3 octobre 2018 | International, Aérospatial

Lockheed Martin Reveals New Human Lunar Lander Concept

DENVER, Oct. 3, 2018 /PRNewswire/ -- Today, at the International Astronautical Congress (IAC) in Bremen, Germany, Lockheed Martin (NYSE: LMT) experts revealed the company's crewed lunar lander concept and showed how the reusable lander aligns with NASA's lunar Gateway and future Mars missions.

Concept video: https://vimeo.com/293133933

  • Lockheed Martin Crewed-Lunar-Lander

The crewed lunar lander is a single stage, fully reusable system that incorporates flight-proven technologies and systems from NASA's Orion spacecraft. In its initial configuration, the lander would accommodate a crew of four and 2,000 lbs. of cargo payload on the surface for up to two weeks before returning to the Gateway without refueling on the surface.

"NASA asked industry for innovative and new approaches to advance America's goal of returning humans to the Moon, and establishing a sustainable, enduring presence there," said Lisa Callahan, vice president and general manager of Commercial Civil Space at Lockheed Martin Space. "This is a concept that takes full advantage of both the Gateway and existing technologies to create a versatile, powerful lander that can be built quickly and affordably. This lander could be used to establish a surface base, deliver scientific or commercial cargo, and conduct extraordinary exploration of the Moon."

The unique orbit of the lunar Gateway provides global lunar access for a lander. Having the ability to visit multiple sites with a reusable lander supports many international, commercial, and scientific communities, in addition to NASA's sustainable exploration of the Moon. After a surface mission, it would return to the Gateway, where it can be refueled, serviced, and then kept in orbit until the next surface sortie mission.

"The Gateway is key to full, frequent and fast reusability of this lander," said Tim Cichan, space exploration architect at Lockheed Martin Space, who presented the lander concept at IAC. "Because this lander doesn't have to endure the punishment of re-entering Earth's atmosphere, it can be re-flown many times over without needing significant and costly refurbishment. That's a major advantage of the Gateway and of a modular, flexible, reusable approach to deep space exploration."

The investments made in technology developed for Orion can be re-used to reduce the cost, complexity and development timeline. Some of the human-rated, flight-proven systems used in the design include avionics, life support, communications and navigation systems, and a light-weight version of its crew module pressure vessel.

Reusable landers are enabled by the lunar Gateway and are important for sustainable exploration. Additionally, landed human lunar missions and a lunar orbiting outpost are valuable to prepare for sending humans to Mars. While the Moon doesn't have an atmosphere, there are still many lessons that apply to a future crewed Mars lander, such as: operations experience in a challenging and dynamic environment, operating and refueling out of orbit, long-duration cryogenic propulsion, and terminal descent navigation, guidance and control.

To learn more about the Lockheed Martin's crewed reusable lunar lander concept, visit:

About Lockheed Martin
Headquartered in Bethesda, Maryland, Lockheed Martin is a global security and aerospace company that employs approximately 100,000 people worldwide and is principally engaged in the research, design, development, manufacture, integration and sustainment of advanced technology systems, products and services. This year the company received three Edison Awards for ground-breaking innovations in autonomy, satellite technology and directed energy.

SOURCE Lockheed Martin

https://news.lockheedmartin.com/2018-10-03-Lockheed-Martin-Reveals-New-Human-Lunar-Lander-Concept

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  • US Navy upgrading torpedoes, leveraging cloud computing for submarines

    16 novembre 2023 | International, Naval

    US Navy upgrading torpedoes, leveraging cloud computing for submarines

    Apart from defeating torpedoes with torpedoes (yes, you read that right), the Navy is also improving its safety gear.

  • Pourquoi pas un porte-avions franco-européen ?

    25 octobre 2019 | International, Aérospatial

    Pourquoi pas un porte-avions franco-européen ?

    OPINION. Le porte-avions offre une capacité militaire majeure à une marine. Son déploiement, lors d'une crise, représente un signal politique fort. L'apparition d'un porte-avions aux couleurs de l'Europe serait certes « hautement symbolique », mais le symbole ne suffit pas dans les questions de défense. Par un groupe de travail au sein de l'association EuroDéfense-France(*). « Le Charles-de-Gaulle aura besoin d'un successeur », souligna Florence Parly, la ministre des Armées, au salon Euronaval en octobre 2018, en lançant une phase d'études pour la construction d'un nouveau porte-avions, qui pourrait entrer en service vers 2030-2035. Ce successeur sera-t-il isolé ? Ou en couple, comme le furent naguère le Clemenceau et le Foch ? Cette solution serait militairement préférable, permettant à la France de toujours disposer d'un b'timent opérationnel, tandis que l'autre serait en période d'entretien ou en refonte. Elle aurait toutefois un coût élevé, celui d'un seul navire étant estimé à 4,5 milliards d'euros. Le porte-avions offre une capacité militaire majeure à une marine. Son déploiement, lors d'une crise, représente un signal politique fort. Dans sa mission Clemenceau, entre mars et juillet derniers, le groupe aéronaval, constitué par le Charles de Gaulle avec ses b'timents d'accompagnement, a participé à l'opération Chammal contre Daech au Moyen-Orient, puis a rejoint la région indo-pacifique pour une série d'exercices avec les marines de l'Inde, des États-Unis, de l'Australie, de la Malaisie et du Japon, et celle de l'Egypte au retour. Combat contre le terrorisme et coopération avec nos alliés ont ainsi conjugué guerre et diplomatie. Dans sa réponse aux propositions d'Emmanuel Macron en vue d'une réforme de l'Union européenne, Annegret Kramp-Karrenbauer, alors successeure d'Angela Merkel à la présidence de l'Union chrétienne-démocrate d'Allemagne et désormais ministre fédérale de la Défense, a écrit en mars de cette année : close volume_off « Dès à présent, l'Allemagne et la France travaillent ensemble au projet d'un futur avion de combat européen... La prochaine étape pourrait consister en un projet hautement symbolique, la construction d'un porte-avions européen commun, pour souligner le rôle de l'Union européenne dans le monde en tant que puissance garante de sécurité et de paix. » Macron et Merkel ont plusieurs fois exprimé l'ambition d'une « armée européenne. » Si l'Europe veut tenir sa place dans le concert mondial, tel qu'il se dessine avec des puissances-continent comme les États-Unis, la Chine, la Russie ou l'Inde, elle doit se doter d'une capacité militaire d'action. Des progrès indéniables sont intervenus depuis 2017, notamment gr'ce à la coopération structurée permanente, le fonds européen de défense, l'initiative européenne d'intervention, mais l'Union européenne reste loin de disposer d'une véritable armée. Un porte-avions aux couleurs de l'Europe ? L'apparition d'un porte-avions aux couleurs de l'Europe serait certes « hautement symbolique », comme l'écrit la responsable allemande, et ce navire pourrait montrer le drapeau de l'Union sur les mers du globe et aux approches des continents. Cependant, le symbole ne suffit pas dans les questions de défense. Un porte-avions est un navire de guerre et, s'il peut remplir des missions diplomatiques de présence, il faut, pour que celles-ci soient crédibles, qu'il soit aussi capable d'intervenir militairement, qu'il sache effectivement combattre. À cet égard, la réalisation d'un porte-avions peut paraître prématurée à ce stade de l'intégration européenne. Florence Parly a, en effet répondu, sur les ondes de RMC en mai dernier qu'on « n'en est pas encore tout à fait là », en évoquant les conditions d'emploi d'un tel navire. Il ne suffit pas de construire un porte-avions, encore faut-il être capable de l'employer, certes pour des missions de présence, mais également, si besoin, pour un engagement armé dans une crise ou un conflit. Or, l'on n'en est pas encore là. La brigade franco-allemande est déployée au Sahel, mais seules ses composantes françaises se battent contre les djihadistes, la partie allemande intervenant dans le cadre d'un mandat de l'Union européenne pour la formation de l'armée malienne ou dans celui de la force onusienne Minusma. Conjuguer les besoins de la France et ceux de l'Europe ? Faut-il alors abandonner l'idée d'un porte-avions européen ? Ne pourrait-on conjuguer les besoins de la France et ceux de l'Europe ? Un second porte-avions serait utile à la marine française. Un porte-avions européen signifierait une étape considérable dans l'affirmation militaire de l'Union, qui est en chemin. Pourquoi la France ne partagerait-elle pas un porte-avions ? Pourquoi ne pas engager la construction de deux porte-avions, le premier français, le second franco-européen. Celui-ci naviguerait sous le pavillon national, celui-là naviguerait généralement sous le pavillon européen et arborerait le pavillon français, quand l'autre serait indisponible. Le premier serait financé uniquement par la France, le second le serait à parité par la France et l'Union européenne. Budgétairement, l'opération serait rentable : la France disposerait toujours d'un porte-avions opérationnel pour un coût probablement inférieur à celui d'un b'timent et demi, une série de deux s'avérant à l'unité moins couteuse que la construction d'un seul ; l'Union européenne acquérait, de même, un porte-avions pour un budget inférieur sans doute à la moitié du coût d'un navire isolé. Mettre en œuvre un groupe aérien de qualité Des questions sensibles seraient à résoudre, l'une des premières concernant le groupe aérien. En effet, la puissance d'un porte-avions réside dans sa capacité mettre en œuvre un groupe aérien de qualité. La France est le seul pays européen à utiliser, comme les Etats-Unis, des catapultes. La Grande-Bretagne, l'Espagne et l'Italie déploient des porte-aéronefs avec des avions à décollage court ou vertical, aux capacités moindres. Le groupe aérien, qui réunirait des appareils capables d'apponter sur les nouveaux porte-avions, serait logiquement composé du futur avion de combat européen, dont le projet a été lancé par la France et l'Allemagne, rejointes par l'Espagne. Des évolutions devraient intervenir chez nos amis, soit, comme en Allemagne, pour reconstituer une aviation embarquée, soit, comme en Italie, pour choisir un avion européen. Des décisions significatives seraient nécessaires, mais ces pays, voire d'autres, pourraient vouloir développer une composante aéronavale moderne, dès lors que le coût budgétaire, né de la coopération européenne, serait raisonnable. Rien, techniquement, n'interdirait de créer des flottilles européennes d'avions pouvant apponter sur ces porte-avions. Un autre sujet délicat est celui de l'équipage. Celui-ci rend opérationnel le porte-avions, qui accueille des flottilles d'avions et l'état-major du groupe aéronaval. Il doit être en phase avec son navire. Quand le b'timent franco-européen naviguerait sous pavillon français, son équipage devrait, au besoin, pouvoir être engagé au combat, y compris avec ses membres non français. Développer la participation, étendre le périmètre de discussion S'agissant du groupe aéronaval, d'ores et déjà l'habitude est prise que des navires européens intègrent celui du Charles-de-Gaulle, y compris dans des missions d'engagement armé. Ainsi, chaque fois que ce b'timent a été déployé pour frapper Daech, il a été accompagné par de tels navires (allemand, belge, britannique et italien). L'existence d'un porte-avions européen développerait la participation des marines européennes, en contribuant à leur excellence. L'accord devrait intervenir également sur le système de propulsion, nucléaire ou non, et sur le partage des t'ches entre les industries navales, la France étant la seule, à ce jour, à disposer des compétences pour construire des porte-avions dotés de catapultes. D'autres sujets seraient à traiter, comme le port d'attache, la formation et l'entrainement, la chaîne de commandement... La résolution de certaines questions serait indéniablement délicate, mais possible en présence d'une vraie volonté politique. Cette volonté témoignerait d'un pas nouveau et significatif de l'Europe pour sa défense et de son rayonnement dans le monde. https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/pourquoi-pas-un-porte-avions-franco-europeen-831590.html

  • Lockheed Martin wins FFG(X) combat systems integration contract

    22 juillet 2019 | International, Naval

    Lockheed Martin wins FFG(X) combat systems integration contract

    Lockheed Martin has received a contract from the US Navy to serve as the combat system ship integration and test agent for the future Guided Missile Frigate (FFG(X)) ship programme. Valued at up to $125m, the contract will involve the overall integration of the combat system elements into the frigate ship design. Under the contract, Lockheed Martin will also complete waterfront testing to validate the installation. Scope includes integration engineering support, test planning, waterfront ship integration and testing, post-delivery engineering support. Lockheed Martin Surface Navy Integration Systems programme director Chris Minster said: “The US Navy will experience substantial efficiency by utilising the existing processes, tools, and experience of the Lockheed Martin ship integration and test team. “While minimising ship impact and cost, our ship integration and test team will enable the successful integration of the combat system elements into the future frigate ship design.” The company is counting on its ship integration and test experience including Aegis Ticonderoga class guided missile cruisers and Arleigh Burke-class guided-missile destroyers to successfully deliver the contract. Majority of the work will be performed at the selected FFG(X) shipbuilder location. The company will also deliver engineering services for ship integration. Lockheed Martin will also deliver around 30% of work at its Rotary and Mission Systems plant in Moorestown, New Jersey. The ten-year contract includes one base year of performance and nine option years. The contract work is expected to be completed in June 2025. Last month, the navy issued a request for proposals (RfP) for the detail design and construction (DD&C) contract of the next-generation FFG(X) ships. Vessels will be deployed to conduct air warfare, anti-submarine missions, surface and electronic warfare, as well as information operations. https://www.naval-technology.com/news/lockheed-martin-wins-ffgx-combat-systems-integration-contract/

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