6 mars 2024 | International, Sécurité

Kratos Awarded a $499 Million Multiple Award, Indefinite-Delivery/Indefinite-Quantity Contract for the Design, Build, Test, and Delivery of Functioning Anti-Tamper Solutions

San Diego, March 4, 2024 (GLOBE NEWSWIRE) -- Kratos Defense & Security Solutions, Inc.   (Nasdaq: KTOS), a Technology Company in Defense, National Security and Global Markets, announced today that it...

https://www.epicos.com/article/791998/kratos-awarded-499-million-multiple-award-indefinite-deliveryindefinite-quantity

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  • La Belgique joue la montre avec le F-35

    9 octobre 2018 | International, Aérospatial

    La Belgique joue la montre avec le F-35

    Non, la Belgique ne demande pas aux Américains de prolonger leur offre, dans le cadre de la procédure de remplacement de ses avions de combat. Simplement, elle leur demande jusqu'à quand les conditions remises pour le F-35 resteront valables. Autrement dit, s'ils tiennent tant que cela à l'échéance du 14 octobre. Nuance. Difficile de savoir si la partie qui se joue actuellement est à classer au rayon "diplomatie de haut vol", ou mérite plutôt l'étiquette "négociation de marchands de tapis". L'acte I s'est joué le mois dernier: l'ambassadeur américain en Belgique a fait mine de mettre un petit coup de pression sur le gouvernement fédéral. En septembre, donc, Ronald Gidwitz rappelait que l'offre déposée par le groupe américain Lockheed Martin pour le remplacement des chasseurs-bombardiers belges F-16 expirait le 14 octobre, soit précisément le jour du scrutin communal. Pareille offre ne pourrait être indéfiniment prolongée, avertissait l'ambassadeur, empruntant les manières d'un représentant de commerce. Ou du moins pas en l'état; en cas de prolongation, il ne faudrait pas s'étonner de voir les conditions – prix, délais ou termes en matière d'entraînement – être modifiées. Pas dans le bon sens, fallait-il comprendre. Une sortie pour la galerie, en quelque sorte. Puisqu'elle ne semble avoir infléchi en rien la ligne de Michel. À qui l'on doit la composition de cet acte II: Un comité ministériel restreint avait déjà t'té le terrain, et un autre, réuni ce jeudi matin, a validé l'option. La Belgique va, en quelque sorte, demander la prorogation de l'offre déposée par le constructeur du F-35, postposant dans la foulée sa décision dans cet épineux dossier.Une fois de plus, puisque, outre ce 14 octobre, le sommet de l'Otan de juillet dernier avait déjà été présenté comme date limite pour trancher. Enfin, c'est un tantinet plus subtil que cela. Alors précisons. Non, la Belgique ne demande pas officiellement d'allongement du délai. Michel a mandaté son ministre de la Défense, le N-VA Steven Vandeput, qui est chargé de demander aux Américains la date de péremption de leur dossier. Autrement dit, à quel point tiennent-ils à l'échéance du 14 octobre, jusqu'ici brandie? Nuance, nuance. Le "chouchou" F-35 La Belgique joue donc la montre dans ce dossier complexe. Qui mérite une piqûre de rappel. Les 54 F-16 dont dispose la Belgique approchent tout doucement de l''ge de la retraite. Les premiers ont été livrés en 1982 et la limite des 8.000 heures de vol mène à un déclassement débutant en 2023. Voilà pourquoi le Fédéral a lancé en mars 2017 un appel d'offres portant sur l'acquisition de 34 nouveaux avions de combat, qui devraient être livrés à partir de 2023 et être tous opérationnels pour 2030. L'affaire est délicate. Parce que, assez rapidement, le F-35 américain a été désigné par l'amicale des bruits de couloir comme étant le "chouchou" – autrement dit, les jeux seraient déjà faits. Est venue s'ajouter en avril dernier une vraie-fausse polémique sur la possibilité d'allonger la durée de vie de nos vaillants, quoique vieillissants, F-16. Bref, pourquoi aller dépenser la modique somme de 3,6 milliards d'euros – et encore, il ne s'agit ici que de la mise initiale, les estimations de la facture totale tournant autour des 15 ou 18 milliards répartis sur une quarantaine d'années – alors que l'on pourrait "doper" la flotte existante pour un coût nettement plus doux? Ajoutez à cela la France et son Rafale, qui ont décidé de jouer les trouble-fêtes, en proposant, en septembre 2017, à la Belgique un "partenariat approfondi et structurant", et ce en dehors du cadre du marché lancé par Michel. La rumeur voudrait d'ailleurs que la Belgique n'ait jamais réellement inspecté en détail la proposition française. Résultat, le 14 février dernier, seuls deux avions étaient officiellement encore en lice: le F-35 Lightning II de l'américain Lockheed Martin – le plusonéreux des programmes d'armement de l'histoire militaire américaine – et l'Eurofighter Typhoon, porté par un consortium mêlant Royaume-Uni, Allemagne, Espagne et Italie. Et, faisant bande à part, le Rafale de Dassault. Comme si le remplacement des F-16 n'était pas suffisamment compliqué comme cela, d'autres marchés relatifs à la Défense sont ouverts – et non des moindres. De quoi créer des interférences ou pousser la Belgique à établir une sorte de balance générale, par le miracle d'une diplomatie de haut vol? Drones, navires et véhicules de combat Il est question de drones, puisque la Défense a prévu l'acquisition, pour 226 millions d'euros, de quatre drones susceptibles d'être armés. Alors que les militaires s'intéressaient à un engin "made in USA", le géant européen de l'aéronautique Airbus s'est invité et a proposé ses services. Il est question de navires, puisque la Belgique et les Pays-Bas ont entamé ensemble une procédure d'achat de seize navires militaires – deux frégates et six bateaux de lutte contre les mines chacun – pour une facture dépassant les 4 milliards. Aux Néerlandais de superviser le programme des frégates, aux Belges de présider celui des navires anti-mines. Mentionnons encore l'achat de 477 véhicules de combat pour les forces terrestres belges, pour lequel un préaccord à 1,1 milliard est établi avec la France. Benoît Mathieu, Journaliste Source: L'Echo https://www.lecho.be/economie-politique/belgique/flandre/la-belgique-joue-la-montre-avec-le-f-35/10056153.html

  • German Air Force rushes to Iceland in ‘Rapid Viking’ drill

    31 juillet 2023 | International, Aérospatial

    German Air Force rushes to Iceland in ‘Rapid Viking’ drill

    The service is shooting for minimal prep time and small footprint in future expeditionary deployments.

  • Navy Issues Final RFP for FFG(X) Next-Generation Frigate

    21 juin 2019 | International, Naval

    Navy Issues Final RFP for FFG(X) Next-Generation Frigate

    By: Megan Eckstein The Navy released the final request for proposals for its next guided-missile frigate (FFG(X)) today, outlining the program that will get the U.S. Navy into the business of operating high-end small combatants. The service is counting on the new frigate to help the fleet operate in a distributed manner in a contested maritime environment. To that end, the final solicitation for bids for the FFG(X) program highlights a particular interest in what industry can offer in range; margins for weight, cooling, electrical and arrangeable deck area, to allow the ship to bring in new technologies as they develop; acoustic signature management; undersea surveillance; and over-the-horizon capabilities. After previous iterations of the frigate were ditched as the Navy's view of what capability it wanted evolved, the current FFG(X) effort sought to bring in industry early to ensure that requirements were in line with what technologies were currently feasible at the right price point. Those ongoing discussions led the Navy to settle on a ship that would have at least 32 vertical launching system (VLS) cells, an Aegis-based combat system, the Cooperative Engagement Capability datalink so the frigate could share targeting data with other ships and aircraft, and advanced anti-submarine warfare and electronic warfare systems. The service announced earlier this year the frigate would include as government-furnished equipment: A fixed-face Raytheon Enterprise Air Surveillance Radar (EASR) that will serve as the primary air search radar. At least 32 Mark 41 Vertical Launch System cells that could field Standard Missile 2 Block IIICs or RIM-162 Evolved SeaSparrow Missiles (ESSM) and a planned vertically launched anti-submarine warfare weapon. COMBATSS-21 Combat Management System based on the Aegis Combat System. Cooperative Engagement Capability (CEC) datalink that would allow the frigate to share targeting information with other ships and aircraft. Space, weight and cooling for 8 to 16 Over-the-Horizon Anti-Ship Cruise Missiles An aviation detachment that includes an MH-60R Seahawk helicopter and an MQ-8C Firescout Unmanned Aerial Vehicle. AN/SQQ-89(V)15 Surface Ship Anti-Submarine Warfare (ASW) Combat System AN/SQS-62 Variable Depth Sonar. SLQ-32(V)6 Surface Electronic Warfare Improvement Program (SEWIP) Block 2 electronic warfare suite with allowances to include SEWIP Block 3 Lite in the future. Space, weight and cooling reservation for a 150-kilowatt laser. Further highlighting the focus on allowing the ships to be upgraded as technology evolves, the solicitation asks that bids include a “description of the flexibility in the design to accommodate efficient warfare systems upgrades by explaining equipment removal and upgrade paths with an emphasis on avoiding hull cuts or the need for dry docking,” as well as provisions for upgrading hull-mounted and towed undersea warfare sensors. Five industry teams have been involved in early design maturation efforts, which both helped industry refine their plans to be more in line with what the Navy wanted, and allowed the Navy to refine its idea of how much this new class might cost. Earlier this year, USNI News reported that costs were coming down as a result of the design maturation contracts. “$950 (million) was the threshold; $800 million is the objective,” frigate program manager with Program Executive Office Unmanned and Small Combatants Regan Campbell said in January at the Surface Navy Association symposium. “We started closer to the $950; we are trending to very close to the $800 now. We have taken some very significant costs out,” she said of the second through 10th ship of the class. The Navy intends to buy at least 20 frigates, though the first contract will only cover the first 10. After the first contract, the Navy could continue with the same builder or re-compete the program to potentially bring in a second builder, if it wanted to accelerate frigate production to keep in line with its drive to reach a 355-ship fleet and leadership acknowledgement that it will need more small combatants and fewer high-end destroyers going forward. After the release of today's final RFP, interested bidders will have until Aug. 22 to submit their technical proposals to the Navy and until Sept. 26 to submit their pricing proposal. A winner will be selected in Fiscal Year 2020 to build the frigate. Of the five companies that participated in the design maturation phase, four are expected to submit bids to the RFP. Austal USA, who builds the Independence-variant Littoral Combat Ship; Fincantieri Marine, which builds the Italian FREMM multipurpose frigate; General Dynamics Bath Iron Works, who will partner with Spanish F100-builder Navantia; and Ingalls Shipbuilding, who has declined to discuss its design, all worked with the Navy to take their existing parent designs and mature them to become in line with the Navy's vision for its guided-missile frigate. Lockheed Martin, which builds the Freedom-variant LCS, was part of that effort as well but announced it would not continue on with the frigate competition. Despite the earlier design work that the Navy funded, the frigate competition is open to any bidder who has a parent design to base the frigate offering on. https://news.usni.org/2019/06/20/navy-issues-final-rfp-for-ffgx-next-generation-frigate

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