9 août 2019 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre

Hypersonics by the dozens: US industry faces manufacturing challenge

By: Jen Judson

HUNTSVILLE, Ala. —The U.S. military is a few years from launching offensive hypersonic weapons that are currently under development. But building those initial missiles is one thing — manufacturing the weapons in multitude is another issue entirely.

“I would say we really need to understand, again, how can we produce precision hardware at scale,” Michael Griffin, the Pentagon's undersecretary of defense for research and engineering, told a group of reporters Aug. 7 at the Space and Missile Defense Symposium in Huntsville, Alabama.

“If we talk about ballistic missile defense or hypersonic offense and we talk about proliferating architectures, we need any dozens, many hundreds, maybe thousands of assets,” he added. “This takes us back to the Cold War where at one point we had 30,000 nuclear warheads and missiles to launch them. We haven't produced at that kind of scale since the wall came down.”

As hypersonic missiles become a reality, industry is going to have to relearn how to effectively, efficiently and economically produce them, Griffin said.

While industry has developed warheads, glide bodies and other components, there is no industrial base equipped to manufacture hypersonic weapons.

Things are moving in the right direction when it comes to bringing industry up to speed and preparing for larger-scale manufacturing of missiles, Griffin said. But building these systems is challenging because, for example, hypersonics require a greater degree of thermal protection than what has been required of other weapons in the past, he noted.

Building hypersonics is no longer a technical issue or a matter of understanding physics, but rather an issue of understanding the industrial engineering required to produce a larger number.

“I'm not sure how much help the government can be there,” he said. “Mass production is not what we do. ... That is going to be an industry problem.”

The Army is just weeks away from awarding a contract to a company that will work with the federally funded laboratory that developed a hypersonic glide body to develop manufacturing plans and strategies. Other companies will have a turn as well. The effort is spearheaded by the service's Rapid Capabilities and Critical Technologies Office.

Griffin stressed that the weapons manufacturing process needs to be affordable. “Our adversaries have clearly found ways to make them affordable. China has these things now by the thousands. What do we do to learn, once again, how to produce sophisticated things at scale and affordably?” he said.

China is able to field new systems every few years, Griffin noted, while the U.S. takes a decade or more to get through a cumbersome acquisition process.

“It don't believe that the issues facing the United States aerospace and defense establishment are issues of specific technologies,” he said. “I believe that over the last 30 years ... we've become lost in our processes.”

https://www.defensenews.com/digital-show-dailies/smd/2019/08/08/hypersonics-by-the-dozens-us-industry-faces-manufacturing-challenge/

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    14 avril 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Appel à projets de solutions innovantes pour lutter contre le COVID-19

    Mise à jour : 14/04/2020 - Direction : AID Cet appel à projets du ministère des Armées, lancé par l'Agence de l'Innovation de Défense (AID), dans le cadre du plan gouvernemental de lutte contre le COVID-19, vise à disposer de propositions pour lutter contre la pandémie de COVID-19. Il porte sur la recherche de solutions innovantes, qu'elles soient d'ordre technologique, organisationnel, managérial ou d'adaptation de processus industriels, qui pourraient être directement mobilisables afin de : protéger la population, soutenir la prise en charge des malades, tester la population, surveiller l'évolution de la maladie au niveau individuel et l'évolution de la pandémie, ou aider à limiter les contraintes pendant la période de crise. Important : les projets devront être d'une maturité technologique suffisante pour être employables pendant l'actuelle pandémie. Ces solutions innovantes devront être facilement et rapidement reproductibles et s'appliquer à l'échelle de l'ensemble du territoire national dans l'enveloppe budgétaire définie. Un budget de 10 000 000€ TTC est prévu pour cet appel à projets, qui vise à financer un à plusieurs projets d'intérêt. Pour permettre le soutien d'un maximum de projets prometteurs, sauf exceptions dûment justifiées, les projets retenus par cet appel à projets ne seront pas cumulables avec les financements flash mis en place par l'UE ou l'ANR : Appel à projets de l'Agence nationale pour la recherche (ANR) : https://anr.fr/fr/detail/call/appel-a-projets-flash-covid-19/ Appel à projets de la Commission européenne : https://ec.europa.eu/info/news/startups-and-smes-innovative-solutions-welcome-2020-mar-13_en Les propositions de réponse sont attendues et évaluées au fil de l'eau jusqu'au 12 avril 2020. Les propositions déposées tardivement, jusqu'au 12 avril inclus, pourront être étudiées mais leurs chances d'être retenues seront fortement réduites. Ce que nous recherchons Nous avons identifié un certain nombre de domaines et de situations concrètes pour lesquels nous pressentons des améliorations possibles : Protections individuelles ou collectives, soignants et populations (e.g. masques, « hygiaphones de fortune », concepts innovants de protection, de barrières, techniques de recyclage, Do It Yourself, etc.) ; Gestion de la distance de sécurité entre individus ; Automatisation de t'ches pour le prélèvement, le nettoyage du matériel ou des salles ; Facilitation du déploiement d'hôpitaux de campagne en soutien aux populations ; Gestion de crise, aiguillage, structuration/modularité des chaînes de prise en charge (e.g. gestion logistique, RH, etc.) ; Production de nouvelles solutions de décontamination pour tout type de surface, pour petits et grands matériels, pour les espaces de vie, etc. ; Capacité de production en masse de solutions de décontamination ; Soutien à la prise en charge médicale (production du matériel ou traitement manquant, concept de recyclage, de détournement ou autre idée permettant de pallier ces manques) ; Détection du virus dans l'environnement ; Diagnostic et autodiagnostic rapide et conduite à tenir associée - dépistage massif - dépistage participatif ; Gestion de l'impact psychologique individuel et sociétal (communication et sensibilisation sur la crise et l'épidémie, amélioration de la perception du risque d'épidémie, gestion de l'après crise, etc.) ; Facteurs de limitation des déplacements et lutte contre la transgression ; Amélioration du travail à distance (outils de continuité numérique, sécurisation, etc.) ; Amélioration de la vie en isolement à domicile (numériques mais aussi hors solutions numériques) ; Autres thèmes dûment argumentés. NOTE IMPORTANTE aux producteurs de masques de protection : Dans le contexte de la crise sanitaire du COVID-19, les autorités gouvernementales ont sollicité l'appui de la direction générale de l'armement (DGA) du ministère des armées afin d'aider à identifier et caractériser des solutions permettant d'accroître la disponibilité de masques de protection face au virus. Nous travaillons en étroite collaboration avec la direction générale des entreprises (DGE) du Ministère de l'économie et des finances. Devant le succès de cette initiative, deux adresses m.él dédiées ont été créées et nous demandons aux entreprises d'adresser toute correspondance à ces deux adresses pour en accélérer le traitement. Adresse mél DGA : dga.Masques-Contact.fct(a)intradef.gouv.fr Adresse mél DGE : masques.dge(a)finances.gouv.fr Une fois l'accord préalable de la DGE obtenu pour la mise en test d'un prototype, les échantillons sont à envoyer à : DGA Maîtrise NRBC 5 rue Lavoisier 91710 VERT-LE-PETIT Nous ne sommes pas seulement intéressés par des technologies nouvelles ; le caractère innovant des propositions pourra consister à réorienter des technologies ou des processus industriels existants (par exemple détourner une usine de production de parfum pour en faire du gel hydroalcoolique). Nous acceptons les propositions provenant de tous types d'opérateurs : académiques, petites, moyennes entreprises, entreprises de taille intermédiaire, grands groupes. Des groupements constitués de ces différents types d'opérateurs seront possibles. En fonction du vecteur de financement ou d'acquisition utilisé, des restrictions sur l'origine ou la taille des opérateurs économiques pourront être appliquées. Les propositions internes des personnels civils et militaires du ministère des Armées sont également les bienvenues. Ce dont nous ne voulons pas Votre proposition ne doit pas proposer une innovation en cours de maturation qui n'a aucune chance d'être employée pour lutter contre l'actuelle pandémie. Contenu de la proposition Compte tenu de l'urgence du projet, la présentation et les justificatifs devront être les plus concis et précis possibles. La proposition doit contenir les documents suivants : le descriptif technique de la solution proposée et le cas d'usage (utilisateur, situation d'emploi) auquel cette solution répond. le plan projet comprenant : Un planning des développements et de la mise en service identifiant les jalons et les livrables permettant de suivre l'avancement du projet ; Une décomposition du prix de la proposition, en distinguant le cas échéant la part financée par le ministère des Armées et d'autres sources de financement. Le déposant pourra utilement proposer des éléments optionnels dans sa proposition. Un document de justification explicitant l'apport du projet pour chacun des 3 critères d'évaluation infra (impact, crédibilité, calendrier). Le dossier total ne dépassera pas 30 pages. Sélection des projets d'intérêt Critères obligatoires Les propositions seront analysées au regard des critères obligatoires ci-dessous : La solution proposée s'inscrit dans le périmètre de l'appel à projets (cf. « Ce que nous recherchons » et « Ce dont nous ne voulons pas ») ; La proposition contient un plan projet ; La proposition justifie l'intérêt du projet pour chacun des trois critères d'évaluation présentés infra. Seules les propositions remplissant l'ensemble des critères obligatoires seront analysées au fil de l'eau lors de la sélection des projets. Critères d'évaluation Un comité d'évaluation impliquant différents experts du ministère des Armées évaluera les propositions au fur et à mesure de leur réception. Les évaluateurs, pourront, s'ils le jugent nécessaire, entrer en contact avec les déposants afin de leur demander des clarifications sur leur proposition. Les évaluateurs ne pourront utiliser les informations contenues dans les propositions qu'aux seules fins de l'évaluation. Cette évaluation sera fondée sur les 3 critères suivants : Impact : les bénéfices anticipés (pour la population, les cycles de décision, les personnels de santé...) ; Crédibilité : tout élément de preuve, scientifique ou technique, permettant de confirmer la faisabilité du projet ; Calendrier : délai de mise en œuvre de la solution. Le choix de financer une proposition est fondé sur les résultats d'évaluation, sur le coût de chaque proposition vis-à-vis du budget disponible et sur des considérations d'ordre stratégique pour la personne publique. Les déposants dont la proposition n'aura pas été retenue pourront demander un avis synthétique sur leur proposition. Modalités pratiques Budget et contractualisation L'AID prévoit un budget total de 10 000 000 € TTC, visant à financer entre un et plusieurs projets. Date limite de remise des propositions Les propositions de réponse sont attendues et évaluées au fil de l'eau jusqu'au 12 avril 2020. Les propositions déposées tardivement, jusqu'au 12 avril inclus, pourront être étudiées mais leurs chances d'être retenues seront fortement réduites. Les propositions émises par les opérateurs économiques (personnes morales ou personnes physiques) doivent être déposées à l'adresse suivante : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/appel-a-projets-aid-covid-19 Les propositions émises par les personnels civils et militaires du ministère des Armées (personnes physiques) doivent être déposées à l'adresse suivante : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/appel-a-projets-aid-covid-19-innovateurs-minarm Un accusé sera transmis dès réception de la proposition. Important : en remettant son dossier, le déposant accepte sans réserve les conditions de l'appel à projets. Questions Vous pouvez poser toute question relative à l'appel à projets via l'adresse suivante : agenceinnovation.dir.fct(a)intradef.gouv.fr Protection des données à caractère personnel Les données à caractère personnel portées en réponse aux formulaires de dépôt de projet font l'objet d'un traitement mis en œuvre par le directeur de l'Agence de l'Innovation de Défense. Nous traitons vos données dans le but unique de permettre l'évaluation des projets et leur concrétisation éventuelles suite à l'évaluation. Les données seront conservées pendant une période de 6 mois après la date de clôture de l'appel à projet. Pendant cette période, nous mettons en place tous moyens aptes à assurer la confidentialité et la sécurité de vos données à caractère personnel, de manière à empêcher leur endommagement, effacement ou accès par des tiers non autorisés. Conformément à la loi « Informatique et Libertés » du 6 janvier 1978 modifiée et au Règlement Général sur la protection des données (RGPD) en vigueur depuis le 25 mai 2018. Vous bénéficiez d'un droit d'accès et de rectification sur vos données que vous pouvez exercer en contactant l'Agence de l'Innovation de Défense à l'adresse suivante : agenceinnovation.dir.fct(a)intradef.gouv.fr Mise à disposition des moyens du GENCI Les chercheurs académiques et industriels travaillant sur le sujet peuvent avoir accès immédiatement aux moyens de calcul et de stockage de la TGIR GENCI. Créée en 2007 par le MESRI, le CNRS, le CEA, la CPU et Inria, GENCI met à disposition des chercheurs français des moyens de calcul (supercalculateurs) et de stockage, souverains, opérés en France au TGCC (CEA), IDRIS (CNRS) et CINES (Universités) afin d'accélérer les travaux de recherche en modélisation/simulation, traitement de données massives et usage de l'intelligence artificielle (GENCI est une des composantes du plan français AIForHumanity avec la machine Jean Zay qui dispose notamment de 1300 GPU et 35 Po de stockage haut débit).Ces moyens et les services de support des centres sont accessibles gratuitement par le biais d'une procédure accélérée, pour plus d'information sur les moyens mis à disposition par GENCI vous pouvez vous référer ici : http://www.genci.fr/fr/node/1036 ; ou contacter directement Stéphane Requena, Directeur Technique & Innovation : stephane.requena(a)genci.fr Droits : AID

  • The Key To All-Domain Warfare Is ‘Predictive Analysis:’ Gen. O’Shaughnessy

    6 mai 2020 | International, C4ISR

    The Key To All-Domain Warfare Is ‘Predictive Analysis:’ Gen. O’Shaughnessy

    By THERESA HITCHENS on May 05, 2020 at 3:23 PM WASHINGTON: Northern Command head Gen. Terrence O'Shaughnessy says the key to winning tomorrow's all-domain wars is predicting an adversary's actions — as well as the impacts of US military responses — hours and even days in advance. The capability to perform such “predictive analysis” will be enabled by the US military's Joint All-Domain Command and Control (JADC2) initiative for managing high-speed battle across the air, land, sea, space and cyber domains,” he told the Mitchell Institute yesterday evening in a webinar. “We see JADC2 is absolutely core to the way we're gonna defend the homeland,” O'Shaughnessy enthused. “And the part that I think is going to be so incredibly game-changing is the ability for us to really use predictive analysis and inform our decisions going into the future.” “That's, to me, what JADC2 is going to do: it's going to inform our decision-makers, it's going to help them make decisions that, like playing chess, are thinking about two or three moves downstream,” he added. “It's going to give the decision-makers, at the speed of relevance, the ability to make really complex decisions.” NORTHCOM was a key player in the Air Force's first “On Ramp” demonstration in December of technologies being developed under its Advanced Battle Management System effort, which the service sees as a foundation for JADC2. O'Shaughnessy said he is excited that NORTHCOM will be expanding its participation in the next demonstration, now slated for late August or early September having been pushed back from its original April data due to the COVID-19 coronavirus pandemic. O'Shaughnessy said JADC2 also will be critical for providing much-needed improvements to domain awareness in the Arctic. The US military has to “put together a bigger ecosystem for sensing” rather than relying on “traditional stovepiped systems” in the High North, he explained. That ecosystem needs to fuse information from as many systems as possible — from submarines patrolling beneath the icy waters to ground-based radar to long-endurance unmanned drones to future sensors based on large constellations of Low Earth Orbit satellites — which is exactly the goal of JADC2. “We have to continue to work on our ability to see the approaches to our homeland and understand what what is there and be able to react to it,” said O'Shaughnessy, who also is the commander of NORAD. As Breaking D readers know, the US military is turning an increasingly worried eye toward the Arctic where Russia and China both have begun to covet as a future zone of economic wealth as the Earth's climate opens shipping routes and expands access to undersea oil. O'Shaughnessy said he sees three areas where more investment is required to up the US military's game in the Arctic: communications, training, and infrastructure. Communications at northern latitudes is a particular struggle due to the difficulties of laying fiber optic cable in the harsh terrain, and the paucity of satellite coverage in the region. This, he said, is why NORTHCOM is extremely interested in the potential for so-called proliferated LEO satellite constellations. — both those currently being built by commercial firms and any future military networks. As Breaking D readers are well aware, DoD's Space Development Agency is planning a multi-tiered network of satellites in LEO that includes “data transport” satellites to allow faster communications between satellites and air-, land- and sea-based receivers that Director Derek Tournear sees as integral to JADC2. DARPA also is experimenting with proliferated LEO architectures under its Blackjack program, which plans 20 satellites using various buses and payloads to test their capabilities by the end of third-quarter 2022. DARPA late last month selected Lockheed Martin to undertake Phase 1 satellite integration of satellite buses with payloads and the central Pit Boss C2 system under a $5.8 million contract. SEAKR Engineering announced on April 28 that it had been granted a sole source Phase I, Option 2 contract (under a three-phased program plan) to develop a Pit Boss demonstrator, beating out two other teams led, respectively, by BAE and Scientific Systems. “One of the things we find is after you get above about 65 degrees or so north, some of our traditional means of communications really start breaking down,” he said, “and once you get closer to 70, almost all except for our most exquisite communications capability really starts to break down. And so we see a need to relook our ability to communicate in the Arctic” — with proliferated LEO “one of the best approaches.” “If you look at some of the companies out there doing incredible things, we see that as a solution set to allow us to communicate in the Arctic in the relatively near future, and that will be critical,” he added. https://breakingdefense.com/2020/05/the-key-to-all-domain-warfare-is-predictive-analysis-gen-oshaughnessy

  • Suisse: Dans la com de l'armée et lobbyiste pour le Gripen

    30 janvier 2019 | International, Aérospatial

    Suisse: Dans la com de l'armée et lobbyiste pour le Gripen

    Christian Trottmann est un passionné d'avions de combat. Il est non seulement commentateur officiel de la Patrouille Suisse, mais aussi rédacteur pour l'équivalent alémanique de la «Revue militaire suisse». Mais tout ça appartient désormais au passé, a révélé dimanche la «SonntagsZeitung». Viola Amherd, nouvelle ministre de la Défense, a décidé de l'exclure de la Patrouille Suisse. Il ne pourra plus non plus écrire pour le magazine. Depuis décembre dernier, Christian Trottmann travaille en effet en tant que lobbyiste pour Saab. Sa mission est de convaincre la Suisse d'acheter les Gripen du constructeur suédois. Raison pour laquelle le Département de la défense (DDPS) craint que sa double casquette n'engendre un conflit d'intérêts. Or, selon le journal dominical, Viola Amherd n'a réglé que la moitié du problème. Car le premier-lieutenant continuera à remplir ses obligations militaires en tant qu'officier de milice au sein du service de communication des Forces aériennes. Renato Kalbermatten, chef de la communication du DDPS, n'a pas précisé pourquoi cette fonction pose moins de problème que celle à la Patrouille Suisse. En attendant, la situation est vivement critiquée par des membres du DDPS et des politiciens de tous bords. Le conseiller national Thomas Hurter (UDC/SH) a qualifié la décision du DDPS d'«incohérente». L'élue Priska Seiler Graf (PS/ZH) dénonce pour sa part une situation «malheureuse et délicate». https://www.20min.ch/ro/news/suisse/story/Dans-la-com-de-l-armee-et-lobbyiste-pour-le-Gripen-16612589

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