2 juillet 2019 | International, Naval

US Navy eyes new launchers on destroyers for hypersonic weapons

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WASHINGTON — With bigger, faster missiles in development and bound for the fleet, the U.S. Navy's engineers are considering installing upgraded launchers on the stalwart Arleigh Burke-class destroyers.

The head of Naval Sea Systems Command, Vice Adm. Thomas Moore, told an audience at a conference of naval engineers that the Arleigh Burkes — due to their vertical launch system and Aegis missile capabilities — were easier to keep relevant than other destroyers such as the Adams and Spruance classes. Still, with the service attempting to keep the ships longer, new launchers may be in order to pace the threat from Russia and China, which have been developing their own hypersonic weapons.

“Vertical launch system has been a real game changer for us. We can shoot any number of things out of those launchers,” Moore said. “We'll probably change those out and upgrade them for prompt strike weapons down the road.”

Putting hypersonic weapons on surface ships would greatly increase the effectiveness of their strike capabilities. The current main strike weapon, the Tomahawk Land Attack Missile, is a subsonic missile that is vulnerable to evermore advanced Russian and Chinese air defenses.

Prompt strike, which refers to a Pentagon-wide effort to field hypersonic weapons to quickly strike anywhere in the world, are most likely coming first to submarines, said Thomas Callender, a retired submarine officer and analyst with the Heritage Foundation. Because subs are stealthy and can sneak in close to land undetected more easily than a surface ship, they make the most sense.

“They're looking at putting hypersonics on submarines first because where you can get access,” Callender said. “You can potentially then put them on surface ships as an added capability for them, but the submarines would be the priority for access and the ranges you can achieve.”

The Navy is designing a new large surface combatant to replace the cruisers and ultimately the destroyers with larger missiles in mind. As a result, the ship may be fairly large, former Surface Warfare Director Rear Adm. Ron Boxall told Defense News last year.

The benefit of larger vertical launch cells is that you can pack more missiles into each cell, if you are not using the cell for the larger hypersonic missiles, Boxall said.

“We are going to need, we expect, space for longer-range missiles,” he said. They are going to be bigger. So the idea that you could make a bigger cell, even if you don't use it for one big missile, you could use it for multiple missiles — quad-pack, eight-pack, whatever.”

The missiles that would go into a larger launcher are still very much under development.

The Navy is teamed with the Army to develop a booster for a hypersonic missile, and the Army is leading a team with the Navy and Air Force to internally build a common glide body that is producible on a larger scale.

Radar upgrades

Naval Sea Systems Command is also examining installation of a scaled-down version of the air and missile defense radar AN/SPY-6, under development for the Flight III DDG. The scope of that project, however, remains to be determined.

“We are looking at a scaled-back version of the air and missile defense radar to back-fit the Flight Is and Flight IIs, similar to how we are looking for a version of the [Enterprise Air Search Radar] developed for [the Ford-class aircraft carriers] to back-fit on some of the old Nimitz class,” Moore said.

“I'm not sure how many ships it is going to go on, we're still doing the design work. It's a fairly significant change to the structure of the ship, AMDR versus Spy.”

The purpose of the upgrade would be used to track the faster, more dynamic missiles under development by Russia and China.

The array is a smaller version of the SPY-6 intended for the Flight III DDG, the first of which is now under construction at Huntington Ingalls Industries. The SPY-6 destined for DDG-125 will have 37 radar modular assemblies, or RMA, which are 2-foot-by-2-foot-by-2-foot boxes that use gallium nitride technology to direct radar energy on air targets. The Flight IIA version will have 24 RMAs in the array.

A version of the radar planned for the FFG(X) future frigate is a nine-RMA configuration.

The Navy wants to upgrade all of its DDGs to Aegis Baseline 9 or higher with a ballistic missile defense capability and extend the service lives to 45 years as part of an effort to grow the fleet.

But the Navy is going to try to get 50 years out of its Flight IIA ships. The IIAs make up the bulk of the DDG fleet, with 46 total planned for the service — DDG-79 through DDG-124. DDG-127 will also be a Flight IIA.

That upgraded SPY-6 will be far easier to maintain than the current SPY-1D. Raytheon claims the radar can be maintained by simply removing an RMA and switching it out with a new one, with the rest of the work performed offsite.

https://www.defensenews.com/naval/2019/06/30/navy-eyes-new-launchers-on-stalwart-destroyers-for-putting-hypersonics-afloat/

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  • L'investissement dans la défense rapporte plus que ce qu'il coûte

    28 avril 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    L'investissement dans la défense rapporte plus que ce qu'il coûte

    Par Le groupe de réflexions Mars* Dans le but de permettre à la base industrielle et technologique de défense de contribuer à la sortie de crise et aux plans de relance français et européen, le groupe de réflexions Mars* souhaite partager, dans une série de tribunes, les réflexions qu'il mène notamment autour des sujets de la souveraineté et de l'autonomie, du sens donné à l'Europe de la défense et la place réservée à la défense dans un "plan Marshall" européen, des enjeux macroéconomiques et des enjeux industriels et d'innovation dans la défense. L'objectif du groupe de réflexions Mars est de trouver des solutions pour sécuriser les budgets de défense à court et à moyen terme. Qui dit crise économique dit plan de relance. La ministre des armées souhaite utiliser à cet effet l'investissement de défense (Titre 5), qui représente 80% de l'investissement de l'État. En réponse, les industriels du secteur proposent de sécuriser, voire d'accélérer la livraison des programmes d'armement prévus dans la loi de programmation militaire en cours. Est-ce pertinent ? L'industrie de défense est une industrie de souveraineté, au sens le plus fort du terme, à savoir que sans elle, il n'y a plus d'indépendance nationale, que la nation dépend de ses alliés pour sa défense. C'est le cœur des compétences régaliennes et la légitimité intrinsèque de l'État. Une protection n'est jamais gratuite. La sécurité a un coût. Autant que le circuit économique créé profite à la croissance de l'activité nationale. close volume_off Prospérité rime avec indépendance C'est ainsi que Venise inventa l'arsenal. On peut être un État commerçant ouvert sur le monde et garder jalousement fermée son industrie d'armement. La Chine de Xi Jinping a manifestement retenu les leçons de Marco Polo. Et Venise nous a appris que la prospérité dure tant que l'indépendance est garantie par ses propres armes et ses alliances. Survient une menace irrépressible (Bonaparte) et s'en est fini de l'indépendance et de la prospérité. L'arsenal vénitien est ainsi la mère de l'industrie d'armement, qui a gardé cette forme (et ce nom !) jusqu'à une date très récente. Pour des raisons d'efficacité économique et "d'ouverture aux marchés", la France a progressivement transformé ses arsenaux en sociétés anonymes. Le processus a pris 30 ans, depuis les poudres et explosifs au début des années 1970 jusqu'à la construction et la réparation navale au début du XXIe siècle. Il n'est d'ailleurs pas achevé : il en reste des traces sous la forme de prises de participation sous diverses formes et à différents niveaux, et surtout, il reste un "arsenal" : la direction des applications militaires du commissariat à l'énergie atomique (CEA/DAM). Tout cela pour dire que la préoccupation économique en matière de défense, disons l'efficience, est une idée très récente. Elle s'oppose aux notions militaires de "réserve", de "redondance" et de capacité de "remontée de puissance", indispensables à l'efficacité opérationnelle et à ce que l'on appelle aujourd'hui la résilience, c'est-à-dire la faculté de reprendre l'ascendant après avoir encaissé un choc d'une violence inhabituelle, voire imprévisible. Le dogme du principe d'efficience Le principe d'efficience est devenu la composante majeure de l'idéologie managériale qui a connu son apogée en France avec la révision générale des politiques publiques (RGPP) conçue et mise en œuvre entre 2007 et 2012 avec la brutalité et l'absence de discernement que l'on sait en matière de défense. Outre une saignée sans précédent en temps de paix dans les effectifs (54.000 suppressions), il en a résulté une série de fiascos (logiciel LOUVOIS) et de désorganisations (bases de défense, administration de proximité, subordination des soutiens) qui ont durablement affaibli les armées, l'instrument ultime de la résilience de la nation, notamment le service de santé. C'est la même logique managériale à l'œuvre dans les années suivantes qui a conduit à la liquidation des réserves de masques chirurgicaux et autres consommables permettant de faire face immédiatement à une épidémie sans arrêter brutalement l'activité économique. Autrement dit, le principe d'efficience est une belle théorie dont la mise en œuvre se révèle, dans la violence de ses conséquences, incapable de faire face à un évènement inattendu, même quand les experts en prédisent la survenue probable. La crise du Covid-19 a révélé le caractère foncièrement anti-économique de cette idéologie et la coupable naïveté des adeptes de l'ouverture aux marchés. Accepter de confier la sécurité d'un pays aux forces brutes des marchés relève de la même croyance candide que le pacifisme désarmera tout agresseur. On a le droit d'y croire, c'est beau, mais pas de gouverner au nom de tels croyances. C'est une question de responsabilité. Cela vaut aussi pour une certaine frange de la gauche. Dépense de défense, un effet multiplicateur de croissance Une fois admis l'ineptie du principe d'efficience dans les questions régaliennes et stratégiques, faut-il pour autant considérer que l'industrie de défense soit par nature anti-économique. C'est l'idée qu'on avancé certains théoriciens marxistes (dénonçant l'implication de la finance et donc de la classe dirigeante dans cette industrie) et les premiers keynésiens, au titre d'un effet d'éviction sur l'investissement privé. Curieusement, la théorie néolibérale dominante depuis 30 ans tend à reconnaître les effets positifs sur la croissance de l'investissement de défense par la dépense publique. Cela résulte moins d'études économétrique rigoureuses que des résultats empiriques des Reaganomics, qui ont permis aux États-Unis de surmonter la crise économique du début des années 1980 en s'appuyant sur une course aux armements qui a permis, accessoirement, de gagner la guerre froide. C'est sans doute pourquoi le gouvernement Fillon, pour sortir au plus vite de la crise de 2008, ne voit pas de contradiction, en pleine RGPP, à relancer l'économie notamment par une augmentation (mesurée mais réelle) de l'investissement de défense, au prix d'une augmentation de 50% de la dette publique. Depuis ce précédent, considéré comme réussi, de nombreuses études ont permis de mieux comprendre les mécanismes microéconomiques et macroéconomiques à l'œuvre. Un certain consensus des économistes spécialisés s'est même dégagé sur la valeur du multiplicateur de croissance de l'investissement de défense : en moyenne 1,27 à court terme et 1,68 à long terme, avec des disparités en fonction du degré d'ouverture à l'étranger. Peut-on en dire autant de toutes les dépenses publiques ? Cela signifie que l'on est dorénavant capable de prévoir qu'un investissement supplémentaire d'un euro dans tel secteur aura tel rendement à telle échéance. Mais les études vont encore plus loin dans l'analyse et s'intéressent au retour fiscal et social de l'investissement de défense. On sait désormais que ce retour est en moyenne de 50% au bout de deux ans et de 100% après un certain nombre d'années, en fonction des secteurs. Cela signifie que la défense ne peut plus être considérée comme un centre de coût, auquel on ne consent que par nécessité. On sait désormais que c'est un centre de profit, dont le rendement dépend de paramètres liés à l'autonomie stratégique. Relance par la défense : rendement optimal Moins un secteur industriel est dépendant d'un approvisionnement (ou d'une main d'œuvre) extérieur, plus ce rendement est élevé. A l'inverse, plus il y a de "fuites" à l'extérieur du circuit économique national, moins l'investissement est rentable économiquement. Reste à identifier ces fuites afin de les résorber gr'ce à une politique industrielle (et une planification) avisée. On sait que la relance par la "monnaie hélicoptère" et les baisses d'impôts n'ont pas un bon rendement, précisément à cause de ces "fuites" : vers les importations de biens de consommation d'un côté, vers l'épargne de l'autre. On sait que renflouer Air France (ou Renault) est nécessaire pour l'emploi, mais qu'en termes économiques, le retour sur investissement est faible, car cela revient, dans le cas d'Air France, à financer, outre Airbus, Boeing, les loueurs et les assureurs, tout en maintenant le pouvoir d'achat d'une catégorie sociale aisée dont le taux d'épargne est important. Dans le cas de la relance par la défense, le rendement est optimal, même s'il est encore possible de réduite les fuites. La "supply chain" des systémiers-intégrateurs et des grands équipementiers français du secteur de l'armement est essentiellement française. L'emploi se situe à 80% en province, y compris des emplois de haut niveau. Cette industrie à très haut niveau technologique fait appel à des savoir-faire quasi-artisanaux ; d'ailleurs, on ne parle pas d'ouvriers mais de compagnons, pas d'usines, mais d'ateliers. L'investissement dans l'innovation se répercute dans l'industrie civile, ne serait-ce que parce que la majorité de ces sociétés ont une activité duale. La balance commerciale de l'armement français est structurellement excédentaire, ce qui contribue au rendement économique d'un euro investi dans cette industrie, exportatrice par nécessité, du fait de l'insuffisante épaisseur du marché national pour absorber les coûts fixes. Un investissement qui rapporte En période de crise, l'effet contra-cyclique de l'investissement de défense permet d'absorber le choc de demande subi par l'activité civile. C'est particulièrement évident aujourd'hui dans le cas de l'aéronautique. Enfin, on sait aujourd'hui que cet investissement rapporte à terme plus que ce qu'il a coûté, y compris en tenant compte du coût du capital (particulièrement faible ces dernières années). Pourquoi s'en priver ? Oui, pourquoi se priver de tels avantages, au moment où le déficit public et l'endettement ne sont plus bridés par le Pacte de stabilité ? Au demeurant, la défense, pour ce qui concerne du moins les fabrications d'intérêt stratégique, est le seul secteur industriel (le seul !) à bénéficier du privilège exorbitant de n'être soumis ni aux règles de l'OMC, ni au droit commun du marché unique européen. Les biens et service de défense disposent d'une partie spécifique du code de la commande publique. Pourquoi s'en priver, alors qu'on pourrait relancer rapidement l'activité industrielle à droit constant, sans enfreindre aucune règle ? Aller vers une autonomie stratégique Pour finir, évoquons rapidement ce qui f'che. Si l'on veut que le rendement économique d'un euro investi dans la défense soit encore meilleur, il faut résorber les fuites résiduelles. Cela suppose d'abord de chercher à substituer des fournisseurs nationaux aux sous-traitants étrangers, tant pour des raisons d'autonomie stratégique ("désItarisation") que dorénavant pour des raisons de patriotisme économique. Cela est aussi valable pour les chantiers ayant pris l'habitude de faire appel, pour diverses raisons dont certaines sont difficilement critiquables (absence de personnel formé), aux travailleurs détachés, alors même que l'on sait à quel point les chantiers navals structurent l'activité dans les zones littorales. Enfin, il sera injustifiable de continuer à saigner la trésorerie des sociétés pour rémunérer des actionnaires qui se sont révélés défaillants dans leur rôle d'apporteurs de capitaux en période de crise. Le modèle anglo-saxon (cf. Rolls Royce) d'un "flottant" à 100% ne saurait convenir ; l'industrie de défense a besoin d'être détenue par des actionnaires fiables et responsables, y compris par gros temps. ------------------------------------------------- * Le groupe Mars, constitué d'une trentaine de personnalités françaises issues d'horizons différents, des secteurs public et privé et du monde universitaire, se mobilise pour produire des analyses relatives aux enjeux concernant les intérêts stratégiques relatifs à l'industrie de défense et de sécurité et les choix technologiques et industriels qui sont à la base de la souveraineté de la France. https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/l-investissement-dans-la-defense-rapporte-plus-que-ce-qu-il-coute-846190.html

  • Hughes Partners with Startup to Create New Solutions for Extending LTE Coverage Using Helicopters, UAVs

    27 août 2019 | International, Aérospatial, C4ISR

    Hughes Partners with Startup to Create New Solutions for Extending LTE Coverage Using Helicopters, UAVs

    Hughes Defense connects the ground user with the helicopter giving over the horizon cellular comms from air-to-ground. Hughes Network Systems, LLC (HUGHES), the global leader in broadband satellite networks and services, in partnership with Virtual Network Communications, Inc. (VNC), today announced new joint solutions to extend mobile network connectivity using an integrated combination of VNC's deployable LTE technology with Hughes JUPITER™ and HM satellite systems. The new solutions support various global applications for government, militaries, first responders, and commercial Mobile Network Operators (MNOs). “We're excited to work with Hughes to help expand high speed 4G services cost-effectively in underserved parts of the world, as well as providing the tactical edge for military and first responders,” said Mohan Tammisetti, chief executive officer of VNC. “VNC developed this innovative, edge-centric approach to positively impact lives and keep critical missions connected. Additionally, a new 5G solution is on our development roadmap and we look forward to integrating it with the Hughes JUPITER platform.” For Government & Military: Designed to provide wireless coverage for soldiers or first responders, the new Hughes HeloCell™ Solution integrates VNC's LTE technology with the Hughes HeloSat™ Solution, which provides Beyond Line of Sight (BLoS) communications on rotary-wing aircraft. For military and emergency applications, the Hughes and VNC technologies combine to form an “airborne cell tower” when installed aboard a helicopter or an Unmanned Aerial Vehicle (UAV). The solution provides an extended cellular coverage radius of tens of kilometers, with the satellite terminal backhauling the mobile traffic to and from the network core. The solution can also scale to support more than 100 simultaneous active users on a single, layered system architecture. “Adaptable for rotary-wing aircraft and UAVs, the HeloCell Solution is ideal for extending mobile connectivity in a disaster area or warzone,” said Wayne Marhefka, senior director of business development for Hughes Defense Division. “Together with VNC, Hughes can extend connectivity to soldiers and first response teams who need wireless communications to carry out their missions, especially in remote and disconnected environments. Integrating with our innovative HM and JUPITER Systems technology, these new cellular capabilities will help the DoD build a layered and unified communications network architecture for faster and more-informed decision-making.” For Commercial Mobile Network Operators: The VNC LTE technology can also be integrated with the JUPITER System to backhaul mobile traffic, enabling MNOs to quickly and cost-effectively provide 4G access to people in areas unserved or underserved by terrestrial connectivity – especially in remote and hard-to-reach areas. In tests, the integrated solution sent 4G LTE traffic to the core network at speeds of 200 Mbps. “An economically efficient way for mobile network operators to reach new customers is by backhauling 4G LTE traffic over satellite in areas where it's too expensive to build terrestrial infrastructure,” said Vinay Patel, senior director, International Division at Hughes. “Now, we can offer VNC's innovative 4G LTE technology integrated with our Hughes JUPITER™ System to offer operators a new and cost-effective option to expand their networks.” For more information about Hughes defense solutions, please visit defense.hughes.com For more information about Hughes cellular backhaul solutions, please visit www.hughes.com About Virtualnetcom Virtual Network Communications, Inc. designs, develops, manufactures, markets, and supports a line of network products for wireless network operators, mobile virtual network operators (MVNO), cable TV system operators, and government and business enterprises that enable new sources of revenue and reduce capital and operating expenses. Our vision is to reinvent how wireless networks service mission critical communications for Public Safety, Homeland Security, Department of Defense and commercial Private Network users. We envision the future of virtualized MICRO networks blanket the Globe, without expensive Terrestrial based Radio Towers and Building installations. For more information, please visit the Virtualnetcom website at www.virtualnetcom.com About Hughes Network Systems Hughes Network Systems, LLC (HUGHES) is the global leader in broadband satellite technology and services for home and office. Its flagship high-speed satellite Internet service is HughesNet®, the world's largest satellite network with over 1.3 million residential and business customers across the Americas. For large enterprises and governments, the company's HughesON™ managed network services provide complete connectivity solutions employing an optimized mix of satellite and terrestrial technologies. The JUPITER™ System is the world's most widely deployed High-Throughput Satellite (HTS) platform, operating on more than 20 satellites by leading service providers, delivering a wide range of broadband enterprise, mobility and cellular backhaul applications. To date, Hughes has shipped more than 7 million terminals of all types to customers in over 100 countries, representing approximately 50 percent market share, and its technology is powering broadband services to aircraft around the world. Headquartered outside Washington, D.C., in Germantown, Maryland, USA, Hughes operates sales and support offices worldwide, and is a wholly owned subsidiary of EchoStar Corporation (NASDAQ: SATS), a premier global provider of satellite operations. For additional information about Hughes, please visit www.hughes.com and follow @HughesConnects on Twitter. About EchoStar EchoStar Corporation (NASDAQ: SATS) is a premier global provider of satellite communication solutions. Headquartered in Englewood, Colo., and conducting business around the globe, EchoStar is a pioneer in secure communications technologies through its Hughes Network Systems and EchoStar Satellite Services business segments. For more information, visit www.echostar.com. Follow @EchoStar on Twitter. https://dronescrunch.com/hughes-partners-with-startup-to-create-new-solutions-for-extending-lte-coverage-using-helicopters-uavs/

  • Contract Awards by US Department of Defense - May 3, 2019

    6 mai 2019 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité, Autre défense

    Contract Awards by US Department of Defense - May 3, 2019

    U.S. SPECIAL OPERATIONS COMMAND Insitu Inc., Bingen, Washington, was awarded a maximum $23,000,000 modification (P00019) for an existing non-competitive, single award, indefinite-delivery/indefinite-quantity contract (H92222-16-D-0031) for Mid-Endurance Unmanned Aircraft Systems (MEUAS) 1.5B intelligence, surveillance, and reconnaissance (ISR) services. The $23,000,000 increase to a ceiling of $273,000,000 prevents gaps in ISR services until all task orders are transitioned to the current competitive MEUAS III contracts. Fiscal 2019 operations and maintenance funds in the amount of $7,354,530 are available for obligation at the task order level. U.S. Special Operations Command Headquarters, Tampa, Florida, is the contracting activity. NAVY Valiant Global Defense Services Inc., San Diego, California, is awarded $15,913,990 for firm-fixed-price task order M67854-19-F-7884 under previously award contract M67854-19-D-7876 to provide support services for the Marine Air Ground Task Force (MAGTF) Training Support Service (MTSS), MAGTF Staff Training Program (MSTP). Services will include pre-deployment training programs to Marine Corps operating forces, as well as command, control, communications, and computer mobile training team training at the functional and executive level to commanders and battle staffs, and technical training for operators and information managers. Work will be performed in Quantico, Virginia, and is expected to be completed by November 2020. Fiscal 2019 operations and maintenance (Marine Corps) funds in the amount of $5,380,849 will be obligated at the time of award and these funds will expire at the end of the current fiscal year. This order was competitively awarded under a multiple award task order contract. The Marine Corps Systems Command, Quantico, Virginia, is the contract activity. Lockheed Martin Corp., Fort Worth, Texas, is awarded $7,514,515 for modification P00015 to a previously awarded fixed-price-incentive-fee contract (N0001918C1048) to establish organic depot component repair capabilities for the F-35 Lightning II Air Interceptor System in support of the Air Force, Marine Corps and Navy. Work will be performed in Rochester, Kent, United Kingdom (81.6 percent); and Fort Worth, Texas (18.4 percent), and is expected to be completed in March 2023. Fiscal 2017 aircraft procurement (Air Force); and fiscal 2019 aircraft procurement (Navy, Marine Corp. and Air Force) funds in the amount of $7,514,515 are being obligated at time of award, $3,757,257 of which will expire at the end of the current fiscal year. This contract combines purchases for the Air Force ($3,757,257; 50 percent); Marine Corps ($1,878,629; 25 percent); and Navy ($1,878,629; 25 percent). The Naval Air Systems Command, Patuxent River, Maryland, is the contracting activity. ARMY A4 Construction Company Inc.,* Sandy, Utah, was awarded a $12,309,817 firm-fixed-price contract for construction of a Special Operation Forces Human Performance Training Center. Bids were solicited via the internet with eight received. Work will be performed in Fort Carson, Colorado, with an estimated completion date of May 6, 2021. Fiscal 2019 military construction funds in the amount of $12,309,817 were obligated at the time of the award. U.S. Army Corps of Engineers, Omaha, Nebraska, is the contracting activity (W9128F-19-C-0018). DEFENSE LOGISTICS AGENCY Federal Prison Industries, Inc.,** doing business as UNICOR, Washington, District of Columbia, has been awarded a maximum $9,558,000 firm-fixed-price, indefinite-delivery/indefinite-quantity contract for parkas. This is a one-year base contract with two one-year option periods. Locations of performance are Washington, District of Columbia; and Kentucky, with a May 2, 2020, performance completion date. Using military service is Navy. Type of appropriation is fiscal 2019 through 2020 defense working capital funds. The contracting activity is the Defense Logistics Agency Troop Support, Philadelphia, Pennsylvania (SPE1C1-19-D-F024). *Small business **Mandatory source https://dod.defense.gov/News/Contracts/Contract-View/Article/1836925/source/GovDelivery/

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