2 janvier 2019 | Local, Aérospatial

RCAF commander recaps 2018

The following is excerpted from the 2018 holiday message that LGen Al Meinzinger, commander of the RCAF, sent to Air Force personnel and the extended RCAF family.

We can honestly say that 2018 has been an extraordinary year for the Royal Canadian Air Force (RCAF).

The year was bookended by the Sea King, with the last east coast operational flight of our maritime helicopter taking place in January and the official farewell and final flights taking place in December. It's hard to say farewell to an old friend such as the Sea King, but the Cyclone is proving to be a tremendous asset to the RCAF and the Royal Canadian Navy, and the first operational deployment of the Cyclone onboard HMCS Ville de Quebec was a tremendous milestone.

This year also brought our participation in a major UN peacekeeping operation, with stellar work being carried out by our Air Task Force personnel in Mali under Op Presence. We also continued our contributions to Op Caribbe and Op Impact. On the space aspect of “air and space power,” we are now an integral part of the Combined Space Operations Centre in California, with a member of the RCAF serving as the combined deputy director.

Meanwhile, at home, our ongoing, essential search and rescue (SAR) missions continued, as well as sovereignty operations and exercises in the North. We responded to several Op Lentus missions, including fires in British Columbia and Manitoba, flooding in Kaschechewan, Ont., and storm damage on les Îles de la Madeleine.

We also participated in marking a number of significant anniversaries this year, including the 60th anniversary of NORAD. We also marked the 100th anniversary of the Royal Air Force and, as part of those celebrations, sent a contingent to the United Kingdom to undertake Public Duties–guarding the residences of Her Majesty the Queen.

2018 also brought the 100th anniversary of the end of the First World War, as well as the 75th anniversary of the Dambusters Raid. In April, I was privileged to attend the opening of the International Bomber Command Centre in England, which is mandated to preserve and honour the memory of all those who served in the Command. I was reminded powerfully of the courageous contributions of our RCAF personnel, noting that we lost some 10,000 RCAF personnel during the bombing campaign.

As we look forward to 2019, we must continue to focus on our anchor points: our people, our defence policy, our program and our posture.

First and foremost among these are you, our people. Successful delivery of air and space power relies on well-led, robust, healthy and inclusive squadrons and tactical units. You and your families are our lifeblood, and your leaders will continue to create the right conditions to support you, retain your exceptional talents and attract personnel with the right skills and energy to continue your excellent work and move us into the future. We are extremely grateful for and proud of your enthusiasm, your dedicated service and your unparalleled professionalism. You may also rest assured that your work is deeply appreciated by Canadians, by your colleagues throughout the Canadian Armed Forces and Department of National Defence, and by our allies.

https://www.skiesmag.com/press-releases/rcaf-commander-recaps-2018

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    21 novembre 2018 | Local, Aérospatial

    Le Canada manque d'avions de chasse et de pilotes, constate le vérificateur général

    Le Canada dispose d'un nombre insuffisant d'avions de chasse pour répondre au niveau d'alerte le plus élevé et honorer ses engagements à l'endroit de l'OTAN. C'est la conclusion inquiétante du vérificateur général du Canada, Michael Ferguson, qui déplore du même coup l'absence de plan pour mettre fin notamment à l'importante pénurie de pilotes et de techniciens. Un texte de Marc Godbout Des appareils qui ne sont pas à jour et un sérieux manque de pilotes et de techniciens : les conclusions du vérificateur général sont loin d'être rassurantes. En fait, même si la Défense nationale disposait d'un nombre suffisant d'appareils, les problèmes ne seraient pas réglés pour autant, confirme Michael Ferguson. Elle n'a aucun plan pour surmonter les plus grands obstacles au respect de la nouvelle exigence opérationnelle, à savoir la pénurie de pilotes et le déclin de la capacité de combat de ses aéronefs. Extrait du rapport Il faudra donc plus que les 3 milliards de dollars déjà prévus pour prolonger la durée de vie de la flotte actuelle et pour acheter, exploiter et entretenir des avions de chasse d'occasion de l'Australie. « Les investissements décidés ne suffiront pas pour lui permettre d'avoir chaque jour un nombre suffisant d'appareils disponibles afin de répondre au niveau d'alerte le plus élevé du NORAD (Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord) et honorer dans le même temps l'engagement du Canada envers l'OTAN (Organisation du traité de l'Atlantique Nord) », précise Michael Ferguson. Y a-t-il un pilote dans l'avion? Le rapport confirme que la Défense nationale disposait de seulement 64 % des pilotes de CF-18 qualifiés pour satisfaire aux exigences opérationnelles. Entre avril 2016 et mars 2018, l'Aviation royale canadienne a perdu 40 pilotes de chasse qualifiés et en a formé seulement 30 nouveaux. Extrait du rapport Michael Ferguson va même plus loin : « Si les pilotes continuent de quitter à ce rythme, il n'y aura pas assez de pilotes expérimentés pour former la prochaine génération de pilotes de chasse. » Le problème est confirmé par le ministre des Transports fédéral, Marc Garneau. « C'est un défi qu'on a au Canada de recruter plus de pilotes, non seulement du côté militaire, mais aussi du côté commercial. C'est un dossier sur lequel je me penche en ce moment pour essayer de trouver des solutions pour recruter plus de gens », a indiqué le ministre aux journalistes mardi. M. Garneau souligne que le coût d'une formation de pilote est très élevé, et que c'est la raison principale pour laquelle pas assez de gens sont attirés vers le domaine. « Pour devenir un pilote commercial, ça coûte 80 000 $ », dit-il. Par ailleurs, Marc Garneau ne voit pas de contradiction entre le fait d'acheter des avions usagés australiens et l'absence de pilotes pour les conduire. « Nos forces armées sont en train de travailler très fort pour recruter des pilotes, et quand les pilotes vont être là, il faut que les avions soient là. Alors il faut s'occuper des deux en parallèle », pense-t-il. Manque de techniciens pour préparer les avions De plus, les techniciens avaient été en mesure de préparer à peine 83 % des aéronefs nécessaires pour satisfaire aux engagements en matière de défense auprès du NORAD et de l'OTAN. Or, si le nombre de techniciens expérimentés n'augmente pas, prévient Michael Ferguson, les vols que pourra effectuer chaque pilote de CF-18 diminueront. Le rapport précise que, l'an dernier, les pilotes avaient enregistré moins d'heures de vol que le nombre minimal requis de 140 heures. La Défense nationale n'a pas pu faire le nécessaire, constate le vérificateur général, « vu l'incertitude entourant la date de remplacement de la flotte d'avions de chasse ». Sécurité des ambassades, graves lacunes Près de 8000 employés travaillent dans les missions canadiennes à l'étranger, dont la moitié se trouvent dans des endroits où leur sécurité était menacée en raison de l'imprévisibilité politique ou de troubles civils. Or, le vérificateur général en arrive à un autre constat inquiétant : « Affaires mondiales n'avait pas pris toutes les mesures de sécurité dans ses missions à l'étranger en fonction de l'évolution des menaces. » Le ministère avait pourtant relevé des lacunes qui devaient immédiatement être corrigées, dont de nombreuses failles majeures dans plusieurs de ses 175 missions diplomatiques et consulaires. Les délais pour remédier aux lacunes entraînent « des retards pour assurer efficacement la protection du personnel et des biens à l'étranger », conclut Michael Ferguson. Vidéosurveillance inadéquate, absence de barrière pour restreindre l'accès des véhicules aux entrées des missions et mécanismes d'alarme défaillants sont cités en exemple par le vérificateur général. Une mission située dans un endroit où la menace était élevée ne disposait pas d'appareil de radiographie pour contrôler les visiteurs, alors que l'on en trouvait dans des endroits où la menace était plus faible. Extrait du rapport De plus, de nombreux employés qui travaillaient dans des endroits dangereux n'avaient toujours pas suivi la formation obligatoire. Michael Ferguson souligne que les retards sont attribuables « à une mauvaise gestion et à une surveillance inadéquate des projets » par Affaires mondiales. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1136935/avions-chasse-canadiens-verificateur-general

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    18 décembre 2017 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Le gouvernement du Canada a recours à l’approvisionnement pour aider les petites entreprises à croître et à créer des emplois

    Solutions innovatrices Canada, un programme de 100 millions de dollars, stimulera l'innovation et créera des emplois pour la classe moyenne Le 14 décembre 2017 — Ottawa En tant que principal acheteur de biens et de services canadiens, le gouvernement du Canada fera appel à l'approvisionnement pour aider les petites entreprises du pays à innover et à commercialiser leurs innovations. Le ministre de l'Innovation, des Sciences et du Développement économique, l'honorable Navdeep Bains, et la leader du gouvernement à la Chambre des communes et ministre de la Petite Entreprise et du Tourisme, l'honorable Bardish Chagger, ont annoncé aujourd'hui la mise sur pied de Solutions innovatrices Canada, un programme de 100 millions de dollars qui incite les petites entreprises canadiennes à mettre au point des solutions novatrices pour répondre aux défis proposés par les ministères et les organismes fédéraux. Que le défi soit de trouver un moyen d'augmenter la résistance du blindage aux produits chimiques ou encore d'améliorer la connexion sans fil des véhicules connectés, les ministères et les organismes fédéraux demanderont aux petites entreprises d'innover et de proposer une solution. Le gouvernement s'associera ensuite à l'entreprise retenue et agira comme son premier client, en l'aidant à commercialiser son idée et à promouvoir la génération suivante de solutions qui pourront devenir des produits commerciaux viables. Vingt ministères et organismes fédéraux participeront au nouveau programme en ciblant des problèmes d'ordre militaire, économique ou environnemental. Solutions innovatrices Canada est un élément clé du Plan pour l'innovation et les compétences du gouvernement du Canada, une stratégie pluriannuelle visant à créer des emplois bien rémunérés pour la classe moyenne. Citations « Le nouveau programme Solutions innovatrices Canada mis de l'avant par notre gouvernement aura des retombées à bien des niveaux. Nous agissons de façon proactive et transformons nos défis en possibilités : des possibilités d'innovation, de croissance économique et de réussite des petites entreprises qui mèneront à l'établissement d'une économie d'innovation dynamique et à la création d'encore plus d'emplois pour la classe moyenne canadienne. » — Le ministre de l'Innovation, des Sciences et du Développement économique, l'honorable Navdeep Bains « Nous croyons que les petites entreprises innovatrices canadiennes sont bien placées pour aider le gouvernement à relever certains défis particulièrement coriaces. Par l'entremise du programme Solutions innovatrices Canada, nous demanderons aux entrepreneurs de créer de nouveaux produits et services qui nous aideront à relever ces défis, et nous les aiderons à prendre de l'expansion dans de nouveaux marchés et à trouver de nouveaux clients à l'échelle internationale. Les avantages de ce programme sont clairs : le gouvernement du Canada pourra obtenir de nouveaux produits et services pour améliorer son travail, et des exploitants de petites entreprises qui redoublent d'efforts pour réussir pourront prendre de l'expansion et créer des emplois bien rémunérés pour la classe moyenne. » — La leader du gouvernement à la Chambre des communes et ministre de la Petite Entreprise et du Tourisme, l'honorable Bardish Chagger « Notre communauté d'investisseurs, d'incubateurs et d'accélérateurs offre de l'encadrement, ouvre des portes et fournit du capital aux entreprises canadiennes en démarrage qui cherchent à croître et à se développer. Dans bien des cas, le fait de décrocher un “premier client” constitue une validation essentielle qui permet à ces entreprises de s'implanter sur le marché local et le marché mondial. Le programme Solutions innovatrices Canada qui a été annoncé aujourd'hui aidera les entreprises canadiennes à b'tir leur clientèle plus tôt et permettra aux Canadiens de bénéficier de l'adoption de solutions innovatrices conçues ici au pays. » — La présidente du conseil d'administration de la National Angel Capital Organization (NACO Canada), Sandi Gilbert Faits en bref Le financement du programme sera fourni par les 20 ministères et organismes participant au programme Solutions innovatrices Canada. Chaque entité réservera 1 % de ses dépenses de recherche-développement à cette initiative. Solutions innovatrices Canada est modelé sur le programme américain Small Business Innovation Research. Il constitue une composante essentielle des efforts du gouvernement du Canada pour aider les petites entreprises. Solutions innovatrices Canada encouragera les entreprises détenues et dirigées par des femmes, des Autochtones, des jeunes et des groupes traditionnellement sous représentés à présenter des soumissions. https://www.canada.ca/fr/innovation-sciences-developpement-economique/nouvelles/2017/12/le_gouvernement_ducanadaarecoursalapprovisionnementpouraiderlesp.html

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