30 décembre 2022 | Local, Terrestre

Canadian Army eyeing new weapons in response to lessons learned from Ukraine war

The war in Ukraine has identified critical gaps in the Canadian Army's ability to fight and survive on the battlefield, leading to an unanticipated rush to buy new military equipment.

https://www.ctvnews.ca/canada/canadian-army-eyeing-new-weapons-in-response-to-lessons-learned-from-ukraine-war-1.6212004

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    20 décembre 2018 | Local, Aérospatial

    Canada Seeks Spending Stability As Fighter Competition Heats Up

    Canada's Liberal Party entered office in 2015 with a promise to correct the previous government's “erratic” commitment to defense spending and reopen the competition for the Boeing CF-18 replacement. As Prime Minister Justin Trudeau's government enters a reelection campaign three years later, the Department of National Defense now has a long-term strategy calling for a significant increase in spending through 2027 but has been unable to break the cycle of ... Full article: http://aviationweek.com/defense/canada-seeks-spending-stability-fighter-competition-heats

  • Un nouveau commandant pour le Commandement des opérations interarmées du Canada

    15 juin 2018 | Local, Aérospatial

    Un nouveau commandant pour le Commandement des opérations interarmées du Canada

    Le Commandement des opérations interarmées du Canada (COIC) a officiellement changé de mains au cours d'une cérémonie tenue aujourd'hui à Ottawa. Le lieutenant-général Michael Rouleau a pris le commandement du lieutenant-général Stephen Bowes au Manège militaire de la place Cartier, en présence des membres des Forces armées canadiennes de l'organisation et d'invités d'honneur. Présidée par le général Jonathan Vance, chef d'état-major de la défense, la cérémonie d'aujourd'hui marquait la fin du mandat de trois ans du lieutenant-général Bowes à titre de commandant de l'organisation des opérations interarmées du Canada. Plus tôt aujourd'hui, une cérémonie de passation des fonctions a eu lieu, au cours de laquelle le COIC a salué le départ de l'adjudant-chef du Commandement Denis Gaudreault et accueilli le premier maître de 1re classe Gilles Grégoire. Citations « Une cérémonie de passation de commandement est plus qu'un simple changement de leadership. C'est une déclaration publique par laquelle je confie la t'che et la responsabilité d'un haut commandement à certains officiers généraux. En choisissant et en promouvant le Lgén Rouleau au commandement du COIC, j'affirme à la population canadienne qu'un officier général hautement compétent est à la tête des opérations des FAC. Il remplace un leader tout aussi accompli, le Lgén Bowes, dont la nouvelle mission sera de venir en aide à nos anciens combattants. Aux lieutenants généraux Rouleau et Bowes, je vous souhaite la meilleure des chances dans toutes vos entreprises futures. » Général Jonathan Vance, chef d'état-major de la défense « Je suis reconnaissant de la confiance que le général Vance me porte, et d'avoir le privilège de commander et de diriger les prochaines opérations interarmées du Canada. Je remercie le général Bowes de son travail acharné et je compte bien faire tout mon possible, avec l'aide de mon partenaire le premier maître de 1re classe Gilles Grégoire, pour m'assurer que les hommes et femmes des FAC continuent de fournir un rendement exceptionnel au nom des Canadiens dans le cadre des opérations au pays et à l'étranger. » Lieutenant-général Michael Rouleau, commandant, Commandement des opérations interarmées du Canada « Commander les membres des Forces armées canadiennes dans le cadre d'opérations partout dans le monde a été extrêmement valorisant. Surtout, le professionnalisme et le dévouement dont font preuve tous les jours nos militaires, hommes et femmes, ne cessent de m'étonner et de me rendre fier. Ils sont la raison pour laquelle les Forces armées canadiennes sont très respectées par nos alliés. Je suis impatient de commencer mon prochain travail, qui consistera à mieux servir nos vétérans. » Lieutenant-général Stephen Bowes Faits en bref · Le lieutenant-général Rouleau commence sa carrière militaire en 1985 à titre d'officier d'artillerie. Son parcours est divisé à peu près également entre l'Armée canadienne, les Forces spéciales et le Quartier général de la Défense, où il gère les portfolios de l'État‑major stratégique. Son service au sein des Forces d'opérations spéciales commence en 1994, au sein de la Force opérationnelle interarmées 2. En 1999, il prend sa retraite des Forces armées canadiennes pour faire partie du Service de police régional d'Ottawa‑Carleton, comme agent d'intervention d'urgence. À la suite des évènements du 11 Septembre, il s'enrôle à nouveau en 2002. Depuis, il met continuellement à profit ses diverses compétences et expériences, en commandant des troupes à différents niveaux au Canada et à l'étranger. Il a dirigé le Commandement des Forces d'opérations spéciales du Canada depuis 2014. · Le lieutenant-général Bowes se prépare à être détaché auprès d'Anciens combattants Canada à Charlottetown, à compter de juillet 2018. Durant son mandat au COIC, il commande des forces déployées au pays et ailleurs dans le monde. Voici quelques exemples des opérations auxquelles l'organisation participe : recherche et sauvetage, et soutien en cas de catastrophe naturelle dans l'ensemble du Canada; lutte contre le commerce illicite dans les Caraïbes; programmes de renforcement des capacités dans différentes parties du monde; soutien des mesures de dissuasion et d'assurance de l'OTAN en Europe; et lutte contre Daech au Moyen‑Orient. · Le commandant du COIC dirige la plupart des opérations des Forces armées canadiennes (FAC) au Canada, en Amérique du Nord et ailleurs dans le monde. Il dirige également les missions des FAC, de leur planification à leur clôture, afin d'atteindre les objectifs stratégiques nationaux et internationaux. · Le COIC, dont le quartier général se trouve à Ottawa, comprend des forces opérationnelles et des éléments employés dans le cadre d'opérations; les quartiers généraux des forces opérationnelles interarmées régionales permanentes à Yellowknife, Victoria, Edmonton, Toronto, Montréal et Halifax; le Groupe de soutien opérationnel interarmées, qui dispose d'un quartier général à Kingston et d'unités dispersées dans l'ensemble du Canada; et un réseau mondial d'officiers de liaison et de points de commandement et contrôle. Le COIC exerce le contrôle opérationnel sur le commandement de composante aérienne ou maritime de forces interarmées, le Quartier général de la 1re Division du Canada et l'Élément de coordination des opérations spéciales. http://www.45enord.ca/2018/06/un-nouveau-commandant-pour-le-commandement-des-operations-interarmees-du-canada/

  • Smol: Why Sweden is leagues ahead of Canada on fighter-jet technology

    20 août 2019 | Local, Aérospatial

    Smol: Why Sweden is leagues ahead of Canada on fighter-jet technology

    With the election looming, the Liberal government has set in motion, at least on paper, its commitment to consider bids for the purchase of new fighter jets. Of course, how committed the government is to move ahead on its renewed commitment remains to be seen. Meanwhile, any Canadian truly committed to seeing a modern, well-equipped RCAF, supported by a capable military procurement program, should take special note of one of the top contenders to replace Canada's aging fleet of fighters: Sweden. This non-aligned country, approximately the size of Newfoundland and Labrador, with a population only slightly larger than that of Quebec, has not only succeeded in developing generations of fighter jets, but has seen impressive success in exporting them. Apart from Sweden, Saab's JAS 39 Gripen, the latest version released in 2016, is being used by the Czech Republic and Hungary within NATO. The governments of Brazil, South Africa and Thailand are also purchasing the aircraft. Other countries such as India, Botswana, Indonesia and the Philippines are seriously considering the Gripen. But instead of fretting about how much Canada's aging fighters stand to potentially be outdone by the air forces of the developing world, we should instead look squarely at how Sweden came to be a serious contender to arm and equip this country's emaciated airforce. We should instead look squarely at how Sweden came to be a serious contender to arm and equip this country's emaciated airforce. The answer lies in the national mindset of the two countries. Unlike Canada, and especially when it comes to defence, Sweden refuses to allow itself to fall into dependency status vis-à-vis Europe, NATO or any other military power. In other words, while they actively cooperate with NATO in the defence of Europe, they make it clear that the defence of Sweden is first and foremost a Swedish responsibility. It is why the Swedish army, navy and airforce use high-tech equipment, much of which is built by the Swedes themselves. It is why the Swedes supplement their advanced military technology with elaborate defence-in-depth war plans and civil defence policies. The manual, “If crisis or war comes,” has been recently mailed to every household in Sweden. By contrast, we Canadians have chosen a quasi-colonial mindset with respect to our defence, clearly reflected in our epically embarrassing procurement shortcomings and failures. For the last 60 years, beginning with the cancellation of the Avro Arrow, Canada has been falling into a pattern of dependency on the United States on all matters related to defence. Sweden, on the other hand, has remained committed to designing and developing much its own military aircraft, ships, submarines and army equipment. In the mid-1950s, both Canada and Sweden were working independently on their own advanced fighter aircraft. While Canada was working on the Arrow, the Swedish military and engineers were hard at work on the Draken, which came out the same year. The Draken had a similar delta wing design to the Arrow and was the first European-built fighter jet to break the sound barrier. But that is where the comparison ends; the two countries went on very different paths with respect to their airforces. Canada cancelled and destroyed its Arrow aircraft and took on second-rate Voodoo fighters from the United States. It is what we Canadians wanted, as no successive Conservative or Liberal government has since tried to “bring back the Arrow.” Sweden aggressively continued development of new fighter technology, replacing the Draken with the Viggen in the 1970s, while Canada continued to try to squeeze more life out of our then-aging fighter jets. In the 1980s, as Canada was finally taking on the U.S built F-18, Sweden was working on the first version of the modern Gripen. Of course, as had been well documented, the early Gripen had problems. But as with the Draken and Viggen, the Swedes, unlike Canada, stayed with their national fighter jet. Today, Canada can only dream what our military aircraft industry might have been like in 2019 if then-prime minister John Diefenbaker, with the tacit support of the opposition Liberals, had not cancelled the Arrow, accelerating our descent into military dependency on the United States and national impotence on military procurement. https://ottawacitizen.com/opinion/columnists/smol-why-sweden-is-leagues-ahead-of-canada-on-fighter-jet-technology

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