21 juillet 2020 | International, Aérospatial

Lockheed Martin awarded USD15 billion for future C-130J work

by Gareth Jennings

Lockheed Martin has been awarded USD15 billion to support all remaining C-130J Hercules work through to 16 July 2030.

The indefinite delivery/indefinite quantity (IDIQ) contract, which was announced by the US Department of Defense (DoD) on 17 July, covers domestic and Foreign Military Sales (FMS) work related to the four-engined airlifter built at the company's Marietta facility in Georgia.

“This contract provides flexibility to accommodate the broad enterprise of activities associated with the C-130J programme,” the DoD said, noting that it specifically covers development, integration, retrofit, and production activities for all C-130J variants.

The DoD added that fiscal year (FY) 2018 and 2019 aircraft procurement funds in the amount of USD3.3 million were being obligated at the time of award.

This award follows a similar IDIQ agreement for USD10 billion signed with Lockheed Martin in August 2016. At that time, the DoD said the contract covered the production of an estimated 100 C-130Js for the United States and FMS customers. It would appear from the overlap in scope and timelines between the two awards that this latest contract is an extension and an expansion of the earlier one.

https://www.janes.com/defence-news/news-detail/lockheed-martin-awarded-usd15-billion-for-future-c-130j-work

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    By Mila Jasper Information systems that are easy to integrate and build in cybersecurity practices at the foundation top officials' wishlist. The defense industry needs to focus on developing technology that is easy to integrate and meets cybersecurity norms from the get-go, according to military officials speaking at the 2020 Army Signal Conference. At the conference, hosted by the Armed Forces Communications and Electronics Association, officials urged industry partners to create products that build in standard security principles at the outset of development and allow for a wide range of use cases. “Don't give me a bespoke, unique solution for one small problem, so that I can add it to the 42 other devices that I'm hooking up,” Brig. Gen. Paul Stanton, deputy director of operations for U.S. Cyber Command, said. “That's not helpful.” Stanton spoke Tuesday—the first day of the conference—on a panel regarding the importance of getting meaningful data to the front lines in real time. Figuring out how to create an information advantage faster than opponents is “warfighting 101,” Stanton argued, but it's an area that needs improvement. “How do I integrate these components? How do I design them such that they are intended to be integrated?” Stanton said. “These are some of the challenges that we need our industry partners to help us with.” Speaking on the same panel, Maj. Adam Brinkman, deputy to the chief technology officer for the Army Special Operations Command, agreed with Stanton's assessment. Brinkman emphasized the need for industry to make systems that integrate in order for their products to stay viable. “The problem that we've actually, honestly had is making sure the technology we receive can be successfully integrated,” Brinkman said. The Android Tactical Assault Kit, according to Brinkman, is a good example for industry developers to follow when it comes to creating solutions that fit the Army's integration vision. Also known as the Android Team Awareness Kit, ATAK is an off-the-shelf software tool with 40,000 users across the Defense Department. Brinkman highlighted ATAK's availability to a community of developers and its open-source code as contributors to its success. “What you have is essentially a meeting place where people can develop and create tools for you to quickly integrate into your environment,” Brinkman said. Vice Adm. Nancy Norton, head of the Defense Information Systems Agency, said in Wednesday session that innovation in the information technology frontier is not just about creating new technology but about making sure the full potential of that technology is realized. “We have all kinds of technology that we don't use, that we use 5%, 10% of the capability that's in it,” said Norton, responding to a moderator question. “We have to figure out how to actually use the capability that's embedded in the technology.” A key to making information systems that are easy to integrate is building security protocols into tools from the very start of development, Norton said. As customers, DISA and the Defense Information Technology Contracting Organization are looking for IT providers that are able to meet standards such as the Cybersecurity Capability Maturity Model Certification, or CMMC, rather than pre-existing tools that add on security measures as an afterthought. “The cost of adding on cybersecurity is tremendous,” Norton said. “And it just won't work very well if you bolt it on at the end.” https://www.nextgov.com/it-modernization/2020/07/pentagon-officials-industry-bring-us-tech-easy-integrate/166918/

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    Mégacontrat de 1,7 milliard d'euros pour les Chantiers de l'Atlantique et Naval Group

    Par Michel Cabirol L'Organisation conjointe de coopération en matière d'armement a notifié pour le compte de la France un contrat de 1,7 milliard d'euros à Naval Group et au Chantier de l'Atlantique pour la fourniture de quatre pétroliers ravitailleurs destinés à la marine nationale. L'année commence très bien pour les Chantiers de l'Atlantique et Naval Group. Avec six ans de retard sur le planning initial, les deux groupes empochent un mégacontrat de 1,7 milliard d'euros pour la construction de quatre navires pétroliers ravitailleurs de 194 mètres de longueur dans le cadre du programme FLOTLOG (flotte logistique). Thales fait également partie du programme. Dans le cadre de la coopération entre Naval Group et le chantier naval italien Fincantieri, la France a rejoint le programme Logistic Support Ship (LSS), dont l'Italie a confié la gestion à l'Organisation conjointe de coopération en matière d'armement (OCCAR). De la charge pour Fincantieri C'est donc l'OCCAR qui a notifié le 30 janvier aux deux industriels le contrat de soutien logistique (LSS), qui permettra à la Marine nationale de mettre en service quatre navires flambant neufs, dont les deux premiers seront livrés à partir de 2022 (contre 2017 à 2020). Les six premières années de maintien en condition opérationnelle (MCO) font également partie du contrat signé par les deux industriels. La livraison des quatre navires permettra le déclassement de la flotte actuelle à simple coque, qui est entrée en service actif dans les années 1970 et 80. Les LSS commandés pour la marine française seront basés sur la conception du LSS Vulcano commandé pour la marine italienne, dans le cadre d'une coopération italo-française gérée par l'OCCAR. "Afin de promouvoir l'efficacité industrielle, Fincantieri, concepteur du LSS Vulcano, fournira une assistance technique et érigera certaines parties de la coque", a précisé l'OCCAR dans un communiqué. des modifications seront nécessaires pour s'adapter au soutien du groupe aéronaval constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle. Par ailleurs, Naval Group sera en charge de fournir le système de combat des navires. Garantir la posture de dissuasion Cette commande a pour objectif de fournir à la Marine nationale les moyens navals pour déployer simultanément un groupe aéronaval et un ou deux groupes navals (groupe amphibie ou groupe de protection du trafic maritime) tout en garantissant la posture de dissuasion. Les moyens FLOTLOG doivent donner à ces groupes la capacité de durer jusqu'à 60 jours à la mer (15.000 km) par un flux logistique régulier, y compris lorsqu'ils sont déployés loin de la métropole ou d'un point d'appui logistique et pour une longue durée, de jour comme de nuit et quelles que soient les conditions météorologiques. Ils accueilleront des équipages de 130 marins et pourront héberger au total 190 personnes à bord. Les quatre navires doivent également participer au ravitaillement des forces maritimes alliées déployées, notamment dans le cadre des accords de défense. Enfin, ils sont en mesure de concourir, en complément d'autres moyens, au soutien logistique de tous types d'opérations interarmées. Les navires seront dotés d'une double coque conforme à la réglementation anti-pollution et permettront une optimisation de la protection des munitions stockées contre les attaques extérieures. Ils auront quatre m'ts de ravitaillement polyvalents pour un soutien simultané de deux navires (dont le porte-avions). Enfin, la plate-forme et le hangar aviation de grandes dimensions pourront accueillir des hélicoptères et drones. Une commande de 14 engins de débarquement amphibie Le ministère des Armées a annoncé jeudi avoir commandé 14 engins de débarquement amphibie pour un montant de 65 millions d'euros en vue d'équiper les navires porte-hélicoptères (BPC). Plus précisément la direction générale de l'armement (DGA) a notifié le 16 janvier à CNIM la conception et la fabrication de 14 nouveaux engins de débarquement amphibie standard (EDA-S) ainsi que cinq ans de soutien. Ces nouveaux chalands remplaceront plusieurs types de navire actuellement en service. Huit EDA-S sont destinés à la flottille amphibie de Toulon tandis que les six autres EDA-S seront déployés outre-mer pour remplacer divers chalands logistiques à Djibouti, Mayotte, en Nouvelle-Calédonie, aux Antilles et en Guyane. D'une longueur de 28 mètres, ces monocoques en acier, avec quatre membres d'équipage, pourront transporter la plupart des véhicules de l'armée de Terre, y compris les plus lourds tels le char Leclerc. La livraison des EDA-S s'effectuera à partir de 2020. La production sera réalisée par le chantier naval Socarenam, sous-traitant de CNIM pour ce projet. Cette commande permettra de conforter près de 200 emplois chez CNIM, Socarenam et leurs sous-traitants. https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/megacontrat-de-1-7-milliard-d-euros-pour-les-chantiers-de-l-atlantique-et-naval-group-805918.html

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