14 octobre 2022 | International, Aérospatial

NATO to kick off nuclear drills involving B-52 bombers on Monday

BRUSSELS — NATO said on Friday it would launch its annual nuclear exercise “Steadfast Noon” on Monday, with up to 60 aircraft taking part in training flights…

https://ottawacitizen.com/pmn/news-pmn/nato-to-kick-off-nuclear-drills-involving-b-52-bombers-on-monday/wcm/f1035b57-cefc-47f8-9c96-55347342c03c

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  • Industrie de l'armement : la taxonomie, un enjeu pour l’investissement

    20 janvier 2022 | International, Terrestre

    Industrie de l'armement : la taxonomie, un enjeu pour l’investissement

    La Tribune rappelle les enjeux liés à la taxonomie en matière de financement des industries de défense. Le quotidien évoque une note de la Banque de France sur la finance durable, datée d'octobre dernier, qui estimait que « les stratégies d'investissements responsables peuvent revêtir plusieurs formes », dont « des stratégies d'exclusion », et que « certaines entreprises sont exclues en raison de la nature de leur activité (par exemple : tabac, alcool, armement, jeux d'argent) ». Une telle classification avait suscité la réaction de la ministre des Armées, Florence Parly : « J'ai constaté, non sans une grande surprise, qu'un projet qui sera soumis à l'Union européenne place les industries de défense sur le même plan que les entreprises des secteurs pornographique ou des jeux d'argent », avait-elle indiqué, soulignant :« nous ne pouvons pas laisser faire cela sans réagir. La taxonomie influe sur le traitement réservé à un secteur d'activité selon sa classification ». La Tribune rappelle que Guillaume Faury, président du GIFAS et CEO d'Airbus, a estimé, lors de ses vœux à la presse début janvier, que le financement des activités de défense est « un vrai sujet de préoccupation » : « Il existe un certain nombre de réticences, parfois des grandes, des organismes financiers, pour des raisons qui sont plus ou moins systémiques ». Dans ce contexte, « on attend très clairement un message positif », a-t-il expliqué. Soulignant le rôle positif et sociétal de la défense, le dirigeant a déclaré souhaiter, de la part des pouvoirs publics, « une influence sur les critères de sélection des bons investissements. Un investissement qui va dans la défense permet d'assurer la sécurité, la prospérité, l'équilibre et la stabilité » d'un pays en général, et de la France en particulier. Plus particulièrement, Guillaume Faury attend « un message positif et une direction claire des autorités en général sur tout ce qui est ESG (Environnement, Social, Gouvernance) et taxonomie », a-t-il insisté. Le président du comité défense du Conseil des Industries de Défense Françaises (CIDEF), Eric Béranger, par ailleurs PDG de MBDA, avait averti également, en juin 2021, lors du Paris Air Forum organisé par La Tribune : « ce qui va sortir du projet de taxonomie de la Commission européenne va être extrêmement important : si les activités de défense sont qualifiées de non durables et, donc, d'une certaine façon non propice à des investissements financiers, ce sera une prescription très importante à destination de tous les investisseurs ». La Tribune du 17 janvier

  • Industrie : Lourds investissements chez Thales à Saint-Héand

    27 février 2020 | International, Terrestre

    Industrie : Lourds investissements chez Thales à Saint-Héand

    Par Stéphanie Gallo Triouleyre Créée par Pierre Angénieux en 1932, autour des zooms pour le cinéma et la télévision, puis rachetée en 1994 par le groupe Thales, l'entreprise de Saint-Héand dans la Loire réalise aujourd'hui 4/5e de sa production dans le secteur de la Défense. Elle vient justement de démarrer les livraisons de ses nouvelles jumelles de vision nocturne O-NYX à l'armée de Terre. Elle investit par ailleurs lourdement pour développer l'ensemble de ses activités. La Direction Générale des Armées avait notifié à Thales le marché des jumelles O-nyx fin 2017, la première livraison est intervenue il y a quelques semaines. Ces jumelles de vision nocturnes sont destinées à remplacer progressivement les jumelles Lucie qui équipaient jusqu'ici l'Armée de terre et qui étaient déjà fabriquées par Thales Saint-Héand (ex Thales Angénieux avant la réorganisation des sites Thales) dans la Loire. "Nous sommes partis d'un équipement dont nous disposions pour codévelopper avec la DGA et les utilisateurs. Nous sommes parvenus à des jumelles plus ergonomiques, plus légères (340 grammes NDLR) et plus performantes que celles qui équipent déjà les Forces Françaises", signale Delphine Cabaton, responsable commerciale du projet O-nyx. Plus de 3.500 paires ont d'ores et déjà été commandées. 15 000 unités sur 7 ans Le marché court sur 7 ans et devrait s'accompagner de 1 000 à 2 000 commandes par an, soit au total entre 10 000 et 15 000 équipements O-nyx fabriqués par le site ligérien du groupe Thales. Secret défense oblige, impossible de connaitre le montant du marché. En revanche, Bertrand Boismoreau, directeur d'établissement, souligne l'importance de cet accord : "Nous avons coutume de dire que lorsque l'Armée française investit un euro chez nous, la France gagne deux euros à l'export. L'Armée française a une réputation d'exigence absolue. Si elle commande chez nous, c'est un signal fort pour les armées du monde entier". Pour renforcer ses positions auprès de ce client de premier ordre, Thales Saint-Héand travaille d'ailleurs actuellement sur un appel d'offres de la DGA concernant de nouveaux équipements binoculaires. Elle avait déjà fourni depuis deux ans, 1 000 autres jumelles de vision nocturne aux forces spéciales et avait contribué depuis 10 ans au marché Félin (12.000 équipements de jumelles connectées). Des marchés conséquents à chaque fois et qui ont un impact sur le tissu économique régional puisque le site sous-traite 80% de la valeur de ses équipements. "La jumelle O-Nyx nécessite une douzaine de techniques de fabrication comme la plasturgie ou l'usinage mécanique. Nous nous basons pour cela sur l'expertise des PME locales", explique Benjamin Fournel, responsable d'industrialisation. Il cite par exemple Sagne, Modertech, HEF etc. A l'occasion du marché O-nyx, l'usine de Saint-Héand a décidé par ailleurs d'entrer plus fermement dans l'ère de l'industrie 4.0. Elle a ainsi développé des bancs de test, permettant notamment de caractériser la qualité optique de la jumelle. "Jusqu'ici, les opérateurs devaient vérifier la qualité de nos jumelles à l'oeil. C'est un travail fatigant et sujet à des variations de performance. Ces bancs de test automatisés permettent de simplifier le travail de nos collaborateurs et de fiabiliser la qualité de nos produits", se réjouit Benjamin Fournel. Le montant de l'investissement n'est pas communiqué. Croissance Thales ne communique pas non plus précisément sur les volumes d'activité de chacun de ses sites, mais Saint-Héand générerait un chiffre d'affaires de l'ordre de 100 millions d'euros, avec 350 salariés. C'est 20% et 50 personnes de plus qu'il y a deux ans. Le marché O-nyx contribue évidemment à cette progression mais Thales Angénieux se déploie par ailleurs sur d'autres sujets. Notamment sur les optiques cinéma, production historique pour laquelle elle est mondialement connue. Celle-ci représente aujourd'hui 20 à 25% de son activité. Plusieurs millions d'euros sont en train d'être investis par l'entreprise pour développer une nouvelle gamme d'optiques à focale fixe, marché sur lequel elle n'était pas, ou peu, présente jusqu'ici, privilégiant les zooms. "Les tournages de film nécessitent souvent des zooms et des focales fixes. D'autres acteurs étaient bien positionnés sur les focales fixes mais les nouveaux formats nous remettent sur la même ligne de départ. L'idée est de proposer aux cinéastes de pouvoir tourner l'intégralité de leurs films avec des produits Angénieux, avec en plus des fonctionnalités très différenciantes : nos appareils sont plus compacts, plus légers, avec des possibilités de personnalisation de filtres", expose le directeur d'établissement, Bertrand Boismoreau. Une gamme de 12 focales est en cours de préparation, sachant que "plusieurs millions d'euros d'investissement" sont nécessaires au développement de chacune des focales. Un investissement colossal donc mais qui devrait permettre à Thales Angénieux, sous 10 ans, de viser un marché complémentaire de 100 millions d'euros. Nouvelle ligne de production Enfin, le site ligérien va être encore renforcé dans les prochains mois. Le groupe Thales lui confie en effet la production de nouvelles caméras infrarouge pour le secteur de la Défense. Elles ont été codéveloppées avec un site parisien du groupe. Une nouvelle ligne de production est en cours d'installation. Elle sera inaugurée début avril. "Les investissements sont très lourds", signale Bertrand Boismoreau, sans pouvoir, là-encore, donner d'indication trop précise. A terme, "plusieurs dizaines de personnes" pourraient être recrutées pour assurer la production de ces nouvelles caméras, "en fonction de leur succès commercial". https://acteursdeleconomie.latribune.fr/strategie/2020-02-26/industrie-lourds-investissements-chez-thales-a-saint-heand-840652.html

  • DARPA wants to connect human brains and machines

    20 mars 2018 | International, C4ISR, Sécurité

    DARPA wants to connect human brains and machines

    By: Daniel Cebul WASHINGTON ― As unmanned platforms, cyber systems and human-machine partnering become more prevalent in 21st century war fighting, the effectiveness of combat units will be determined by how quickly information can be processed and transmitted between air-breathers and machines. To achieve the high levels of brain-system communication that will be required on future battlefields, the Defense Advanced Research Projects Agency has launched a new program to develop a noninvasive neural interface that will connect soldiers with technology. The goal of the Next-Generation Nonsurgical Neurotechnology (N³) program is to “pursue a path to a safe, portable neural interface system capable of reading from and writing to multiple points in the brain at once,” according to Dr. Al Emondi, a program manager in DARPA's Biological Technologies Office. “We're asking multidisciplinary teams of researchers to construct approaches that enable precise interaction with very small areas of the brain, without sacrificing signal resolution or introducing unacceptable latency into the N3 system.” Although technologies that allow for high-quality brain system communications exist today, these invasive techniques are not a practical solution for ubiquitous man-machine communication. Before soldiers can communicate with their R2-D2 units, DARPA scientists must overcome several significant scientific and engineering challenges. The most significant challenge, according to a DARPA press release, will be overcoming the physics of scattering and weakening of signals as they pass through skin, skull and brain tissue. If this initial challenge is surmounted, the focus of the program will shift to developing algorithms for encoding and decoding neural signals, evaluating system safety through animal testing and ultimately asking human volunteers to test the technology. While communication neurotechnology has a stronger foothold in science fiction than reality, Emondi believes devoting resources to the enterprise will spur breakthroughs. “Smart systems will significantly impact how our troops operate in the future, and now is the time to be thinking about what human-machine teaming will actually look like and how it might be accomplished,” he said. “If we put the best scientists on this problem, we will disrupt current neural interface approaches and open the door to practical, high-performance interfaces.” DARPA wants the four-year project to conclude with a demonstration of a bidirectional system being used to interface human-machine interactions with unmanned platforms, active cyber defense systems or other Department of Defense equipment. Recognizing the potentially wide ethical, legal and social implications of such neurotechnology, DARPA is also asking independent legal and ethical experts to advise the program as N³ technologies mature. https://www.c4isrnet.com/it-networks/2018/03/19/darpa-wants-to-connect-human-brains-and-machines

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