10 mai 2021 | Local, Aérospatial

RCAF looking overseas to fill pilot shortage as commercial aviators stay away

The RCAF is looking to foreign pilots to help fill shortage as commercial aviators stay away

https://www.theglobeandmail.com/canada/article-rcaf-looking-overseas-to-fill-pilot-shortage-as-commercial-aviators/

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  • Le Centre canadien pour la cybersécurité publie l’Évaluation des cybermenaces nationales 2023-2024

    28 octobre 2022 | Local, C4ISR

    Le Centre canadien pour la cybersécurité publie l’Évaluation des cybermenaces nationales 2023-2024

    Le Centre canadien pour la cybersécurité (Centre pour la cybersécurité) a publié son Évaluation des cybermenaces nationales 2023-2024, un rapport qui se veut une mise en garde en ce qui concerne le nombre croissant de cybermenaces parrainées par des États et motivées par le gain financier qui sont susceptibles de toucher les Canadiens, et les efforts déployés par les auteurs de menace étrangers pour influencer les Canadiens au moyen de la mésinformation, de la désinformation et de la malinformation dans le cyberespace. Ce rapport fait la lumière sur les cybermenaces les plus courantes qui ciblent les Canadiens et les organisations canadiennes, indique la probabilité que surviennent de telles cybermenaces et explique comment elles évolueront au cours des années à venir. Cette évaluation non classifiée révèle que les rançongiciels sont presque assurément la forme la plus perturbatrice de cybercriminalité à laquelle sont confrontés les Canadiens et qu'ils représentent une menace omniprésente pour les organisations canadiennes. On y indique également que les infrastructures essentielles risquent de plus en plus d'être visées par des activités de cybermenace. Cela dit, s'il n'y a aucune hostilité internationale directe contre le Canada, il est improbable que des auteurs de menace parrainés par des États perturbent volontairement les infrastructures essentielles du Canada. Le Centre pour la cybersécurité estime que les activités de cybermenace parrainées par des États ont des répercussions sur les Canadiens. En effet, les auteurs de menace étatiques peuvent cibler des activistes et des membres de certaines diasporas au Canada, des organisations canadiennes et leur propriété intellectuelle aux fins d'espionnage, et des particuliers pour obtenir un gain financier. Selon ses observations, les auteurs de cybermenace tentent d'influencer les Canadiens en ayant recours à la mésinformation, à la désinformation et à la malinformation (MDM) et on juge que l'exposition de la population canadienne à la MDM augmentera presque certainement dans les deux prochaines années. Par ailleurs, l'évaluation indique que les technologies perturbatrices, comme la cryptomonnaie, l'apprentissage machine et l'informatique quantique, offrent de nouvelles possibilités aux auteurs de cybermenace et constituent, par le fait même, de nouvelles menaces pour les Canadiens. La cybersécurité fait partie des priorités du gouvernement du Canada en raison de l'évolution constante des menaces. Les investissements en ce sens comprennent, entre autres, l'adoption de la Loi sur le CST qui a permis au Centre de la sécurité des télécommunications d'intercepter et de contrer plus efficacement les menaces étrangères. Le budget 2022 a accordé à l'organisme 875,2 M$ pour soutenir sa capacité à contrer et à prévenir les cyberattaques et à se défendre contre elles. Ces investissements protégeront les infrastructures essentielles, les systèmes gouvernementaux et la sécurité nationale du Canada. Pour une première fois cette année, le Centre pour la cybersécurité a également regroupé ses meilleurs avis et conseils pour les Canadiens, les organisations canadiennes et les infrastructures essentielles en tenant compte des menaces à la cybersécurité mentionnées dans l'évaluation. Contexte Il s'agit de la troisième édition de l'Évaluation des cybermenaces nationales du Centre pour la cybersécurité. La première a été publiée en décembre 2018. En plus de l'Évaluation des cybermenaces nationales 2023-2024, le Centre pour la cybersécurité lance également une mise à jour de son document Introduction à l'environnement de cybermenace. Ce document de référence offre de l'information de base sur l'environnement de cybermenace, ainsi que sur les auteurs de cybermenace, leurs motivations, leurs techniques et les outils qu'ils utilisent dans le contexte canadien. À propos du Centre pour la cybersécurité Relevant du Centre de la sécurité des télécommunications, le Centre pour la cybersécurité est l'autorité technique au Canada et la seule source unifiée de conseils, d'orientation, de services et de soutien pour toutes les questions opérationnelles liées à la cybersécurité. Le Centre pour la cybersécurité travaille avec les entreprises et les organisations qui ont été victimes d'un cyberincident pour atténuer les répercussions des incidents de cybersécurité. https://www.canada.ca/fr/securite-telecommunications/nouvelles/2022/10/le-centre-canadien-pour-la-cybersecurite-publie-levaluation-des-cybermenaces-nationales2023-20242.html

  • Sole-sourced contracts can be 'raw deal', top officials said in navy ship case

    7 décembre 2018 | Local, Naval

    Sole-sourced contracts can be 'raw deal', top officials said in navy ship case

    Lee Berthiaume / The Canadian Press OTTAWA — New court documents show public servants discussing the risk to taxpayers as successive federal governments have turned to sole-source contracts to buy desperately needed equipment for the Canadian Forces and others. The documents were filed on behalf of suspended Vice-Admiral Mark Norman, who is charged with breach of trust in connection with one such contract. They land amid frustrations with Canada's military procurement system — including because of political mismanagement — that have led to the need for quick fixes. Prime Minister Justin Trudeau's government has chosen to sign several sole-source contracts to bolster the coast guard's aging icebreaking fleet and the country's fighter-jet force, buying time to find permanent replacements. Sole-sourcing does make sense in many cases, said defence analyst David Perry of the Canadian Global Affairs Institute, particularly where there is an emergency or it's clear that only one company can meet the government's needs. "But if you're sole-sourcing to fill a capability gap, that's the result of mismanaging a procurement to the point where you are out of options and have no alternative," Perry said. "That's not really a good reason to be sole-sourcing." The Tories under Stephen Harper once intended to buy a fleet of F-35 fighter jets on an untendered contract, but aborted that plan in 2012 once the full price became known. Then the Trudeau government planned to spend about $6 billion on 18 sole-sourced "interim" Super Hornets from Boeing because it said Canada needed more fighter jets to support its aging CF-18s until replacements could be purchased through a competition. The Super Hornets deal eventually fell apart because of a trade dispute with Boeing. So the government is buying 25 second-hand Australian fighter jets, also without a competition. Canada isn't expected to get new fighter jets until at least 2025. The Liberals also recently bought three second-hand icebreakers from Quebec-based Davie Shipbuilding for the coast guard, whose existing fleet is on average 35 years old — with no immediate plan to replace it on the horizon. Suspended as the military's second-in-command in January 2017, Norman was charged in March 2018 with one count of breach of trust for allegedly leaking cabinet secrets to Davie over a different contract. He has denied any wrongdoing and vowed to fight the charge. The case against Norman centres on a sole-sourced deal negotiated between Davie and the previous Conservative government in 2015, in which the Quebec shipyard proposed converting a civilian cargo ship into a temporary support vessel for the navy. The $700-million contract with Davie was not finalized before that year's federal election. Although the newly elected Liberals at first wanted to delay it for a closer review, they signed off on the deal a short time later. Before Liberal ministers agreed to buy the converted ship, bureaucrats from the Privy Council Office, the government's top department, wrote a secret briefing note in November 2015 that discussed the problems with not holding a competition. "The risk inherent with a sole-source contract is that much of the leverage in the contract negotiation resides with the company," the bureaucrats wrote, even as they noted that the Conservatives had exempted the deal from the usual oversight for such projects. Despite these concerns, the officials recommended the government approve the deal. Partly because they had assessed that "risk mitigation measures" were in place, but mostly because the navy urgently needed a support ship for faraway operations. The court documents, none of which have been filed as exhibits or tested in court, include RCMP interviews with civil servants that suggest politicians' desire for votes in Quebec also played a role in the decisions about the ship. But the navy's need for the vessel was real. The navy at the time had just retired its 50-year-old support ships and while replacements are being built in Vancouver through the government's national shipbuilding plan, numerous delays and problems mean they won't be ready until the 2020s. The navy had originally expected to get new support ships in 2012. The briefing note said a competition could have been held to find another, perhaps cheaper, solution, but "a competitive process would take longer to deliver a solution — likely 10-14 months for a contract award, and then more time for the service to be ready." RCMP interviews with several senior civil servants raise similar concerns about awarding a contract to Davie without a competition while also alluding to the sense of urgency in getting new support ships. The Defence Department's head of procurement, Patrick Finn, told the Mounties that other companies were clamouring to compete to supply a temporary support ship in late 2014, and that "the information existed to say that this could be done competitively." But Finn noted that Davie had already found a ship that it could convert for the navy, which "at that point had no replenishment ships." Melissa Burke, an analyst with the Privy Council Office who attended various cabinet meetings about Davie's proposal in 2015, told the RCMP that federal procurement officials were unhappy because "they felt the taxpayers were getting a raw deal." https://www.timescolonist.com/sole-sourced-contracts-can-be-raw-deal-top-officials-said-in-navy-ship-case-1.23516431

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