25636.html

  • Israeli firm sells over 150 drones to European country

    27 février 2020 | International, Aérospatial

    Israeli firm sells over 150 drones to European country

    By: Seth J. Frantzman JERUSALEM — Bluebird Aero Systems has sold more than 150 vertical-takeoff-and-landing drones to an unnamed European country in a deal worth “tens of millions of euros,” the Israeli company announced Tuesday. The company, which makes WanderB and ThunderB tactical VTOL drones, said the customer will incorporate the two UAV types into infantry, armored, artillery and special forces units. The commander of the ground forces of the unnamed country provided a statement via Bluebird that said the government was impressed with the VTOL solution, as it will enable “high operational flexibility and provide invaluable real-time intelligence and situational awareness.” The VTOL design has been tested in harsh environments and proved reliable. The recently sold drones are expected to be deployed to enhance the capabilities of units adjusting to modern fighting methods, providing “advanced and reliable intelligence, surveillance, target acquisition and reconnaissance capabilities to address the modern battlefield's challenges,” the commander said. The head of the country's special forces brigade command agreed with the ground forces commander that the long range and endurance of the man-packable and tactical UAVs will aid in rapid deployment with small units. The special forces leader added that the UAV is a fit for day and night use. Bluebird's unmanned aircraft systems have been operational with the Israel Defense Forces since 2002 and in other countries since 2006, where they have logged a total of 52,000 sorties. According to the recent edition of the Drone Databook at Bard College's Center for the Study of the Drone, Bluebird UAVs are also used by India, Chile and Ethiopia. These countries use the 9.5-kilogram SpyLite, which has a range of 50 kilometers. In contrast the ThunderB, which was sold in this contract, weighs 32 kilograms and has a range of 150 kilometers. It can also carry a small cargo under each wing, which Bluebird says can be used to drop “essential material” with an accurate ballistic trajectory. The WanderB is man-packable at 13 kilograms and a 50-kilometer range. It can be used to relay real-time surveillance using electro-optical/infrared payloads. Bluebird says the ThunderB is ideal for long, covert intelligence, surveillance, target acquisition and reconnaissance missions. The Greek police have reportedly used SpyLite and ThunderB since 2014. And the WanderB has previously been offered to Spain. Bluebird is confident the latest deal will lead to additional European contracts. This deal adds to an overall trend of growth for Israeli companies in Europe as well as the expansion of the small and mini-UAV market. Israel's Elbit Systems sold more than 1,000 mini-drones in a $153 million deal last year to a southeast Asian country. More countries are seeking these smaller UAS solutions for tactical or special forces units in the field, including pairing drones with armored vehicles. This is especially the case as technology advances and units seek to modernize and network together fleets of drones. https://www.defensenews.com/unmanned/2020/02/26/israeli-firm-sells-over-150-drones-to-european-country/

  • A jet sale to Egypt is being blocked by a US regulation, and France is over it

    2 août 2018 | International, Aérospatial

    A jet sale to Egypt is being blocked by a US regulation, and France is over it

    By: Pierre Tran PARIS — France is seeking to reduce its reliance on U.S. approval for French arms exports as Washington withholds clearance for an American component on the French Scalp cruise missile, which blocks the sale of additional Rafale fighter jets to Egypt. “It is true that we depend on this (U.S. International Traffic in Arms Regulations) mechanism: We are at the mercy of the Americans when our equipment is concerned,” French Armed Forces Minister Florence Parly told the Committee for National Defense and Armed Forces of the lower-house National Assembly, according to recently released transcripts from July 4. France lacks the means to be totally independent of the U.S., she said, adding that French authorities are looking for ways to boost its autonomy. Parly was answering a question from parliamentarian Jean-Jacques Ferrara on the blocked sale of a further batch of Rafale aircraft to Egypt. “Are we looking to improve the situation?” Parly said. “The answer is yes. In the case raised by Mr. Ferrara, we cannot get the U.S. to lift its opposition to the sale of Scalp missiles." “What is the solution? That the manufacturer of these missiles, namely MBDA, make the investment in research and technology to be able to make a similar component, which would avoid ITAR," she added." “We are able to do it for this contract because the component can be built within a reasonable amount of time even if the client, naturally, sees it as too long.” MBDA declined to comment for this story. Full article: https://www.defensenews.com/global/europe/2018/08/01/a-jet-sale-to-egypt-is-being-blocked-by-a-us-regulation-and-france-is-over-it/

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