18 janvier 2024 | Local, Aérospatial

Sustaining the Royal Canadian Air Force's fleet of CH-146 Griffon helicopters

The helicopters fulfill domestic and international missions, including tactical transport, emergency response, and search and rescue

https://www.epicos.com/article/786672/sustaining-royal-canadian-air-forces-fleet-ch-146-griffon-helicopters

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    23 mai 2019 | Local, Naval

    Renouveler la flotte de la Garde côtière canadienne et offrir d'importants services à la population canadienne

    QUÉBEC, le 22 mai 2019 /CNW/ - Toute la population du pays compte sur la Garde côtière canadienne pour protéger les équipages et notre environnement, et pour assurer le mouvement sécuritaire et efficace des navires qui contribuent grandement à la prospérité de notre économie. Après l'annonce faite par le premier ministre Justin Trudeau plus tôt aujourd'hui, l'honorable Jean-Yves Duclos, ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social et député de la circonscription de Québec, s'est rendu sur le quai de la Reine, à Québec, pour parler des futurs investissements du gouvernement du Canada en vue de renouveler la flotte de la Garde côtière canadienne, et de faire construire jusqu'à 18 nouveaux grands navires dans des chantiers navals canadiens. Gr'ce à ces nouveaux b'timents, la Garde côtière pourra continuer d'offrir aux Canadiens et aux Canadiennes des services de première importance. Les partenaires du Canada retenus dans le cadre de la Stratégie nationale de construction navale (SNCN), Irving Shipbuilding d'Halifax (Nouvelle-Écosse) et Vancouver Shipyards de Seaspan (Colombie-Britannique), construiront les nouveaux navires. Irving Shipbuilding d'Halifax construira deux nouveaux navires de patrouille extracôtiers et de l'Arctique, qui seront adaptés aux besoins de la Garde côtière pour accomplir une panoplie de missions essentielles, y compris les patrouilles de l'Organisation des pêches de l'Atlantique Nord-Ouest. Vancouver Shipyards de Seaspan construira jusqu'à concurrence de 16 navires polyvalents devant servir à diverses missions, dont les services de brise-glace léger, d'intervention environnementale et de recherche et sauvetage en haute mer. De plus, le gouvernement du Canada investira dans la prolongation de vie, le radoub et l'entretien de navires, des travaux qui seront confiés à des chantiers navals partout au Canada, y compris au Québec. Ainsi, la flotte de la Garde côtière actuelle pourra continuer d'assurer les services essentiels de recherche et sauvetage et d'intervention environnementale pendant que les nouveaux navires seront en construction. Malgré les sommes investies pour entretenir les navires de la Garde côtière, ceux-ci en arriveront néanmoins à la fin de leur vie utile, et il faudra d'autres navires pour renouveler comme il se doit la flotte de la Garde côtière. Afin de répondre aux futurs besoins en construction navale, d'attirer des personnes talentueuses et d'offrir de bons emplois dans diverses collectivités, le gouvernement du Canada ajoutera un troisième chantier naval canadien, à titre de partenaire dans le cadre de la SNCN. Le gouvernement du Canada mettra en œuvre un processus concurrentiel pour sélectionner ce troisième chantier dans les prochains mois. Citations « La Garde côtière canadienne sauve des vies en mer, assure la sécurité du transport maritime, soutient une économie autrement paralysée par les emb'cles, protège l'environnement marin et appuie la souveraineté et la sécurité du Canada. Étant donné la croissance du commerce maritime et les changements climatiques dont nous ressentons déjà les effets, la demande pour les services de la Garde côtière canadienne continuera de croître. Le renouvellement de la flotte de la Garde côtière garantit la confiance des Canadiens et des secteurs qui comptent sur les services de la Garde côtière pour demeurer concurrentiels. » L'honorable Jonathan Wilkinson Ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne « La Stratégie nationale de construction navale est la bonne approche à adopter pour garantir le soutien de la Garde côtière, de la Marine et des activités maritimes au moyen de navires modernes. En plus d'assurer une adaptation pour répondre aux besoins changeants du gouvernement fédéral en matière de construction navale, la Stratégie permet de créer des emplois, de générer des avantages et de la prospérité pour les collectivités de tout le Canada, ainsi que d'appuyer un secteur maritime durable. Nous demeurons fermement résolus à suivre la Stratégie et, pour en assurer le succès à l'avenir, nous poursuivrons notre étroite collaboration avec nos partenaires de construction navale. » L'honorable Carla Qualtrough Ministre des Services publics et de l'Approvisionnement et de l'Accessibilité « La Garde côtière canadienne offre des services essentiels en assurant la sécurité de la navigation dans nos cours d'eau, notamment le fleuve Saint-Laurent et le fjord du Saguenay. L'annonce d'aujourd'hui est particulièrement importante, car le gouvernement reconnait que nous devons ajouter un troisième chantier à la Stratégie nationale de construction navale. Il s'agit d'un changement majeur qui permettra au Chantier Davie de participer au processus pour sélectionner ce troisième chantier dans les prochains mois. De plus, l'annonce de 2 milliards de dollars pour la prolongation de vie, le radoub et l'entretien de navires est une excellente nouvelle pour les chantiers navals du Québec, qui pourront obtenir de nombreux contrats. » L'honorable Jean-Yves Duclos Ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social Les faits en bref La Garde côtière canadienne fournit des services essentiels de recherche et sauvetage, d'intervention environnementale et de déglaçage dans la région du Centre et de l'Arctique, avec plus de 1 400 employés et une flotte de 18 navires et 6 hélicoptères. Les centres de commandement en recherche et sauvetage dans la région du Centre et de l'Arctique (secteurs du Saint‑Laurent et des Grands Lacs) reçoivent plus de 5 600 appels par année. En 2018, le Programme d'intervention environnementale du Centre et de l'Arctique de la Garde côtière a reçu 1 370 rapports de pollution, principalement des cas de pollution par un navire. La Garde côtière canadienne supervise également les opérations de déglaçage en hiver le long du fleuve Saint‑Laurent et dans le golfe du Saint-Laurent. Au printemps, la Garde côtière aide à dégager les glaces sur la voie maritime entre Montréal et les Grands Lacs, une opération qui permet aux navires commerciaux d'entrer et de sortir des ports de façon sécuritaire et efficace. Son aéroglisseur aide au déglaçage printanier d'une quinzaine de rivières, principalement au Québec. Le coût total des 18 nouveaux grands navires est de 15,7 milliards de dollars, ce qui correspond à l'estimation préliminaire des budgets de projets, y compris les coûts de construction, de logistique et de soutien, des éventualités, de gestion de projet et d'infrastructure. Le coût de chacun des navires sera annoncé une fois que les contrats auront été négociés. De surcroît, le gouvernement procédera, par l'entremise d'un processus concurrentiel, à la conception d'une nouvelle classe de navires plus petits, le navire semi-hauturier polyvalent, qui sera un complément à la flotte de grands navires, car il servirait à des missions en eau peu profonde et à des activités scientifiques semi-hauturières. Des travaux de réparation, de radoub et de prolongation de la durée de vie des navires seront effectués sur la flotte existante jusqu'à ce que les nouveaux navires soient livrés, et plus de 2 milliards de dollars seront investis sur une base concurrentielle à cette fin. Outre le financement destiné à la construction de navires, le gouvernement du Canada consacre 351,3 millions de dollars pour renforcer, sur une base permanente, les capacités de la Garde côtière canadienne, notamment en améliorant la supervision de la gestion et en faisant la promotion de l'innovation écologique. À ce jour, le gouvernement du Canada a conclu des contrats de plus de 11 milliards de dollars dans le cadre de la SNCN dans l'ensemble du pays. De cette somme, environ 1,6 milliard de dollars, ou 16 %, ont été versés à des entreprises au Québec. https://www.newswire.ca/fr/news-releases/renouveler-la-flotte-de-la-garde-cotiere-canadienne-et-offrir-d-importants-services-a-la-population-canadienne-870410190.html

  • Canadian military ditches plan to paint new search-and-rescue planes grey, will stick with familiar yellow

    24 septembre 2018 | Local, Aérospatial

    Canadian military ditches plan to paint new search-and-rescue planes grey, will stick with familiar yellow

    David Pugliese, Ottawa Citizen Canada's military has reversed its plan to abandon the familiar yellow paint scheme for the country's new search-and-rescue planes after debate within the ranks over the aircraft's need to be visible on such missions. The new fleet of 16 Airbus C-295W planes will replace the main Royal Canadian Air Force search-and-rescue fleet of Buffalo aircraft as well as the Hercules transport planes which are also used at times in a search-and-rescue role. Postmedia reported last year that RCAF leadership had requested the new planes be painted tactical grey, asking for a change to the original contract which had stipulated the familiar yellow colour scheme, because they wanted the aircraft to be available for other missions, including combat. But the move to the grey paint scheme has now been reversed. “While there was, last year, a stated interest in painting the C-295W grey, a decision was made following further consultation to maintain the iconic yellow colour scheme of the RCAF's current SAR fleet, such as the Buffalo, Twin Otter, Cormorant and Griffon,” the Department of National Defence said in a statement Wednesday. “This colour, which provides a higher level of visibility and recognition in the ground and the air, is also widely known by Canadians — especially those who might find themselves in a situation requiring our aid.” Asked last year about the plan to ditch the yellow paint scheme, the Forces said in a statement to Postmedia that “the RCAF has made the decision to use a grey colour scheme for the C-295W fleet to enable surging flexibility for the very wide range of missions the RCAF is required to conduct, from humanitarian and disaster relief missions, to security missions with partners, and all the way to full spectrum operations.” Military sources said RCAF leadership wanted to redirect some of the planes for use on international missions instead of search-and-rescue. But that unilateral decision sparked heated debate inside the military and DND and, sources said, the air force was forced to abandon its plans. When the federal government awarded the contract to Airbus in December 2016, cabinet ministers highlighted the importance of having the right aircraft for the search-and-rescue job. “With this technology, we are giving our women and men in uniform the tools they need to continue to deliver effective and essential search and rescue operations,” defence minister Harjit Sajjan said at the time. Construction of the first aircraft began in 2017 and the first new planes are expected to be delivered in 2019. They are outfitted with sensors that allow RCAF personnel to share real-time information with searchers on the ground. Equipment also includes sensors for searching in low-light conditions. A centre, equipped with simulators, is being built at Comox, B.C. to support training for the air crews. The RCAF's Buffalo and Hercules aircraft assigned to search and rescue perform more than 350 missions annually, according to the Canadian Forces. The Canadian military is responsible for providing aeronautical search and rescue operations. But the project to purchase the new planes has faced a rough road over the years. The competition was announced in 2004 by the then-Liberal government and re-announced by the Conservative government in 2006. But it took another decade before it could be completed and Airbus declared the winning company. Even then, Leonardo, an Italian aerospace firm, launched a lawsuit against Canada over what it claimed was a rigged purchase that favoured Airbus. That lawsuit was dropped earlier this year, shortly before the federal government awarded Leonardo a new sole-source deal potentially worth billions of dollars to upgrade Cormorant search-and-rescue helicopters. Officials with the Canadian Forces and Leonardo say the ending of the legal action in May had nothing to do with the company being picked for the new project the same month. https://nationalpost.com/news/canadian-military-ditches-plan-to-paint-new-search-and-rescue-planes-grey-will-stick-with-familiar-yellow

  • Companies highlight jobs, economic spinoffs as fighter-jet competition closes

    31 juillet 2020 | Local, Aérospatial

    Companies highlight jobs, economic spinoffs as fighter-jet competition closes

    OTTAWA — Fighter-jet makers are leading with promises of jobs and other economic spinoffs as they make their final pitches for why Canada should buy their planes to replace the military's aging CF-18 fleet. Friday marks the deadline for U.S. aerospace companies Lockheed Martin and Boeing, as well as Swedish firm Saab, to submit their bids in the current fighter-jet competition, which will see Canada spend up to $19 billion on 88 new planes. The closing of the competition marks a major milestone in Canada's decade-long effort to buy new fighter jets for the Royal Canadian Air Force, which has been plagued by government mismanagement and political controversy. While the combat capability of each of the three competing planes — Lockheed Martin's F-35, Boeing's Super Hornet and Saab's Gripen — will be the main focus as the government evaluates each bid, there will also be a lot of focus on the economic benefits of buying each plane. To that end, Lockheed Martin commissioned a report in February that found up to 4,200 jobs will be created or sustained each year if Canada buys its F-35 stealth fighter, which the company equated to more than 150,000 new jobs over the life of the plane. The analysis provided to The Canadian Press, which was compiled by Toronto-based OMX, also predicted the Canadian economy will see roughly $15 billion in additional activity between now and 2058 if the F-35 is selected to succeed the CF-18 as Canada's primary fighter jet. That is in addition to the $2 billion in economic benefits that Canada has already received since 2007 as one of nine partner countries in the development of the F-35, which lets Canadian companies compete for work associated with the stealth fighter. Canada has contributed US$541 million since 1997 to be a partner in the F-35 program. "Lockheed Martin has prepared a comprehensive proposal," the company said in a statement on Thursday. "The F-35 is the most capable, best-value fighter to strengthen defence, enhance ally partnerships and contribute to economic growth in Canada with significant, long-term industrial opportunities." Lockheed Martin isn't the first to toot its own horn on the potential economic benefits of its fighter. Boeing last month released its own commissioned report showing its existing operations in Canada created $5.3 billion in economic spinoffs last year and supported 20,000 jobs. Boeing says the numbers will go up if the Super Hornet wins, though it has not revealed its exact estimates. The emphasis on jobs and money — rather than combat capability — comes as Canada's economy has been battered by the COVID-19 pandemic, forcing the federal government to spend tens of billions in financial support for Canadians. Defence analyst David Perry of the Canadian Global Affairs Institute said it makes sense for companies to highlight the potential economic benefits of their bids. He said it helps to make the cost more palatable to the public and is also important in determining the winner. "In any competition like this, you're always looking for any potential partial point that you can get," Perry said. "Companies, if they're going to invest this significant time and significant amount of money preparing a bid like this, then they don't leave anything to chance. You make sure you try to wring every single last partial point you can get out of your proposal." This report by The Canadian Press was first published July 30, 2020. Lee Berthiaume, The Canadian Press

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