23 juin 2024 | International, Terrestre

Patriot in focus amid missile defense system shortage

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    18 septembre 2019 | International, Aérospatial, C4ISR

    Virtual reality training — for pilots, maintainers and more — expands in 2020

    By: Stephen Losey One of the top priorities of Lt. Gen. Brad Webb, the newly minted head of Air Education and Training Command, will be expanding the Air Force's experiment with virtual reality training. So far, the Air Force has had success with Pilot Training Next, which uses VR, biometrics and artificial intelligence to better teach aspiring pilots how to fly. Webb is eyeing similar technologies, under the name Learning Next, to improve other forms of technical training. This could include teaching airmen how to maintain aircraft, fly remotely piloted aircraft or perform other technical tasks. These programs allow students' education to proceed more at their own pace, since they are based on competency and are not tied to a timetable, Wright said. A student who already has the fundamentals down can skip the basics and go right to what he or she needs to learn. AETC is now in the process of broadening Pilot Training Next, which has been a demonstration, to the next phase of wider experimentation, Webb said. He and Maj. Gen. Craig Wills, commander of the 19th Air Force, are working on plans to expand Pilot Training Next. By next summer, Webb wants to have set up Pilot Training Next elements at several squadrons, though it wouldn't be across all undergraduate pilot training bases. A few classes after that, Webb expects, Pilot Training Next will be expanded to all UPT bases. The Pilot Training Next expansion will likely be done methodically, at one base first, Webb said, though he would not say which base AETC is looking at. “What has happened in our last couple of years with Pilot Training Next has been an explosion, out of the box, of innovation,” Webb said. “Make no mistake, the Air Force wants this inculcated as fast as we can go,” he said. AETC is already in the “nascent stages” of testing VR and other technology-enhanced training for maintenance and other technical training as part of Learning Next, Webb said. Maintenance Next is a particular priority and is happening on an experimental basis at Kelly Field at Joint Base San Antonio-Lackland in Texas, he said, and using VR for RPA training is also proceeding. As the VR pilot training shows, such programs can accelerate in a hurry, he said. Ethics Webb also wants to cultivate an “environment of excellence, professionalism, ethics and character development” during his time at AETC. Webb, who was previously commander of Air Force Special Operations Command, pointed to the ethical clouds that have fallen over parts of the special operations community in recent years. For example, the Navy relieved the entire senior leadership team of SEAL Team 7 earlier this month over what it described as leadership failures that resulted in a breakdown of good order and discipline while deployed. AFSOC took a hard look at itself, Webb said, to make sure it doesn't allow similar lapses to fester. “For a leader, you can never ... talk about core values enough,” Webb said. “If I had to look myself in the mirror from my last command, I can tell you my team knew our mission and vision of priorities backwards and forwards.” But while airmen at AFSOC understood Air Force core values, he acknowledged he didn't always articulate those values in his everyday “walk-around, talk-around” encounters. That can create problems if leaders assume airmen already know about the core values, he said. When a unit starts to feel the pressure from high operations tempos and a lack of resources, Webb said, that “get-'er-done” mentality can lead to bad decisions if airmen don't have a firm foundation of the Air Force core values. “If you don't have a firm foundation, you can go to a dark place with that ... ‘find a way to yes' mentality,” Webb said. “We've got to always talk about professionalism and ethics, and also always talk about our core values. That will be a capstone” of his time at AETC. Webb said he plans to continue with AETC's recent improvements in how special warfare airmen are recruited and trained, which included standing up the new Special Warfare Training Wing and the special warfare-focused 330th Recruiting Squadron. More work needs to be done to “normalize” and fine-tune those units, and more firmly fold them into AETC's everyday culture, he said. https://www.airforcetimes.com/news/your-air-force/2019/09/16/virtual-reality-training-for-pilots-maintainers-and-more-expands-in-2020/

  • Le drone tactique Patroller très proche de sa première livraison

    8 novembre 2019 | International, Aérospatial

    Le drone tactique Patroller très proche de sa première livraison

    Par Michel Cabirol Le drone tactique Patroller, qui doit être livré très prochainement à l'armée de Terre, devrait être armé d'une roquette guidée laser de 68 mm. Safran a reçu de la DGA une étude de levée de risques pour armer le Patroller. Tic-tac, tic-tac, tic-tac... La livraison du drone tactique Patroller est désormais une question de semaines. Prévue initialement le 22 novembre, elle a été très légèrement reportée à début décembre en raison de l'encombrement du trafic aérien à Istres, où le premier système (5 avions et deux stations sol) doit être remis à l'armée de Terre à l'issue d'une série de vols. Une fois le système testé à Istres, il sera rapatrié dare-dare à Chaumont où les créneaux de vol sont beaucoup plus simples à gérer pour l'armée de Terre, qui va devoir s'approprier ce nouveau système d'arme. Le Patroller est attendu sur les thé'tres d'opération mi-2021, et notamment sur la bande sahélo-saharienne (BSS). Le Patroller sera la "rolls" de l'armée de Terre. Équipé d'une boule optronique gyrostabilisée dernier cri, ce drone tactique vise à répondre aux missions de renseignement au profit des unités tactiques de l'armée de Terre en leur offrant une capacité de surveillance, d'acquisition, de reconnaissance et de renseignement (SA2R). Ce système d'observation est capable de détecter, d'identifier et de localiser, de jour comme de nuit, dans un champ atteignant presque 360°, tous les éléments observés sur une portée de 150 km (14 heures d'autonomie). "Il permet ainsi, presque immédiatement, de décrire une éventuelle unité ennemie, avait confirmé en juin dernier le général Jean-Pierre Bosser, qui était encore chef d'état-major de l'armée de Terre. Voilà un progrès essentiel apporté par la troisième dimension à l'armée de terre". Le Patroller armé d'une roquette guidée laser Une bonne nouvelle peut en cacher une autre. Safran a récemment obtenu la notification d'un contrat d'une durée de 18 mois pour une étude de levée de risques pour l'armement du Patroller, selon des sources concordantes. L'armée de Terre avait fortement plaidé pour armer le Patroller. "Pour les militaires l'armement des drones était depuis longtemps considéré comme une nécessité. (...) Nous avons clairement affirmé le besoin d'armer le Patroller", avait indiqué en mai 2018 lors d'une audition à l'Assemblée nationale le général Charles Beaudouin, sous-chef d'état-major chargé des plans et des programmes de l'état-major de l'armée de Terre. Le choix s'est porté sur la roquette guidée laser de 68mm de Thales, qui équipe déjà l'hélicoptère Tigre. Elle a été préférée à la version sol-air du missile MMP, le MHT de MBDA. Pourquoi ? La roquette guidée laser est dimensionnée aux besoins de l'armée de Terre en étant parfaitement adaptée à des objectifs rencontrés par le Patroller lors de ses missions de surveillance pour réaliser des tirs sur des cibles d'opportunité (pick-up, sniper...). La roquette est également beaucoup moins chère et plus légère que le MMP et son poste de tir. Ce dernier point permet d'optimiser l'autonomie du Patroller, qui un outil de gestion de crise. Enfin, la solution MMP, qui traite des cibles plus importantes (char, bunker...), aurait été plus compliquée techniquement à mettre au point en raison de son guidage (fibre optique). Bloqué par la direction générale de l'armement (DGA) en rétorsion aux retards du Patroller, cette étude de levée de risque était attendue depuis deux ans environ. C'était il y a deux ans déjà en septembre 2017 que la ministre des Armées Florence Parly avait annoncé dans un discours devenu fameux sa décision d'armer les drones Reaper français. "Deux ans de perdu", soupire une source interrogée par La Tribune. Aujourd'hui le Patroller armé est attendu au sein de l'armée de Terre en 2023 https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/le-drone-tactique-patroller-tres-proche-de-sa-premiere-livraison-832585.html

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