8 mai 2023 | International, Aérospatial

Commercial Space Office’s Kniseley keeps focus on industry engagement

The organization replaces the Commercial Services Office, which was established just a year ago.

https://www.c4isrnet.com/battlefield-tech/space/2023/05/08/commercial-space-offices-kniseley-keeps-focus-on-industry-engagement/

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  • Safran équipera les hélicoptères H160M Guépard de l’armée française et les H160 de la Gendarmerie nationale

    20 janvier 2022 | International, Aérospatial

    Safran équipera les hélicoptères H160M Guépard de l’armée française et les H160 de la Gendarmerie nationale

    Dans le cadre de la commande par l'Etat français de 169 hélicoptères militaires H160M Guépard et de 10 hélicoptères H160 pour la Gendarmerie nationale, Safran fournira, notamment, la motorisation, avec l'Arrano, un moteur de nouvelle génération d'une puissance de 1300 cv qui intègre « le meilleur de la technologie en matière de moteurs aéronautiques », souligne le groupe. L'Arrano offre une consommation en carburant réduite d'environ 20% par rapport aux moteurs des hélicoptères qu'il va remplacer dans les forces françaises, et peut incorporer jusqu'à 50% de carburant d'aviation durable (SAF), précise Safran. Autre équipement majeur, le système optronique Euroflir 410, qui apportera « des performances d'observation inégalées aux hélicoptères », gr'ce à un champ de vision large et une observation très longue portée. Safran équipera également les hélicoptères de systèmes performants nécessaires au pilotage et à la stabilité de l'aéronef, dont les actionneurs électromécaniques TRIM et SEMA (Smart Electro Mechanical Actuator) ainsi que des éléments de cockpit et les systèmes d'essuie-glace, et la distribution électrique. Il fournira également les systèmes de sécurité (systèmes de flottabilités, radeaux de sauvetage), de gestion du carburant et de refroidissement. Aerobuzz du 15 janvier

  • Qui est Pierre Eric Pommellet, numéro deux de Thales, futur patron de Naval Group

    24 mars 2020 | International, Naval

    Qui est Pierre Eric Pommellet, numéro deux de Thales, futur patron de Naval Group

    Le successeur d'Hervé Guillou à la tête de Naval Group est désormais connu. L'Etat a désigné Pierre Eric Pommellet, actuel directeur général du groupe Thales, a-t-on appris le 24 janvier de sources gouvernementales. Le nouveau PDG de Naval Group a été désigné. Atteint par la limite d''ge, Hervé Guillou doit quitter le groupe français en mars. C'est Pierre Eric Pommellet, "directeur général opérations et performance" de Thales, qui a été choisi par l'Etat pour prendre la tête du constructeur naval, a-t-on appris vendredi 24 janvier de sources gouvernementales. “PEP”, favori pour la succession d'Hervé Guillou “Nous confirmons que le choix de l'Etat est Pierre Eric Pommellet, a déclaré une source du ministère des Armées. Il prendra la tête de Naval Group au départ d'Hervé Guillou, c'est-à-dire à la fin du mois de mars.” Vendredi 24 janvier, le comité des nominations de Naval Group s'est réuni pour valider ce choix. La candidature de Pierre Eric Pommellet doit encore passer devant le conseil d'administration de Naval Group en février. Si les administrateurs approuvent ce choix, une assemblée générale devrait avoir lieu en mars. Le nouveau patron devra ensuite être nommé officiellement par un décret du président de la République. Depuis plusieurs jours, des informations de presse présentaient “PEP” comme le favori pour la succession d'Hervé Guillou. Le nom de Benoît Ribadeau-Dumas, directeur de cabinet du Premier ministre Édouard Philippe, circulait également avec ceux de plusieurs profils internes. "Une vraie histoire personnelle avec le monde naval" “C'est un ingénieur qui a une vraie histoire personnelle avec le monde naval. Son père a construit Île Longue [la base de la Marine nationale pour les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins située dans la rade de Brest, Finistère]. Son grand-père était le patron de l'usine d'Indret à la direction des constructions navales [ancêtre de Naval Group]”, fait valoir la source gouvernementale. Pierre Eric Pommellet lui-même n'est pas étranger au secteur naval. Diplômé de l'Ecole Polytechnique, de Sup Aero et du MIT aux Etats-Unis, il est aussi passé à la direction des constructions navales comme ingénieur de l'armement au début de sa carrière. A 52 ans, l'industriel est plus connu comme le directeur général opérations et performance de Thales. Il assume cette fonction depuis 2017 après avoir occupé divers postes de direction : président de Thales Underwater Systems, président de Thales Systèmes Aéroportés, directeur général de la division des systèmes de mission de défense... Autrement dit, Pierre Eric Pommellet est loin d'être un inconnu dans le monde de la défense et il avait l'avantage de cocher plusieurs cases : profil industriel, connaisseur du grand export et du milieu de défense. Malgré cette notoriété, il semble prêt à accepter un salaire un peu plus bas, plafonné par la loi à 450 000 euros par année. Un gage de motivation pour le gouvernement. Des syndicats hostiles à l'arrivée de Pierre Eric Pommellet ? L'arrivée chez Naval Group du directeur général de Thales ne va pas se faire sans complication. Le patron de Thales, Patrice Caine, va devoir trouver un nouveau numéro deux. Surtout, les critiques se sont faites entendre chez les représentants des salariés de Naval Group. Pressentant sans doute cette nomination, les syndicats Unsa et CFE-CGC ont publié un communiqué mardi 21 janvier pour dénoncer le poids de Thales dans la gouvernance de l'entreprise. Le groupe d'électronique est actionnaire à 35 % de Naval Group aux côtés de l'Etat qui détient plus de 62 % du capital. Selon les organisations syndicales, Thales “dispose de droits bien supérieurs à son poids actionnarial” et “se place régulièrement en concurrence de sa filiale Naval Group sur les offres export". "Les personnels de l'entreprise ne comprendraient pas que la succession du PDG actuel, Hervé Guillou, soit l'opportunité pour Thales de positionner un outil industriel de souveraineté comme Naval Group en situation de dépendance vis-à-vis d'un équipementier", ajoutaient-ils avant la nomination de Pierre Eric Pommellet. Vendredi 24 janvier, la source gouvernementale répond aux critiques. “Il n'y a pas d'agenda caché associé à la nomination de Pierre Eric Pommellet. La stratégie de Naval Group reste la même : être un leader mondial de conception et de construction de bateaux militaires fortement armés. Il n'y a pas d'infléchissement stratégique. Naval Group restera une entreprise indépendante, autonome et qui doit créer de la croissance avec une liberté d'entreprendre et d'innover”, assure-t-elle. L'actionnariat de Naval Group ne devrait ainsi pas évoluer. Une feuille de route conséquente Plusieurs grands projets attendent en tout cas le nouveau PDG de Naval Group. Parmi eux : la construction du sous-marin nucléaire lanceur d'engin de troisième génération à partir de 2023, la livraison à la Marine Nationale cette année du sous-marin d'attaque Suffren, mis à l'eau l'été dernier et l'important projet d'un nouveau porte-avions attendu pour 2038. “La feuille de route de Pierre Eric Pommellet, avant toute autre chose, est de livrer les programmes nationaux", affirme le cabinet de Florence Parly. https://www.usinenouvelle.com/article/qui-est-pierre-eric-pommellet-numero-deux-de-thales-futur-patron-de-naval-group.N922724

  • Major Submarine Contractor Drops Navy Missile Tube Biz

    10 août 2020 | International, Naval

    Major Submarine Contractor Drops Navy Missile Tube Biz

    The disclosure comes as the Pentagon has been looking for ways to backstop key parts of its industrial base as supply chains slowed due to the COVID epidemic. By PAUL MCLEARY WASHINGTON: One of the Navy's primary suppliers of missile tubes for its nuclear submarines is planning to walk away from the military business, a move that will drop the number of domestic companies capable of doing the work to two at a time when the service is in a scramble to ramp up its sub-building efforts. BWX Technologies President Rex Geveden says that the company is “not likely to pursue” any more Navy business and will repurpose a factory in Indiana that makes the components once the next set of deliveries of missile tubes wrap up in 2022. The Navy work “just doesn't have the margin profile that we want to see in the business,” Geveden said in a Tuesday investor call. BWX was slated to build the missile tubes for the new Columbia subs, but prime contractor Electric Boat says it has options to replace the company in coming years. The company “works with multiple suppliers to ensure we can meet the Navy's schedule requirements on these important programs,” a spokesperson emailed. “These are Babcock Marine, BAE Systems, Precision Custom Components and BWX Technologies. BWX Technologies will complete all currently contracted work for EB by 2022.” This comes as the Pentagon has been looking for ways to bolster key parts of its industrial base as communities shut down and workers are told not to report to work or take time off, due to the COVID epidemic. In a call with reporters late last month, Navy acquisition chief James Geurts acknowledged that the service is deeply worried that such closures and slowdowns could have wide-ranging impacts on shipbuilding. “I am absolutely interested in ensuring that we don't lose large chunks of the industrial base,” he said. “Restarting an industrial base that you lose is really hard, really painful, and takes a long time. We are absolutely focused on ensuring we do not lose an industrial base because we don't have the time or resources to re-generate it later when we need it.” The winnowing of such a key part of the industrial base will place more pressure on the handful of other companies who can do this sort of work, something to which Pentagon leadership is particularly sensitive. Overall, the Navy plans to buy 12 Columbia-class submarines between 2021 and 2035, with 10 of those coming 2026 and after. In the near-term, it plans two Virginia-class subs per year between 2021 and 2026, meaning shipyards will have to pump out two to four submarines a year in the mid-2020s. The new Columbia submarines will begin being delivered to the Navy in 2030, just in time to begin replacing the Cold War-era Ohio-class subs as the Navy's leg of the nation's nuclear triad. The subs will carry 70 percent of the nation's stockpile of warheads allowed by the New Start treaty with Russia. Falling in to replace the Ohio's on time would be a critical failure for the nation's nuclear triad, as the aging ships will have next to no life left in them by the end of the decade, and leaving the sea leg of the nuclear enterprise in some jeopardy. Babcock Marine is a UK-based company, but does work on some components that are used for both the Columbia program and the UK's Dreadnaught submarines, which shares similar missile tubes with the Columbia effort. In 2018, Virginia-based BWX was forced to pay $27 million to fix welding problems on the Columbia tubes, after issues were found on a total of 44 tubes. So far, 21 of those have been fixed and 11 delivered to the Navy. Navy officials have closely tied the modernizing of the current Virginia-class subs with the building of new Columbia's, warning that since they share a base of companies who can make precision parts for nuclear-powered submarines. So any problem with one program will have knock-on effects to the other. Geurts and others have said the Navy would prioritize the health of the Columbia effort over Virginia if they had to. If the House of Representatives gets its way, however, billions more will flow into the Virginia program than the White House has called for. Last week, the House voted to fund the construction of a second Virginia-class submarine in the 2021 budget request, after the White House dropped the planned buy to one submarine in its submission. The push was led by Rep. Joe Courtney, chairman of the Seapower Subcommittee who represents the Connecticut district that's home to Electric Boat. The bill now includes $6.8 billion to produce two Virginia-class attack submarines, approximately $2.5 billion more than the White House's own request, and $2.2 billion more than the Senate's. “The budget request we received from the White House flew in the face of testimony that we've heard from Navy leaders, experts, and combatant commanders,” Courtney said in a statement. “It requested the fewest ships in over a decade, and it eliminated construction of the second Virginia-class submarine in 2021—a vessel that the Navy quickly listed as its most important unfunded priority in 2021.” https://breakingdefense.com/2020/08/major-submarine-contractor-drops-navy-missile-tube-biz

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