16 juillet 2024 | International, C4ISR, Sécurité

Kaspersky Exits U.S. Market Following Commerce Department Ban

Kaspersky exits U.S. market after Commerce Department ban citing security risks. U.S. customers advised to switch by September 29.

https://thehackernews.com/2024/07/kaspersky-exits-us-market-following.html

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  • Le porte-avions «Charles-de-Gaulle» reprend la mer comme neuf

    7 janvier 2019 | International, Aérospatial, Naval

    Le porte-avions «Charles-de-Gaulle» reprend la mer comme neuf

    Nicolas Berrod Après deux années de rénovation, le « Charles-de-Gaulle », à nouveau opérationnel, s'apprête à reprendre la mer. Nous avons pu passer 48 heures à bord, au côté de l'équipage, actuellement en pleine phase d'entraînement. « Wave off ! » Le cri de l'officier résonne sur le pont d'envol pour signifier à tout le monde de... « dégager ». Bienvenue à bord du « Charles-de-Gaulle », le seul porte-avions de la marine française, qui vient de subir un lifting intégral d'une durée de deux ans, pour un coût total de 1,3Mds €. Avant de repartir en mission dans quelques mois, ce mastodonte de 42 000 t pour 261 m de long poursuit ses entraînements au large de Toulon, son port d'attache. « On était orphelins, le Charles-de-Gaulle nous a manqué », sourit Christophe, capitaine de frégate et chef des pilotes. Avec ses collègues, ils ont eu beau s'être entraînés sur piste classique et sur un porte-avions américain le temps de la rénovation, rien ne vaut à leurs yeux le prestige du bateau français, en service depuis 2001. Le « Charles-de-Gaulle » aura un successeur, a assuré Emmanuel Macron, lorsqu'il sera mis hors service vers 2040. Coût estimé : minimum 3 Mds€. Et durée de la construction : 15 ans... au moins ! Chiens jaunes Alors, en attendant, la France compte sur son unique porte-avions, véritable village flottant de 2000 habitants - un équipage de 17 à 55 ans, dont 140 officiers de pont, 300 techniciens, 33 cuisiniers, 2 boulangers, 17 % de femmes au total. Après 18 mois passés à la cale, il faut le remettre en service. D'où, en cette fin d'automne, un entraînement intensif en Méditerranée, à quelques dizaines de kilomètres des côtes françaises. Entre quatre et vingt Rafales (NDLR : avions de combat) sont catapultés trois fois par jour, décollant sur une piste d'à peine quelques dizaines de mètres. Au signal des « chiens jaunes », ces officiers de pont reconnaissables à leur gilet coloré, les avions atteignent en quelques secondes les 200 km/h. Ce lundi-là, une poignée de jeunes pilotes - entre 22 et 26 ans - effectuent leur baptême de vol sur le « Charles-de-Gaulle ». Pour pouvoir manœuvrer sur un porte-avions, il leur faut avoir un minimum de 100 heures de vol sur Rafale. « On porte une attention toute particulière à ces jeunes », glisse, l'œil rivé à la piste, Jean-Philippe, chef des « chiens jaunes ». À l'issue de leur vol - ce jour-là dans un ciel dégagé -, ces pilotes doivent accrocher l'un des trois brins d'arrêt situés sur la piste pour apponter. Ces épais c'bles qui stoppent le Rafale d'un coup sont indispensables sur une piste aussi courte. « C'est comme si on pilait sur autoroute », glisse un officier, qui scrute à l'horizon les premiers avions sur le retour. Paradoxalement, au moment de toucher le pont à 250 km/h, les pilotes doivent remettre les gaz à fond. Car, s'ils ratent les brins, il faut pouvoir redécoller à temps ! « On appelle ça un bolter, c'est un peu un bizutage pour les nouveaux », sourit l'expérimenté capitaine Christophe, 2000 heures de vol sur Rafale derrière lui. Article complet: http://www.leparisien.fr/politique/le-porte-avions-charles-de-gaulle-reprend-la-mer-comme-neuf-06-01-2019-7981617.php

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    13 octobre 2021 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

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  • Pourquoi les industriels européens de l’aéronautique misent sur les secteurs de la défense et l’espace

    14 mai 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Pourquoi les industriels européens de l’aéronautique misent sur les secteurs de la défense et l’espace

    HASSAN MEDDAH INTERNATIONAL , ALLEMAGNE , AÉRONAUTIQUE , SPATIAL , DÉFENSE PUBLIÉ LE 13/05/2020 À 18H43 Les présidents du GIFAS et de son équivalent allemand le BDLI appellent de façon urgente à un plan de relance européen ambitieux et à accélérer les investissements dans le domaine de la défense et de l'espace. Face à la crise du coronavirus qui frappe lourdement le secteur aéronautique, industriels allemands et français ont décidé d'agir en concert. Le GIFAS (Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales) et son homologue allemand (german aerospace industries association) ont tenu en commun ce 13 mai le bureau de leur conseil d'administration par vidéoconférence. Dans la foulée, les deux présidents respectifs Eric Trapper - par ailleurs PDG de Dassault Aviation - et Dirk Hoke, président du BDLI et CEO d'Airbus Defence & Space ont profité d'une conférence de presse pour lancer un appel commun à un plan de relance européen ambitieux. Les industriels aéronautiques des deux pays auraient dû se voir en chair et en os à cette date... si le salon aéronautique de Berlin (Allemagne) n'avait pas été annulé à cause de la pandémie mondiale. "Ensemble, nous étions forts avant la crise et nous partageons l'idée qu'il faudra que nous soyons forts après la crise pour faire face à la concurrence mondiale", a souligné Eric Trappier, le patron de Dassault Aviation. Accélérer le programme d'avion de combat du futur Selon les deux groupements, les secteurs de la défense et de l'espace peuvent permettre d'amortir le trou d'air que traverse le secteur aéronautique. Ils appellent les deux gouvernements à renforcer leurs budgets de défense afin de conserver les capacités dans ce domaine stratégique. "Ce serait une grave erreur de réduire les dépenses du secteur de la défense. C'est un facteur de stabilité qui ne doit pas être sous-estimé", a précisé Dirk Hoke. Le GIFAS et le BDLI misent sur l'accélération des programmes en coopération. La France et l'Allemagne, rejointes par l'Espagne, ont lancé le programme SCAF (système de combat aérien du futur). Ce programme, à l'horizon 2040, permettra le remplacement des Rafale français et des Eurofighter allemands. "Ce programme est un défi et nous sommes convaincus qu'il faut le renforcer et ne pas prendre de retard. Les industriels ont commencé à travailler. Nous avons besoin d'une vision à long terme et de contrats pour atteindre la première échéance d'un démonstrateur en 2026", a exhorté Eric Trappier. Des deux côtés de la frontière, l'accélération de ce programme pourrait apporter une bouffée d'oxygène à tous les acteurs qui y participent : avionneurs, fabricants de moteurs, électroniciens et leurs sous-traitants. Cela permet également de faire d'une pierre deux coups, puisque la plupart des entreprises de l'aéronautique travaillent également pour le secteur de la défense. La manne du programme spatial européen Dirk Hoke a également évoqué l'importance du secteur spatial comme amortisseur à cette crise. Il a rappelé que l'agence spatiale européenne (ESA) avait approuvé en fin d'année dernière le lancement de nombreux programmes. En novembre 2019, lors de la réunion des ministres européens en charge du secteur spatial à Séville, l'ESA avait en effet dégagé un budget de 14,4 milliards d'euros pour les cinq prochaines années. La France et l'Allemagne étant les principales contributrices avec respectivement 3,3 milliards d'euros et 2,7 milliards. Les deux partenaires ont également sollicité l'aide de l'Europe. Ils craignent toutefois que le budget du fonds européen de défense soit la victime des ajustements budgétaires en cours de négociation. A l'origine, il devait atteindre 13 milliards d'euros sur la période 2021-2027. "Ce serait un mauvais signe si ce budget était coupé pour la construction et l'autonomie stratégique de l'Europe", a averti le patron du GIFAS. https://www.usinenouvelle.com/article/pourquoi-les-industriels-europeens-de-l-aeronautique-misent-sur-les-secteurs-de-la-defense-et-l-espace.N964041

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