23 septembre 2020 | International, Naval, C4ISR

Northrop Grumman Reveals Low-Band Jammer Candidate

Steve Trimble

Northrop Grumman has revealed the first photograph of a pod for the Next Generation Jammer-Low Band (NGJ-LB) system possibly weeks ahead of a competitive contract award.

The U.S. Navy image released by Northrop shows the full-scale candidate for the NGJ-LB contract during testing inside the Air Combat Environment Test and Evaluation Facility's anechoic chamber.

The image reveals a pod with a dimpled outer mold line similar to the ALQ-99 low-band pods, which the winning NGJ-LB design is expected to augment and then replace.

Northrop and rival L3Harris recently completed anechoic chamber testing of both competing NGJ-LB pods while wrapping up the 20-month Demonstration of Existing Technologies phase, which precedes a contract award for the engineering and manufacturing development phase scheduled in November.

Naval Air Systems Command (NAVAIR) has budgeted $3 billion to develop and build the NGJ-LB pods over the life of the program.

Each pod will be integrated on the Boeing EA-18G aircraft. The low-band pods will complement the Raytheon NGJ-Mid-band pods now in early production. NAVAIR also has expressed long-term interest in a new high-band pod.

https://aviationweek.com/defense-space/sensors-electronic-warfare/northrop-grumman-reveals-low-band-jammer-candidate

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  • Europe de la défense: entre Paris et Berlin, des ambitions et de la méfiance

    24 mai 2019 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité, Autre défense

    Europe de la défense: entre Paris et Berlin, des ambitions et de la méfiance

    Char, avion de combat du futur: Paris et Berlin travaillent sur d'ambitieux projets industriels communs dans la défense, mais les rapports restent teintés de méfiance et marqués par des divergences de vue autour de la question des exportations d'armement. Face au Brexit, au rel'chement des liens transatlantiques sous l'ère Trump, et malgré une mauvaise passe dans la relation franco-allemande, Emmanuel Macron a fait de l'Europe de la défense l'un de ses grands chevaux de bataille, qui figure en bonne place dans le programme des candidats de son camp aux élections européennes de dimanche. Réunis par un même besoin de renouveler leurs capacités militaires à horizon 2035-2040, Français et Allemands ont convenu à l'été 2017 de développer main dans la main deux programmes d'équipements majeurs: le système de combat aérien du futur (SCAF), sous leadership du français Dassault, pour remplacer les Rafale et les Typhoon, et le char de combat du futur ayant vocation à remplacer les Leclerc et les Lepoard, sous leadership allemand. Concernant le SCAF, dont le premier contrat d'architecture a été notifié à Dassault et Airbus en janvier, Paris et Berlin comptent annoncer "cet été" le lancement des études de recherche et développement destinées à jeter les bases des démonstrateurs, pour un montant de 150 millions d'euros sur deux ans, selon des sources concordantes. - pas d'annonce au Bourget? - Il n'est toutefois pas certain que l'annonce soit faite mi-juin au salon aéronautique du Bourget comme initialement prévu, admet Paris. Objectif: développer un démonstrateur d'ici 2026 -- pour un coût estimé entre 2 et 3 milliards d'euros -- avant une entrée en service en 2040 de ce système associant avion de combat, drones, futurs missiles de croisière et drones évoluant en essaim. Pour le char, "les industriels préparent une offre pour l'étude d'architecture à horizon de l'été", indique-t-on de source gouvernementale française. Pour continuer à avancer, reste à venir à bout des inquiétudes et grincements de dents de part et d'autre du Rhin. Parmi les motifs de friction figure le partage des compétences de pointe censées alimenter ces grands programmes communs d'armement. En France, où le groupe Dassault a conduit seul le programme-phare du Rafale, certains ne cachent pas leur méfiance. "Il ne faudrait pas que les Allemands profitent de cette coopération pour chiper notre savoir-faire stratégique", glisse-t-on de source proche du dossier. En Allemagne, des parlementaires de la coalition au pouvoir reprochent au gouvernement d'Angela Merkel d'avoir mal négocié la répartition industrielle du projet SCAF et critiquent les exigences françaises en matière de propriété intellectuelle, affirme jeudi le quotidien allemand Die Welt. "Au regard des enjeux industriels et économiques du projet, j'attends de Mme Merkel et de Mme von der Leyen (ministre allemande de la Défense) qu'elles prennent en main ce dossier et en fassent une priorité, comme l'a fait le président Macron", déclare au journal le responsable défense du parti social-démocrate allemand (SPD), Thomas Hitschler. - ventes d'armes aux Saoudiens - "Des débats sur le partage des technologies, les questions de propriété intellectuelle peuvent exister mais ils sont en train de se résoudre. C'est normal que ça tiraille, derrière il y a des enjeux financiers et de compétences industrielles", relativise-t-on à Paris, où l'on préfère vanter "la rapidité" avec laquelle un projet de cette ampleur s'est mis en route. Autre obstacle à franchir: la question des conditions d'exportation des armements, objet de frictions ouvertes entre Paris et Berlin. Depuis l'assassinat fin 2018 du journaliste saoudien Jamal Khashoggi à Istanbul, le gouvernement allemand a décidé de geler les exports d?armes à destination de l'Arabie Saoudite, client controversé de l'industrie française de défense. Une décision vertement critiquée par Emmanuel Macron, puis par l'ambassadrice de France en Allemagne, qui a déploré fin mars "la politisation croissante du débat allemand sur les exportations d'armements", susceptible selon elle de "faire peser un risque sur la coopération de défense européenne". "On ne peut pas se mettre d'accord sur des projets d'une telle envergure sans trouver une position commune sur les conditions d'exportation", renchérit un haut responsable français. Or le sujet est politiquement ultra-sensible en Allemagne. "L'opinion publique allemande est vent debout contre les exports d'armement. Quel est l'homme politique allemand qui se risquera à aller contre ça?", souligne Gaëlle Winter, chercheuse associée à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS). Paris accuse en outre Berlin de pratiquer un double jeu en feignant d'ignorer la livraison d'armement à Ryad par l'industriel allemand Rheinmetall, via ses filiales à l'étranger. "J'entends dans certaines capitales les protestations de vertus offusquées lorsqu'il s'agit d'exportations françaises, mais j'observe que les mêmes responsables ignorent volontiers ce que font les filiales ou les joint ventures de leurs champions nationaux de l'armement", s'est récemment agacée la ministre française des Armées Florence Parly. Sollicité par l'AFP, le ministère allemand de la Défense n'a pas donné suite. https://www.courrierinternational.com/depeche/europe-de-la-defense-entre-paris-et-berlin-des-ambitions-et-de-la-mefiance.afp.com.20190523.doc.1gt4y7.xml

  • 5 ways the Army will keep pace in cyber and electronic warfare

    5 septembre 2018 | International, C4ISR

    5 ways the Army will keep pace in cyber and electronic warfare

    By: Mark Pomerleau The Army is making several changes to be in a better position to compete with adversaries in cyber, the electromagnetic spectrum and space. Russia and China have begun to organize all information-related capability — to include cyber, electronic warfare, information operations and space — under singular entities. Now, Army leaders, say the service must do the same. “Integrated formations will be innovative because they'll help us create novel approaches to problem solving by leveraging multiple skillsets,” David May, senior intelligence adviser at the Army Cyber Center of Excellence, said during a presentation at TechNet Augusta in August. May outlined five force design updates the Army is implementing. Four of those five updates will begin immediately to provide competitive edge in multidomain operations. 1. The widespread introduction of cyber and electromagnetic activities May said the Army will introduce cyber and electromagnetic activities, or CEMA sections, at every echelon from the brigade to service component commands. These sections will plan, synchronize and integrate cyber and EW operations as well as conduct spectrum management. At the Army's cyber school, effective Oct. 1, all previous electronic warfare personnel in the functional area 29 will transition into the cyber branch to serve as these CEMA planners. That's important because it moves those staffers out from working as a functional area specialist and into an operational branch, Maj. Gen. John Morrison, commander of the Cyber Center of Excellence, the home of the cyber school, told C4ISRNET during an interview at TechNet. May said Army leaders are expected to approve this plan in the next six weeks. Moreover, the update will not require any additional growth to the Army as it will reorganize existing workforce. 2. New electronic warfare platoons Electronic warfare platoons will be stood up within brigades residing inside military intelligence companies working in tandem with signals intelligence teams and double the Army's sensing capability in the electromagnetic spectrum, May said. Full article: https://www.c4isrnet.com/show-reporter/technet-augusta/2018/09/04/here-are-5-army-modernization-efforts-to-keep-pace-in-cyber-and-electronic-warfare

  • 3 trends in the future of cyber conflict

    23 août 2018 | International, C4ISR

    3 trends in the future of cyber conflict

    By: Mark Pomerleau There is a lot of hype about cyber or digital war, especially considering how cyber has become a vector allowing nations and organizations to achieve objectives below thresholds of conflict. In this new cyber and digital conflict domain, traditional conceptions are being flipped on their heads. Here are three potential trends that could factor into this increasingly dynamic environment. For one, data is becoming a natural resource, Col. Steve Rehn, the cyber capability manager for the Army Cyber Center of Excellence, said Aug. 22 during a presentation at TechNet Augusta. Rehn predicts that at some point there will be a conflict based purely on data based on the harvesting of data and the protection of data. The desire for data will be so great and so critical that nation states are going to want to defend and go after it. China is largely believed to be behind the breach of millions of personnel files from the Office of Personnel Management in 2015, which experts believe. Experts believe the purloining of this data, which includes the most sensitive personal information for federal employees with security clearance, was done solely for espionage and counterintelligence, not for economic gain as none of the information such as social security numbers have appeared on the dark web for sale. Full article: https://www.c4isrnet.com/show-reporter/technet-augusta/2018/08/22/3-trends-in-the-future-of-cyber-conflict

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