12 octobre 2023 | Local, Sécurité

Minister of National Defence Bill Blair concludes productive visit to Belgium for Ukraine Defense Contact Group and NATO Defence Ministers’ Meetings

Today, the Honourable Bill Blair, Minister of National Defence, concluded a productive visit to Brussels, Belgium, where he participated in the 16th United States-led Ukraine Defense Contact Group (UDCG) meeting and the North Atlantic Treaty Organization (NATO) Defence Ministers’ Meeting (DMM).

https://www.canada.ca/en/department-national-defence/news/2023/10/minister-of-national-defence-bill-blair-concludes-productive-visit-to-belgium-for-ukraine-defense-contact-group-and-nato-defence-ministers-meetings.html

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  • Remplacer et compléter la flotte de chasseurs canadiens

    12 décembre 2017 | Local, Aérospatial

    Remplacer et compléter la flotte de chasseurs canadiens

    Annoncée en juin 2017, la politique de défense du Canada : Protection, Sécurité, Engagement a réaffirmé l'engagement du gouvernement à investir de façon appropriée dans les forces armées. Le 12 décembre 2017, le gouvernement du Canada a lancé un processus concurrentiel d'approvisionnement ouvert et transparent en vue de remplacer de façon permanente l'actuelle flotte de chasseurs du Canada par 88 appareils de pointe. L'achat de 88 aéronefs représente une augmentation de la taille de la flotte de plus d'un tiers par rapport à ce qui était prévu avant la politique de défense : Solide sécuritaire et engagée (65 aeronefs). La Politique des retombées industrielles et technologiques s'appliquera à ce marché. Celle-ci vise à maximiser les débouchés pour les entreprises canadiennes, à soutenir l'innovation par la recherche et le développement et à multiplier les possibilités d'exportation pour le Canada. Toutes les entreprises sont invitées à participer au processus. Consultations Le gouvernement prendra le temps nécessaire pour veiller à ce que l'industrie aérospatiale et de la défense ainsi que les fournisseurs commerciaux canadiens soient consultés et mobilisés à propos de ce processus, et qu'ils soient bien positionnés pour y participer. Le Canada organisera une Journée de l'industrie sur le thème du futur chasseur, le 22 janvier 2018, à Bibliothèque et Archives Canada, 395, rue Wellington à Ottawa. Il sera question de présenter à l'industrie et aux gouvernements étrangers les renseignements dont ils ont besoin pour décider, en toute connaissance de cause, s'ils veulent participer à ce processus d'approvisionnement. De plus, l'événement permettra à l'industrie canadienne d'établir des contacts avec des gouvernements étrangers et des fabricants d'avions de chasse. Invitation à participer Le Canada commencera par dresser une liste de fournisseurs qui comprendra les gouvernements étrangers et les fabricants d'avions de chasse ayant fait la preuve de leur capacité à répondre aux besoins du Canada, tels que définis dans le document d'invitation à la Liste des fournisseurs. L'invitation à s'inscrire sur la Liste des fournisseurs est disponible sur le site achatsetventes.gc.ca. Toutes les entreprises sont invitées à participer au processus. Les demandes d'inscription sur la Liste des fournisseurs doivent être reçues avant le 9 février 2018. Une fois la Liste des fournisseurs officialisée, seuls ceux qui y figureront seront invités à participer aux activités de consultations subséquentes et à soumettre leur proposition pour ce marché. Consultations auprès des intervenants de l'industrie canadienne Parallèlement aux activités liées à la Liste des fournisseurs, on mobilisera les intervenants de l'industrie canadienne afin de recueillir et échanger des renseignements généraux en lien avec ce marché. Ainsi, les industries canadiennes de l'aérospatiale et de la défense seront bien positionnées pour y participer. Évaluation des propositions relatives à la capacité permanente Les propositions seront rigoureusement évaluées en fonction des coûts, des exigences techniques et des avantages économiques. Notre gouvernement juge important de faire affaire avec des partenaires de confiance. Cela étant, l'évaluation des soumissions sera assortie d'une évaluation de l'incidence globale des soumissionnaires sur les intérêts économiques du Canada. À l'étape de l'évaluation des soumissions, tout soumissionnaire jugé responsable d'un préjudice causé aux intérêts économiques du Canada sera nettement désavantagé. Ce nouveau critère, de même que les lignes directrices devant en régir l'application seront élaborés en menant les consultations appropriées. De plus, la Politique des retombées industrielles et technologiques s'appliquera à ce marché. Le fournisseur retenu sera donc tenu d'investir au Canada un montant égal à la valeur du contrat. Tous les fournisseurs seront assujettis aux mêmes critères d'évaluation. Prochaines étapes Les consultations avec les fournisseurs se poursuivront tout au long de 2018 et 2019 Il est prévu que les documents officiels d'invitation à soumissionner seront disponibles au printemps 2019 L'attribution d'un contrat est prévue en 2022 et la livraison du premier avion de chasse en 2025 Foire aux questions Processus d'approvisionnement concurrentiel Sur combien de temps s'étendra l'appel d'offres et quand le contrat sera-t-il attribué? Cet appel d'offres exige une préparation poussée assortie de véritables consultations des parties prenantes et de l'industrie Nous devons bien faire les choses et nous prendrons le temps nécessaire pour veiller à ce que les industries de l'aérospatiale et de la défense ainsi que les fabricants commerciaux canadiens soient consultés et qu'ils participent à ce processus L'attribution d'un contrat est prévue en 2022 et la livraison du premier avion de chasse en 2025 L'actuel calendrier de réalisation du processus n'est pas différent de celui appliqué à des appels d'offres lancés par des alliés et pays partenaires pour remplacer leurs flottes de chasseurs Pourquoi utilisez-vous une liste de fournisseurs? Les chasseurs et leurs systèmes embarqués sont des produits sensibles sur le plan de la sécurité et fortement contrôlés, si bien que la discussion de leur vente éventuelle passe nécessairement par l'existence d'ententes de coopération en matière de matériel de défense entre le Canada et ses partenaires et alliés Les trois critères inclus dans cette invitation visent à s'assurer que le Canada collabore avec des gouvernements étrangers qui exploitent des chasseurs susceptibles de répondre aux besoins du Canada en matière d'échange de renseignements dans le domaine de la défense, ainsi qu'avec les fabricants commerciaux qui produisent actuellement des avions de combat Cette étape permettra de recenser les avionneurs admissibles des pays partenaires et alliés qui présentent le potentiel voulu pour répondre aux besoins du Canada Leurs gouvernements respectifs ou leurs organisations de défense, ou les deux, devront également répondre aux besoins du Canada pour figurer sur la Liste des fournisseurs Qui peut s'inscrire sur la Liste des fournisseurs? Les gouvernements étrangers (ou les organisations de défense composées de pays participants), ainsi que les fabricants de chasseurs et d'autres entités commerciales qui sont en mesure de répondre aux besoins définis dans la description jointe à la Liste des fournisseurs, sont invités à soumettre une demande d'inscription afin de participer à l'appel d'offres La Liste des fournisseurs sera constituée d'équipes formées au minimum d'un gouvernement (ou d'une organisation de défense composée de pays participants) et d'un fabricant de chasseurs Ces équipes pourront également comprendre d'autres entreprises susceptibles de participer indirectement à une future proposition, sous réserve de l'approbation du Canada Une fois que la liste sera officialisée, seuls les fournisseurs y figurant seront invités à participer aux activités de consultations subséquentes et à soumettre des propositions Un gouvernement peut-il soumettre plus d'une réponse à l'invitation de la Liste des fournisseurs? Comme nous souhaitons, par ce processus ouvert et transparent, maximiser la concurrence, nous ne pouvons qu'encourager les gouvernements à inscrire plus d'un fabricant de chasseurs, suivant la définition apparaissant dans la Liste des fournisseurs La décision de soumettre plus d'un nom d'avionneur revient au gouvernement étranger ou à l'organisation de défense responsable Comment l'industrie canadienne peut-elle participer à la Liste des fournisseurs? La Liste de fournisseurs permettra de cerner des fournisseurs clés qui seront admissibles à la présentation d'une proposition, à savoir une organisation de défense ou un gouvernement étranger et un fabricant de chasseurs Ces fournisseurs seront tenus de soumettre une proposition de valeur, qui fera partie de leur soumission, dans laquelle ils décriront leurs engagements économiques envers le Canada Par conséquent, les fournisseurs seront poussés à former des partenariats avec l'industrie et des établissements postsecondaires canadiens au cours des prochains mois afin de mettre au point une solide proposition de valeur Le gouvernement collaborera avec les gouvernements étrangers, les fabricants de chasseurs et les secteurs canadiens de l'aérospatiale et de la défense pour veiller à ce qu'ils soient bien positionnés en vue de participer à ce marché À quels critères les fournisseurs devront-ils satisfaire pour être inscrits sur la Liste des fournisseurs? Chaque équipe devra désigner un gouvernement ou un chef de file national qui fera office de point de contact pour le Canada, et avoir un accord de coopération en vigueur avec le Canada en matière de matériel de défense L'avionneur de l'équipe devra répondre aux critères définis dans la Liste des fournisseurs Le gouvernement étranger ou l'un des pays participants devra exploiter l'un des chasseurs produits par l'avionneur proposé Le Canada examinera les inscriptions proposées pour déterminer si elles répondent à tous les critères de l'invitation à participer à la Liste des fournisseurs et se réserve le droit de demander des éclaircissements, au besoin Après examen des réponses, les fournisseurs recevront un courriel les avisant de la décision du Canada Le Canada peut-il supprimer ou ajouter un fournisseur dans la Liste des fournisseurs? Une fois qu'une équipe a été ajoutée à la liste des fournisseurs, elle peut se retirer en tout temps sur simple avis écrit adressé au Canada Un gouvernement étranger ou une organisation de défense étrangère peut tout autant et n'importe quand ajouter ou retirer une entreprise de son équipe sur simple avis écrit adressé au Canada, sous réserve de l'approbation de ce dernier Le Canada se réserve le droit de retirer, en tout temps, toute équipe ou entité figurant sur la Liste des fournisseurs si celle-ci présente des problèmes potentiels, perçus ou réels qui pourraient nuire à la sécurité nationale du Canada Ce marché comprend-il la consultation de l'industrie et des discussions sur les retombées industrielles et technologiques pour le Canada? La Politique des retombées industrielles et technologiques du gouvernement, qui exige des entrepreneurs qu'ils investissent au Canada un montant égal à la valeur du contrat, s'appliquera à ce marché De concert avec les fabricants de chasseurs et l'industrie canadienne, le gouvernement recherchera une proposition de valeur, assortie d'un objectif stratégique allant dans le sens de la croissance à long terme des secteurs de l'aérospatiale et de la défense du Canada Il s'agit notamment de promouvoir la croissance et l'innovation de l'industrie canadienne par des investissements en recherche et développement, d'offrir des occasions de perfectionnement aux fournisseurs, en particulier aux petites et moyennes entreprises, et de créer des possibilités d'exportation Le temps nécessaire sera consacré aux échanges avec les gouvernements étrangers, les fabricants de chasseurs et aux industries de l'aérospatiale et de la défense canadienne pour s'assurer qu'ils sont bien positionnés en vue de participer à ce marché Comment le Canada évaluera-t-il les propositions? Les propositions seront rigoureusement évaluées en fonction des coûts, des exigences techniques et des avantages économiques Par conséquent, l'appréciation des soumissions sera assortie d'une évaluation de l'incidence globale des soumissionnaires sur les intérêts économiques du Canada Lors de l'évaluation des soumissions, tout soumissionnaire responsable d'un préjudice causé aux intérêts économiques du Canada sera nettement désavantagé Ce nouveau critère, de même que les lignes directrices devant en régir l'application seront élaborés en menant les consultations appropriées Pourquoi tenir compte de l'incidence sur les intérêts économiques du Canada? Nous sommes continuellement à la recherche de moyens d'améliorer nos processus d'approvisionnement ainsi que les retombées pour la population canadienne Les marchés ont comme but, la formation de partenariats à long terme et efficaces et nous voulons nous voulons faire affaire avec des fournisseurs dont les activités concordent avec les intérêts économiques du Canada Cette démarche est conforme avec l'orientation énoncée dans la lettre de mandat de la ministre Qualtrough, qui décrit les directives visant à moderniser les pratiques d'approvisionnement afin d'appuyer, entre autres, nos objectifs de politique économique Comment le gouvernement veillera-t-il à ce qu'aucun avionneur ne bénéficie d'un avantage déloyal durant le processus d'approvisionnement? Le gouvernement s'est engagé à organiser un processus d'approvisionnement ouvert et transparent pour remplacer les chasseurs du Canada Le processus est supervisé par un contrôleur indépendant chargé de veiller à l'équité afin que tous les fournisseurs bénéficient de règles du jeu équitables Le Canada fera également appel à d'autres intervenants pour examiner, recueillir et diffuser des renseignements généraux sur l'approvisionnement, tout au long du processus d'approvisionnement Compléter la flotte existante Que fait le Canada pour s'assurer que les Forces armées canadiennes disposent du matériel dont elles ont besoin pendant que se déroule ce processus? Jusqu' à ce que les aéronefs de remplacement soient en place et pleinement opérationnels, le Canada doit veiller à ce que les Forces armées canadiennes disposent du matériel dont elles ont besoin pour continuer d'exécuter leurs missions et de respecter leurs obligations internationales Le Canada a reçu une proposition officielle du gouvernement australien portant sur la vente de F-18 Hornet, et il a l'intention d'y donner suite L'achat de ces F-18 nécessitera-t-il des changements aux infrastructures existantes du Canada? Le ministère de la Défense nationale est en train d'examiner ses infrastructures existantes afin de déterminer s'il y a lieu d'y apporter des changements Comment pouvez-vous être sûr que ces aéronefs seront fiables, sûrs et efficaces? Assurer la sécurité de nos hommes et de nos femmes en uniforme est, pour nous, une priorité absolue Les aéronefs australiens ont à peu près le même 'ge que la flotte canadienne de CF-18 L'Australie et le Canada ont tous deux beaucoup investi dans des modifications structurelles qui ont permis de prolonger la durée de vie structurale de leurs F-18 respectifs Plus récemment, et contrairement à l'Australie, le Canada a investi dans des modifications structurelles supplémentaires Les entreprises canadiennes possèdent l'expérience requise et effectuent déjà la plupart des travaux d'entretien de la flotte existante. Tout nouvel appareil sera entretenu dans le cadre des modalités existantes Tout comme nous le faisons pour la flotte actuelle, nous ferons les investissements nécessaires dans ces appareils pour nous assurer qu'ils répondent à toutes les exigences de l'Aviation royale canadienne Complément d'information Chasseurs Intégration de chasseurs australiens à la flotte actuelle de l'Aviation royale canadienne https://www.tpsgc-pwgsc.gc.ca/app-acq/amd-dp/air/snac-nfps/CF-18-fra.html

  • Canadian air force short 275 pilots as attrition outpaces recruitment, training

    19 septembre 2018 | Local, Aérospatial

    Canadian air force short 275 pilots as attrition outpaces recruitment, training

    By Canadian Press OTTAWA — The Royal Canadian Air Force is contending with a shortage of around 275 pilots and needs more mechanics, sensor operators and other trained personnel in the face of increasing demands at home and abroad. The Air Force says it is working to address the deficiencies and that they have not negatively impacted operations, but officials acknowledge the situation has added pressure on Canada's flying corps and represents a challenge for the foreseeable future. “Right now we're doing everything we can to make sure we recruit, train and retain enough personnel to do our current mission,” said Brig.-Gen. Eric Kenny, director general of air readiness. “In the next 20 years, it's going to be a challenge to grow the force at the rate that we would like.” The shortfall in pilots and mechanics was referenced in an internal report recently published by the Department of National Defence, which also flagged underspending on maintenance for bases and other infrastructure, as well as reductions in annual flying times thanks to Conservative-era budget cuts. Some of those issues have since started to be addressed by the Liberals through their new defence policy, but the personnel shortage remains an area of critical concern given the need for pilots and others to fly and maintain the military's various aircraft fleets at home and abroad. Those include the planes and helicopters involved in Canada's military missions in Iraq, Latvia, Mali, and Ukraine; domestic search-and-rescue aircraft; and the CF-18 fighter jets deployed in Romania and guarding against a foreign attack on North America. The Air Force is authorized to have 1,580 pilots, but Kenny said in an interview the Air Force is short by around 17 per cent — or about 275 pilots — along with similar shortfalls for navigators and sensor operators, who work onboard different types of aircraft, as well as mechanics. Kenny also acknowledged the threat of burnout as service members are forced to pick up the slack left by unfilled positions, and the added burden of promised new drones, fighter jets and other aircraft arriving in the coming years, which will require even more people to fly and maintain. Efforts to address the shortfalls have looked at retaining service members with tax breaks, additional support and services for family members to ease military life, and plans to free up experienced personnel by assigning administrative staff to do day-to-day tasks. Several initiatives have also been introduced to speed up recruitment and training, and attract older pilots back into the Forces, which has borne some fruit and aimed at buying time for officials to decide whether to change the length of time pilots and others are required to serve before they can leave. “This is beyond just looking at benefits,” Defence Minister Harjit Sajjan said Tuesday. “We're looking at a much more holistic approach in how we look after them.” But the current training system means the Air Force can only produce 115 new pilots each year, which commanders have said is insufficient to meet needs given the rate at which military pilots have moved on to commercial opportunities in recent years. Conservative defence critic James Bezan suggested one reason the military is losing pilots is because they are being asked to fly older planes, including CF-18 fighter jets that are close to 40 years old. “If pilots aren't getting new aircraft, why are they sticking around?” Bezan said. “And so, the idea of bringing in used fighter jets from Australia that are even in worse shape than the current CF-18s that we fly today, why would they stick around?” The Department of National Defence is drawing up plans for a new system that officials hope will be in place by 2021 and include the ability to expand or shrink the number of trainees in any year given the Air Force's needs. Kenny said the shortfalls will remain a challenge since the current system will remain in place for several more years — and because it takes four and eight years to train a pilot from scratch. “We know what capabilities we're receiving and now we can start working to make sure that we have personnel that are trained to be able to meet those requirements,” he said. “But I'm not going to lie: It's definitely a challenge.” https://ipolitics.ca/2018/09/18/canadian-air-force-short-275-pilots-as-attrition-outpaces-recruitment-training-2/

  • Canada to pay $4.1B for Navy support ships in latest cost increase

    16 juin 2020 | Local, Naval

    Canada to pay $4.1B for Navy support ships in latest cost increase

    The Canadian Press OTTAWA — Canada's national shipbuilding plan was rocked by yet another cost increase on Monday as the federal government revealed it will pay $4.1 billion for two long-overdue support ships for the navy — an increase of $1.5 billion from initial estimates. The revelation came as Ottawa officially awarded a contract for the full construction of the two new Protecteur-class joint support ships to Vancouver's Seaspan shipyards, which has already started work on the first of the vessels. Seaspan was first tapped to build the two ships and several coast guard vessels in 2011, at which point the supply ships were expected to cost $2.6 billion. The figure was later revised to $3.4 billion before another $700 million was added Monday. The first of the support ships was to have been delivered by 2019. The government says it now doesn't expect the first ship before 2023, with the second due in 2025. Seaspan has been under contract to work on some parts of the first ship since June 2018. The Royal Canadian Navy has been without a full-time support ship since 2014 and is currently relying on a converted civilian vessel that is being leased from Quebec's Chantier Davie shipyard to fill the gap. That ship, the MV Asterix, was at the heart of the failed prosecution of retired vice-admiral Mark Norman. The Liberal government was playing down the cost increase to the support ships on Monday, with senior ministers touting the importance of the vessels to the Royal Canadian Navy and the jobs that the project is creating in Vancouver and elsewhere. "These new ships will provide a necessary capability for our Royal Canadian Navy, while providing significant economic benefits and jobs to Canadians, including thousands of jobs created or sustained," Defence Minister Harjit Sajjan said in a statement. Yet the cost increase is the latest to hit the shipbuilding plan, which has been plagued by delays and budget increases for years. The plan is intended to recapitalize the majority of Canada's naval and coast guard fleets. The entire plan to buy new warships to replace the navy's frigates and destroyers, several Arctic patrol vessels, a polar icebreaker and four science vessels for the Canadian Coast Guard in addition to the two support ships was pegged in 2011 at $35 billion. The warships alone are now expected to cost at least $65 billion while the rest of the projects have either seen similar budget increases or their budgets are under review. The delivery schedules for the projects have also been pushed back numerous times. Defence analyst David Perry of the Canadian Global Affairs Institute noted the new cost for the support ships is almost exactly how much Parliament's budget watchdog estimated following an analysis in 2013. The Conservative government at the time refuted the parliamentary budget officer's estimate, with then-public works minister Rona Ambrose saying appropriate safeguards had been put into place to protect taxpayers. "There's not a lot of detail in this today so it's hard to do a line by line," Perry said. "But superficially at least, the PBO's report from 2013 — which I recall being pooh-poohed pretty extensively — has held up pretty well." Ottawa has in recent years produced update cost estimates for most of the vessels being built through the federal shipbuilding plan. However, budgets for the polar icebreaker and an offshore science vessel for the coast guard are still under review. This report by The Canadian Press was first published June 15, 2020. https://www.kamloopsthisweek.com/news/canada-to-pay-4-1b-for-navy-support-ships-in-latest-cost-increase-1.24153254

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