19 septembre 2024 | International, C4ISR, Sécurité

Chinese Engineer Charged in U.S. for Years-Long Cyber Espionage Targeting NASA and Military

Chinese engineer indicted in U.S. for multi-year spear-phishing campaign targeting NASA, military, and universities.

https://thehackernews.com/2024/09/chinese-engineer-charged-in-us-for.html

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    7 octobre 2022 | International, Aérospatial, C4ISR

    Seven questions with the US Army's counter-drone boss

    Maj. Gen. Sean Gainey spoke with C4ISRNET about what it takes to protect American interests against drone warfare.

  • CENTCOM chief: The future of warfare demands more cyber authorities

    19 décembre 2018 | International, C4ISR

    CENTCOM chief: The future of warfare demands more cyber authorities

    By: Justin Lynch The Pentagon has received more power to conduct cyber operations in the past 18 months. But for the top Army commander in the Middle East and Central Asia, the new authority is not enough. The head of U.S. Central Command, Gen. Joseph Votel, wrote in a Dec. 18 paper that the Pentagon must “normalize” electronic warfare and cyberattacks and incorporate them into daily operations. “Normalizing the cyberspace domain means broader authorities that are more responsive than current bureaucratic processes,” Votel wrote in the Army's Cyber Defense Review. “It also means we need simple and streamlined organizations and processes to increase lethality and enhance performance.” The paper was coauthored by Votel, Maj. Gen. Julazadeh and Maj. Weilun Lin. “Our failure to operationalize and normalize the cyberspace domain effectively cedes it to our adversaries, gives them a competitive advantage and, ultimately, creates an increased attack vector against our objectives,” the authors said. President Trump gave the Pentagon new authorities to conduct cyber operations in August and minimized the process where other agencies can object to cyberattacks, known as “deconfliction.” Secretary of Defense Jim Mattis can conduct hacking operations without approval from the White House so long as they do not interfere with the American “national interest,” according to four current and former White House and intelligence officials who were either part of internal deliberations or briefed on the changes. Yet some current and former U.S. officials are skeptical that the new authorities will mean more effective hacking operations for the Pentagon, because it does not solve the nuances of cyberattacks. But the new mandates do not go far enough for the three officer authors, who argued that cyberwarfare should be under the same authorities as other types of operations. “We must not see cyberspace as drastically different and separate from other domains that we create new processes to prepare, plan and fight in this new domain. We continue to seek processes that smooth and simplify operations, reducing friendly friction and accelerating decision-making.” Current and former Pentagon officials have pointed to conducting cyberattacks against enemies that use networks of neutral or partner nations as an area where the Pentagon has changed its decision-making process in recent years. Those officials also pointed to how the Pentagon was able to use hybrid warfare tactics during the 2016 liberation of Mosul, Iraq, as a textbook example of future hybrid operations. Votel, Julazadeh and Lin echoed the sentiment of other Pentagon officials who have advocated for cyberattacks, electronic warfare and other information operations to be integrated earlier in military operations. “We need to proactively execute cyberspace and information operations early in 'Phase 0 / steady state' of the planning process — well before operation execution. Only then can we shape the [information environment], hold our adversaries' capabilities at risk and execute at the speed of war,” the three wrote. For example, Pentagon officials say they closely monitored Russia's 2014 hybrid war in Ukraine and learned from Moscow's tactics. Votel, Julazadeh and Lin shed light on the changes, writing that information operations were previously “integrated as an afterthought.” Yet over the last two years, Central Command has incorporated cyberattacks, electronic warfare and military deception at the “strategic level.” And this hybrid warfare has driven new acquisition demands in the Pentagon. “We need technology and capabilities to keep pace with the operational environment and continue to build the partnerships to do so,” the three officers wrote. In recent years, Central Command has bolstered its hybrid warfare through new contracts. The centerpiece of that effort is a July 2017 contract worth $621 million to Science Applications International Corporation for IT support to Central Command that could last seven years. In August 2018, Vistra communications was also awarded a $22 million contract to support offensive and defensive cyber operations for Central Command. https://www.fifthdomain.com/dod/2018/12/18/centcom-chief-the-future-of-warfare-demands-more-cyber-authorities

  • AIR2030: A la rencontre de Dassault et du Rafale

    18 octobre 2018 | International, Aérospatial

    AIR2030: A la rencontre de Dassault et du Rafale

    Alexis Pfefferlé Une industrie de la défense en Suisse ? Existe-t-il une industrie de la défense en Suisse ? Cette question, pertinente, fut posée par certains parlementaires à l'heure de décider si le programme AIR 2030 devait être conditionné à des affaires compensatoires. La réponse à cette question en Suisse n'est pas aussi claire que ce qu'elle pourrait être en France ou en l'Allemagne, pays qui possèdent des industries lourdes dévolues entièrement au secteur sécurité & défense. En Suisse, dont on rappelle que le tissu économique se compose à 90% de PME, l'industrie de la défense se compose d'une myriade de PME/PMI qui produisent principalement des machines ou des composants qui rentrent dans la chaine de production de groupes étrangers actifs dans le domaine. Par exemple, nos machines à haute précision sont aussi utiles et demandées dans le domaine civile que militaire. Selon SWISSMEM, l'association faîtière des PME et des grandes entreprises de l'industrie suisse des machines, des équipements électriques et des métaux (industrie MEM), l'industrie MEM concerne près de 320'000 emplois en Suisse et un chiffre d'affaire à l'export trois fois supérieur à celui de l'industrie horlogère. La part de l'industrie de défense est nettement plus faible mais permet de maintenir en Suisse des postes de travail à très haute valeur ajoutée. A la lecture de ces chiffres, les affaires compensatoires prévues dans le programme AIR2030 sont indiscutablement une opportunité exceptionnelle pour l'économie suisse. Dassault – Safran – Thalès, l'excellence industrielle française Retour à Lausanne le mercredi 16 octobre, 0800, pour la seconde journée BtoB entre les industriels suisses et les avionneurs retenus dans le cadre du programme AIR2030. Au menu de ce jour, le Rafale du consortium Dassault – Safran – Thalès. Le Rafale est un biréacteur de 4ème génération voire 4ème génération +, selon les classifications, en vertu d'une certaine furtivité active et tactique. C'est le fleuron de l'armée de l'air française et probablement le chasseur européen le plus avancé en matière technologique. La présentation est dirigée par Monsieur Florent SEYROL, responsable du Business Développement et Coopération Internationale pour Dassault Aviation et par Monsieur Pascal DIDIERJEAN pour le groupe Safran. Le programme Rafale étant un programme achevé en matière d'étude et bien rodé en matière de production, la présentation de Dassault est principalement axée sur la compensation indirecte. Les maîtres mots de la présentation sont l'innovation et la recherche. Poids lourd de l'industrie française et mondiale, Dassault c'est 4.8mia de chiffre d'affaire dont 20% sont alloués à la recherche et au développement. Hormis les pharmas, peu de sociétés suisses ont accès à un tel niveau de financement. Le fil conducteur semble tout trouvé et le consortium formé par Dassault, Safran et Thalès, au travers de leurs divisions combinées, offre de nombreuses possibilités pour les sociétés suisses et des perspectives intéressantes en matière de croissance dans des secteurs allant de l'aéronautique à l'optique en passant par la motorisation et l'électronique. Monsieur Florent SEYROL le souligne, Dassault a une taille internationale, l'expérience de la croissance et des grands contrats, et c'est également cette expérience que le groupe transmet à ses partenaires pour que ceux-ci puissent exploiter pleinement leur potentiel économique. Monsieur Pascal DIDIERJEAN, pour le groupe Safran, abonde dans ce sens, illustrant son propos avec l'exemple de la technologie VTOL (Vertical Take-off and Landing aircraft), où la Suisse, je l'apprends, à une carte à jouer, surtout aux cotés d'un motoriste comme Safran. Premier avionneur à le souligner, Dassault est également très sensible à l'innovation dans le milieu académique et les succès suisses des EPF ne sont pas passés inaperçus. A l'heure des difficultés rencontrées par ces institutions dans le cadre des projets européens, des financements indirectes de ce type dans le cadre des affaires compensatoires seraient pertinents et bienvenus. Pour Dassault, la force de la Suisse c'est l'innovation et investir dans notre pays et nos entreprises c'est investir dans les technologies du futur, un win win français. On notera enfin que plusieurs sociétés suisses présentes se sont félicitées du contact franc et direct qu'ils ont pu avoir avec les représentants du consortium Rafale, plus faciles d'accès et moins rigides que certains concurrents. RAFALE, points forts et points faibles Points forts Dassault-Safran-Thalès ont les moyens de leurs ambitions en matière de R&D et l'innovation suisse pourrait en profiter pleinement Des coûts à l'export réduits compte tenu de la proximité géographique Un calcul politique intéressant avec un allié influent à Bruxelles Points faibles Faible implantation en Suisse à l'heure actuelle Certains cantons où il faudra être très persuasif lors de la votation https://blogs.letemps.ch/alexis-pfefferle/2018/10/17/air2030-a-la-rencontre-de-dassault-et-du-rafale/

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