4 juillet 2024 | International, Sécurité

Global Police Operation Shuts Down 600 Cybercrime Servers Linked to Cobalt Strike

Global law enforcement operation MORPHEUS dismantled nearly 600 cybercrime servers linked to Cobalt Strike attacks.

https://thehackernews.com/2024/07/global-police-operation-shuts-down-600.html

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  • Défense : les industriels veulent une relance

    27 avril 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Défense : les industriels veulent une relance

    Tous alignés pour mener la charge. Les présidents des organisations patronales de l'aéronautique, du naval militaire et de l'armement terrestre plaident d'une seule voix afin que l'industrie de défense fasse partie des plans de relance en France, mais aussi en Europe. « C'est absolument fondamental », ont-ils affirmé, lors d'une audition devant la commission de la défense de l'Assemblée nationale. L'objectif est de préserver la Base industrielle et technologique de défense (BITD) avec ses dizaines de milliers d'emplois hautement qualifiés, répartis sur tout le territoire et le long du littoral. À elles seules, les 400 entreprises aéronautiques membres du Groupement des industries françaises aéronautique et spatiale (Gifas) emploient 200 000 personnes. La filière navale fait travailler 40 000 personnes et les acteurs du terrestre, 20 000. Sans oublier les salariés des milliers de PME et TPE, dont beaucoup de pépites technologiques. Il s'agit aussi d'assurer aux armées, sursollicitées à l'intérieur et à l'extérieur des frontières nationales, le meilleur niveau d'équipements. Cela, en restant compétitifs face à la concurrence internationale et en pérennisant l'indépendance stratégique militaire du pays. Face à la crise du Covid-19 qui affecte les industriels de l'armement, « nous proposons un plan de relance pour soutenir la défense, sur le modèle de celui mis en place après la crise financière de 2008 », déclare Stéphane Meyer, président du Gicat (armement terrestre) et PDG du constructeur de blindés Nexter. Le volet défense du plan de relance de 2008 représentait 2,4 milliards d'euros sur un total de 34 milliards. Compte tenu de la profondeur inédite de la crise économique attendue, il faut aller plus loin. « Il est nécessaire d'augmenter les crédits afin d'amplifier la relance de l'industrie de défense, ce qui passe par la hausse de son budget dans la loi de finance 2021 et une révision de la loi de programmation militaire 2019-2025 avec prise en compte des montants absolus et pas du pourcentage du PIB, qui s'est contracté. Cela en affermissant des commandes qui sont encore optionnelles », précise-t-il. « La commande publique est le meilleur outil pour relancer l'économie », insiste Hervé Guillou, président du Groupement des industries navales (Gican). « Avant de parler de relocalisations, rappelons que l'industrie de défense est déjà localisée en France, et qu'un euro dans le budget français va directement dans l'emploi en France », relève Éric Trappier, président du Gifas et PDG de Dassault Aviation *, constructeur de l'avion de combat Rafale. À court terme, les entreprises qui tournent avec 20 % à 30 % en moyenne des effectifs ont pour « priorité absolue » la maintenance des matériels, la dissuasion et la défense aérienne. Les grands industriels ont aussi, en liaison avec le ministère des Armées, organisé la solidarité interfilière, afin de repérer les PME les plus en difficultés, dont la défaillance « peut affecter toute l'industrie ». L'autre combat se déroule sur le front européen. Les États-Unis ont placé l'aéronautique et la défense au premier rang des industries stratégiques dans leur plan de relance. « Est-ce que l'Europe a un plan pour ces industries stratégiques ? Nous discutons avec Thierry Breton (commissaire au Marché intérieur, notamment en charge de la défense, NDLR) afin que le budget de 13 milliards destiné au fonds européen de défense ne soit pas réduit dans le prochain budget de la Commission », souligne Éric Trappier. Le président du Gifas appelle aussi à la reprise et à la réussite des coopérations européennes et à l'instauration - enfin - d'une préférence européenne en matière d'achat de matériels militaires. « Ce n'est pas le moment de baisser la garde en Europe », martèle Hervé Guillou. « Il faut espérer que la situation fera réfléchir la Direction de la concurrence sur la consolidation européenne, qui est un moyen de créer des champions capables de se défendre contre leurs concurrents étrangers et de se protéger des OPA hostiles », conclut le président du Gican. Véronique GUILLERMARD Le Figaro https://www.asafrance.fr/item/defense-les-industriels-veulent-une-relance.html

  • Space Force may launch GPS demonstration satellites to test new tech

    10 février 2024 | International, Aérospatial

    Space Force may launch GPS demonstration satellites to test new tech

    The service is also conducting market research to refine its concept for a constellation of GPS demonstration satellites.

  • DARPA: Expediting Software Certification for Military Systems, Platforms

    6 mai 2019 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité, Autre défense

    DARPA: Expediting Software Certification for Military Systems, Platforms

    Military systems are increasingly using software to support functionality, new capabilities, and beyond. Before a new piece of software can be deployed within a system however, its functional safety and compliance with certain standards must be verified and ultimately receive certification. As the rapid rate of software usage continues to grow, it is becoming exceedingly difficult to assure that all software considered for military use is coded correctly and then tested, verified, and documented appropriately. “Software requires a certain level of certification – or approval that it will work as intended with minimal risks – before receiving approval for use within military systems and platforms,” said Dr. Ray Richards, a program manager in DARPA's Information Innovation Office (I2O). “However, the effort required to certify software is an impediment to expeditiously developing and fielding new capabilities within the defense community.” Today, the software certification process is largely manual and relies on human evaluators combing through piles of documentation, or assurance evidence, to determine whether the software meets certain certification criteria. The process is time consuming, costly, and can result in superficial or incomplete evaluations as reviewers bring their own sets of expertise, experiences, and biases to the process. A lack of a principled means of decomposing evaluations makes it difficult to create a balanced and trustworthy process that applies equally to all software. Further, each subsystem and component must be evaluated independently and re-evaluated before it can be used in a new system. “Just because a subsystem is certified for one system or platform does not mean it is unilaterally certified for all,” noted Richards. This creates additional time delays and review cycles. To help accelerate and scale the software certification process, DARPA developed the Automated Rapid Certification Of Software (ARCOS) program. The goal of ARCOS is to create tools and a process that would allow for the automated assessment of software evidence and provide justification for a software's level of assurance that is understandable. Taking advantage of recent advances in model-based design technology, “Big Code” analytics, mathematically rigorous analysis and verification, as well as assurance case languages, ARCOS seeks to develop a capability to automatically evaluate software assurance evidence to enable certifiers to rapidly determine that system risk is acceptable. “This approach to reengineering the software certification process is well timed as it aligns with the DoD Digital Engineering Strategy, which details how the department is looking to move away from document-based engineering processes and towards design models that are to be the authoritative source of truth for systems,” said Richards. To create this automated capability, ARCOS will explore techniques for automating the evidence generation process for new and legacy software; create a means of curating evidence while maintaining its provenance; and develop technologies for the automated construction of assurance cases, as well as technologies that can validate and assess the confidence of an assurance case argument. The evidence generation, curation, and assessment technologies will form the ARCOS tools and processes, working collectively to provide a scalable means of accelerating the pathway to certification. Throughout the program's expected three phases, evaluations and assessments will occur to gauge how the research is progressing. ARCOS researchers will tackle progressively more challenging sets of software systems and associated artifacts. The envisioned evaluation progression will move from a single software module to a set of interacting modules and finally to a realistic military software system. Interested proposers will have an opportunity to learn more during a Proposers Day on May 14, 2019, from 8:30AM to 3:30PM (EST) at the DARPA Conference Center, located at 675 N. Randolph Street, Arlington, Virginia, 22203. The purpose of the Proposers Day is to outline the ARCOS technical goals and challenges, and to promote an understanding of the BAA proposal requirements. For details about the event, including registration requirements, please visit: https://www.fbo.gov/index?s=opportunity&mode=form&id=6a8f03472cf43a3558456b807877f248&tab=core&_cview=0 Additional information will be available in the forthcoming Broad Agency Announcement, which will be posted to www.fbo.gov. https://www.darpa.mil/news-events/2019-05-03

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