30 avril 2020 | Local, Terrestre

Opportunités secteur terrestre

Dans les prochains mois, les donneurs d'ordre qui ont été pré-qualifié seront à la recherche de fournisseur canadien afin optimiser leurs offres de valeurs afin d'obtenir d'important contrat avec le Gouvernement canadien pour l'achat de véhicule dans le cadre du projet de modernisation des véhicules logistiques et le projet de capacité de récupération amélioré. Alors, il y a aura des opportunités d'affaires à saisir particulièrement pour les entreprises ayant des capacités en matière de véhicules terrestres, de soutien en service et blindage.

Si vous souhaitez en savoir davantage à propos de ces opportunités, veuillez communiquer avec Mathieu Poirier de Développement Économique Canada pour les régions du Québec à l'adresse courriel suivante : mathieu.poirier@canada.ca

Informations complémentaires :

Projet de modernisation des véhicules logistiques

https://achatsetventes.gc.ca/donnees-sur-l-approvisionnement/appels-d-offres/PW-BW-005-27293

Projet de capacité de récupération amélioré

https://achatsetventes.gc.ca/donnees-sur-l-approvisionnement/appels-d-offres/PW-BL-316-27602

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  • Remplacer et compléter la flotte de chasseurs canadiens

    12 décembre 2017 | Local, Aérospatial

    Remplacer et compléter la flotte de chasseurs canadiens

    Annoncée en juin 2017, la politique de défense du Canada : Protection, Sécurité, Engagement a réaffirmé l'engagement du gouvernement à investir de façon appropriée dans les forces armées. Le 12 décembre 2017, le gouvernement du Canada a lancé un processus concurrentiel d'approvisionnement ouvert et transparent en vue de remplacer de façon permanente l'actuelle flotte de chasseurs du Canada par 88 appareils de pointe. L'achat de 88 aéronefs représente une augmentation de la taille de la flotte de plus d'un tiers par rapport à ce qui était prévu avant la politique de défense : Solide sécuritaire et engagée (65 aeronefs). La Politique des retombées industrielles et technologiques s'appliquera à ce marché. Celle-ci vise à maximiser les débouchés pour les entreprises canadiennes, à soutenir l'innovation par la recherche et le développement et à multiplier les possibilités d'exportation pour le Canada. Toutes les entreprises sont invitées à participer au processus. Consultations Le gouvernement prendra le temps nécessaire pour veiller à ce que l'industrie aérospatiale et de la défense ainsi que les fournisseurs commerciaux canadiens soient consultés et mobilisés à propos de ce processus, et qu'ils soient bien positionnés pour y participer. Le Canada organisera une Journée de l'industrie sur le thème du futur chasseur, le 22 janvier 2018, à Bibliothèque et Archives Canada, 395, rue Wellington à Ottawa. Il sera question de présenter à l'industrie et aux gouvernements étrangers les renseignements dont ils ont besoin pour décider, en toute connaissance de cause, s'ils veulent participer à ce processus d'approvisionnement. De plus, l'événement permettra à l'industrie canadienne d'établir des contacts avec des gouvernements étrangers et des fabricants d'avions de chasse. Invitation à participer Le Canada commencera par dresser une liste de fournisseurs qui comprendra les gouvernements étrangers et les fabricants d'avions de chasse ayant fait la preuve de leur capacité à répondre aux besoins du Canada, tels que définis dans le document d'invitation à la Liste des fournisseurs. L'invitation à s'inscrire sur la Liste des fournisseurs est disponible sur le site achatsetventes.gc.ca. Toutes les entreprises sont invitées à participer au processus. Les demandes d'inscription sur la Liste des fournisseurs doivent être reçues avant le 9 février 2018. Une fois la Liste des fournisseurs officialisée, seuls ceux qui y figureront seront invités à participer aux activités de consultations subséquentes et à soumettre leur proposition pour ce marché. Consultations auprès des intervenants de l'industrie canadienne Parallèlement aux activités liées à la Liste des fournisseurs, on mobilisera les intervenants de l'industrie canadienne afin de recueillir et échanger des renseignements généraux en lien avec ce marché. Ainsi, les industries canadiennes de l'aérospatiale et de la défense seront bien positionnées pour y participer. Évaluation des propositions relatives à la capacité permanente Les propositions seront rigoureusement évaluées en fonction des coûts, des exigences techniques et des avantages économiques. Notre gouvernement juge important de faire affaire avec des partenaires de confiance. Cela étant, l'évaluation des soumissions sera assortie d'une évaluation de l'incidence globale des soumissionnaires sur les intérêts économiques du Canada. À l'étape de l'évaluation des soumissions, tout soumissionnaire jugé responsable d'un préjudice causé aux intérêts économiques du Canada sera nettement désavantagé. Ce nouveau critère, de même que les lignes directrices devant en régir l'application seront élaborés en menant les consultations appropriées. De plus, la Politique des retombées industrielles et technologiques s'appliquera à ce marché. Le fournisseur retenu sera donc tenu d'investir au Canada un montant égal à la valeur du contrat. Tous les fournisseurs seront assujettis aux mêmes critères d'évaluation. Prochaines étapes Les consultations avec les fournisseurs se poursuivront tout au long de 2018 et 2019 Il est prévu que les documents officiels d'invitation à soumissionner seront disponibles au printemps 2019 L'attribution d'un contrat est prévue en 2022 et la livraison du premier avion de chasse en 2025 Foire aux questions Processus d'approvisionnement concurrentiel Sur combien de temps s'étendra l'appel d'offres et quand le contrat sera-t-il attribué? Cet appel d'offres exige une préparation poussée assortie de véritables consultations des parties prenantes et de l'industrie Nous devons bien faire les choses et nous prendrons le temps nécessaire pour veiller à ce que les industries de l'aérospatiale et de la défense ainsi que les fabricants commerciaux canadiens soient consultés et qu'ils participent à ce processus L'attribution d'un contrat est prévue en 2022 et la livraison du premier avion de chasse en 2025 L'actuel calendrier de réalisation du processus n'est pas différent de celui appliqué à des appels d'offres lancés par des alliés et pays partenaires pour remplacer leurs flottes de chasseurs Pourquoi utilisez-vous une liste de fournisseurs? Les chasseurs et leurs systèmes embarqués sont des produits sensibles sur le plan de la sécurité et fortement contrôlés, si bien que la discussion de leur vente éventuelle passe nécessairement par l'existence d'ententes de coopération en matière de matériel de défense entre le Canada et ses partenaires et alliés Les trois critères inclus dans cette invitation visent à s'assurer que le Canada collabore avec des gouvernements étrangers qui exploitent des chasseurs susceptibles de répondre aux besoins du Canada en matière d'échange de renseignements dans le domaine de la défense, ainsi qu'avec les fabricants commerciaux qui produisent actuellement des avions de combat Cette étape permettra de recenser les avionneurs admissibles des pays partenaires et alliés qui présentent le potentiel voulu pour répondre aux besoins du Canada Leurs gouvernements respectifs ou leurs organisations de défense, ou les deux, devront également répondre aux besoins du Canada pour figurer sur la Liste des fournisseurs Qui peut s'inscrire sur la Liste des fournisseurs? Les gouvernements étrangers (ou les organisations de défense composées de pays participants), ainsi que les fabricants de chasseurs et d'autres entités commerciales qui sont en mesure de répondre aux besoins définis dans la description jointe à la Liste des fournisseurs, sont invités à soumettre une demande d'inscription afin de participer à l'appel d'offres La Liste des fournisseurs sera constituée d'équipes formées au minimum d'un gouvernement (ou d'une organisation de défense composée de pays participants) et d'un fabricant de chasseurs Ces équipes pourront également comprendre d'autres entreprises susceptibles de participer indirectement à une future proposition, sous réserve de l'approbation du Canada Une fois que la liste sera officialisée, seuls les fournisseurs y figurant seront invités à participer aux activités de consultations subséquentes et à soumettre des propositions Un gouvernement peut-il soumettre plus d'une réponse à l'invitation de la Liste des fournisseurs? Comme nous souhaitons, par ce processus ouvert et transparent, maximiser la concurrence, nous ne pouvons qu'encourager les gouvernements à inscrire plus d'un fabricant de chasseurs, suivant la définition apparaissant dans la Liste des fournisseurs La décision de soumettre plus d'un nom d'avionneur revient au gouvernement étranger ou à l'organisation de défense responsable Comment l'industrie canadienne peut-elle participer à la Liste des fournisseurs? La Liste de fournisseurs permettra de cerner des fournisseurs clés qui seront admissibles à la présentation d'une proposition, à savoir une organisation de défense ou un gouvernement étranger et un fabricant de chasseurs Ces fournisseurs seront tenus de soumettre une proposition de valeur, qui fera partie de leur soumission, dans laquelle ils décriront leurs engagements économiques envers le Canada Par conséquent, les fournisseurs seront poussés à former des partenariats avec l'industrie et des établissements postsecondaires canadiens au cours des prochains mois afin de mettre au point une solide proposition de valeur Le gouvernement collaborera avec les gouvernements étrangers, les fabricants de chasseurs et les secteurs canadiens de l'aérospatiale et de la défense pour veiller à ce qu'ils soient bien positionnés en vue de participer à ce marché À quels critères les fournisseurs devront-ils satisfaire pour être inscrits sur la Liste des fournisseurs? Chaque équipe devra désigner un gouvernement ou un chef de file national qui fera office de point de contact pour le Canada, et avoir un accord de coopération en vigueur avec le Canada en matière de matériel de défense L'avionneur de l'équipe devra répondre aux critères définis dans la Liste des fournisseurs Le gouvernement étranger ou l'un des pays participants devra exploiter l'un des chasseurs produits par l'avionneur proposé Le Canada examinera les inscriptions proposées pour déterminer si elles répondent à tous les critères de l'invitation à participer à la Liste des fournisseurs et se réserve le droit de demander des éclaircissements, au besoin Après examen des réponses, les fournisseurs recevront un courriel les avisant de la décision du Canada Le Canada peut-il supprimer ou ajouter un fournisseur dans la Liste des fournisseurs? Une fois qu'une équipe a été ajoutée à la liste des fournisseurs, elle peut se retirer en tout temps sur simple avis écrit adressé au Canada Un gouvernement étranger ou une organisation de défense étrangère peut tout autant et n'importe quand ajouter ou retirer une entreprise de son équipe sur simple avis écrit adressé au Canada, sous réserve de l'approbation de ce dernier Le Canada se réserve le droit de retirer, en tout temps, toute équipe ou entité figurant sur la Liste des fournisseurs si celle-ci présente des problèmes potentiels, perçus ou réels qui pourraient nuire à la sécurité nationale du Canada Ce marché comprend-il la consultation de l'industrie et des discussions sur les retombées industrielles et technologiques pour le Canada? La Politique des retombées industrielles et technologiques du gouvernement, qui exige des entrepreneurs qu'ils investissent au Canada un montant égal à la valeur du contrat, s'appliquera à ce marché De concert avec les fabricants de chasseurs et l'industrie canadienne, le gouvernement recherchera une proposition de valeur, assortie d'un objectif stratégique allant dans le sens de la croissance à long terme des secteurs de l'aérospatiale et de la défense du Canada Il s'agit notamment de promouvoir la croissance et l'innovation de l'industrie canadienne par des investissements en recherche et développement, d'offrir des occasions de perfectionnement aux fournisseurs, en particulier aux petites et moyennes entreprises, et de créer des possibilités d'exportation Le temps nécessaire sera consacré aux échanges avec les gouvernements étrangers, les fabricants de chasseurs et aux industries de l'aérospatiale et de la défense canadienne pour s'assurer qu'ils sont bien positionnés en vue de participer à ce marché Comment le Canada évaluera-t-il les propositions? Les propositions seront rigoureusement évaluées en fonction des coûts, des exigences techniques et des avantages économiques Par conséquent, l'appréciation des soumissions sera assortie d'une évaluation de l'incidence globale des soumissionnaires sur les intérêts économiques du Canada Lors de l'évaluation des soumissions, tout soumissionnaire responsable d'un préjudice causé aux intérêts économiques du Canada sera nettement désavantagé Ce nouveau critère, de même que les lignes directrices devant en régir l'application seront élaborés en menant les consultations appropriées Pourquoi tenir compte de l'incidence sur les intérêts économiques du Canada? Nous sommes continuellement à la recherche de moyens d'améliorer nos processus d'approvisionnement ainsi que les retombées pour la population canadienne Les marchés ont comme but, la formation de partenariats à long terme et efficaces et nous voulons nous voulons faire affaire avec des fournisseurs dont les activités concordent avec les intérêts économiques du Canada Cette démarche est conforme avec l'orientation énoncée dans la lettre de mandat de la ministre Qualtrough, qui décrit les directives visant à moderniser les pratiques d'approvisionnement afin d'appuyer, entre autres, nos objectifs de politique économique Comment le gouvernement veillera-t-il à ce qu'aucun avionneur ne bénéficie d'un avantage déloyal durant le processus d'approvisionnement? Le gouvernement s'est engagé à organiser un processus d'approvisionnement ouvert et transparent pour remplacer les chasseurs du Canada Le processus est supervisé par un contrôleur indépendant chargé de veiller à l'équité afin que tous les fournisseurs bénéficient de règles du jeu équitables Le Canada fera également appel à d'autres intervenants pour examiner, recueillir et diffuser des renseignements généraux sur l'approvisionnement, tout au long du processus d'approvisionnement Compléter la flotte existante Que fait le Canada pour s'assurer que les Forces armées canadiennes disposent du matériel dont elles ont besoin pendant que se déroule ce processus? Jusqu' à ce que les aéronefs de remplacement soient en place et pleinement opérationnels, le Canada doit veiller à ce que les Forces armées canadiennes disposent du matériel dont elles ont besoin pour continuer d'exécuter leurs missions et de respecter leurs obligations internationales Le Canada a reçu une proposition officielle du gouvernement australien portant sur la vente de F-18 Hornet, et il a l'intention d'y donner suite L'achat de ces F-18 nécessitera-t-il des changements aux infrastructures existantes du Canada? Le ministère de la Défense nationale est en train d'examiner ses infrastructures existantes afin de déterminer s'il y a lieu d'y apporter des changements Comment pouvez-vous être sûr que ces aéronefs seront fiables, sûrs et efficaces? Assurer la sécurité de nos hommes et de nos femmes en uniforme est, pour nous, une priorité absolue Les aéronefs australiens ont à peu près le même 'ge que la flotte canadienne de CF-18 L'Australie et le Canada ont tous deux beaucoup investi dans des modifications structurelles qui ont permis de prolonger la durée de vie structurale de leurs F-18 respectifs Plus récemment, et contrairement à l'Australie, le Canada a investi dans des modifications structurelles supplémentaires Les entreprises canadiennes possèdent l'expérience requise et effectuent déjà la plupart des travaux d'entretien de la flotte existante. Tout nouvel appareil sera entretenu dans le cadre des modalités existantes Tout comme nous le faisons pour la flotte actuelle, nous ferons les investissements nécessaires dans ces appareils pour nous assurer qu'ils répondent à toutes les exigences de l'Aviation royale canadienne Complément d'information Chasseurs Intégration de chasseurs australiens à la flotte actuelle de l'Aviation royale canadienne https://www.tpsgc-pwgsc.gc.ca/app-acq/amd-dp/air/snac-nfps/CF-18-fra.html

  • Defence Department failed to spend $1.2B in funding last year, most due to delays

    11 février 2022 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Defence Department failed to spend $1.2B in funding last year, most due to delays

    OTTAWA - New figures show the Department of National Defence failed to spend more than $1.2 billion of its allotted budget in the last fiscal year, th...

  • Defence Investment: Strong, Secure and Engaged

    22 mai 2019 | Local, Aérospatial

    Defence Investment: Strong, Secure and Engaged

    By Jon Robinson What the RCAF gains in Canada's 20-year Defence plan A few straightforward statistics – among mountains of convincing data available to be pulled – describe Canada's need for its historically aggressive Strong, Secure, Engaged policy first introduced in mid-2017 for the Canadian Armed Forces. This includes the pending, marque procurement of a new-generational fighter fleet, given the age of Canada's current CF-188 Hornets first procured in 1983. What's more, the Canadian Armed Forces (CAF) pegs its responsibility as covering an area greater than 15 million square kilometres. Statistics from the Department of National Defence (DND) indicate approximately 600,000 aircraft enter and exit Canadian air-space annually, among some 4.3 million total flights, including 90,000 transpolar flights. There are 800,000 ship movements annually within Canadian waters, according to DND, and more than 8,000 search-and-rescue call outs per year. At the Canadian Aerospace Summit held in Ottawa in mid-November 2018, Brigadier-General Michel Lalumière shared these statistics on the opening slide of his presentation to members of the Aerospace Industries Association of Canada, along with succinct words about the importance of the Royal Canadian Air Force (RCAF): Canada's defence and security depends on air power – Geography determines; history proves it. From search and rescue (SAR) missions and disaster response to NORAD cooperation and NATO commitments, the RCAF in terms of spending allocation will be the biggest benefactor of Strong, Secure, Engaged (SSE) among all branches of the CAF. SSE is built on a 20-year horizon to meet more than 200 CAF objectives, but it is being driven by a significant, initial 10-year increase in defence cash spending from $18.9 billion in 2016/17 to $32.7 billion in 2026/27 – an increase of more than 70 per cent. The government of Canada's total defence spending over the next 20 years is projected to reach $553 billion on a cash basis. By 2024/25, defence spending in Canada will grow to 1.4 per cent of GDP, while the expenditure on major equipment will also reach 32 per cent, exceeding the NATO target of 20 per cent. These near-term projections are largely based on the timeline of CAF's Future Fighter Capability Project, targetting a commitment to acquire 88 advanced fighter aircraft with first deliveries anticipated in 2025. SSE is now organized under the government's Defence Investment Plan, which was made public for the very first time in late May 2018 by Defence Minister Harjit Sajjan. For continued transparency, the Investment Plan will be refreshed annually and approved by the Treasury Board every three years. RCAF investments The 20-year plan for the RCAF with new investments alone will reach $46.5 billion, which accounts for 49.4 per cent of the CAF's total spend of $93.9 on capital projects. This will be focused on what is described as 52 critical equipment, infrastructure and information technology projects. There are some discrepancies in the numbers with SSE being introduced in 2017 and the Investment Plan launching in 2018. The latter document pegs total spending on capital projects at around $107.9 billion, when also including services and goods, with $47.2 billion earmarked for the RCAF. The increase in capital project spending outlined in SSE is attracting the attention of domestic and international suppliers from every facet of aviation and aerospace; largely because the policy moves well beyond the Future Fighter program to touch on 16 other large projects, including: Acquiring space capabilities to improve situational awareness and targeting; integrating new command and communications systems; replacing air-to-air tanker transport, utility transport and multi-mission aircraft fleets; investing in medium-altitude remotely piloted systems; modernizing air-to-air missile capabilities; upgrading air navigation, management and control systems; acquiring new aircrew training systems; recapitalizing existing capabilities until the arrival of next-generation platforms; sustaining domestic SAR capabilities; and operationalizing the CAF's new fixed-wing SAR fleet. The majority of SSE spending on capital projects, when categorized by asset class under the Investment Plan, is earmarked for equipment, accounting for approximately $76.9 billion, followed by what the government labels as “other” at $14.1 billion; IM/IT at $12.1 billion; and infrastructure at $4.9 billion. As BGen Lalumière explains, the scope of SSE has developed a need for expansive Request for Proposals, including the first draft sent out in October 2018 for the Future Fighter program, inviting Boeing, Dassault, Eurofighter Jagdflugzeug GmbH, Lockheed and Saab to participate in the process. The formal RFP for Canada's Future Fighter program is expected to be released this spring, with a contract then awarded in 2021/22. “You need to fully understand the size of the challenge... by and large our geography can be described as four and a half time zones, or six and a half time zones depending how far out to sea, including the economic exclusive zones we care deeply about. We are 45 degrees of latitude north to south,” explains Lalumière. “When you are in defence you do not wait for what is fast and easy to come at your border. Of course, we look much further than this and [therefore] we are quickly interested in a quarter of the planet at all times.” In February 2019, the RCAF took delivery of two Australian F/A-18A Hornets, at 4 Wing Cold Lake, Alberta, as part of an interim measure until Canada's new fighter fleet is secured and delivered. Canada initially planned to buy 18 new Boeing Super Hornets, but scrapped that plan in late-2017 in favour of 18 Australian F-18 Hornets – expected to be delivered at regular intervals until the end of 2021. This is part of SSE policy to ensure Canada has mission-ready aircraft to meet domestic and international obligations. The move was also linked to political motivations following Boeing protests with the World Trade Organization (WTO) around unfair subsidies provided by the Canadian government to Bombardier for its CSeries aircraft program, now under majority control of Airbus and renamed as the A220 Series. This same logic, however, would place the Saab Gripen E/F bid in the Future Fighter program at a disadvantage after Brazil in 2018 registered its own WTO complaint around Bombardier subsidies. With Brazil's 2014 commitment to the Saab Gripen platform, Embraer became a major partner to manufacture the aircraft and to also help develop the two-seat F variant of the Gripen – with the E variant being the single seater. With Dassault's self-removal from the Future Fighter RFP (confirmed on November 8 by Agence France-Presse), the idea of WTO disputes impacting procurement would leave just one viable Future Fighter candidate in the Eurofighter Typhoon, but even this multi-nation platform (Airbus, Leonardo, BAE) would create complications considering newly proposed U.S. tariffs targetting civil aircraft from the European Union, specifically what the Office of the U.S. Trade Representative labels as launch subsidies given to Airbus and impacting Boeing. Given today's range of WTO aviation disputes, it becomes difficult to predict how political pressures of the day might influence Canada's Future Fighter RFP, particularly when the fleet is projected to last into the 2060s. Canada, as an early industrial partner of the F-35 Joint Strike Fighter Program, has not been immune from domestic pressures concerning its Future Fighter decision. Despite its participation in the F-35 program since 1997, Justin Trudeau's Liberal government in November 2015, just days after being elected into office, cancelled an order for 65 Lockheed Martin F-35 aircraft. The order was made in 2010 by Stephen Harper's Conservative government, which in 2012 was then accused of lying to Canadians about the cost of the F-35s. The Conservatives, according to the National Post (April 2012), pegged the cost at around $16 billion, including $9 billion for the aircraft and another $7 billion for maintenance and training, even as the government knew the true cost would be around $25 billion. In October 2018, however, The Globe and Mail reported Canada paid another $54 million toward development of the F-35 stealth fighter, bringing its total investment in the joint program to approximately half a billion dollars over the last 20 years. Participating in the program provides countries with access to supplier contracts and price reductions on the purchase of F-35 aircraft, which will ultimately be a major factor in determining which supplier wins the Future Fighter bid. From fighters to strategic transport On April 17, 2019, Lockheed Martin announced it has moved some F-35 suppliers to what it calls longer-term Performance Based Logistics contracts and Master Repair Agreements – beyond what had been one-year contracts – to improve supply and reduce costs. The F-35 Joint Program Office (JPO) states the F-35's newer production aircraft are now averaging greater than 60 per cent mission-capable rates. Lockheed Martin has reduced its portion of operating costs per aircraft by 15 per cent since 2015. The F-35 JPO goal is to deliver 80 per cent mission capable rates in the near term, and achieve a $25,000 Cost per Flight Hour by 2025. In April 2019, Inside Defense reported the F-35 JPO has been working with the prime contractor Lockheed Martin and engine-maker Pratt & Whitney to reduce the cost of the F-35A to $80 million by 2020. Inside Defense also reported that Lockheed Martin expects to increase production rates by 40 per cent in 2019 with the delivery of 131 F-35 aircraft. These projections are significant in that it aligns the initially expensive F-35 platform with the other Future Fighter contenders on both cost per flight hour and cost per unit. A primary difference between the Future Fighter contenders is that the F-35 is classified as a true fifth-generation fighter relative to fourth-generation platforms, which are sometimes noted as 4.5 generation based on potential upgrades. Fourth-generation fighters are naturally less expensive based on per-unit costs, but also raise concerns around upgrades and effectiveness against potential threats out to 2060, as Russia prepares to introduce the Sukhoi Su-57 in 2019 and China continues developing the Chengdu J-20 – both being fifth-generation fighters. The new SSE vision for Canadian defence translates Strong as Home, Secure as North America, and Engaged as World. The Secure portion of the policy outlines Canada's intent to eliminate threats in North America primarily through its NORAD partnership with the United States. Dassault noted Canada's extensive interoperability requirements with U.S. forces as a primary reason for its RFP withdrawal. The opening of the Arctic – and clear intentions from Russia and Nordic countries to gain control in the polar region – places more emphasis on developing defence capabilities in tandem with the U.S. But this cooperation can also be found in SSE surveillance and communications projects. SSE does not expressly account for a North Warning System Replacement, but it is on the table as a NORAD project. The Defence Investment Plan also holds a range of measures for improved sensors and control. BGen Lalumière in October describes these as SSE highlights, including the acquisition of new Tactical Integrated Command, Control and Communications, radio cryptography, and other necessary systems (Tic3Air), as well as upgraded air navigation management and control systems (MFATM); space-based development projects like the RADARSAT constellation mission; medium earth orbit search and rescue (MEOSAR); defence enhanced surveillance from Space (DESS-P); and Surveillance of Space 2 (SofS 2). Lalumière also points to SSE highlights directly affecting the future of CAF aircraft (around 350 among all current Canadia military fleets). The new Strategic Tanker Transport Capability project to replace the CC-150 and CC-130T is to provide a first draft proposal in 2027, although the CAF has expressed a desire to accelerate that timeline. The fixed-wing SAR C295W project expects to see its first proposal in 2019. The Utility Transport Aircraft project to replace the CC-138 Twin Otter is expected to begin in 2025 and the Canadian multi-mission aircraft project, to replace the CP140 Aurora, is expected in 2033. The timeline for the Remotely Piloted Aircraft System project for medium-altitude ISR & Strike capabilities is still to be determined, but companies are already positioning themselves to be a part of the process. The Cormorant Mid-Life Upgrade modernization project is currently ongoing and noted by Lalumière as a key part of SSE. The Future Fighter program also relates to major investments in training, defined in part as the Fighter Lead-In Trainer project. Current training is provided under contract with CAE for what is defined as NFTC (NATO Flying Training in Canada). The CFTS portion for advanced flight training of both multi-engine and rotary-wing is currently under contract with KF Aerospace. A third component for Air Combat Systems Operators and Airborne Electronic Sensor Operators is currently provided by 402 Squadron, which will be rolled into an overall SSE training project called Future Aircrew Training (FAcT). The CAF is clearly putting an emphasis people as the ultimate SSE ingredient to achieve its objectives. This includes programs around health and wellness, civilian life transition, tax relief and diversity. SSE targets an increase to the CAF's regular force by 3,500 personnel, as well as an increase of 1,500 in the reserve force. Approximately 12,000 personnel are currently in RCAF's regular force, as well as 2,100 reserves and 1,500 civilians. “People will be the limitation in our ability to move at this pace,” explains Lalumière. “Twenty years, 10 years happens very quickly when it is all dependent on people.” https://www.wingsmagazine.com/defence-investment-strong-secure-and-engaged/

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