15 juillet 2020 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

Mise à jour du portail SDQuébec | 27 Juillet 2020

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    22 mai 2020 | Local, Aérospatial

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    Publié le 20 mai 2020 Deux experts soutiennent que les avions utilisés par les Snowbirds sont des avions fiables, malgré leur 'ge. La question de la vétusté des CT-114 Tutor a resurgi après l'accident en Colombie-Britannique qui a coûté la vie à la capitaine Jenn Casey. Conçu par le fabricant aéronautique Canadair dans les années 1960, le CT-114 Tutor fait partie intégrante des Forces armées canadiennes (FAC) depuis 1964. Utilisé comme avion d'entraînement, jusque dans les années 2000, le modèle est toujours utilisé par les Snowbirds, le 431e escadron de démonstration aérienne des FAC. La base d'attache des Snowbirds est à Moose Jaw, en Saskatchewan. Aux yeux du président honoraire de l'Association de l'Aviation royale canadienne, André Deschamps, le CT-114 Tutor est un avion très robuste, bien b'ti, solide et très simple. Il est parfait pour les pilotes, car il n'y a pas trop de matériel excessif à s'occuper. Ancien chef d'état-major de l'Aviation royale canadienne, André Deschamps pense que l'écrasement du CT-114 des capitaines Kasey et MacDougall est dû à une perte de puissance soudaine du moteur de l'appareil. clairement pas assez pour continuer de voler, explique le lieutenant-général Deschamps. Selon lui, ce défaut de propulsion de l'aéronef peut être dû à une multitude de raisons. Outre une cause naturelle, comme un oiseau happé par la turbine de l'avion, ce type d'accident peut aussi être causé par un contaminant dans l'essence [...] Ça peut être atmosphérique, ou ça peut être un bris mécanique à l'intérieur du moteur, note André Deschamps. Un remplacement complexe En attendant les résultats d'une enquête sur les causes exactes de l'accident tragique de Kamloops, et malgré l''ge de ce modèle d'aéronef, André Deschamps affirme qu'il est vraiment dur de remplacer cet avion, à cause de ces qualités d'opération. Un point de vue partagé par Mehran Ebrahimi, directeur de l'Observatoire de l'aéronautique et de l'aviation civile de l'UQAM. Même si ces avions ne sont pas éternels (...) il ne faut pas considérer que, parce que ces avions-là sont vieux, ils sont automatiquement dangereux, précise-t-il. Le premier ministre Justin Trudeau s'est d'ailleurs entretenu à plusieurs reprises, en fin de semaine, avec le ministre de la Défense au sujet de la sécurité et de l''ge des avions des Snowbirds, selon les informations de La Presse canadienne. Une question aussi d'ordre financier De plus, la question financière entre rapidement dans les considérations gouvernementales à ce sujet. Dans un document datant de 2015, la Défense nationale du Canada estimait le coût de remplacement des Tutor entre 500 millions et 1,5 milliard de dollars. C'est beaucoup d'argent. Dans le contexte actuel, avec la trésorerie des gouvernements, ajoutez à cela la COVID-19, comment ça va se passer, questionne M. Ebrahimi. Selon André Deschamps, le remplacement des CT-114 entre dans une politique plus large de changement des avions d'entraînement pour les pilotes de chasse canadiens. Le programme de remplacement existe. (...) Il faut allier ça avec d'autres ressources. On ne veut pas acheter une flotte unique, qui existe seulement pour les Snowbirds, précise M. Deschamps. Différentes options sont là, prêtes à être évaluées, selon l'ancien chef d'état-major. Il va y avoir des décisions éventuellement, dans les années prochaines. Mais pour le moment, les Tutor sont encore sains. Une réflexion qui fait écho à un autre document de la Défense nationale du Canada, qui fait partie du Plan national de défense 2018, qui annonce la prolongation de service des CT-114 Tutor : la fin de vie des aéronefs, initialement prévue pour 2020, y est repoussée à 2030. Le CT-114 Tutor s'est révélé une plateforme très résistante, facile à entretenir et à mettre à niveau, et dont la fonctionnalité peut être maintenue à long terme, reconnaît la Défense nationale questionnée au sujet de ce plan de remplacement des CT-1. Dans son courriel transmis à Radio-Canada, le gouvernement fédéral conclut : Les Forces armées canadiennes prévoient conserver les Snowbirds comme marque distinctive de l'Aviation royale canadienne https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1704413/snowbirds-ecrasement-kamloops-casey-tutor-defense

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    18 mai 2018 | Local, Naval

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    OTTAWA — The federal government has approved plans to start some work on the navy's new support ships in the coming months in a bid to keep delivery of the much-needed vessels from slipping farther behind schedule. Seaspan Shipyards is expected to begin cutting steel on some parts of the two vessels in Vancouver this summer during a lull in the construction of two science vessels for the Canadian Coast Guard, several sources told The Canadian Press. The science vessels will still be delivered first, but officials are hoping that the head start will result in the first Protecteur-class joint support ship, as the naval vessels are officially known, being delivered 2022. That would be a year earlier than the Department of National Defence's current estimate for the ship's completion, which was recently revealed in an annual report tabled in Parliament. Construction on the first vessel was supposed to start in 2016, with delivery slated for 2019, but the project has been plagued by delays and the government says its $2.3-billion budget is under review. The navy has been without a permanent support ship since 2015, when it was forced to retire its existing vessels due to an unexpected fire and corrosion issues, though it is leasing a temporary replacement, the MV Asterix. The Asterix is at the heart of the criminal case against Vice-Admiral Mark Norman, who has been charged with breach of trust for alleging leaking government secrets about the project to a Quebec shipyard in 2015. Norman has denied any wrongdoing and vowed to fight the charges in court. An official announcement about the plan to start work on the support ships, which are considered essential for supporting a modern navy on international operations, was expected this week but has been delayed. Seaspan, which is responsible for building the two support vessels as well as four science ships and a polar icebreaker for the coast guard, initially pitched the plan in a bid to prevent layoffs between construction of the science ships. National Defence publicly backed the proposal last month as a way to save time and it was touted in the department's annual report to Parliament, which was written before the federal government signed off on the plan. “Current discussions underway between Canada and the shipyard could also result in schedule compression opportunities being exploited,” the report reads, “including the potential to commence the early construction of some JSS components.” Yet the report also confirmed what many have feared: The project continues to experience delays. The department predicted last year that the first ship would be delivered in 2021; the new report says it will be delivered in 2023, though officials hope that the advance work will cut that time to 2022. The cause of the delays has been sharply contested by the government, National Defence, Seaspan and other industry players, with fingers pointed in all directions. Defence analyst David Perry of the Canadian Global Affairs Institute said while starting work soon on the support ships has merit, the ongoing delays point to much wider issues with regards to how the entire national shipbuilding plan is unfolding. “These mitigations keep talking about making something less late than it otherwise would be, not delivering them earlier than planned,” he said. “It's not really clear, but at a minimum, the Crown hasn't really demonstrated that they've reached any kind of stability in terms of the schedule.” http://thestarphoenix.com/pmn/news-pmn/canada-news-pmn/feds-ok-early-start-to-construction-of-navys-new-supply-ships-sources/wcm/cdc8e162-7d54-4493-90c2-6d883a7b03dd

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