27 septembre 2021 | International, Aérospatial

Here are the cheap counter-drone solutions DoD tested in the Arizona desert

Find out who participated in the Joint Counter-Small Unmanned Aircraft Systems Office's second demonstration as the Pentagon looks to bring new counter-drone capabilities into an enduring framework.

https://www.defensenews.com/land/2021/09/24/here-are-the-cheap-counter-drone-solutions-dod-tested-in-the-arizona-desert/

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    28 juin 2018 | International, Terrestre, C4ISR

    Here’s how artificial intelligence could predict when your Army vehicle will break down

    By: Victoria Leoni The Army wants to use artificial intelligence software to predict when vehicle parts might break down and prevent equipment failures before they happen. Uptake, a Chicago-based AI company, recently received a $1 million contract from the Army to test its technology on a group of deployed Bradley M2A3 combat vehicles, according to the Washington Post. Depending on how the trial goes, the AI software could be applied on a much larger scale. “We're looking to see if we can leverage some of Uptake's machine learning algorithms to spot equipment failures before they happen,” Lt. Col. Chris Conley, Army program manager for the Bradley fleet, said in the report. “If this pans out and can provide some real capability, the Army could look to expand this to the entire Bradley fleet as well as other combat vehicle fleets.” Uptake's technology will analyze the signals produced by the Army's equipment to provide updates on the equipment's maintenance status. If a vehicle part shows signs of being faulty, for example, commanders will be alerted and have the ability to repair or replace the part before the entire vehicle is compromised. “Just like humans have been putting their statuses on Facebook and Twitter, these machines have been putting out their statuses for decades and nobody's been listening,” Ganesh Bell, president of Uptake Technologies, told the Post. “Only recently do we have the technology to understand that.” M2 and M3 Bradleys are some of the most widely used Army vehicles in peacekeeping and combat missions. This will be the first application of the technology to military vehicles. “I'm not convinced that this will be successful, but I'm really excited about the potential of it,” Conley told the Post. “We're doing a pilot test to verify their claims before we do anything at scale.” Retired Navy Adm. Mike Mullen, former chairman of the Joint Chiefs of Staff and an Uptake shareholder, told the Post the AI technology is what the military needs to ensure readiness and efficiency. “What I've seen on the component side is you almost wait for failure and then figure it out,” he said. “Based on the results I've seen there is a huge potential here for better outcomes and a lot less expense, which is what anybody in the military is focused on.” https://www.armytimes.com/news/your-army/2018/06/27/heres-how-artificial-intelligence-could-predict-when-your-army-vehicle-will-break-down/

  • Pourquoi les Européens n’arrivent pas à convaincre lors de l’achat d’équipements militaires

    22 mai 2019 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité, Autre défense

    Pourquoi les Européens n’arrivent pas à convaincre lors de l’achat d’équipements militaires

    Nicolas Gros-Verheyde (B2) Mois après mois, les résultats tombent. Quand ils ont le choix, certains Européens préfèrent acheter américain plutôt qu'européen. Pourquoi ? Un achat de défense n'est pas uniquement un achat En matière de défense, un pays n'achète pas seulement un matériel, il répond à une histoire — tradition maritime, terrestre, etc. —, une géopolitique intérieure — neutralité, non aligné, aligné, autonome —, une affirmation de soi — volonté de prouver au peuple, à ses voisins sa puissance —, un contexte géopolitique — proximité ou non d'adversaires ressentis ou réelle —. La volonté d'avoir une autonomie d'équipements, ou non, découle de tous ces facteurs. La meilleure défense face à un adversaire ... Face à la Russie, nombre de pays européens estiment que la meilleure défense reste les États-Unis. Il ne s'agit donc pas de desserrer les liens qui existent avec les USA, mais de les resserrer. Et le meilleur moyen reste alors les achats d'équipement, qui solidifient de façon claire ce lien euro-atlantique. La duplicité de l'appel à dépenser plus C'est toute la duplicité de l'appel à dépenser davantage pour la défense. Appel largement soutenu par les Américains. Au-delà de l'objectif, justifié, de partage du fardeau entre Européens et Américains, la pression a un objectif purement économique : favoriser l'industrie américaine qui est la seule à répondre à la fois aux objectifs industriel (les matériels), opérationnel (l'interopérabilité), économique (le moins disant) et politique. La panoplie complète des Américains La fourniture des équipements militaires s'accompagne de la logistique, des armements et de la formation. Un ‘package' ordinaire pour ce type d'armements. Mais les Américains ont une panoplie beaucoup plus complète, qui va de l'outil de financement à crédit au soutien logistique dans les opérations extérieures, en passant par la présence de troupes ou de matériels dans les pays concernés, destinés à les rassurer face à des voisins inquiétants, un forcing permanent de leurs politiques, sans oublier l'accueil de jeunes ou moins jeunes officiers ou sous-officiers stagiaires dans leurs écoles. Un effort notable américain de formation Rien que pour la Roumanie, par exemple, pays qui préside actuellement aux destinées de l'Union européenne, ce sont 700 officiers qui franchissent le seuil d'une des écoles militaires US, des écoles de guerre réputées aux simples écoles de gardes nationaux. Cela forge des réflexes, une culture commune, des camaraderies, une solidarité... et l'habitude d'utiliser certains matériels. Peu étonnant ensuite que chacun soit convaincu dans l'armée roumaine qu'il faille acheter ces équipements. Une réflexion à engager Si les Européens veulent un tant soit peu défendre leurs équipements, il va falloir réfléchir sérieusement à se doter de ces cinq outils : les échanges et l'accueil dans les écoles européennes — l'Erasmus militaire prôné dans la fin des années 2000 est un peu tombé dans l'oubli (1) —, le financement croisé, la présence dans les pays (qui ne soit pas dispersée). (Nicolas Gros-Verheyde) https://www.bruxelles2.eu/2019/05/17/pourquoi-les-europeens-narrivent-pas-a-convaincre-lors-de-lachat-dequipements-militaires/

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    17 juin 2022 | International, Terrestre

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    Israel will purchase hundreds of combat vehicles from Israel Aerospace Industries for the country's special forces in a deal worth more than $28 million.

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