9 août 2019 | Local, Aérospatial

Canadian, U.S. military leaders agree on framework to retool Norad

By Murray Brewster

Military leaders from the U.S. and Canada have come to an agreement on the nuts and bolts retooling of Norad, CBC News has learned.

It is a milestone that could end up pitting the next government in Ottawa against both the Trump administration and perhaps even northern Indigenous communities at home.

Now over six decades old, the bi-national air and maritime defence command — and its associated airfields, radar stations and satellite network — has been in need of a major overhaul in the face of emerging threats, such as North Korean ballistic missiles and rapidly advancing cruise missile technology.

Word of the understanding comes as two Canadian CF-18s and two American F-22 Raptors intercepted two Russian Tu-95 Bear bombers, which pressed close to North American airspace, on Thursday.

The agreement of "what's in and what's out" of the new North American Aerospace Defence Command was struck a few months ago, said a defence source in Ottawa, who was granted anonymity because of the sensitivity of the subject.

Separately, the Canadian general who is the deputy commander of Norad confirmed the two countries are on the same page when it comes to the new framework needed to defend the continent, but cautioned there is still a lot of work and negotiation ahead over capabilities and what is affordable.

"We have established the operational requirements," Lt.-Gen. Christopher Coates in an interview with CBC News.

A bi-national panel is examining the specifications and make recommendations to both the Pentagon and the Department of National Defence in Ottawa.

Eventually, Coates said, each government will have to "determine whether or not those capabilities will be provided — or some other option" will be pursued.

And that is where things could potentially get messy, according to defence experts.

James Fergusson, of the University of Manitoba, one of the pre-eminent researchers on Norad, said the price tag will be substantial.

Replacing the North Warning System chain of radar stations, alone, could cost as much as $11 billion, he said.

The Liberal government has made much of saying its defence plans are fully costed, but it deliberately did not include the calculation for Norad modernization in its policy.

There will have to be some negotiation with Washington, even though the cost sharing formula (60-40 split between the U.S. and Canada) has long been established.

Steve Saideman, a professor of international affairs at Carleton University in Ottawa, said he can't see any Canadian government being anxious to open negotiations with the Trump administration, regardless of how long standing the arrangements might be.

U.S. President Donald Trump has long complained American allies do not pay their fair share of costs for the NATO alliance, and Saideman said it is not beyond the realm of possibility that government-to-government technical negotiations over Norad could devolve.

Fergusson disagreed.

If they argue over money, he said, it will likely involve environmental cleanup costs related to the existing, remote north warning radar stations.

When Norad abandoned its first chain of early warning sites — known as the DEW line — in 1993, the cleanup took 21 years and Canada was stuck with the $575 million bill.

More problematic, as far as Fergusson is concerned, is whether Norad's proposed new capabilities will affect northern indigenous communities, which — unlike the past — will rightfully expect to be consulted and have a say over what the military does with the land.

"When they [the Canadian and U.S. military] go up there in Northern Canada, now, they can't simply ignore the Indigenous people," said Fergusson, "And that's a political issue."

https://www.cbc.ca/news/politics/norad-canada-us-military-1.5240855

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Son expertise nous aide à suivre et à prévoir les problèmes dimensionnels, ce qui se traduit par des opérations plus efficaces dans l'ensemble.” Said Bachar Elzein – CEO et Directeur Technique de Reaction Dynamics Lab Inc. « C'est un privilège de s'associer à Reaction Dynamics et de contribuer avec notre expertise en métrologie de haute précision au développement du premier lanceur orbital canadien. Ce partenariat permettra à Amrikart de démontrer à nouveau sa capacité à fournir des solutions innovantes à des défis complexes. Notre équipe est passionnée par les technologies aérospatiales et elle prend un profond plaisir à travailler avec les ingénieurs de RDX», a déclaré Nathalie Tremblay, vice-présidente et cofondatrice d'Amrikart Ultraprecision. À propos de Reaction Dynamics Fondée en 2016, Reaction Dynamics (RDX) développe des fusées pour fournir un accès de routine à l'orbite terrestre. L'entreprise est intégrée verticalement, et ses domaines d'intérêt actuels comprennent la propulsion des fusées, les structures et l'avionique. L'équipe applique une approche rapide, agile et axée sur le hardware dans le lancement spatial, permettant à l'industrie de se prévaloir d'un accès plus rapide, moins coûteux et plus fiable à l'espace. Sa technologie de propulsion hybride unique en son genre, en instance de brevet, permet des services de lancement abordables avec de courts délais d'exécution. Son approche novatrice résout le problème persistant avec les moteurs hybrides : des performances limitées sur de longues durées de combustion. Son moteur de fusée en instance de brevet est doté d'un faible nombre de pièces pour assurer la fiabilité et une production rapide, ainsi que des propulseurs sans danger pour l'environnement afin de minimiser les demandes de nettoyage et de permettre un entreposage sécuritaire. Gr'ce à cette technologie, RDX vise à fournir des services de lancement dédiés et abordables, ouvrant de nouvelles possibilités d'utilisation de l'espace aux opérateurs de petits satellites. Pour plus d'informations sur Reaction Dynamics, veuillez visiter: www.reactiondynamics.space À propos d'Amrikart Ultraprecision Amrikart Ultraprecision, fondée en 1988, fait partie du groupe Amrikart, propriétaire exclusif de la technologie iGPS System, et partenaire d'Hexagon Metrology. Amrikart Ultraprecision se spécialise dans une branche croissante de la métrologie, celle de la mesure dimensionnelle et du positionnement de haute précision. Amrikart offre des services complets de mesure et d'alignement 3D ainsi que des solutions automatisées clés-en-main permettant d'augmenter la performance dans la fabrication et l'assemblage de produits de petit à grand volume dans les domaines de l'aviation, du spatial, de la défense, de la marine, du transport et de l'énergie. Amrikart se démarque sur le marché avec la conception et la mise en œuvre de solutions d'assemblage assisté par la métrologie en temps réel, déployées avec succès dans les chaînes d'assemblage final des avions commerciaux Airbus A220. L'entreprise fournit également le support, l'expertise en ingénierie, l'outillage spécialisé et les applications logicielles qui participent à ses solutions intégrées clés en main. Pour plus d'informations sur Amrikart Ultraprecision, veuillez visiter: www.amrikart.com Développent des affaires et relations publiques: Maxime Goulet-Bourdon | Directeur des Essais & du Développement des Affaires M: (438) 872-6087 E: mgb@reactiondynamics.space Badr Boushel (Brad) | Directeur des Ventes et du Développement des Affaires M: (438) 832-2634 E: b.boushel@amrikart.com https://www.amrikart.com/nouvelles-en-details/detail/2021-02-09/Nouveau-partenariat-avec-Reaction-Dynamics

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