7 juin 2023 | Local, Aérospatial

Resentment towards JTF2 is hindering military effectiveness, special forces commanders warned

Relations have soured between Joint Task Force 2 and the Canadian Special Operations Regiment at Petawawa, according to documents.

https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/resentment-towards-jtf2-is-hindering-military-effectiveness-special-forces-commanders-warned

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  • Mise à jour et nouveau nom du projet de système interarmées de surveillance et d’acquisition d’objectifs au moyen de véhicules aériens sans pilote

    16 novembre 2017 | Local, Aérospatial

    Mise à jour et nouveau nom du projet de système interarmées de surveillance et d’acquisition d’objectifs au moyen de véhicules aériens sans pilote

    Article de nouvelles / Le 14 novembre 2017 Aviation royale canadienne Le projet de système interarmées de surveillance et d'acquisition d'objectifs au moyen de véhicules aériens sans pilote (JUSTAS) de l'Aviation royale canadienne a été mis sur pied en vue de l'achat d'un système d'aéronef sans pilote (UAS) pour les Forces armées canadiennes (FAC). Le projet en est actuellement au stade de l'analyse des options. Cet automne, le nom du projet a été changé pour celui de système d'aéronef télépiloté (SATP). Ce changement correspond aux modifications apportées aux lexiques et aux systèmes de classification de nos alliés et reflète plus précisément le mode d'utilisation des systèmes. Comme le précise la politique de défense Protection, Sécurité, Engagement, publiée en juin 2017, les systèmes d'aéronefs télépilotés (SATP) font maintenant partie intégrante des opérations militaires modernes. Des aéronefs télépilotés (ATP), comme le CU-170 Heron de l'ARC et d'autres aéronefs sans pilote, ont été déployés au cours d'opérations militaires canadiennes et offrent plusieurs avantages, notamment la capacité de rester en vol beaucoup plus longtemps que les véhicules de surveillance stratégique actuels. L'utilisation d'aéronefs télépilotés réduit aussi les risques courus par les militaires des FAC qui font fonctionner l'appareil à distance et à partir d'un endroit moins dangereux, et permet de déterminer les menaces potentielles qui pourraient peser sur les militaires des FAC qui se trouvent dans la zone des opérations. Les aéronefs télépilotés seront munis d'une large gamme de charges utiles et de capteurs qui détecteront les sujets d'intérêt au cours d'opérations tous temps, y compris dans l'Arctique canadien, et qui pourront apporter leur concours à une large gamme de missions, de la surveillance continue aux missions de combat en passant par le soutien aux missions de recherche et de sauvetage. Les responsables du projet SATP prévoient que les aéronefs télépilotés peuvent, en fait, être employés dans le cadre des huit missions essentielles décrites dans la politique de défense Protection, Sécurité, Engagement, au pays et à l'étranger. Le projet SATP appuie directement les initiatives 91 et 92, qui indiquent que le gouvernement « investira dans divers systèmes télépilotés » et « fera de la recherche et du développement pour les capacités terrestres, maritimes et aériennes télépilotées ». Le projet SATP Bien que le nom ait changé, l'objectif du projet SATP reste d'offrir une capacité de renseignement, de surveillance, d'acquisition d'objectifs et de reconnaissance persistante à long rayon d'action. Le projet fera partie d'un réseau de systèmes de systèmes et pourra fournir des renseignements en temps quasi réel aux commandants tactiques, opérationnels et stratégiques, en soutien aux opérations au pays et aux opérations de déploiement. Au besoin, il pourra aussi fournir une capacité de frappe de précision en soutien aux opérations. Le projet vient compléter les capacités existantes des FAC, comme l'aéronef de patrouille à long rayon d'action CP-140 Aurora. Le projet SATP ne vise pas à remplacer des véhicules. Phases du projet Le projet SATP en est actuellement au stade de l'analyse des options : L'analyse des options permet à la haute direction du ministère de prendre une décision éclairée quant à la meilleure façon de mettre en œuvre un projet afin de tenter d'atteindre la capacité indiquée d'une façon acceptable aux yeux du gouvernement. Au cours de cette phase, les options sont formulées, les coûts et les avantages sont évalués et une analyse de rentabilité est développée pour chacune des options. La phase de définition d'un projet marque la transition entre la détermination de ce qui devrait être fait pour combler une insuffisance de capacité et la détermination de la façon dont l'option privilégiée sera mise en œuvre. C'est au cours de cette phase que le projet est planifié. Les activités incluent notamment : l'exécution d'un examen détaillé des exigences du projet et d'une évaluation des risques, l'établissement des coûts et la planification de la phase de mise en œuvre et le choix de la stratégie d'approvisionnement privilégiée. Les projets qui se trouvent en phase de mise en œuvre ont reçu les approbations nécessaires pour la conclusion de contrats et l'engagement des fonds et des ressources nécessaires pour que le projet soit mené à terme. La capacité opérationnelle initiale, le moment où la capacité d'emploi de la ressource est d'abord atteinte, est prévue pour l'année financière 2025-2026, selon la directive présentée dans la politique de défense Protection, Sécurité, Engagement. Coûts du projet Les coûts sont évalués dans le cadre de la phase d'analyse des options et se préciseront au cours de la phase de définition. Le coût estimatif dépendra de la stratégie d'approvisionnement approuvée, de l'infrastructure et du type de véhicule choisi. Les coûts comprendront les capteurs, les éléments au sol et l'infrastructure connexes. Nombre d'appareils Aucune décision n'a été prise relativement au nombre d'appareils. Le nombre de SATP sera suffisant pour répondre simultanément à trois lignes de missions et pourrait être touché par la stratégie d'approvisionnement, l'infrastructure, et les véhicules précis choisis. Retombées économiques La politique relative aux retombées industrielles et technologiques, proposition de valeur comprise, s'appliquera à la présente activité d'approvisionnement, et exige que l'entrepreneur principal du projet investisse 100 % de la valeur du contrat dans l'économie canadienne. La proposition de valeur est l'engagement économique que le soumissionnaire prend initialement envers le Canada au moment de la soumission, et est un facteur noté et pondéré lors du choix de l'adjudicataire. Elle devient un engagement contractuel pour l'adjudicataire. Les exigences de la proposition de valeur sont adaptées à chaque approvisionnement afin de permettre au gouvernement de canaliser les investissements et de profiter des occasions économiques uniques offertes par chaque projet. Utilisations des SATP Au pays, les SATP renforceront la capacité de surveillance des approches maritimes et nordiques du Canada et appuieront les opérations de recherche et de sauvetage. Les SATP permettront aux FAC d'aider d'autres ministères gouvernementaux en offrant du soutien à la sécurité lors d'événements spéciaux, comme les sommets internationaux, en apportant de l'aide aux autorités civiles, comme lors des incendies de forêt ou d'inondations, ainsi qu'en offrant du soutien aux opérations des autorités policières. À l'étranger, les SATP pourront détecter, reconnaître, identifier et poursuivre des cibles d'intérêt dans des milieux complexes et s'intégrer aux systèmes nécessaires pour traiter et fusionner les informations recueillies en renseignement donnant un droit d'action. Capacité de frappe de précision des SATP La politique de défense Protection, Sécurité, Engagement indique que les SATP auront une capacité de frappe de précision – ils pourront être armés. La capacité de cibler et d'exécuter des frappes de précision assure que si une menace est détectée, elle pourra aussi être neutralisée à ce moment. Comme lors de l'utilisation de tout autre système d'armes, les aéronefs télépilotés seront utilisés par les FAC conformément aux lois nationales et internationales. Les opérations seront exécutées dans le strict respect des contrôles, procédures et règles d'engagement qui régissent l'utilisation de la force ou de toute autre arme. Tous ces systèmes seraient télépilotés par des militaires des FAC participant directement au processus de prise de décision de l'exécution d'une frappe. Cependant, les SATP ne seront armés que si cela est nécessaire pour la t'che attribuée. Milieux opérationnels Le SATP pourra être utilisé partout dans le monde, dans toutes les conditions météorologiques, à tout moment de la journée, et aura le rayon d'action et l'autonomie pour atteindre tout endroit dans l'espace aérien du Canada à partir de tout emplacement d'opérations adéquat. Le système devra aussi pouvoir fonctionner dans des milieux de faible à moyen risque, dans des contextes de collaboration avec d'autres ministères gouvernementaux et dans le cadre d'une coalition avec nos alliés. L'ARC assure la souveraineté du Canada au moyen de sa capacité de répondre rapidement à toute menace. L'investissement dans le projet SATP, comme il est indiqué dans la politique de défense Protection, Sécurité, Engagement, permet d'augmenter la capacité de l'ARC de continuer à fournir une puissance aérienne de façon agile et intégrée tout en disposant de la portée nécessaire pour répondre à toute demande formulée par le gouvernement du Canada. Tout fournisseur intéressé devrait adresser toute question liée à ce projet au Responsable de l'approvisionnement de Services publics et Approvisionnement Canada (SPAC). Article: http://www.rcaf-arc.forces.gc.ca/fr/nouvelles-modele-standard.page?doc=mise-a-jour-et-nouveau-nom-du-projet-de-systeme-interarmees-de-surveillance-et-d-acquisition-d-objectifs-au-moyen-de-vehicules-aeriens-sans-pilote/j9u7rzyf

  • Analysis: Defence issues could be on the back burner as minority Liberal government focuses on survival

    25 octobre 2019 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Analysis: Defence issues could be on the back burner as minority Liberal government focuses on survival

    DAVID PUGLIESE, OTTAWA CITIZEN As the Trudeau government focuses on its survival and seeking political support from potential allies like the NDP or the Greens, key defence issues could be put on the back burner or become part of any backroom quid pro quo. Dealing with health care, affordable housing, pipelines, the environment and healing rifts with Alberta and Saskatchewan are expected to be just some of the top issues facing the minority Liberal government. Chief of the Defence Staff Gen. Jon Vance has been telling headquarters staff in Ottawa that with the world becoming more dangerous he expects a steady flow of funding for the Canadian Forces to continue. That, however, isn't a given. Some of the Liberal's election promises come with a steep cost, including the $6 billion needed to be set aside for the first four years of a pharmacare program and a plan to improve access to medical services. Defence and security issues were barely mentioned during the federal election campaign, even though billions of dollars in equipment purchases will need to be approved by the government in the coming years. Prime Minister Justin Trudeau backed away Wednesday from forming a coalition with one of the opposition parties, but he did emphasis collaborating with the other party leaders on various issues. That could open the potential to work together on certain defence files. The Liberals have talked about using more Canadian military resources to deal with climate-related disasters and to provide help to poorer nations dealing with the effects of climate change. Those are initiatives both the Greens and the NDP could get behind as they mirror proposals from those parties. The NDP has also stated it wants a fair competition for new fighter jets and to keep the multi-billion dollar shipbuilding procurement on schedule. The Green Party more generally has supported a well-equipped Canadian military but hasn't gone into details. Bloc leader Yves François Blanchet has said his priority is not sovereignty but to promote Quebec interests. That includes a push to see Davie Shipbuilding in Levis, Que., named as the third yard under the federal shipbuilding strategy. The Bloc's wishes coincide with the Liberal's efforts to steer more shipbuilding work toward Davie. The politics of a minority government could also come into play on the project to acquire a future fighter jet. Although the Lockheed Martin F-35 stealth fighter is now seen as the leading candidate, an aerospace union is raising warnings that the selection of that plane could mean large-scale job losses in Quebec. In early September the Machinists Union complained that the Liberal government bowed to pressure from the administration of U.S. President Donald Trump to change rules to keep the F-35 in the procurement race but at the expense of other firms offering guaranteed work for Canada's aerospace sector. The union is worried that if Canada were to purchase the F-35 then most of the long-term maintenance would be done in the U.S. That, noted the labour organization, would put in jeopardy the 600 jobs at L-3 Harris in Montreal that are linked to maintaining the Royal Canadian Air Force's current CF-18 fleet. “We will follow the situation closely and demand that manufacturing and maintenance activities of the next fighter aircraft take place in Quebec,” said David Chartrand, the Quebec co-ordinator of the Machinists Union. Any loss of 600 jobs in Quebec is bound to get the attention of the Bloc Québécois and cause problems for the Liberals. Trudeau also said Wednesday he would swear in a new gender-balanced cabinet on Nov. 20. Trudeau will be in need of experienced ministers in various high-profile cabinet positions, so there is a strong possibility Harjit Sajjan, who served as defence minister, and Carla Qualtrough, the procurement minister, might end up in new portfolios. There have been suggestions at National Defence headquarters that Liberal MP Karen McCrimmon, a retired air force officer who won re-election in Kanata-Carleton, could be a potential candidate for the defence portfolio. McCrimmon, a former lieutenant colonel, was the first woman in Canada to qualify as an air navigator and the first to command an air force squadron. Such a choice would meet Trudeau's needs for a female cabinet member with experience in the portfolio. https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/analysis-defence-issues-could-be-on-the-back-burner-as-minority-liberal-government-focuses-on-survival

  • Mises à jour:  Achat et mise à niveau d’équipement de la Défense

    15 juillet 2021 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Mises à jour: Achat et mise à niveau d’équipement de la Défense

    Chers collègues et partenaires du milieu de la défense, Comme c'est aussi le cas dans la plupart des secteurs commerciaux et industriels du Canada, la pandémie de COVID-19 a eu une incidence considérable sur une grande partie de notre travail ici au ministère de la Défense nationale au cours des 18 derniers mois. Cependant, nos équipes ont travaillé avec acharnement pour s'assurer que les principaux projets continuent de progresser afin que nos militaires disposent de l'équipement dont ils ont besoin et que l'industrie canadienne ait une charge de travail durable. Bien que nous ne connaissions pas encore toutes les conséquences de la pandémie, nous vous transmettons aujourd'hui des renseignements à jour au sujet de nos principaux grands projets d'acquisition d'équipement, qui reflètent les effets de la première année marquée par la COVID-19. Comme vous pourrez le constater dans les documents ci‑joints, nous continuons d'évaluer les effets de la pandémie et les changements qu'ils pourraient entraîner sur le calendrier ou les coûts des projets. Voici quelques‑uns des principaux changements que vous remarquerez : un retard éventuel de 16 mois dans la livraison du dernier navire de patrouille extracôtier et de l'Arctique en raison des travaux d'ajustement causés par la COVID-19 et d'autres considérations. Il ne devrait pas y avoir d'incidence sur les opérations ou la production des futurs navires au même chantier naval, mais nous continuons d'effectuer un suivi étroit du calendrier. d'importants progrès ont été réalisés en ce qui concerne le projet des navires de soutien interarmées; 122 des 123 blocs du premier navire sont en cours de construction. Depuis que les documents en pièce jointe ont été préparés, le progrès continue et tous les 123 blocs sont maintenant en cours de construction, ou presque complété. À la lumière de ces progrès, nous nous attendons à recevoir le premier navire comme prévu, en 2023. le Projet de remplacement d'aéronefs de recherche et sauvetage à voilure fixe progresse; six aéronefs sont maintenant acceptés en Espagne, dont deux ont été livrés au Canada. Nous sommes donc sur la bonne voie de réaliser notre plan d'atteindre la capacité opérationnelle initiale en 2022. des changements importants ont été apportés au Projet de modernisation à mi‑vie du Cormorant, puisque la proposition initiale a été jugée inabordable. Nous continuons de collaborer avec le fabricant d'équipement d'origine afin d'en arriver à une solution acceptable, mais cela pourrait entraîner certains retards dans la réalisation du projet. la production des véhicules blindés d'appui tactique se poursuit; 14 ont été fabriqués jusqu'à maintenant, ce qui nous permet de rester sur la bonne voie d'atteindre la capacité opérationnelle initiale en 2023. Depuis la préparation du document en pièce jointe, la production a continué et le total de véhicules fabriqués est maintenant 22. Le Projet de système de véhicule de soutien moyen et le Projet de véhicule blindé tactique de patrouille sont terminés. Maintenant que tous les véhicules ont été livrés et que la capacité opérationnelle totale a été atteinte, ces projets sont maintenant considérés comme terminés. Nos pages Web seront mises à jour au cours des prochains jours afin de refléter ces récentes informations, et elles continueront d'être mises à jour lorsque d'autres changements seront apportés à l'avenir. Il est possible d'accéder aux renseignements de tous nos projets d'acquisition majeurs sur le site suivant : https://www.canada.ca/fr/services/defense/achat-mise-a-niveau-equipement-defense.html. Vos questions et commentaires sont les bienvenus, et nous espérons que vous continuerez à participer à cet effort tout au long de son évolution. Vance White Directeur par interim Direction de Relais d'opinion et allocutions [DROA] | Sous-ministre adjoint (Affairs publiques) [SMA(AP)] Ministère de la Défense nationale | Gouvernement du Canada Vance.White@forces.gc.ca | C: 613-222-3272

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